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ÎI2 MEN quelle cctte plante fert. Autres ufages tie I’lierbc du coq. X.
34^. j-
MKNTION. Réflexions Cur les differens perfonnages dont
riiifloire fait f>u devioit Caire mention. X. 345. •».
M K N TÜ N , voyci Mâchoire. Defeription de cette partie.
X. 375. h. Partie imiléuleufe du menton. XHl. 663. a.
Artere mentonnière. Suppl. II. 246. a. Dift'érentes fortes de
mentons. 54 3 .1'.
M E ISTUM , {Lang.liitin.') des noms latins terminés en
mentum. V il. 175. b.
M EN T ZE L , botanifle. VII. 384..?•
M E N U , Menus pLtißrs , {H iß .mod.') ofiieiers des menus
plaifirs. X. 345. h.
Menu , {Comm.') marcliandifes défignées par ce mot dans
les bnreau.x du convoi à Bordeaux. Rcgiilrc du menu ; ilTue
du menu. X. 345. b. Entrée , fortie du fel au menu. Ibid.
346- ‘*-
Menu, terme de commerce d'épicerie, de diamantaire. X.
346. a.
Menus droits, ( Ch,i(fc ) X. 346. a.
Menu-feneflriers , exemts de certaines impofitions. ÎII.
660.M
EN UET , ( D.infe ) caraélere de cctte danfe, Lieu d’où
elle eû originaire. Mefure de menuet. Nombre de mefures de
l’air. Pourquoi le menuet efl devenu la danfe la plus ufitée.
Q u el c il celui à qui l’on cil redevable de fa figure aifée. Pas du
menuet. X. 346. u.
Menuet. Explication des pas de cette danfe. XII. i i o . A
I I I . a.
MENUISERIE , ( Art mèchun. ) de la menuiferie en général.
X. 346. .1. Etymologie du mot. Divifion de la menuiferie
en deux clalfes lavoir, la inarqnettciie 6c la menuiferie
proprement dite. Divifion de cctte derniere en trois difte-
rentes efpeces ; la connoilTance des bois , l'allemblage , 6c
l'art de les profiler & de les joindre pour en faire des lambris.
Des bois propres à U menuifene. Enumérarioii de ces bois.
Obfervations fur les qualités & ufages de ces düTérens bois;
le chêne , le fipin , Ibid. b. le tilleul. Obfervations fur le commerce
6c l’achat de ces bois pour les menuifiers de Paris.
Caraéleres auxquels on recoiinoît le bois de bonne qualité.
Du bois félon les efpeces. Ibid. 347. a. Du bols felon lés défauts.
Du bois felon lés façons.
Des aJ[emb!oges de menuiferie. AlTemblage quarre. Ibid. b.
Afiembiage à b o'iement, all'emblage à queue d'aroiule, Ibid.
348. .2. alîemblage à clé , afl'emblage nommé onglet ou anglet,
affeniblage en adent, ou plus communément à rainure 6c ian-
guene 3 alîemblage en eniboiture.
Des Limbris. Leurs divers avantages , fur-tout dans les pays
voiflns du nord. Obfervations fur la conflruélion des lambris
en général. Ibid. b. Des lambris en particulier : deux efpeces
principales 3 rune qu'on appelle lambris d’appui. Si l’autte
lambris à hauteur dc-eharnbre , ou fimplement lambris de hau-
tetir. Obfervations fur la manière de donner à cette forte
d ’ouvrage toute la grace 6c la beauté dont il cft fufcepiible.
Ibid. 349. a.
Des moulures. Du choix des moulures , de leurs proportions
6c de leur exécution. Ibid. b. Difterens profils des moulures.
Des portes. Portes à parement fimple 8c à parement double.
Porte à placard fimple , Ibid. 330. a. porte à placard double ,
porte coupée dans le lambris, portes-cocheres, Ibid. b. portes
charretières, Ibid. 331. a. porte.s bâtardes, portes bourgeoi-
fes , portes d’écurie, portes battantes. ÂrV. b.
