'I f ■! !:!i ( 1 1
ii“'!
t 's i l ' : ' f !
IH
; (, ■
III
650 s c u
S ir ik s , nommés callisra|)lics. It. 561. t. Tons les fcribcs
publics chez les Koimiins , étoient au coinmcncemeiu , des
délavés. XI. 2) 4- i^^nbes que les gouverneurs des provinces
romaines avoient auprès d’eux. V l l l . 789. u. Sur les
lcrihes , CoriSTE , G îlt rF ltR , NOTAIRE, CHANCELIER.
Scr ib e . ( r/ jr'.)% ) 1°. Ge mot fe prend pour un écrivain,
n". pour celui qui fait la revue des troupes 6c en tient le
re"ilh'C , XIV'. o i i . ii. 3". pour un doéleur de la loi. Origine
feribes , pris dans ce dernier fens, (irédit dont ils jouil-
foiciit chez les .Ciifs. Trois lortes de lcrihes qu on d^ftiuguoit
parmi ce peuple. Il paroît que du tems de Jéfus-Chrill, le
plus grand nombre des feribes étoient pharificns. liu/. b.
Scriba pour les aftes & les contrats chez les anciens
Juifs. XI, 233. U. Les feribes mis au nombre des caraitcs. 11.
^Sc r ib e : ( Comm.') acceptions de ce mot à Paris & à Bordeaux.
X VI. S t 2. /•.
S n U A lA R I I , nouirex, {Jur'ifpr.) XI. 246. <1.
SCIUNIUM ,{LUürai.) porte-feuille , coffre, enfletto, armoire
à mettre des papiers, un bureau. X IV. !^t4. />.E.\pli-
caiion des divers bureaux établis par les empereurs romains,
pour la geftion des affaires de l’état. Scriniim difpofiùonurr..
Scriniurn epißoLtrum. Scrininui libillonim. Scriniun nieir.oru".
Sxnniumvcflimentorum. Ibid. 813.
Scrinitim , boite à tenir des livres. Suppl. III. 334-
Scrinionrn mjs^iiln. IX. 834. b.
SCRIVERIUS , ( Pierre ) de Harlem : fes ouvrages. VU E
49. b.
SCRO FAN O , ( Giopr. ) village d'Italie, remarquable par
une foiifrlere. Maniéré d'on tirer le foufre. X IV . 813. b.
SCROPHULAIRE , {-£01.1x1.) caraffercs de ce genre de
plaïuo. Nombre de lés efpeces. Deferijitiou de la fcropliulairc
des bois , & de la graïulc fcrophiil.iire aquatique. XIV.
813. b.
bCROPHULMHE , ( M.7t. mêdic. Dieu ) propriétés & ufages
des (leu.Y fcrophulaires, décrites dans l’article précédent. Ufa-
gc diététique auquel ou poiiiroit employer les tubercules de
îa petite fcropluil.iire. Ufages qu’on en peut tirer pour l’intérieur
6c pour l'extérieur. X IV. 814- o.
ScropliuL-iire o.qu.xtiipu, punde. Propriété qu’elle a d'oicr au
féné ibn mauvais goût. X V l l . 677. u.
S C R O TU M , (y4«.ifom.) enveloppe cutanée, qui renferme
les tefficules. Sa defeription. Exemjilcs d’entlures monf-
{rueufes du fcrotiim. Defeription de la eloifou du fcrotuai par
NieoLws M .ip . X IV. 814. b.
Scroiiim. Sa defeription. Si/ppL II. 614. b. Suppl. IV. 935.
rf, b. Membrane intérieure du fciotiiin , appellee d.inos ;
fencimens fur fa nature. IV. 632. b. Irritabilité du fcnxum.
Suppl. IV. 263. <2, b
Scrotum, m.iludies du {Médec. ) courte expofition des
maladies auxquelles cette partie eft fujette, 8c des remedes
qu’on y doit apporter. X IV . 814. b.
Scrotum : tumeurs du lcrotum , dites liématoccle , VIII.
110. b. hydrobele , 368. b. hydrocele, 369. b. pneumatocele
, X U ' 808. b. Colleftion d’eau dans le fcrotiim , accompagnée
d’un tefticule farcomareux. VIII. 383. b. Tumeur
variqueufe des vaiffeaux fpcrmatiqucs, 8c fuivie d’un épanchement
d’eau dans le ferotum. 388. j .
