878 VOL V O L VOL V o l
V o l . , {Jurifpr. ) Les anciens n’avoient pas des idees aiifil
piucs que nous par rapport au vol. X V ll, 438. b. il y
avoit clicz les lùiyptitiis une loi qui régloit k métier de
ceux qui vouloient être voleurs. Le.s Lacédémoniens ne don-
noient rien ou tiès-peii de cliofc .à manger à leurs enlans
qu'ils ne rendent tlérobé dans les jardins ou licii-X d’alTem-
blée. Loix des Romains l'ur les voleurs- Ibid. 439. n. Loi.x
reçue.' en Fiance lur le même objet. Origine des termes
de ve/ & de vcUur. Difl'érence qu'on mettoit autrefois cntie
vol 6i Uretn. Ibid. b. Ouvrages à conl'ultcr. Ibid. 440. J.
Vo y ez l'oUur Si. L.:icin.
J'ol. Punition du vol felon les loix de Gengis-Kan. XVII .
664. ‘I. Vol domellique. V . 30. .j. Fmitrcement d’imc cbole
volée. 714. b, LoiL[uc quelqu'un étoit volé fur un cliemin
01! le feigneur avoit droit de péage, il étoit tenu de rcm-
bourfer la perte, à moins que le vol ne fut arrivé de nuit.
X ll. 114. ‘I. Du vol des perfonnes libres pour être v endues
comme efdaves. 680. , b. Le plus infâme des vols
efl celui des revenus de l’état. V. 343.
Vol avec armes. V o l de beftlaux. l'oyei^Abigoui. v'ol avec
dégtiifement. Vol domeflique. Voi avec clTraélion. V'ol de
grand cliemin. Vol noflurne. V o l public. Vol qualifié. X V i l.
440. a. Vo l fimple. Vol du chapon. Ibid. b. V o y ez Cheié.
Vol , mouvement progrellit des oifeaiix , Ôcc. ï'oyc^
VOLtR.
\jOL des oifeau.x , divinjtioti por le. (^Myi/i. Divin.') I.
876. 890. b. X L 638. b. Lieu où les augures confidéroient
ce vol. XV'L 187. b:
V ol , chajje du (^i/iajj'e') celle qu'on fait avec des oi-
feaux de proie. Comment en parvient à leur faire goûter
l’cfdavagc , & à les rendre dociles à la voix du dialfcur.
La clialle du vol eil im objet de magnificence beaucoup
plus que d'utilité. Le premier de tous les vols efl celui du
milan. Defeription de ce vol. X V ll. 440. b. Vol du heron.
Le plus fort des oifeau.x de proie employés à la vo-
le r ie , eft le gerfaut. L fig e qu'on eu fait pour chalTer aux
lièvres. Defeription du vol pour la corneille , ix du vol
pour la pie , Ibid. 431. a. pour la perdrix, pour le faifan ,
pour le canard. Oifc.;iix de proie qu’on drelî'e pour prendre
des cailles , des alioueues , des merles. Ditlinéllon des
oifeanx de leurre & des oifeau.x de poing. Obfeivations
fur CCS derniers. Ibid. b.
V ol des infecles , ( Lifebîol. ) XIII, 456. b.
V'ol , {_BUfon.') vol , demi-vol, trois dcmi-vo!s , vol
banneret. X V ll. 441. b.
WOL, {Blufon) deux ailes d'oifenu étendues & jointes
enfemblc , Sec. Demi vol. Vol abailî'é. Suppl. IV. 995. ,1.
V'OLAILLE , les oifeaux domefiiques ou la volaille, ell
une partie iiécciîaire du fonds d'uiie l'cnnc. X VII . 441.
b. On peut enirerenir les oifeaux clomelliqnes à peu de
trais, qu.iiid on ert limé fur une grande route. DireêHons
fur l’entretien des poules Si. des oies , Sc fur leur meuba-
tion. Ibiii. 442. J.
Volaille. Moyen de la nourrir Si. de rcngrrdlTer avec des
marrons. X. 145. b.
VO L A N T . Cuifine ) V'olant de tournebrochc. X VIL
442. il.
V'o lant , Ailé , {^Synon.') X I lî. 648. a.
