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572 R E G
ne fiifHrent pas pour rendre raifon des cas, d’après ces vues
générales, l’éllipié doit fournir ceux qui manquent. Ibid- b.
Régime, voyc:^ ce qui a été dit lur ce fiijet, à l’article
C om pl ém en t . Oblcrvations fur l’iifage du mot gouverner,
fynonynie dans le l'ens grammatical à celui d'à régir. VII.
791 . b. Du régime des mots. IV. 637. a. Obfervations fur
l’iifagc du régime. Différentes pratiques des langues pour
caradérifer le régime de fes différentes efpeces. VII. 844.
b. Verbes latins qui régiffent le datif. IV. 637. a. De quelques
verbes qui paroilTent régir le génitif. V i l. 387. ^.Du régime
du verbe : i’acciifatif n’elt jamais le régime que d’une pré-
pofition ,méme lorfqu’il eft placé après le régime. XVII . 47. b.
R égim e. ( Médec. Hyg, Thérap. ) Différence entre régime
& dicte. X IV. I I . a. I. Du régime confervatlf. Maniéré de régler ce qui convient
à chaque tempérament, X IV . i i . a ,b .^ chaque â g e , Ibid.
12. d. aux différens fexes, Ibid. b. aux différentes faifons ,
& au.x diilérens climats. Ibid. 13. b.
II. Du régime préfervatif. Etat d’un homme qui fc trouve
entre la lamé & la maladie. Conduite ou régime à obfer-
ver en cet état. X IV . 13. u.
III. Du régime curatif. Conduite que les malades doivent
tenir, ou que l'on doit tenir à leur éga rd, tant par rapport
aux alimens, X IV . 14. <z, é; & à la boiffon qu’ils doivent
prendre , que par rapport aux qualités de l’air qui leur conviennent,
Ibid. 13. b. ik. aux différentes fmiations dans lef-
quclles ils doivent fe tenir relativement au repos ou au mouvement
du corps. Ibid. 16. a.
Regime , 8c maniéré de vivre la plus propre à chaque climat.
III. 333. a. Régime que doivent obl'crver lêlon la différence
des climats, les perlbnnes qui ne font pas obligées aux travaux
pénibles. IlnJ. b. Régime par rapport aux paflions ou
attcftions de l'ame, felon la nature du climat. 336. a. Régime
à übfcrver felon la diverfué des faifons. VU . 323. a.
X IV . 330. b. Précepte de régime fur la nourriture, XI. 263.
a , b. oc fur l’ulâge des aiiinens. I. 263. a , b. Regies de
l'obriéré proportionnées à l'état de chacun. X V . 248. b. D u
régime végétal. I . '44. b. D e l'ufage de l’e a u , V . 193. b.
des fruits , V I. 747. a. du la it , IX. 202. h. du vin & des
liqueurs fpiritueules. X VII . 280. a , b. 292. a. Regies de
régiine par rapport aux fix choies non naturelles. XI. 218.
b.— 224. b. Des jeûnes de régime. VII I. 543. b. Régime des
entans, V . 631. 660. b. des femmes enceintes, VU . 961.
i>. des vieillards , X V II . 238. i>. des convalefcens , 1V . i6o.é.
(les valétudinaires.XVI. 818. é, Régime prel'critpurBoerhaave,
II. 31 1 . a. & par Celle. X. 270. c — Sur le régime,
encore les articles AssTiNENCE, D itT E , Hyg iene , Santé.
R É G IM E N T , {Art milit.) Il n’y a rien de fixe fur le
nombre de compagnies &c d'hommes dont un régiment ell
compofé. En quel tems fut faite en France l’inffitution des
régimens. La plupart des régimens françois portent le nom
des provinces du royaume. Régiment des gardes-françoifes.
X IV . 16. a. Régimens appeUés vieux corps dans l’infamcrie.
Régimens qui jouiffent alternativement des prérogatives de
l’ancienneté. Régimens royaux , ou régimens bleus dans la
cavalerie. Régimens de princes. Régimens de gentilshommes.
Jbid. b.
Régimens fuijfes : Ço\dns de ces régimens, appelles trabans.
X V I . 302. a.
RÉG IÜM O NT AN US. Ses éphémérides. II. 8 t6 .i .
RÉGION , ( Phyfiq. ) divifion de l’atmofphere en trois
rég'ons. X tV . 16. b.
R égion , ( Anat.) Les anatomilles partagent le corps en
trois régions, la fupérieure, celle du milieu, & la baflé région.
