In
P H ■ sril '
884 U R î une vo ix articulée qui éinanoit du propitiatoire. Ihîd. b.
De lamaniere dont on confulroit Dieu dans le camp , &
dont il faifoit entendre ü réponfe. Efpacc de tcms pendant
lequel l’iifagc de confulter Dieu par unm Sc iluim-
niim fut pratiqué. Maxime des Juifs fur les différences maniérés
donc le Saint-Efprit a parlé aux enfans d'Ifraël. Ibid.
^^L’IllNAJRE , ( Aruitom. ) conduit urinaire. III. 844. a. Fif-
tule urinaire. VI. 824. b.
U R IN A U X , ( Chym. ) forte de vaiffeaux diffillatoires. Leur
figure 8c leur nfage. XVII. 497. b.
URINE, ( Phyfiol. ) redierchcs des anacomiffes pour découvrir
la ffrutffurc 8c le jeu des organes qui fervent à la
fecrétion de riiriiic. XVII. 497. b. Comment fc fait cette
fccrétion. Ibid. 498. u. Cnufe du piffement de fang. Comment
fc forment des concrétions d.ans les canaux qui filtrent
l’urine. Raifons qui font foupçonner <iu’il y a d’autres conduits
que ceux des reins qui fe déchargent dans la velfie,
Ibid. b. Exemples de deux enfans, dont run renJoit fon urine
parle nombril, & l’autre vécut dix-fept ans fans uriner. Différentes
fortes Sc propriétés des urines. Ufages qu’on tire de l’u-
rine dans les arts. Ibid.^^'^. a.
(ïine. Variétés que nous trouvons dans les animaux pour
l’éccLilemcnc des urines. XIÎl, 819. a. Aélion des reins pour
la formation de l’iirlne. X IV. 4^. b — 47. u. Caufe qui la
retient dans la veffie 8c qui la fait couler. X V . 460. u. Muf-
cles qui fervent à lexpulfcr. X V I I . 206. b. D e celle qui
fe forme dans le fcctus humain, .'iupyl. I. 297. J. Réfervoir
de l’urine du foetus. VII. 3. .1. Des voies abrégées de l’urine
que l'on a cru devoir imaginer au travers des pores
de l’effomac pour expliquer certains phénomènes. Suppl. II.
S76. J. E.xamen de quelques quefUons fur le palTage & les
conduits des urines. IV. 6 c i .u , b. Pourquoi les eaux
minérales & l’eau froide parolffeiii paffer très-promptement
par la voie des urines. Uid. b. Comment certains corps
étrangers peuvent être venus dans l’urine. Des caufes d’où
dépend la quantité de la fecrétion des urines. Abforptionde
la jjartie la plus aqiieufe des urines dans la made du fang.
Suppl. IV. 601. .7. Chaleur de rùrine. III. 38. b. Partie hétérogène
des urines, nommée énéoréme. V . 630./.-. L’urine
fait une t;rande partie de la diffipation du fluide animal. XI.
286. é. Obfcrvations chyiniqucs fur le RI qu’elle contient.
XU. 3 1 7 . ‘î. Le fcl ammoniacal extrêmement développé dans
l'iirine ; formation du fcl urineux volatil. X l l l . 387. b.
Pourquoi, lorfqu’on a jeûné \ong-tems , l’urine eft fort
jaune & âcre. X IV . 46. b. Sel effentiel d’urine. 925. i.
U r in e , {Midcc. ) connoiffance qu’on acquiert de l’état
d’un malade par i’examen de l’urine. On confiderc dans cet
examen , fa quantité. XVII . 499. u. fa couleur, fon odeur,
fon çoûr, fa fiotdicé & les matières qui y nagent. Indices
qu’on tire de l’iirine,particuliérement dans les maladies aiguës.
Ibid. b.
Urine. Quelle eff la meilleure façon d'examiner l’urine 8c fon
fédiment. X IV. 883. i.
U rine , ( AgricuU. ) ufage qu’on tire de l’urine du bétail
pour engraiiTcr la terre. X V II . 300. a. Voyci Suppl. IV .
480. b.