Des croifees & de leurs volets. Diverfes obfervations fur leur
conftruélion : milité des volets. Ibid. 3 3 2. n. Des portes croi-
fé e s , vitrée s, &c. ibid. h. Des cloifons de menuiferie, des
jaloufics, des fermetures de boutique ,}bid.-^’^j.a. du parquet,
des outils propres à la menuiferie. Ibid. b. Explication de
deux vignettes qui repréfentent les menuifiers au travail.
Ibid. 337. U.
Menuiferie. Noms par lefquels on diflinguoit autrefois un
meimifier d’un charpentier. III. 213. a. Menuifiers de placage
8i menuifiers d’affemblage, XII. 670. a. AfTemblages de menuiferie.
X. 347. b. 348. a , b. XI. 726. a. Des outils de menuiferie:
feuiWeret, V I. 637. a. guillaumes, V IL 1007.0. Différentes
fortes de r-abots. X lll. 738. b. Foyc^ les planch, de
menuiferie, vol. V IL diftribuées en trois articles, favo ir,
menuiferie en bâtimens , en meubles 8c en voitures.
Menuiserie d'élain , ( Potier d'étain ) X. 337. a.
MENUISIERS. Saint qu'ils ont pris pour patron. Suppl. IV.
MENU-VAIR , {B lafon) efpece de panne hlâïiche &
bleue , d’un grand ufage parmi nos peres. Cette foumue
étüit faite de la peau d’un petit écureuil du nord , Sx. Les
pelletiers la nomment petit-gris. On la diverfifioit en grands
ou petits carreaux. O rigine du nom de panne qui lui fut donné.
A . 3 37. a. Le vmr admis dans le blafon comme fécondé panne.
Mcnu-vair fe dit de l’écu chargé de v a ir , lorfqu’ile ft de fix
rangées. Ibid, h.
MER MEPHIBOSETH , ( Hifl. facr. ) voye:' MlPHIflOSETH.'
MEPRIS , (Morale) principe de celui que nous témoignons
à nos inférieurs , à nos fupérieurs , ou à nos égaux. Contj-a-
diélion où tombe rhoinmc orgueilleux en méprifanc ceux dont
il ambitionne l’eftime. Le mépris du prochain eff plutôt affeélé
que véritable. Injuftices auxquelles il nous porte. D e tous les
lentimens d orgueil , le mépris du prochain efl le plus dangereux.
X. 337, b.
MÉPRISER, Différence dans la fignification de
ces mots. IV. 866. i . Crainte du mépris chez les hommes. XII.
691. a.
M EQ U E , pèlerinage de la , { Hiß. des Pures) voyage pref-
crit par l’alcoran. Dangers auxquels il expofe. On s"cn dif-
penle en fubftituant quelqu’un à fa place. Rendez-vous généraux
des pèlerins. Relation de la manière dont fe fait ce pèlerinage
, & des cérémonies qtii s’y pratiquent. Privileges de
ceux qui ont fait ce voyage. Indiens qui fe crevent le.s youx
après avoir vu les faims lieux de la Mcque. Les enfnns conçus
dans ce pèlerinage font regardés commede petits faints. X.
338..?. Aventurières qui s’offrent aux pèlerins. Ibid. b. Foyer
Mecque.
MEQ UINEZ , ( Géogr. ) voy«j Miquenès.
MER , ( Géogr. ) jufqu’au teins de l’empereur Jufllnien , la
mer étoit commune 6c libre à tons les hommes. Privilège de
pèche excliifif accordé à quelques perfonnes par l’empereur
Léon. Eponfailles annuelles entre le doge de Venife 6c la mer
Adriatique. Prétention des Anglois à l’empire des mers qui
environnent les ifics de leurs trois royaumes. Preuves démon-
ffratives que la mer a couvert autrefois une grande partie de
la terre ferme. Le fond de la mer cfi conipofé à-peu-prés
comme la terre que nous habitons. X. 338. b. Mouvement
général de la mer d’orient en occident. Comment ont été formés
les golfes 6c les détroits. Divers corps marins que nous
trouvons dans les lieux les plus éloignés de la mer. Syfième
auquel ces obfervations ont donné lieu. D e la maniéré dont
la mer a pu fe retirer des lieux qu’elle baignoit autrefois. A u teurs
qui ont avancé que les eaux de la mer Baltique & de
l’O c é an , qui borne la buede à l’occident, diminuent journellement
; que plufieurs parties de ce royaume avoient été couvertes
des eaux de la mer dans des tems peu éloignés de
nous, &. que la Suede n’eft pas un paysfort ancien. Ibid. 339.