X lV . 16. b.
RÉGIO.S, Province, Contrée, Pays , DijlriÜ, (Sy/wn.)
X V . 739. a , b.
RÉGION, (Géogr.) Une région fe divife en haute &
baffe, par rapport au cours des rivieres, par rapport à la
m e r , ou par rapport aux montagnes. Une région fe divife
encore en ultérieure & citérieure, ce qui a rapport aux rivieres
& aux montagnes à l’égard de quelque autre région.
Quelquefois on dilimgue une région en intérieure & extérieure,
X IV . 17. a. quelquefois en grande &c en petite.
L ’antiquité &C la nouveauté de la polTeffioii l’ont fait divi-
fer en vieille & en nouvelle. Enfin , les régions, felon les
parties du ciel, vers lefquelles clics font fituées, font dites
feptentrionales, méridionales, orientales 6c occidentales.
Jbid. b.
Régions de Rome, {Antiq. rom.) Ces régions fe divi-
foiem en diverfes parties, dont les unes étoient vuides, Sc
les autres remplies de bàtiiuens. Grandes rues de Rome. Les
rangs de maifons comprifes d’une de ces rues à l’autre s’ap-
pclloienr vici. Ces vici étoient entrecoupés par de petites
rues en plufieurs parties appellées ijïes. Les ifles fe divifoient
en maifons bourgeoifes ou en palais des grands fei^ueurs. XIV.
J7. b. Foyc{ Q uartiers de Rome.
RÉGIONN AIRE, {JJifi. eccl.) Diacres 8c fous-diacres
régionnaires. Evêques régionnaires. X IV . 18.
R E G
Régionnaires , notaires. XI. 243. b.
REGIS , ( Pierre-Sylvain ) auteur de quelques ouvrages
philofophiques. X. 609. b. X IV . 383. b. Ses difpuces avec le
P. Malcbranche. IX. 943. a.
R E G IST R E , ( Hiß. é- Jurifpr. ) Regiftres connus chez
les anciens, fous les noms de diptiques, IV. 1023. a. élé-
phantins, "V. 304. a. faftes. V I. 420. a , b. Premiers aéles
publics qui ont été écrits en France fur des regiflres. V .
703. b. Quel eft le plus ancien regiftre de la chambre des
comptes. Jbid. Regiftres du parlement de Paris. XII. 13. b.
Le plus ancien de ces regiftres. 12. a. Regiftres criminels de
ce parlement. 17. b. Regiftres appellés bannières. II. 60. b.
plumitif, XII. 801. b. pouillé, X llI . 197. b. fo n im ie r ,X V .
337. b. terrier. X V I. 183. a. En quoi les regiftres de contrôle
different des regiftres d’infinuations. IV . 148. b. D e
la tranfeription des ordonnances fur les regiftres du parlement.
V . 698. b. Quels font les plus anciens regiftres des
ordonnances. V . 703. a. Regiftre fur lequel les nouvelles
ordonnances font inferites au châtelet de Paris. Ibid. b. Extraits
de regiflres. V I . 336. a.
R e g is t r e , ( Jurijpr. ) Etymologie de ce mot. Une méthode
obfervée en Écoffe a fervi à y rendre la difcuftîon
des procès tout à-làit facile; c’eft d’y tenir un regiftre exaél
de toutes les ventes & acquifitions de terres que font les
particuliers. XIV. 18. a. Deux fortes de regiftres qu’on y
tient pour cct ufage. Tems auquel s’établit la tenue de ces
regiftres. Ibid. b.
Ï^EGlSTRE des baptêmes.{Police) Proportion dans laquelle
naiffent les garçons 8c les filles. X IV . 18. b. Voye[ N a issa
n ce,
Regiflres des baptêmes, Greflîers ~ confervateurs des. V IL
926. a.
R egistr e mortuaire ( Police ) Proportion dans laquelle
les perfonnes meurent dans les grandes v ille s, dans les villes
moyennes, & à la campagne.XIV. 18. i . M o r t u a ir e .
R e g is t r e , droit de {Jurifpr.) dû au feigneur. X IV .
18. b.
Regiflre, droit de , qui appartient aux audienciers des chancelleries.
IV. I l 2. a.
R e g istr e fe x té , {terme de Finances) X IV . 18. b.
R e g ist r e , ( Comm. ) Les fix corps des marchands 8c
toutes les communautés des arts 8c métiers de la ville 8c
fauxbourgs de Paris, ont des regiftres paraphés par les officiers
de police, où par le procureur du roi du châtelet,
Ufages de ces regiftres. X IV . 18. é. Regiftres des infpecteurs
des manufaôures , des receveurs , contrôleurs , vifiteurs ,
8cc. Ibid. 19. a.