SCRU PULE , {Gramm.) les gcns à fcrupules font infup-
portables à eux-mémes 8c aux autres. C e vice eff la fuite du
peu (le hiinieres, du peu de feus , de la pufillanimité , de
l'i‘’ norance , 8c d’une fauffe opinion de la religion Sc de Dieu.
Il y a des fcrupules dans les fciences & dans les arts, comme
dans la morale. G j^ e t r e fcrtipuleux. Ecrivain fcrupuleux.
X IV . 813.
Scrupule , ( Comm. ) poids de ce nom chez les anciens
Romains 8c parmi nous. X IV . 813. »t.
Scrupule , (CArorttf/.) fcmpule chaldccn, la partie
d’une heure. X IV . 813. h.
Scrupules , ( Ajïron. ) fcrupules éclipfés. Scrupules de la
demi-durée. Scrupules d’immcrfion ou d’incidence. Scrupules
d'émerfion. X IV . 813. é.
SCRU TIN , ( Juii fpr. ) maniéré de recueillir les fuffrages,
fans que l’on iacho de quel avis chacun a été. Comment fe
fait le feriitin. Les meilleures éleéUons font celles qui fe font
par cette voie. X IV. 8 1 3. é.
Scrutin , ( Niß. rpm. ) imroduélion des ferutins dans les
comices, l’an de Rome 614. Le mal auquel on cnit remédier
•par-là no fit qu’empirer. Introduélion de la vénalité des liif-
frages. X IV. 813. é.
Scrutin, ( Hiß. ecd.) affemblée où l’on examinolt les
tlifpoficLons (les catéchumènes. Inffruélion qu’ils recevoient
dans cette affemblée. X IV . 816. a.
Scrutin , mep du. X . 400. a.
S CR U TUM , {Littér.) fignifications de ce mot dans les
anciens auteurs. X IV . 8t6. a.
S CU D E R Y , {George & Magdeleine de) obfervations fur
ces auteurs 6e fur leurs ouvrages. Aventure fmguUere qui
S C U
leur arriva en Provence. VIII, 66. a. Impromptu de made-;
inoilcllc de Scudery. 631. ,j. Obfervations fur fes ouvrages.
X iV . 342. a. Beau tlefiiuéieffcmcnt de M. de Scudery. Suppl,
11, 417. b. Suppl, ill. 3 11. é.
SCULPTEURS Mcieus, {Hiß. des arts ) indication des
])his célébrés feuipteurs de la Crece 8c de leurs ouvrages.
Ageladès, d’Argo.s, Agéfundre, de Rliodes. Agoracritc , élevé
de Phidias. X IV . 816. Alcamene, Athénien. Amcrmiis.
Apollonius 8c Taurifeus. Arcéfilaiis. Ibid. b. Aiilloclès : trois
fcul|)tcurs de ce nom. Batliyclés de Magnéfic, Ibid. 817. <z.
Bnpalus 8c Ailienés. Ibid. b. Bysés de Naxie. Calumis, Calli-
dès. Callicratc. Oallimaque. Gallon : doux flatuaircs de ce
nom. Canachus, de Sicyonc. Ibid. 818. u. Cantharus, de
Sicyone. Céphiffodorc, athémien. CluilcofflKue. Charés do,
Linde. Ibid. b. Cricias. Damophilus 8c Gorgafus. Damo])hoii.
Dédale, fculpteur 8c arcliitcélc athénien. Ibid. 819. <2, b. Trois
llatuaiies (jui portèrent le nom de Dédale. Démocrite, de
Sicyonc. Dibutacles, corinthien. Ibid. 820. a. Uiogene , athénien.
Dipcenc 8c Scyllis, Eiulocus , atliénien. Eupranor, de
l'iffhmc de Corimlie. Ibid. b. Eutychide , ficyonien. Euty-
ciate , de la meme ville. Leontius. Ibid. 821. a. Lyfias. L y -
lippe , (le Sicyonc. Ibid. b. Lyfillratc , trere de Lyfippe.
Lyfon. Malus, de Chio. Mcncftrate. Myron , athénien. Ibid.
822. E Naucydes,d’Argos. Ouatas.Pafiiele.Peutias.Peryllus-
Ibid. 823. a. Phidias, athénien. Ibid. b. P o lyd e te , de Sicyonc.