a. Obfervations fur lefquelles ces propofitions font fondées.
Calcul par lequel M. Celfius détermine de combien les cau.x
de ees mers baillent en un tems donné. Ligne que ce natura-
lifie a fait tracer fur un rocher pour fixer la hauteur de la
mer , telle qu’elle étoit en 17 3 1 , & continuer les obfervations
fur fon abaiffement annuel. Queftion agitée entre les
académiciens de Suede 3 favoir fi la diminution des eaux eft
réelle , ou fimplement relative. Comment quelques phyfi-
ciens expliquent la diminution réelle des eaux. Ibid. i. Sentiment
de Newton fur ce fujet, & fur la maniéré dont notre
globe finira. M. Celfius croit que la Scandinavie a été autrefois
une ifle , 6c que le golfe de Bothnie comiminiquoit a vec
la mer Blanche. Retraite des eaux de la Méditerranée, obfcr-
vée en Egypte , en Afrique , 6c fur les côtes méridionales de
France. Formation de la mer de Harlem en Hollande. Pline
regarde^ la Méditerranée comme formée par une irriiprion
de rOccan./irV. 360. a. Comment fe fait l’écoulement tîes
eaux de quclmies mers qui n’ont point de communication
vifible avec l'Océan. Origine des mines de fe! gemme ou de
fel marin foffile. Hypothefes par lefquelles on a t;îché d’expliquer
la fnlure des eaux de la mer. Terre calcaire que l’eau
de la mer , félon M. Cronfied , tient en dillolution. C e f f cette
terre qui forme les coquilles 6c les écailles des animaux cruf-
tacés. Différences dans la falure des eaux des différentes mers.
Caufes de ces différences. Ibid. b. Catife de ce goût bitumé
neux qui révolte l’eftomac de ceux qui veulent boire de l'eau
de mer : cette eau rendue potable par M. Applecly, chymifte
anglois. En quoi confifte cette expérience. Trois efpeces rlc
mouvement des eaux de la mer ; favoir , celui d’ondulation
ou de tliiftuation, celui que l'on nomme courant, & cthii
qui eft connu fous le nom de marée. Détails fur les effets du
fécond de ces mouvemens , par lequel la mer fe porte d’orient
en occident. Conjeftures fur la rupture de i’ifthme de
P a n a m a . 361. ^r. La grande Bretagne autrefois attachée
au continent. Quatrième forte de mouvement, par lequel les
eaux de la mer dans les détroits ont deux courans direflemtnc
oppofés , les eaux de la furface ayant une direélion comr, ire
à celles du fond. Obfervation de ce phénomène au p a llg e
des D.ardanelles. Pourquoi les eaux de la mer Noire li nt
toujours également falées, malgré les rivières qu’elle reçoit.
L'übfervauon faite aux Dardanelles, confirmée par celle t ni
a été faite au détroit du Sund. Ibid. b. ‘
Mer , eau de la , { Phyfiq. Chym. ) principes dont cette eau
eft chargée. Cette eau plus fiilée vers l’équateur. Diminution
contimieile de cette falure dans les mers du nord. Caufe de la
facilité avec/laquelle ces mers fé gelent. Inégalité de la fah:re
des eaux d’iine même mer. Les lels des eaux de In furface de
la mer plus acides que ceux qui loin pris à une certaine profondeur
M L K
fondeur. Expérience fur la qualité des fcis de l’eau de mer.