Regiflre. Ce qu’on entend par navire de regiflre dans les
Indes occidentales de la domination efpagnole. Port ou capacité
de ces navires. Prix auquel on acheté la permiffion
de trafiquer dans les ports d’Amérique. Ces permiftions
toujours oiitrcpaffées. Profits immenfes que font les marchands
qui commercent par les navires de regiftre. X IV .
19. a.
R e g is t r e , ( Chymie) X IV . 19. b.
R e g is t r e , ( de carafl. ) X IV . 19. b.
R e g is t r e , impreßon en {Imprim.) X IV . 19. b.
Regiflres de ctavejjin. Leur defeription. X IV . 19. b.
Regiflres de clavejjin : mouvement. X. 841. b.
Regiflres mobiles dans l’orgue. Leur defeription 8c leur conf-
truftion. X IV . 19. b.
Regiflres dormons , dans l’orgue. X IV . 20. a.
Regiflres de /’orgue; pieces par lefquelles on les ouvre ôc
on les ferme. X. 841. b. 842. a.
R E G L E , Réglement, {Synon.) Différences dans la figni-
fication de ces mots. X IV . 20. a.
R eg l e , Modele ,{Synon. ) Obfervations fur l’ufage de ces
mots. X IV . 20. a.
R e g l e , L o i, {Synon.) IX. 643. a.
R e g l e , {Géom.) La regle eft l’inftrument le plus en
ufage dans tous les arts méchaniqiies. Maniéré d’examiner
fl elle eft jufte. X IV . 20. a. Regle des tailleurs de pierre.
Celle des maçons. Defeription 8c ufage d’une machine def-
linée à vérifier les regies. Ibid. b.
R egle (y^y/ro«.) conftellation méridionale, introduite par
M. de la Caille. Sa fituation. Afcenfion droite 8c déclinai-
fon de fa principale étoile. Suppl. IV . 393. a.
R egle , (A/fc/rani^. ) Maniéré de juftifier une regle. Vol.
V . des pl. Méchanique , pl. 3.
R e g l e , {Maaph.) C e qui établit l’ordre ou la place de
chaque chol’c. XL 393. b.
Regle , méthode ou précepte qu’on doit obferver dans un
art ou dans une fcience. Les phiiofophes de l’école diftin-
guent deux fortes de regies; favoir des regies de théorie,
8c des regies de pratique. Les auteurs font fort divifés fur
les égards que l’on doit avoir pour les regies de poéfie que
nousoiitlaiffées les anciens. Des regies des pieces de théâtre.
X IV . 21. <7.
REGiE, {Arithrn,) Enumération des différentes regies
d’arithmétique
R E G
d’arithmétiquc._ XTV. 21. a. Explication de la regie de trois
ou de proportion. Elle ne peut .ivoir lieu que quand on
reconnoit la proportion des nombres donnés. Divers
exemples de l’iifage de cette regie dans le commerce. Jbid.
b. Regie de trois inverfe. Regie de cinq ou de trois com-
pofée. Ibid. 22. a.
Regies d'ari'ilimctique : maniéré d’en faire la preuve. XIII.
334. b.
Réglés logaruhmieiuesf Geom. ) Suppl. III. 768. a ,b ,6 c c .
Regie monaflique. A tV . 22. a.
R églé de l oélave , ( Mufq. ) formule harmonique , par
laquelle on détermine l’accord convenable à chaque degré
du ton, fur la fiicceffion de l.a baffe. Obfervations fur cette
formule 8c fon ufage. XIV.' 22. b.
Regie de l ’aélave. Addition à cet article de l’Encyclopédie.
' Suml. IV. «93. rf.
REGLE, ( ) Différentes fortes de regies expliquées
dans les articles fuivaiis. X IV . 22. b.
Règle de chancellerie , on de chancellerie romaine: Premier
pape qui a fait de ces régleinens. Ces regies ne durent que
pendant le pontificat du pape qui en.eft rauteur , à l'exception
de celles qui font reçues dans le royaume. Pour y
être reçues, il faut qu’elles aient été vérifiées au parlement.
Quelles font celles qui font admifes en France. Ouvrages
à confultcr. XIV. 23. a.
Regie caîonïene, ainfi appeüée de Marc Caton qui en eft
l’auteur. XIV. 23, a.