U r in e , ( Seméiotiq.) cette partie de feméiotique qui cft
fondée fur l’cxamcn des urines, établie Si perfeélionnée
par Hippocrate , cultivée ou foigneiifement recommandée
par Galien 5 c la foule de médecins qui ont reçu aveuglément
tous fes dogmes, n’a pas été enrichie d’un feul figne
nouveau , par cette quantité d’écrirs , qui fe font multipliés
jufqu’à cette grande révolution qui a vu finir le régné de
l’obfervation , en meme rems que celui du galénifmc, par
les efforts réunis tics chymiffes 8c des méchaniciens. XVII.
500. a. L’auteur fe contente donc , pour fournir cet article
, d’en extraire les matériaux d’Hippocrate, 8c de préfen-
ter les obfervatlons faites par ce grand homme. J iii. i° .D i -
vers états de l'iirine qui font d’un bon augure. Ibid. 301. u ,
b. 2°. Ceux qui annoncent quelque évacuation critique.
Ibid. 302. il, b. 3°. Ceux qui font d’un mauvais préfage.
Ibid. 303. a. 4®. Ceux qui indiquent quelque accident determine.
Ibid. b. 3°. Ceux qui font les avant-coureurs de la
mort. Ibid. 303. a.
Urine écumeufe. V . 378. b. Urine blanche. II. 272. b.
Urine laireufe , même dans l’état de famé. IV, 926. b.
Nuages fur l’urine. XL 276. a. Caraélere du pouls qui annonce
les crifes par les urines. XIII. 233. Purulence des
urines. XIII. 384. a. Maladie oii l’on voit dans l’urine des ef-
Secesde poils. X V I . 633. a. X V II . 5:2. b. Vers dans l’urine.
IVII. 44. a.
V v.i'ül., maladies de V {^Medeç.') les maladies examinées
dans cet article , regardent prlnclpalemcut l’excrétion de l’urine
: leur divifion naît des dift'éi'cntcs maniérés dont cette
fonélion peut être altérée. X VII . 303. b.
I. Ifchuric, fupprejjlon ou rétention d’urine. Cette maladie
diftinguée en deux efpaces ; l’ifchurie faulTe , lorfqu'il ne
defeend point d’urine dans la veffie3 & la v ra ie , lorfque
U Furlnc ramalTée dans h vcflic , excite des envies inutiles
de piffer. Caufes de rifchurie v r a ie , Ibid. 506. a. 8c de la
faufle. Proiioffics. Ibid. b. Traitement de ces maladies. Ibid.
507. <7. Toye^ R étention.
i l . Dvfurie ou dijjlculté d’uriner. Symptômes. Ibid. b. Caufes.
Pronoffics. Traitement. Ibid. 308. a,
III. Strungurie ou excrétion d'urine goutte-à-goutte. Deux ef-
peces de ffrangurie, Caufes. Ibid. b. Pronoffics. Traitement.
Foye^ St r an g u r ie .
iV . Dcabeics ou flux abondant 8c colliquatif, voye^; D ia betes.
V . Incontinence d urine. Caufes, Ibid. 309. d , b. Pronoffics.'
Obfcrvations fur de prétendus fpécifiques employés par quelques
perfonnes contre cette maladie, ibid. 510. a. Traitement.
Ibid. é. Incontinence d’urine. VII I. 635. a , b. Ecoulement
involontaire d’urine dans la paralyffe de la velfie. X IV .
201. b. Ecoulement involontaire d’urine à la fuite de certains
accoLichemens. X V II . 206. b.
Maladies des urines conjijîant dans l’altération de leur matière.
Piffement de fang. Moyen de diffinguer l’urine fanguino-
lente , de celle dont la rougeur dépend de la trop petite
quantité de phlegme , ou du mélange d’un fédiment rouge 8c
briqueté. X V II . 310. é.Caufes de cette maladie. Ibid. 3ii.<7.