Principe nitreux dans cette eau. X, 362. a. On voit beaucoup
de fel de •’ iauber très-bien cryftailifé dans les tables des fali-
nes où l’on évapore l’eau de mer. Caufe de l’amerntmo de
l’eaii de mer. Subfiance onélueiilê 6: vifqucufe répanilue dans
cctte eau. Volatilité de l'efprit bitinnineux qui produit cette
lùbfiancc. Do l’origine de la fiilure des eaux de la mer. O pinion
des ftahUens. Procédé par lequel on prépare dans le
royaume d'A ffem un fel femblablc au fel commun. Dit bitume
dont l'eau de m er eft cliargéc. 0 ; iginc de ce bitume. Ibid,
b. Caufe de l’oniftiiofité amcrc de l’eau de mer, félon M. D el-
landes. Dos moyens de la rendre potable. Comment, au rap- Eort de Pline, les navigateurs fe procuroienc de l’eau douce.
>e la diftillation des eaux de mer. £xpérience.s de M. Haies.
Ibid. 363./;. MéthodcsdcMM. Applecly 6c Haies pour rendre
Peau de mer potable. La théorie de la méthode de ce dernier
|ihyllcien expliquée. De la lumière que produifent les eaux
do la mer pendant la nuit, lorfqu’elles font agitées. Points
lumineux qui paroilicnt dans certaines mers, 6c dans certains
lems fans le fecotirs de l’agitation. Vers luifans, infccftes de
mer lumineux. Ibid. b. Obfervations & expériences fur la propriété
de Peau de mer , de produire des étincelles. H y pothefes
auxquelles ces expériences ont donné lieu. Ibid.
364. a.
Mer. Etymologie de ce mot. I. 733. a. Des eaux de la mer:
de leurs diverfes qualités, voyc[ E a u de mer. D e leur lalure.
VII . 621. a. X IV . 384. a , b. Cailles qui doivent cliiniinicr la
falure des eaux de la mer noire. V IL 89. a. Divers exemples
d’eaux douces trouvées au fond de la mer. 92. b. Agitation
de la mer. Suppl. I. 209. b. Du mouveinent de fes eaux. Suppl.
III. 477. a , b. D e l’évaporation des eaux de la mer ; évaporation
amuielle. VI. 868. a. Moyen de trouver la proportion
entre le produit de l’évaporation 6c la quantité d’eau qui
rentre dans la mer par les fleuves. VII. 88. b. Proportion entre
l’évaporation de la mer Méditerranée & les eaux qu’elle
reçoit des fleuves. 89. a. XVT. 836. a , b. Du fond de la
mer 6c de fon lit : matière vifqueui'e qui le rapilîc. VII. 84.
a. Efpece de limon qui fe trouve au fond de la mer. I. 1 26.
h. D e la profondeur de la mer. Suppl. 111. 476. a. Quelques
obfervations fuf la profondeur 6c les inégalités de fon lit.
V IL 619. b. 610. b. La mer doit avec le tems gagner du ter-
rein vers l’occident. V I . 909. a. V IL 621. a. Cependant il
pamit que vers la ville de T an is , dans la bufi'e Egypte , la
mer ne s’eft point retirée. X V . 887. a. Diminution de la mer
dans une partie du golfe de Lyon , Suppl. IV . 799. ,r. dans
le golfe de Bothnie. Suppl, i l l . 242. a. PalTage de Vareniiis
où il prouve que les mers ne font pas également élevées dans
toutes leurs parties. XIV. 403. b. Pourquoi certaines mers
n'ont point de marée fenfible. VI. 906. a. X. 96. a. Des cou-
rans en mer. IV . 373. a , b. Des mers fnjettes à fe geler.
V IL 623. a. 688. a , b. Obfervations utiles aux navigateurs
qui chercheroient un pafiage en Afie par les mers du nord.
688. b. Des vents qui viennent du côté de la incr. XVII .
2.1. a. Vents de mer. 23. a. — Foye:^ O c é a n , T e r r a q u é e .