■ VoLAN'i , i^Horlog.) pièce qui fert à ralentir le mouvement
d'un rouage de répétition ou de fonnerie. Defeription
du volant des pendules, XVTI. 442. a. Si. des grolfes
horloges. ÏUd. b.
Volant d’un moulin à vent. X V ll. 442. b.
VOL.ANT. {Bliji’ des modes) C ’étoit des bandes de taftetas
qiVou attachüit aux jupes des dames. Elpece <le furtout qui
porte ce uom dans 1 liabülement pour homme. XV il. 442. b.
VOLANS, (^Piptc) X V IL 442. b.
V oL .i.vT , (X tj) éloge de ce jeu. XVII. 442. b.
V olant. (^Blajor.) Oifeau volant. X V il. 442. b.
VO LATERRyD , {Géo^r. une.) ville d’iralic-, l’une des
douze premieres colonies <lcs Tolcans. Cette vihe conferve
fon ancien nom. X V ll. 442. b. Voycÿ V olttrrl. Obfer-
vations liir le poète Perle né à Volaterre , Si fur lés ou-
vraees. Ibid. 443. u.
V OL.ATiL , (P/;y/7 c;. (S' Chym.) Diflinélion des particules
volatiles éé de> corps fixes. X. 150. b. Rcclierclie des
califes de la volatilité. I. 234, b. III. 41Ó. a. D ’où fe tortae
ce que les chymifics appellent corps voiaril. IIL C06. b.
Ce qu’on entend par elprit volatil. V. 976. a. Lfiiric volatil
aromatique , jnhleux. Ibid. V llI . 333. b. L’air fi.xc les
corps volatils. I. 234. b. Cliaque produit de la diUillaticn
s'élève plus ou moins tard, felon qu’il étoit plus ou moins
retenu dans le corps dont il étoit principe , (Sc non felon
qu’il eft plus ou moins volatil. IV. 1056. b. Quelle cil: la
plus volatile des huiles connues. VI. 31. b. Sc.s volatils de
plufieurs ei'peccs- X iV . 926. b. Maniéré de faire les fels
volatils huileux. V i l. 771. b. Formation du fel urineux volatil.
XIll. 387. b. Les i'els volatils huileux regardés contme
excsllens pour la génération. X IV. 959. b. Acides volatils.
199. a. Alkalis volatils. 273. a. Acide fulfureux volatil X V .
40O. U. 402. a.
V O L A T IL IS E R , {Chy.mie) twx. de communiquer la volatilité
à des fiibltances fixes. En quoi il conlillc. XVII .
443Vol.iiUif.uion do l’or. X L 324. a. Expériences fur celle
du diamant. Suppl. 1 1 . 710. b , ikc. Volatilifation de l’eau. Suppl. III. 469. .J. Voyc^ Ev a p o r a t io n .
V O L A T lL i r É , {BbyJ- } celle du leu. Suppl. IV. 339.
b. Les cotps s’écliaulfent eu raifou inverfe de leur volatilité.
Suppl. 1 1 1 . 469. a.
VOLCÆ , [Geogr, une.) peuples de lu Gaule narboii-
noife. On les divifoit en voices are-comiques , 6c en voices
tcclofages {Voye^ leelofiges). Pays qu’ils uccupoient.
X V 1 1 , 4 4 3 . Colonies grecques qui s’établirent dans le pays
des Voices. Etat de ce pays depuis la conquête qu’en firent
les Romains. Ibid. b. Vokez p.iludes.
V O L C A N S , {Hiil. r..!t.) Leur caufe. Leur milhé. Principaux
volcans de l’Europe. X V ll. 443. b. Phénomènes
généraux coiuimms à tous les volcans. 11 ne paroic pas
qu’il en c.xille qui vomilîent continuellement des flammes.
Signes qui annoncent les éiiipfions des volcans. Phénomènes
qui acconijiagncnc ces éruptions. Effets prodigieux des v o lcan,'.
Le voillnage où la plupart des volcans font de la
mer , peut contribuer à rendre leurs éruptions plus vio lentes.