Pronoffics. Traitement. Ibid. h. Voye^ P issement. Piffement Je
pus. Ses différentes caufes. Ibid. 512. a. Traitement de cette
maladie. Piffement de poils. Caufes. Ibid. b. Remede employé
par Horftius. V o y e z Trichiafis. Altérations de l urine, produites
par le mélange de dfférens corps étrangers , par des
v e r s , par des champignons , ou par dift'érens corps , qui ayant
été avalés, ou introduit par d’autres v o ie s , font fortispar les
urines./élu'. 313-u. Urine , médecins d’. III. 209. a. X V II . 304. b. 303. b.
314. b.
U r in e , ( A/urA/;. ") différentes maladies d’urine. III.
422. a. Flux d’urine. V I. 9 13. u.
U rine , ( Teinture ) ufages que les teinturiers tirent de Purine.
XV II . 3 ! 3. <7.
URNE , ( Antiq. rom. ) divers ufages auxquels cette forte
de vaifl'eau étoit employée. Comme les urnes fervoient
principalement à contenir les cendres des morts , on fabri-
qiioit des urnes de toute forte de matières pour cet ufage.
Urnes d’o r , d’argent , de verre , de terre. Les urnes de
terre fervoient pour mettre les cendres d’une famille entière,
du moins pour celles du mari 8c d e là femme. Figure
des urnes de terre. Urnes de bronze ou d’autre métal. On
a vu des urnes d'Egypte chargées d’hiéroglyphes , & remplies
de momies. Différences fortes d’urnes qui fe voient à
Rome. X V II . 313. b. Voye^ ci-deffbus Urne cinéraire. Lieux
où les anciens ptaçoient les urnes. Unies pour les fiifiFra-
gcs. Urnes à conferver le vin. Urnes lachrymales. Ibid.
314. a , b.
Urnes de l’aréopage. I. 634. b. Urnes pour les fiiffrages chez
les Romains. X V . 230. Urnes trouvées dans Heiculanum.
Suppl. III. 334. b.
U rne , {Sculpt.) ornement defculpture. XVII . 314. «.
XJkuy. cinéraire , {Anüq.rom.') voyeii_ U rnE. Defcriptioiî
que iM. de Caylus a donnée d’une de ces urnes , qui e li d’tin
très-bon goût de travail. X V II . 314, b.
XJv.'Üï. funéraire,{ Aichit. Décorai.) XVII . 314./.
U r n e , {L itt. ) figurefymboHque.XV.728.
U ROM A N T E , ( Médec. & Divinat. ) nom qu’on donne
à ceux qui font profefflon de deviner les maladies par la
feule infpeflion des urines. Réflexions fur cette forte de
cliarlatans. Manoeuvre qu'ils emploient pour tromper le peuple.
Drogues dont ils l’cmpoifonnent. XVII . 514. b. V o y ez
ci-deffus U r in e , {Médecinsd').
URSE , ( Saint ) évêque de Troyes. Son tombeau. Suppl.
IV. 339. b.
URSEREN-THAL , {Géogr.) vallée de SuilTc au canton
d’Uri. Obfervatlons ftir cette vallée 8c fur fes habitans. A
qui en appartient la jurifdiélion temporelle 8c fpiricuclle.
XVII . 313. 77.
U R S IN I , ( Fulvius ) antiquaire. X V . 63 i .é,63 2 .5 .
U RSULIN ES, (/J/// eccl.) congrégation de religleufes
qui fuivent la regie de S. Auguffin , Sc ont une dèv'otion
particulicre à fainte Urfule , patrone de leur ordre. Hifloire
de cetlnffitut, dontle principal but eft l’éducation dcs jeunes
filles, xvn. 313. A.
U R T IC A T IO N S , ( Chir.) efpece de véffcatoires. XVII .
19c). b.
V R Y G R A V E S ou Frc:/graves , ( f i f f mod. & Droit polit. )
affeffeurs, échevins, ou juges qui compofoient le tribunal
fecret de Weftphalie. Les plus grands feigneurs d’AUema-
gne fe faifüienr un honneur d’être aggrégés à ce tribunal
infâme; mais ce tribunal fut abeli par Maximilien I. X V il.