Mer lumineufe, ( Phyfiq.) caufe de la lumière dont on
voit briller cette partie de la mer qu’on traverfe depuis Breft
jufqu’aux Antilles. Infeftes phofphoriques qui rendent quelquefois
la mer lumineufe. Il faut diftingucr la luinicrc de ces
infeéles , de celle qui eft propre aux eaux de la mer. Le
fable qu’elle a mouillé eft quelquefois lumineux. Suppl. III.
901. a.
Mer, (Jurifpr.) elefenfe de prendre de l’eau d e là mer.
V . 206. a. Des effets qu’elle poulie fur fes bords 6c qui ne
font réclamés par aucun propriétaire. 733. a , b. Julqu'au
teins de Juftinicn, la mer étoit commune 6c libre à tous les
hommes ; privilège de pêche exclufif accordé à quelques per-
fonnes par l’empereur Léon. X. 338. b.
Me r , (Medcc.) mal de mer. IX. 921. a. Des maladies
fur mer 6c des moyens d’y remédier. X. 122. b. 123. a ,
b. XI. 38. a. X V l l . 463. a. Des bains de mer. Suppl. 1.
738.M
er, (Marine) divers fens dans lefquels ce mot sem-
ploie par les marins. X. 364. b.
Mer d’airain, ( CVir/f/dcr.) dcfcription de cette grande
cuve que Salomon fit faire dans le temple pour fervir à la
purification des prêtres. X. 364. a. Foye^Suppl.W. G6j.a.
Mer , ( Myth. ) la mer perfonnifiée fous le nom d’Océan.
X . 364. b. Culte que les Argonautes rendirent aux dieux
de la mer avant que de s’embarquer pour leur expédition.
FoiKlcmcnt de ce culte. Ibid. 363. .r.
Mer , ( Géogr. ) petite ville de France , dans laquelle les
calviüiftes avoictu un temple. Obfervations fur Pierre Jurieu,
né dans cctte ville. X. 363. <1.
Alcr d Abex. X. 363, a.
Mer Adriatique. X. 363. J.
Mer d’Afnquc.X. 363. a.
Mer d’Arabie. X. 363. a.
Mer Auflrale, elle Occupe un vafte efpace où l ’on fe figu-
roit des terres. X . 36 j. <r.
Tome II,
M 2 1 3
Aler bleue : lac Aral/nov, un des plus grands de l’Afi.;
feptentrionale. Qualité du pays qui environne ce lac. X.
363. a. Etendue de ce lac. Rivières qu’il reçoit. Salure de
fes eaux. Maniéré dont les lUtra-Kalpaks tirent leur fel de
ce lac. Ibid. b.
Aler du Bréfil. X. 365. b.
Aie; Larp.ithienne. X . 363.
Mer Cajpienne. Connoiffance que les anciens en ont eue.
Carte de cctte mer faire par les ordres de Pierre le grand.
Petite nier dans la partie orientale de la mer Cafpicmie où
celle-ci fe décharge. Salure extrême des eaux de cctte petite
mer. Lamer Cafpicnne n’a point de marée. Quel eft li?
feul bon port de cette nier. X. 363. b. Foyc^ Caspienne.
Aier de Danemarck. X. 363. b.
Aler d Ejpagne. X , 363. b.
Aler Ege^.. Origine de fon nom. X. 363. b.
Merde Erance. X. 366. n.
■ Mer de Grèce. X. 366..;.
Aîerde Groenland. La côte orientale du Groenland devenue
inacceffible par les glaces accumulées. X. 366. a.
Merd’Iémen.X.yGG.a.
Aler des Indes.yi. 366. rf.
Aîer Ionienne. X . -^66. a.
Aîerde jM.irmura. X . 366. a.
Alcr Meaiicr’ance. Golfcs qu’elle contient. Ses principa-les
iftes Sc piciqu’ifies. Quelle eft la meilleine carte de cette
mer. Sa longueur. Travaux de M. Deiille pour la mefurer.
X. 366. a. Méditeuranie.
Alcr moite, A spHALTITE.