Ibid. 444. a. Des lommets des volcans Chemins qui
y conduifent. Correfpoiulauce des volcans. Pourquoi des
volcans , après avoir eu des éruptions pendant une longue
luiie de iiecles , ceffeiu quelquefois d'en avoir. Volcans
éteints en div.jrfes parties du monde. Ibid. b. Exemples des
volcans l'ou-maiins. llles nouvelles formées par ces volcans.
Signes au-xquels on reconnoit la préfcnce des feux l’outer-
rcins , lorUpi’ils brûlent fans bruit , Si. couvant pour ainü
dire fous tene. Sources d’eau chaudes , bitumes liquides ,
terrtins échauffes. Ibid. 443. a.
VoUan. Origine dé es mot. XVII . 376. a. Obfci-vaiioas
fur les volcans. VIL 624. a ^ b. Leur nombre fur la terre.
\ 1 . 613. a. Dlvcifes obfeivations fur leurs éruptions. X L
310. b. 311, n , b. 312. a. Pluies de pierres & de cendres
caillées par les volcans. Xli, 793. a , b. 796. a Sels ammoniacs
formés d.uis leurs environs. X lV . 914 (t. De la formation
du l'oiifre p.ir le feu des volcans. XV. 398. b. Change-
mens caufés fur la terre parles volcans.XVI. lyo. b. 171. b.
Ides torméeS par des volcans. V i lL 919. h. 920. a , b. XVI.
262. a , b. Réde.xions fur les volcans fou-marins Si. fur les
illes qu'ils prodiiifenc. Ripporrs entre les volcans do mer &:
ceux de terre. VU!. 920. ii, Lces anciens plaçoient des geans
près des volcans. Suppl. 1 1 1 . lyo. b. Volcans repréfontos vol.
V I. des pl.inch. Regne minéral , fixleme colieiflion. Faute
à corriger à l’ai tide Volc.m de LEiicyclopédie. Suppl. II.
887. b.
V olcan, (^Géog-.) Liite des principaux volcans. XVII .
443. U, b. Volcans éteints. T eires brûlées des ifles do S. Hélène
Si de rAfcenfion. Terres fulfiireufcs des Açores. Caufes
des trcmblemcns de terte & des volcans. Ibid. 446. a.
Volcan de Carg.ii raco en Amérique. 1 1 1 . 338. l\ Volcan
de rifle de feu , VU. 339. b. clu Gioel ou Etna , 637. a , b.
Suppl. IL 886. b. 887. a. des ifles de Lipari, voye^ ce dernier.
Volcan des Indes orientales , près dé 1 lAé de Néra.
VII. 976. b. Volcan près de Guatimala en Amérique. 978.
<j. Des volcans d’IHande. VIII. 867. a. 916. a. Celui du
mont Hécln. 94. b. Volcans dans Pille de -Java. 470. a.
Des volcans des Antilles. 924. b. Volcans dans les montagnes
du Pérou. Suppl. I. 421. b. Volcans de Balalvaoo dans
Pifle de Sumatra. 7 3 9 ./t. Obfervaiions qui montrent que le
pic de Ténéritïc a été un volcan. XVI. 133. b. Volcan de
Ternate, 161. a. du Vefuve. X V ll. 218. a , b.— 220. b.
Volcans du Japon. 380. a. 321. b. Volcan le plus faiwSux
de l’océan indien. Suppl. I. 233.
VO LCH ERCO STE R de Groningne, anatomifte. Suppl,
3 9 5 -
V O L É E , terme de Part militaire , terme de charron , de
jardinage Si de maréch.dlerie. X V ll. 446. b.
Voice. Tirer une volée de canon : lirer le c.moi à toute
volée : tirer un mortier à toute volée. X V I . 343. b.
Volée, terme de paumicr. X V IL 447. a.
V olée , {Pêche) forte de rets à faire la pèclie , ou
chalTe des oifeaux de nier. Defeription de la manière dont
les pécheurs riverains du village de Marais , lieu dans le
rclTort de l’.amirauté de Q uiliebeuf, pratiquent ceite chafle.