313. Foyei XVI. 6 }0 .a , b. U S US ,{Jurifpr.) on dit ordinairement 7« S 'cozrtwwzcr. X V ll.
u s e 51 s-J-piffi-renec cnlre ces deux mots, lorfquils font em-
ployes leiils. Quand ils font réunis on n’entend ordinairement
par 1 un 8c par l’autre que des ufages non écrits ou du
moms qm ne l etoient pas dans l’origine. Force 8c autorité
qu acquièrent les us 8c coutumes. Us 8c coutumes de la mer *
î IV. 4 1 1 . é.
XV II 316 ’ {Synon.) Différence entre ces mots.
Usage , {Gramm.) Le moyen unique de fe mettre au
mit des locutions (fui conftiiuent la langue , c’eft l’aface.
A U . 316. a. Nul objet dont il foit plus difllcile 8c pfus
rare do fe former une idée exaCle , que des carafteres du bon
ufage 6c de 1 otendiie de fes droits fur la langue. Oblérva-
tions fur les delimtions que Vaiigelas 6c le P. Biifiier ont
données du bon xiCagt. Ibid. b. Selon l’auteur , le bon uj.i‘’e tft
Ja mçon do parler de la plus nombreufe partie de la cour °con-
formement i la façon d'écrire de la plus nombreufe partie
des auteurs les plus effimés du rems. Cette dcfiui.ron julii-
Kce. /Wf/ 517. a. Dans une nation où l’on parle une même
langue , _6f ou il y a néanmoins pliiffcurs ét,->ts, l'ufage paroi.
e regler fur celui d’entr’eux auquel un confemement
au moins tacite de tous les autres, femble donner la pré-
terciKc. 1 ar rapport aux langues mortes, l’ufage ne peut plus
s en fixer que par les livres du ffecle qui a donné naiffance
aux ameiirs reconnus pour les plus diftiiigués. Dans les langues
vivantes , on diftingue le bon ufage en douteux Sc
«^uare. Ulules qui rendentim ufage douteux.//-//, b. Moyens
de fe decider en cas de doute. A l’égard de l’uflige déclaré ,
j1 eft general ou partagé. Les témoins les plus fùrs de l’u-
i.ige general, font les livres des auteurs qui paifent communément
pour bien écrire , & particuliérement ceux où
Ion fait des recherches fur la langue. Ibid. <iS. a. L’ufaRO
partage eft le fu/ct de beaucoup de conteftations peu im-
portames._^ L analogie eft prefquc toujours en pareil cas un
moyen fin- de decider lu préférence. Mais pour connoitre
la veritable analogie , il eft fage de comparer les raifonne-.
mens contiaires des grammairiens. Ibid. b. Cependant cet
ufage, dont 1 autorité eft fi abfohie fur les langues, n’a jamais
en la faveur qu’une univerfalité momentanée. Q uel eft
celui de tous ces ufages fugitifs qui doit dominer fur le langage
national. C eft celui du toms où nous vivons. Ibid. < ro.
a- Cepeiu^iu quand une langue a nombre & cadence en
les pcM-iüdes comme la langue françoife l’a maintenant,
elle eft en la pcrfeélion ; 8e étant venue à ce point , o.î
certaines qui dureront toujours.
11 fubfifte néanmoins toujours deux fources inépuifables de
changement par rapport aux langues , la curiofité qui fait
mure ou dccoiivnr fans fin de nouvelles idées , 8c la cupidité
qui combine en mille maniérés les palfions 8c les idées
des objets qui les irritent. Ibid. b.
) RMcxioiis fur l'ufage dans les langues.
,V1 1 1 . 643. .1 , b , &c. ^
^ ) différentes fignificarions de ce mot.
Ufage d une choie , lorlqu’on s’en fert pour fon utiliré. Droit
d ufage. 1 eft mis au nombre des fervitudes perfonnelles.
tai quoiil différé de V uM nm .X YU . 310. b. U fa « en fùit
de bois & forets. Titres d’où iU dépendent. Droit d’ufa<7e
pour hois a banr. Comment eft réglé Tufage du bois pour
le chauffage. D e l’ufage des morts-bois ou bois blancs , du
verd en g ifan t, du bois mort en étant. Du chauffa« p.ar
délivrance de certaine quantité dé bois. Ibid. 320. a. De
iulage qui confifte .à prendre du bois pour liayer. Tous droits
d ufage n arréragent point. L’ordonnance de 1660 a fiippri-
mc tous les droits d’ufage dans les forêts du roi. Obfervatlons
generales fur tous droits d’ufage de bois. Regies fur le
droit dul.ige pour le pâturage. Ibid. b.