Ibid. 824.-2, b. Profis. Praxias.Pra-xitdc./wd82 3. (2, b. Rhcecus,
de Samos. Salpion, athénien. Saums 8c Barrachus. Scopus.
Ibid. 826. J. Silanion. Ibid. b. Socrate : deux feuipteurs de ce
nom , fa v o ir , Socrate le pliilofophe , 8c Socrate de Thebcs
Scrongilion. Telcdés 8c Tliéodore. IbiJ. 827. a. Télephanes ,
phocéen. Tiiéodore, frere de Tc ledé s . ïbid. b. Timothée.
Tifagoras. Tifaudre. Tificrate. Turiauus , dEtrurie. Ibtd.
828. .2. Xenophon. Zenodore. Ibid. b.
Sculpteurs modernes , ( Hifl. des arts ) ceux qui fc font
illnltrcs depuis ta renaifiance des beaux arts en Italie , c’eft-
à-dire, depuis le commencement du feizieine fieclc. Algar-
do , italien. Framjois Augnier. Michel Augnier. Nicolas
Bachelier. X IV . S29. <2.Baecio Bamlmclli. Jcan-Latircnt Bernini.
Jean de Bologne. Jacques Boulleau. Pliilippe BuiAer.
Benvenuto Cellini. Ibid. b. Louis le Comte. Nicolas Counou,
Antoine Coyfevox. Vincent Dante. François Desjardins.
Donato. Ibid. 830. <t. François Quefnoy , furnomme le Flamand.
Ganibafiiis , fculpteur, qui coniinua , quolqu’étant
devenu av eu gle , d’exercer fou art. X V . 821. b. Nicolas le
Geiulic. François Girardon. Jean Gonnelli. Jean Ocujon.
Ibid. b. Pierre le Gros. Simon Guillain. Etienne le Hongre.
Jean Baltazar Keller. Louis Lérambert. Robert le Lorrain.
Laurent Magniere. Baltazar Marcy. Ibid. S31. a. Margari-
tone. Pierre Mazeline. Michel-Ange Buonarota. Pierre le
Pâture. Germain Pilon. André Pifani. Paul Ponce. Ibid, b,
Pierre Pugot. Ibid. 83 2. a. Artus Quellins. Thomas Regnaul-
din. Propertia Roffi. Jean-François RuAici. Jacques Sarafin.
Ibid. h. Francifeo Tadda. Tliéodon. T u b y , dit le romain.
Corneille Van-Clève. Gérard Van- ObAal. Ibid. 833.22. André
Verrochio. Daniel de Voherre. Gaciano Giuiio Zumbo.
Ibid. b. — P'oyei ARTISTES.
SCULPTURE , ( Beaux-arts ) Réflexions de M. Etienne
Falconet, fur la fculpture en général. La feulpture , alnfi que
l’hiAolre, eA le dépôt le plus durable des-vemis des hommes
6c de leurs foibleff'es. Le but le plus digne de cet a r t , en
l’envifageant du côté moral, eA de perpétuer la mémoire des
hommes illuAres , 8c de donner des modelés de vertu d’autant
plus efficaces , que ceux qui les pratiquoient ne peuvent
plus être les objets de l’envie. En fe propofant rimitation
des furfaces du corps humain, la fculpture ne doit pas s’en
tenir à une reffemblance froide ; c'eA la nature vivante , animée
, palAonnée, qu’elle doit e.xpriiner fur le marbre ou le
bronze. Objets de l’étude du fculpteur. XIV. 834. 22. Ce que
fon génie peut créer de plus noble , ne doit être que l’exprcf-
fion des rapports poffibles de la nature ; 8c le b eau, même
idéal, eu fculpture comme en peinture, doit être un réfumé
du beau réel de la nature. Moins l’artiAe emploie de
moyens à produire un effet, plus il a de mérite à le produire,
ôc plus le fpeiAateur fe livre volontiers à l’impreAion qu’on a
cherché à faire fur lui. Objets que la fculpture embraffe , 6c
qui lui font communs avec la peinture. Difficiiltés qui font
particulières au premier de ces deux arts. Ibid. b. On doit exiger
d’un fculpteur, non-feulement l’iiucrct qui réfiilte du
tout enfemblc ; mais encore celui de cliacune des parties de
cet enfemblc : il n’a le plus fouveiit qu’un mot à dire ; il faut
que ce mot foit fublime. Réflexions fur l’emploi de l’o r , des
différens marbres, 8c des couleurs, dans la feulpture. Difficultés