X V IL 4 .|7 . U,
V O L E R , lautordlcs volantes dont la terre fut couverte
en 1683 dans plufieurs contrées du Languedoc. P.irties des
oifeaux qui fervent principalement à voler. Mufcles peclc-
raux des oifeaux. Defeription de la m.inierc dont ils exécutent
leur v o l , X V i l. 447. a. Sc leurs ditférens moiivemvns
dans l'air. Ibid. b. Ex.imeii de la quefiion , fi les hommes
pourraient parvenir à voler. Ibid. 449. b.
Voler. Du vol des oileaiix. XI. 434. a. Difpofifion de leurs
{iumes , favorable au vol. XII. 799. b. Différence entre l’ac-
tion de voler & celle de nager. XL 34, b. Inventions de M.
de Houke pour fournir à l’homme les moyens de voler.
XVII. 613.
V oler. {F.iuconnerie) DiveiTes exprcflïons ufitées dans
la chaffe avec les oiléaux de proie, où ce mot eff employé.
X V II . 449. b.
VO LERO N IA , loi. IX. 678.
V O L E T , {M.irine) peiile bouffole. XVII . 430.1».
V olets. {Menuif.) Dift'éremes fortes de volets. Volets
d’orgues. Volets de moulins à eaux. X V II . 430. a.
Volas. De la confiruélion & de l'utilité des volets. X.
3 3 J’- b- ^3 ^- ‘*-
V olet, {Econom. m ßiq.) X V IL 430.
Volet, fuie , volière, colombier. III. 643. a.
V olet. {B U fan) XVIL 430. a.
V olet . {Orig. de proverb.) Origine de cette façon de
parler tiré fur le volet. Origine des mots bavolet & bavolcttes.
X V ll. 436.
VOLEUR. {Droit civil) Punition des voleurs chez les
Romains. XVII . 430. a. Origine dé la différence qu’ils établirent
entre le voleur manifclle & le voleur non manifclle.
Injufiice de la loi qui condamne les voleurs à mort, voyei^
V oleur. Efpecc de voleurs appelles maraudeurs. Abus Sc
fuites fâcheiifes qui nniireiit de la maraude. Ibid. b. Moyeiÿ
d’arrêter ces défordres. Ibid. 451, a. De la peine que méritent
les maraudeurs. Réflexions fur les moyens d’empêcher
la défertion. Si furies peines à infliger aux déferteurs./éii/.
b. Caufes de défertion. Comment on y peut remédier. Ibid.
432. a. Peines à décerner contre les défertenrs. Ibid. b.
Voleur. Counime qu’übfervoient les voleurs égyptiens. 1 .
619. a. Déeflé des voleurs. VII, 3S3. b. IX. 313. é.
V O L G A , {Géogr.) voyc:^ WoLGA.
V O LG E SIA , {Géogr. anc.) viWc do la Bretagne. Obfer-
rarions fur le nom du fondateur Sc fur celui de la ville,
X V l l . 432. b.
VO LH IN IE , {Géogr.) palatinat de la petite Pologne. Ses
bornes & fon étendue. Ses rivières. Ses villes principales.
Incorporation de ceae contrée auroyaumede Pologne.XVll.
4 3 3 -
VO L IT IO N . ( Logiq. Métaphyfiq. ) Différence entre la
volirioii & la volonté. X V ll. 439. a.
V ü L O , {Géogr.) ville de la Turquie européenne dans
la province de Janna. C e ff à Volo qu’on fait le bifeuit pour
les flottes du grand-feigneur. Territoire de cette ville. Volo
eft la P.igafoea des anciens où fut bàii. Si d'où partit pour
l’expédition de la toifon d’or le vailTeau des Argonautes.
Oblervations fur le golfe Si le port de Volo. X V ll. 459. b.
VO LO D IM ER , ce pHncc établit le chrilHanifme en Ruf.
fie. XIV. 444. a.
■ VOLONES , {H iß.anc.) cfclaves qui dans la fécondé
guerre punique , vinrent s’offrir pour fervir Rome dans fes
armées. XVII. 434. a,
V O L O N T A IR E , {terme d’Ecole) mot fynonymû de
fporitaiiée, félon la plupart des philofophcs. Selon Ariftotc,
une aétion eft volontaire , lorfqu’clle procède d’un principe
in térieur, & que celui qui fait Laélion en connoît la fin Si
les circonftan ces. XVII . 434. a.