Ujage Dift’erence entre l’ufnge 6c l’nfufruic. XV II . 3^8
77. Prêt à ufage. XIII, 336. b. ^
t^.7^e fignifie auffï ce que l’on a coutume d’obferver 6c
de pratiquer en certains cas. X V II . 320. b. On diftingue ici
Iulage écrit 8c non écrit. Ibid. 321. a.
8^.7ge Rapports 8c dift’éren’ces entre ufage , us 8c cou-
tuine IV q ic .f. 4 1 1. Force des ufages en France. 414.
a. Lês ufages font 1 origine du droit coutumier. V, 124. *2
La connoiifance de la langue phénicienne fournit l'explication
de plnfieurs ufliges communs parmi nous. VIII 88 b
Ues ufages 6c les maniérés ne doivent pas être changés par
“ ‘■•‘g « 5 c manières. IX. 643.^.
U SA G ER , Uurijpr. ) Francs ufiigers, gros iifagers , me-
rus tifagers. XVII. 321. a. ° ^ & «
. USANCE , ( Jurifpr. ) Ûfance de Saintes. Ufance en matière
de lettres de clmngc. XVII, 321.77.
Ujanccs y lettres à. IX. 419. b. 430. a.
ÜSBECKS , f i „ 4 , . . Tarures Ufbecks.
X V . 92 ,. „. XVII , 688. „ .b .
U SCOQUE S , ( Gewr. ) peuples volfiiis de la Hongrie,
de la llaljiiane de h Servie & de la Croatie. Guerres de
ces peuples avec les Turcs Si les Vénitiens dans le feizicme
lie cle , 8c le cominencemenc Tome II, du 17=‘. XVII . 321. b.
U S U 8 8
u s e s (Ht,-! eut, ) volcan du Japon dans le voifinavè
de Suna Baru. üelcnption ,1e ce volcan. Sources d'eaux
lutilcrales qtu ftrtent de cette uiotitagtie. Prolits que les prêtres
en tireur. XVTl. ,2 t . b. . apivitcs
USINE , ( M iu ll ) Uftnes ob l'on itavaille la mine de
1er. VII. 13 ;. a , b. Ultnes pour le laiton. IX. 21S. b ,
ÙSIPIENS /« ( Ge'ogr. „ c . ) peuples de la Germanie,
non „ te s avec les Teucfcres par les anciens auteurs , parce
quils ont habité dans le meme quartier, 8c que Ictus mi-
panons Si leurs expéditions ou, été faites en cotumuu.
Hdloite de- CCS deux peuples. Différcns'pays qu'ils occapercm.
ra-ptivr II ell parlé de ces peuples à l'article Ska„J,,„.
A V . IÔ2. b. Ils furent aulfi app,'|lés T-.uderi X V f n R ,
lotte de plante paraftte ou'
moullbule. Voyez.VU,tjfe & /Gru/f„. IVopriétés .„èclidnales
de 1 iilnce luimamc. ÜDlervations fur la célébrité particulière
<^“ vr.ages a confuiter. X V ü . 322. b.
U bQ UE {^Abraham) Sa vcrfioii de l ’andui teftamenc
en Efpagnoi. XVII . 168.
U SQ Ü E B A , ou ejeuba , liqueur compofée , forte 8c excellente
, dont la bafe eft eau-de-vie ou efprit-de-vin. Préparation
de cette liqueur. XVII . 323. a.
V m . 903. .2.
U6T£N,^XES , (^/rr mi/ir. ) meubles que rtiôrc cil oblige
de fournir aux foldats qtu fon: chez lui en Quartier XV II
323. b.
Ustensiles de cuifme, ( Econom. domefiq. ) Des uftcnfiles
de cuivre 6c de ceux de fer. Suppl. I. 830. u , b.
USIENSILIS d. jardin, , { j^neuh. ) éuumérarion de tous
les inUiumens neceflaires à un jardinier. XVII. 323. b.