qui appartieunént proprement à la peinture, 8c qui
font entièrement étrangères a la Iciilpture. Ibid. 83 3. 22. Ecarts
que celle-ci dtit éviter. On ne doit point appcller beauté.^
dans quelque feuvrage que ce (b it, ce qui ne feroit qu’éblouir
les y e u x , ScTendroit <à corrompre le goût. Comme la fciilp-
turc comporte la plus rigide exaélitude, un deffin négligé y
fartait moins fupportable cjuc days la peinture : 8c en gène-
S C U
r .il, il cA encore moins permis au fculpteur qu’au peintre ,
de négliger-quelqucs-unes des parties de fon art. Loix panl-
ciilicres à l’arc de la Iciilpture, qui doivent être connues de
l’artiAe, pour ne les pas enfreindre , ni les étendre au-delà
de leurs limites. A quel point la {culpturc peut fe douuer effor
dnus fes compofitions. Ibid. b. Précautions que doit prendre
l’ai ciAe en conféquencc de l’impolTibilité oit il eA de revenir
fur lui-méinc lorfquc fon marbre eA cicgroffi, 8c d’y faire
quelque ebangement cffeutiel. Autre difficulté qu’éproiivc
l’nrtiAc , celle de faire enforce que les différens jours que
peut recevoir fon ouvrage , ne lui faffcnc rien perdre de ion
effet. Etude qu’un éleve doit faire du nud , de l’anatomie extérieure
, des juAes* proportions , 8c des belles formes. Ibid.
S36. a. Difcerneincnt avec lequel il doit étudier l’iintiquc.
Quelles fo n t , de toutes les figures antiques, les plus propres
à donner le grand priiicii>e du mul. Le feiitimcnt, ce talent
fi effentlel 8c fi rare, doit animer toutes les produélions de
l’artiAe : cette partie réunie à celles qu’il peut acquérir par
1 e tude, fera le fublime de l’art. IblJ. b.
Sculpture : quelles doivent être les études, les obferva-
lion s , les recitcrches d’un eu fculpture. IV. 493. 22.
ConnoilTauces anatomiques qii’iGdoit acquérir. V I. 774. b.
— 780. b. Le fculpteur doit s’inAruire des principes de l’ar-
chiteélure. 1, 367. b. Modelés en fculpture. X . 399. a , b. Etudes
auxquelles il faut s’appliqtier pour fc mettre en état de
juger des ouvrages de cet art. IV. 493.22, Planches de fculpuuc
au nombre de vingt-quatre , à la lin du volume V l i l . / oyrç
A rtistes 8c Ouvrages de l’art.
Sculpture antique , ( A n d'imitation ) d’habiles gens
donnent à la fculpture le droit d’aineffe (ur rurciiireélurc : ils
tiifcnt que le fculpteur ayant pour o b je t , par exemple , une
figure luiinainc , il a eu l’avantage de trouver nn modèle dans
la nature; mais il a fallu pour l’architeAe que fon imitation
cherchât des proportions qui ne toinboient [tas fous les fens.
Différentes matières qui turent fucccAivcmcnt employées
pour les Aatiies des dieux , 8c autres ouvrages de fculpture.
Quoique les Egyptiens paffent pour les inventeurs de l’a rt,
leurs ouvrages n’approchent pas de ceux qui furent faits en
Grece 8c eu Italie. X IV . 837. a. C ’eA à la Grèce que la
Ictilpturc eA redevable de la fouverainc perfeélion oit clic a
été portée. Les Romains ne commenceront à avoir du goût
pour les productions de cet a r t , que lorfqn’ils eurent connu
les chefs-d'oeuvre des Grecs. Munimitis, après 1a priie de
te r in th e , fit cranfporter à Rome quantité de Aatuc,s 6c de
tableaux de la main des premiers inaitrcs. Ce nouveau goût
pour les pieces rares fiit bientôt jiorté à l’excès. Les g ouverneurs
auxquels il fut d'abord défendu de rien acheter des
peuples que le fénat leur foumettoit, fe procurèrent dans la
fu ite , au plus bas p r ix , les chofes les plus eAimées. Ibid. b.