V olontaire. {Econom. anim.) Les mouvemens volontaires
font exécutés par les efpriis animaux, Sc déterminés
par l’empire que Lame exerce fur le corps. XVTl. 434, a.
V olontaire. ( Afcir<i/c & Jmifprud.) Aéfion volontaire.
V l l l . 863. b. 1 . 119. a. Condition volomairc. IV. 418. b.
Décret volontaire. 717. a , h. Héritier volontah e. VIII. 16^.
'a. Jurifdiftion volontaire. IX. 78. a. 81. é. Péché volontaire.
XÎI. 227. a. Mouvemens volontaires, 8c cependant
irréfiftibles. Suppl. IV . 633. b. Ces mouvemens diftingués
<!es mouvemens purement méchaniques. 634. b.
V olontaires. {A n mtlh.) Ceux des troupes romaines
qu’on nommoic bénéficiaires. II. 203, b.
yO L O '^T E . {Phdojoph. A/orj/e} Pourquoi nous prenons
à tout moment la volonté pour la liberté. Diificuiié de fe
faire une notion quelconque de cette fécondé faculté. X V ll.
434. b.
• Volonté. Comme s’exécute l’aéle de la volante. Suppl. IV.
49. b. Différence entre afHon de la volonté iSc affion volontaire.
I. i'i9. a. Entre volition 8c volonté. XVII. 453. a.
Efpece d’inquiétude attachée au defir, Sc peut-être à toutes
les paffions qui déterminent la volonté. l'V. 883. b. Volonté
implicite. VIII, 397. b. Volonté foible.XVL 882. a. Effets
de l’habitude fur la volonté. Suppl. IV. 637. a. Effets de la
■ volonté, même durant le l'ommeil. 809. b.
V olonté en Z)ieK. {Théohg.) théologiens diftinguent
en Dieu diverfes fortes de volonté; ils la divifent en v o lonté
de figne & volonté de bon plaifir ; volonté aiuécétlcnte
Si volonté conféquentG; volonté efficace Sc volomé'iiu.ftî-
ca c c ; volonté ablolue 8c volonté conditionnée. X V ll. 43.^.
b. Que Dieu veuille fauver tons 1<A hommes, c’eft une vérité
de foi clairement exprimée dans les cciituies; mais de
879
quelle volonté le veut-il? C ’eft un point fur lequel ont erré
divers hérétiques, & qui partage extrêmement les théologiens.
Semimens des Pélagiens de feml-Pélagiem;, des Pré-
dcftinaiieris , de Calvin , de Janféiiiiis, Si de plulieiirs théologiens.
Ibid. 43 3. a. — p'vyei DÉCRET, PRÉDESTINATION,
Grace.
Volor,
tücédente. 1. 491.
'lOLOSTkgcncrale. {Droit polhiq.) Le corps politique eft
un être moral qui a une volonté. V. 338. b. Dillmflion entre
les délibérations du peuple Sc la volonté générale. 339.
a. La premiere maxime du gouvernement doit être de fui-
vre en tout cette volonté. Ibid. b. La volonté générale eft
toujours bonne : c’eft elle qui doit fixer les limiic:, de tous
les devoirs. V . n 6 . a. b. ü ù Sc comment 011 doit la con-
fidter. Ibid. b.
V O LSÎN II , {Géogr. anc.) ville d’Etrurie , aiijourd’liiii
Bolfena. Caraélere de Sejan, ininiftre de Tibere , né dans
cette ville. X V ll. 433. />.
V O L SQ U E S , les {Géogr. anc.) peuples d’Italie compris
dans le nouveau Latium. Caraélerc de cette nation. Rome
ne trouva point en Italie d’ennemis plus obftinés. XVII .
436. a.
Volfques. Champ Pomptiii dans le pays des Volfques,
XIII. 13. b. Hiftoire de la ville capitale de ce pays. X V I .
880. a.
VO L T AIR E . {Marie-Aiouei de) Eloge de fes ouvrages,
I. xxxij. dife. prclimin. de fa profe. V. 326. b. Übfcrvaiions
fur fa Hcnriade. VIII. 132. b. D e fes contes. Suppl. II. 370.
a. Defeription qu’il a faite de fon féjour de Ferney. Suppl.