Mer Aoire. Grands fleuves qu'elle reçoit. Deferiprion de
cctte nier. Peuples qui eu halmcnt les bord-. Dellriptiort
du canal de la mer Noire ou Bofphore de Thrace. Rapidité
des eaux de ce canal. Couraiis fort finguliers dans ce même
détroit. X. 366. b. La mer Noire reçoit pUis de rivieres que
la Méditerranée. Enumération des principales. Difficulté d’expliquer
pourquoi le canal du Bofphore vuide fi peu d’eau ,
fiiivs que la mer Noire en devienne plus graïule. Les eaux
du Bofphore gelées dans certains hivers. La mer Noire gelée
en 401. Rien ne juftifie le nom de mer Noire que les
anciens lui ont donné. On voyage aufû fitremeiu fur cette
mer que fur les autres. Ibid. 367. a. Obftrvaiioiis fur les
n.tvigaieurs qui pratiquent cette mer. Elle a peu de bons
ports 6c la plupart de fes rades font découvertes. Travaux
par lefquels on pourroit afl'tirer la navig.'.tion de cette mer.
Ses côtes fourniffent abondamment tout ce qu’il faut pour
remplir les arfenaux, les magafins 6c les ports du grand-
feigneur. Ibid. b. Foye{ Pont-Euxin.
Mer Noire. Articles fur cette mer. X. ■ ',61. b. X L 190. a.
Caufes qui doivent diminuer la falure de fes eaux. VU . 89.
a. Foye^ P O N T - E u x i N .
Aler du nord. X. 367. b.
Mer de ToiicJ} , ( Géogr. ) Cette mer prétendue n’a d’autre
fondement de fon exiftence que certains récits attribués
à des fativages du Canada , & des relations de voyages ,
la plupart iniaginaiies. Suppl. III. 901. a. Aventures d'un
nommé Fiica , Grec de Céph.^lonie, qui pretendoit avoir
découvert cctte mer de l’oueft. Variations des géographes
dans la manière dont ils la placent fur les cartes. Ibid. b.
Réfutation de la prétendue découverte de l’amiral de Fonte.
Ibid. 902. .J. Comparnifon des cartes de MM. Delifle 8c
Buache avec la relation de Moncacht-Apé, 6c avec toutes
celles des autres fauvages qui ne parlent d’aucune merfem-
blable à celle que les géographes ont repréfentée fous le
nom de mer de l'Oueft. Extrait de M. le Page , par lequel
eft confirmé le fentiment de l’auteur fur la non exiftence de
cctte mer. Ibid. b.
Alcr Rouge. X. 367. b. Différons noms qui ont été donnés
à la mer Rouge. Origine du nom de mer Rouge. On a
quelquefois étendu ce nom au golfe Perfique 6c à la mer
des Indes. Situation géographique de la mer Rouge. A u tour
qui en a donné la delcription. Obfervations fur le paf-
fage miraculeux des Ifraélites au travers de la iner Rouge.
Ibid. 368. a. Divers fcntùnens fur ce fujet. Ibid. b. Fayes'
Rouge, mer.
Merde Sicile. X. 368. b.
Mer du Sud, vafte partie de l’Océan entre l’Amérique 8c
l’Afie. Par qui elle a été découverte. Pourquoi tlle fut
nommée mer du Sud 8c mer Pacifique. D eu x grands golfes-
de cctte mer. Communications de la mer du Sud à l’Océan
qui lave les côtes de l’Europe. Recherches pour découvrir
le paffage de la mer du Nord à celle du Sud par le nord-oueft.
Celles que firent les Elpagnols en 1640. Fruits de leurs
recherches & de celles des Ruffes en 1731. Comment le
Nord de l’Amérique 11 pu être peuplé. Réconipeiifes pro-
mifes par le parlement d’Angleterre aux navigateurs de la
nation, qui découvriront le paffage mentionné ci-deffus. X.
368. b.
Aier de Tibériade ou de Galilée, ou lac de Généfarefh. X-
369. U.
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