Eiicore éiüient-ce les plus modérés : la plupart ufoient de
force 8c de violence. Les fuperbes mor.mnens de la fculpture
renvaine paruicut fous le régné d’AuguAc. Ccpendtuit,
qticlle qu’on foit h beauté, les Romains rcconiuircnc toujours
les Grecs pour leurs maîtres dans là fculpture , 8c en
général dans tous les beaux arts. Car.iéU’res des Aatues grec-
<(ues 8c romaines. Ibid. 838. 22. Il n’y a guere eu que les anciens
Perlés qui n’aicut pas élevé des Aatues à leurs dieux.
Les Hébreux exécutèrent quelques ouvrages en fculpture;
mais combien étoient-ils inférieurs aux produélions des Grecs !
eux fouis rendirent la belle nature clans toute fa pureté. Atii-
tucle qu’ils domioient aux Aatues des héros 8c des dieux.
Nombre confidérnbie de feuipteurs qu'enfanta la (rrccc. Ce
qu’il y a de fiiigulier, c’eA qu'on ne trouve fur les Aatues
grecques qui nous font denicurces , aucun des noms que
l ’line nous a rapportés. Lille des noms qui l'ont véritablement
du tems des otiv'rages. Uid. b. L'étonnement s’étend encore
fur ce que Pline ne defigne aucun des ouvrages cités dans la
lIAc ici rapportée. Raifon du fileuce de Paiilànias fur toutes
les belles llauics qui furent tranfportécs de Grece à Rome.
Comme toutes chofes humaines ont leur période, la fculptu-
i c , après avoir été portée au plus haut degré de perfcélion,
chez les G rec s , dégénéra chez cette nation fpirituelle, quand
elle eut perdu fa liberté. Mais ta fculpture des Romains,
fans avoir été postée fi haut, eut un icgne beaucoup plus
court. Ibid. 839. J.
Sculpture antique. RéAexion fur les progrès de l’art Aatuairc
chez les anciens. X V . 303. a. HiAoire de la fculpture gtec-
quc. i'rr/rp/. III. 235. 22, é. — 238. a. De la maniéré dont les
Grecs travailloient en marbre , d’après leurs modelés. X.
399, b. La fculpture plus cultivée que la peinture par les
anciens. XII. 272. b. Les pièces de firulpture d’Hcrculannm
préférables à celles de peinture. Suppl. III. 338. a. Quelle
otolt leur manière de draper. V. 109. b. Comment travailloient
les feuipteurs égyptiens. X IV . 827. a. En quoi elle
dirtéroit de celle des Grecs. Ibid. b. Ouvrages de fculpture
(les anciens eu terre qui n’étoit pas cuite. XIV. 818. b. De
h fculpture des anciens Etrufques. Suppl. II. 903. a , b. &c.
Sculpture moderne, ( Beaux-Ans ) celle qu’on vit renaître
avec la peinture, en Italie, fous- les pontificats de Jules
S C U 651
II & de Léon. On [)cut confidérer la fculpture & ht peinture
comme ditiix foeurs, doue les avant-nges doivent être communs.
Ulage de la poélie dans la fculpture. Examen de cctrc
qucAion , A la lailpiurc moclenic ii’égale point ce (jiii s’cA fait
de plus excellent d.ms l’atuiquitc. XIV. 839. b. Moyens qui
favoriloicnt les progrè.s de l’art chez les Grecs, & qui manquent
aux modernes. Les avantages de la feulpture moderne
conliAeiic dans la découverte de l’art do jener en fome les
Aatues de bronzé , dans la perfeélion des bas-rchefs , ÖC
dans l’imitation des animaux. Perléélioii avec laquelle les
Grecs favoieur c.xprimcr les chairs, les plis , Scies mouve-
mens de la peau dans les endroits oit elle s’étend , 8i fe
replie felon le mouvement des membres. Ce feroit une clj^ecc
de délire , de comcAer aux Grecs la prééiuineiicc qui leur
eA (lue a cet egard : il n’y a que U médiocrité qui s’avife de
calculer à l’inlu du génie. Caraélcrc de la fculpture des
Goths. Ibid. 840. a. ArtiAcs célèbres auxquels nous fommes
redevables de la rcnalAance de l’art. Dé-caclencc de l’art parmi
nous , de même que chez tous les peuples qui ne tourneront
pas fes produélioiis à la perpétuité de leur gloire , & qui
n’affocicrom, ni leurs noms, ni leurs aélions aux travaux
des habiles arcllles. Ibid. b.
Sculpture moderne : rcnailTancc de l’art en occident, I, xxij.