U stensiles /.riuwrjgc , {A g u e.) énumération des inftrumens
neeelfaires au laboureur. XVII . 324. a.
U S T IC A , {Géogr. anc.) iM f fe voifine de celle de Si-
cile , une des ifloS de Lipari. z®. Nom d’une colline du Lu-
crccite , daip le pays des Sabins , au territoire de Bandu-
fie. La maifon de campagne d’Horace étoit fituée fur ce petit
coteau. Comment il en fit l’acquifuion. Ode qu’il fi: à
cette occafion. XVII. 524. a. Ddeription poétique qu’il a
donnée de cette jolie terre. Ibid. b.
V S T iO X y {Médec. Thérap.) Cautérifation. L’uftion eft un
des plus puilians tccours 8c des plus généraux, donc la médecine
ait jamais fait ufage contre les maladies obftinées.
Dffrumens qui fervent à l’iiftion ou au.x cautères aéluels.
A VU 324. 1^. Ceux dont les anciens l’e fervoient. Mala-
clie.s dans lefquelles ils employoienc ruftion. En quelles parties
du corps ils la fiiifoienc, 8c comment ils la pratiquoient.
Les uftions preferables à beaucoup d'égards aux cautères
potentiels , dans 1 ouverture de quelques abcès, 8c le traitement
de beaucoup de plaies. Ibid. 323. .7. Promptes révolutions
que les uftions font capables de procurer dans
plulieurs cas. Cette forte de fecours trop peu uluée dans
la pratique moderne. Ibid. b. Voyez X V îI . 203. a.
. {litter.) place de bûdier fur lequel on
bmloïc les corps. Il eft vrailëmblable que c’étoit lin vafe
de pierre ^deftmé à en recevoir les cendres. Comment les
DOIS du bûcher croient difpofés autour de cette pierre C y près
rangés auteur du bûcher. Fonaioiis que rempliffoietu
pendant que le bûcher confumolt, des gens d’une condition
Ittvtle uppdlés njlnrrs & njlnnr.i. XV II. 523. b. Choix que
les pretres faifoiciu enfiiite des cendres ou offcmeiis con-
lumes. Ibid. 326. a.
USÜCAPION , ( Droit nat. & Droit rom. ) Manière d’ac-
querir la propriété , par une polUlTion non interrompue
d une choie , durant un certain tems limité par la loi Per-
lonnes capables d’acquérir de cette maniéré, felon le droit
romain. Choies qu’on acquéroit par droit d’ufiicapion. Chofes
exceptees dc^ce droit. XVII. 326. <2. Raifons qui jiiftificnt
1 ufucapion. Conditions nécelfaires pour acquérir p.ar droit
d’ufucapioii. Differens droits 8c aftions que la prefcripiion
anéantit. Ibid. b. De l’ufucapioa félon le droit naturel. Par
lé droit naturel , la prefeription n’abolit point les dettes :
c’eft ce que Thoimluis a fait voir dans fa diifertatiou '
de perpctuiiaie debitonim pecuniariorum. Extrait de cette dif-
fcrcacion.//i7/. 327. n. Sentiment de Barbcyrac fur lemC'me
fiijet. Ibid. b.
Ufucapion. En quoi elle différé de la prefcripiion. XIIL
USUFRUIT , ( Jurifpr. ) différence entre l’ufage & l’u-
fufruit. Droit cl'iilufriiit fur les animaux. De rulufrnic des
chofes qui fe conl’umcnt par l’iiflige. XVII . 328. a. Diverfes
maximes de droit fur I’lifufriiir. Ibid. b.
U SU RA , {Droit rom. 6- Littér. ) en francois ufiire. Les
Latins diloient nomen pour fignifier tme dette. Les iifuriers
n’ayant point aélion contre le» enfans de famille 8c les nii
uquts ne leur prètolent qu'à 5,0, „„éré.s. Vers tl'Horace
fut lufuner Fuudtu!. XVII. ,28. b. Explimtion tie quel-
ques mors latins qui fc rapportent au mot ufura. Loix des
P P P P P P P ]) P P ri
7 - - .i