III, 28. J, icloge de fes poéfies familières. Suppl. IV. 94.1».
S.1 diffcriaiion fur S. Claude en Franciic-Cointé. 697. ,r. Il
a répandu le premier dans la tragédie moderne, l’intérêt fi
touchant de Thumanité. 961. a. Endroits de fes tragédies
où fc trouvent les plus beaux vers. 964. b. Difilrration de
M. de Voltaire fur le feu. VI. 603. a. Ce qu’il a écrit fur le
Jiinfénirme. V IL 183. b. Cet auteur cité dans plufieurs articles
de liiicrature 8c d’Iiiftoire.
VO L T E . {Manege) Volte de deux piftes, d’une pifte ,
demi-voice , volie renverfee, faire les fix voltes, Sic. X V ll.
436. (2.
Voire. Coucher fur les voltes. IV . 321. b. Couper la voire.
331. b. Demi-voltc. 810. b. Cheval rétif fur les vokes. V.
725. a. Paffage du galop d’une pifte fur une volte , à une
autre volte éloignée 6c femblable. ^ II. 433. 2. b. Mouvement
du cheval j)our faire le paffage des voltes bien proportionné.
XU. 121. a. Quart de volie. XIll. 672. a. Tromper
un dieval à la demi-volte. X V I. 693. b. Sur les voltes,
voye^ vol. VII, de.s pl. Manege, pl. 8 , 10 , 20.
VOLTE. {Marine) X V ll. 436. rf.
V olte. {Efcrime) Eftocade de volte. X V II . 436, a. Ef-
tocade de volte de quarte ou de quarte baffe. Eflocade de
volte en tierce ou en fécondé. Ibid. b. — Vuye^ vol. IV . des
pl. Efcrime , pag. 1 1. <2.
V olte-face. {A nm iH t.) XVII. 436. b.
V O L T E R R E , {Géogr.) ville d’Italie dans la Tofcaiie.
Ce qu'elle a de remarquable. X V ll. 436. b.
VoLTERRE, {Daniel de) peintre, 'V'. 31 S. é. 5 c fculp*
teur. XIV. 833. b.
V O L T IG EU R S , voye^ Danseurs de corde. D’où vient
leur facilité à plier leur corps de dift'éreiiies niaaiieres. V .
802. b.
VOLUBILIS ou grand Liferon. {Jardin.) Defeription de
cette plante, d’un aime liferon appdlé convolvulus. Si du
petit liferon. X V ll. 437. a. Voye^ Co nvo lvü l v s.
V o iV E lL lS G é o g . anc.) ville de la Mauritanie Teng'i-
tnne, colonie romaine, que Ton croit « r c aujouid'liui la
ville de Fez. X V ll. 437.
VOLUME. {Phyfiq.) XVII . 437. b.
V olume. Différence entre la maffe iSc le volume. X.
178. a.
V olume, Tome, {Synonym.) voye^ ToME.
V olume , {Giamm.) voyei LIVRE, IX. 601. b. & Rouleau.
XIV. 4tO. a.
V olume, {Arm um ifm .) épaiffeur, étendue, relief d’une
médaille , & groffeur de la tète. X VU . 43-. b.
VOLUMEN. { Lang, latine ) Pourquoi les Latins ont employé
ce mot pour exprimer un livre. Slgnirication de la
plirafe cvolvere librum. Pratique des aïKÎens pour confciver
les livres écrits. X \ 'll. 437. b.
VO LU P IE , {M yth.) deeffe de la vcèiipté. Commenton
la repréfciitoit. Son temple à Rome. X\ II, 437. b.
VO LU PTÉ. {Mo'ole) La volupté , felon Anftippe , ref-
fcmblc à une reine magnifique, Sc p.irée delà feule beauté.
Son trône eft d’o r , 8c les vertus en habit de fête, s’em-
preffent de I.a fervir. X V ll. 437. b. Dilî'érence entre la morale
d'ArilIippe 8c celle d’Épicure. Heréfiarque du quatrième
fied e , nommé Jovinian , qu’on nomma TAriftippe 8c
TÉpicure des chrétiens , parce qu’il foutenoit que la rcli