Difl. prelim. Académie de peinture 8c feulprure à Paris. I.
36. b. D e la Iciilpture de l’école de Florence. Suppl. III.
53. é.
Scu lp ture en bront^e , ( Hifl. d’ S Beaux-Arts. Antiq. ) les
ouvrages des Grecs en bronze étoient également recommandables
par l’élcgancc de leur travail, 8c l.i magnificence de
leur vcihiinc. La pratique de leurs opérations nous eA inton-
nuc. Nombre incroyable des Aatues de route grandeur, que'
. les anciens ont faites en bronze. X IV . 840. b. Ufàge étilili
citez les Grecs de couvrir leurs bronzes avec du bitume ou
de la poix. Inconvénicns de la dorure que les Romains pré-
féroient à cet ufage. Les himées 8c les prépanitions de nos
artiAcs font d’autant préférables à Ja maniéré des Grecs ,
qu’elles ont moins d’é’paiffeur, & les mêmes avantages. Pie-
miere Aauie de bronze, fondue à Rome. Ibid. 841. a.
Sculpture en bronic. P'oycq_ Bronze, Sc les lix elernieres
planches du volume VIII,
Sculpture en or fi- en argent, voyc^ Volume VIII. des plan*
ches. Sculpture , 8c l'article Orfevre.-
Sculpture en marbre ; détail des opérations du Aatiiaire &
des outils donc il le fert. XIV, 841. a , b.
Sculpture en marbre , époque de l’art de tailler 8c polir le
marbre. XIV. 820. b. yoycq_ volume V III. des planches.
Sculpture en marbre.
Sculpture en pierre &• en bois. Enumération des outils dont
on fait-ufage clans ces genres de fculpture. X IV . 842. a.
IDiff'éreiires lortes d’ouvrages 8c d’ornemens auxquels cette
fculpture s’applique. Eljteccs de bois dont les (>recs fc font
fervis pour faire des Aatues. C e qu’on entend par bien couper
le bois. En quoi confiAc la beauté d’un ouvrage en bois.
Quand on veut faire de grands ouvrages, comme feroit même
une feule figure, il vaut mieux quelle fou de pluficurs pieces
, que d'un feul morceau de bois. Ibid. b. — le vol.
V II I des planches. Jiiù. é.
Sculpture en plâtre, tant en relief qu'en bas-relief. Dcf-
cripiioii de la maniéré de fculpter des reliefs en plâtre. Ufiige
de la fculpture en plâtre de bas-relief dans l’arcliite<51ure.
X IV . 842.^. Mattiere de travailler ces bas-reliefs. Ibii. 843. a.
Sculpture en plâtre, mouler en plâtre. X. 791. b. Foyc^ le
vol. V II I des plancii. Sculpture en terre & en plâtre à la
main , cinq planches ; 8c pour le mouleur en plâtre , deux
planches.
Sculpture en bas-relief. Suppl. I. 8io."é. Détails fur cet arr.
XIV. 68. .2 , é , &c.
Sculpture en carton. Defeription de deux maniérés de former
des ouvrages de fculpture en carton. XIV. 843. a. Ces
ouvrages ne craignent d’inconvénient que fhumidito. Ils
peuvent être dorés comme les ouvrages en bois. Ibid. b.
Sculpture , ( Archit. ) ufage que l’archiceélure fait de la
fculpture. X IV . 843. b.
Sculpture, confitlérée dans fon union avec l'architeflure.I.
367-
SCUOLE , ( Archit. -vénitien. ) les Vénitiens donnent ce
nom à certains édifices publics qui appartiennent à des conr-
initnautés de la ville. Enumération des fix grandes fcuoles.
X IV . 843. b.
S C U R R A , ( Littér. ) un parafite , un bouffon , un flatteur.
Deux fortes de parafites que l’on dillinguoit à Rome. X IV .
843. b.
S CU R V O G E L , ( Ornithol.) nom donné par les Hollandois
à un oifeaii d’Amérique, nommé par les Jiabitans du Bréfil
jabiruguacu, qui eA une efpece de grue. Defeription de cet
oifeau. Qualité de fa chair. XIV. 844.22.
S CU T A R I , {Géogr. ) ville d’AAe dans la Natolie. Origine
du nom de Chryfopolis qui lui fut donné autrefois. Douane
que les Athéniens y établirent. Cette ville affez conAdérable