R églé de commijflonibus, {Chanccll. rom.) X IV . 23.
Regie de droit. Regie cccléfiaflique OU monaflique. Règle de
idiomatc. X IV . 23. b.
Règle de infirmis refignantibus, ou regie des 20 jours. Inf-
tituieur de cette regie. Différence entre la regie des 20
jours, 8c celle de infirmis refignantibus. Abus qui fe prati-
quoiedans les réfignations, 8c pour l’cmpêchcmcnt duquel
ces regies ont été établies. Conditions requifes pour que
1.1 refiguaiion de infirmis refipantibus ait Heu. Terme d’où
fc comptent les 20 jours. X ÏV . 23. b. La regie de infirmis
refign.iniibus u’a lieu que pour les provifions du pape. D é rogations
qu’il fait lui-même à cette regie. Ibid. 24. a.
Regie de menfibus S’ aliernativis. Inftitiucur de cette loi.
Provinces de France où elle eft reçue. XIV. 24. a. Foyer
M ois a po s to liq u e s .
Regie de non impetrando bénéficia viventium. Différence entre
cette regie £c celle de verifimili notiti.i. XIV. 24. a.
Regie denon tollendo alterijusqueefilum. Cette règle eft fuivie
en France. X IV . 24. b.
Regie de pacificis pojfcjforihus , feu de triennali poffcjfore.
Auteur de cette regie. Éile eft fuivie en France. Voyez XIII
166. b. XIV. 24. b. '■
Regie parerna paterr.is, maierrüi rnaternis, {Jurifpr.) Origine
8c ancienneté de cccte io f Elle n’eft point reçue dans
les pays de droit écrit. Différentes niaiiicres don: elle a
été reçue dans les pays de coutumes : coutumes de fimp'e
cô té ; coutumes foucheres ; coutumes du côté 8c ligue. XIV.
24. b.
R églé de publicandis,on fous-entend refignantibus, ( Chanc.
rom.) X IV . 24. b. Cette règle reçue en France, e.xcepté
quelques additionsquiy onteté faites. Manière de prendre pof-
lelfton des cures , prieurés , chapelles , 8cc. Tems accordé
pour faire cette publication. Ibid. 23. a.
R églé de fubrog.mJis coLlitigaruibus, { Chanc. rOm. ) XIV.
2^ ............................... ...
Réglé de verifimili notitiâ obitus, ( Chanc. , rom.) Dérogation
à cette règle. XIV. 23. a.
Réglé de vero valorc exprimendo , ( Chanc. rom. ) X IV .
23. b.
Ré g l é , la , {Sculpt. Antiq.) fameufe ftatue de Polidete.
Pourquoi elle fut appellee U regie, X IV. 23. b.— Foyc:^ XIV.
824. b.
Regie,omW en ufage daiisdlvers arts8cmétiers. XÏV. 23. A.
R églé .2/iriT des parallèles, {Gruv. en taille-douce) defeription
Sc ufage de cct iiiftriiment. XIV. 23. b.
R églé à mouchene , ( Maçoit. ) defeription Sc ufage de cet
infliument. X IV . 23. b.
R églés , ( Anatom. ) purgation ordinaire & naturelle des
femmes. Voyc;^ M enstrues. La quantité 8c le période du
flux menftrucl different félon les climats, de même que l’à-
ge ou les femmes commencent à être réglées. Le genre de
v i e , le tempérament 8c les moeurs influent auffi beaucoup
fur la qualité de cette évacuation périodique. X IV . 26. a.
R églés , maladies des , { Médec. ) une femme qui n’eft
pas encore bien formée , évacue moins de fane menftruel ,
(jue quand fon corps a pris fon accroiffenient. Toute femme
fjui mène une vie fobre 8c laborieufe n’a pas de regies abondantes,
Signes qui précèdent l’éruption menftriicile 8c qui
quelquefois i accompagnent. Confidérations qui montrent que
les corps des femmes font plus difpofés à la pléthore que
ceux des hommes, 8c ([u’ils ont befoin de s’en délivrer par
uneévacution périodique. X IV . aô. b.
Tome 11, *
R E G 573 I, Du fltix Immodéré des regies. .Ses différentes caiifes. Ibid b
Symptumes qui accompagnent cette maladie. Maniéré do
la traiter. Ibid. 27. 4.
_ II. De la fagprejjlon des regies. Ses caiifcs. Ibid. b. Symptômes
de ceitc maladie. Ibid. 28..,. Métliode cnratlvc. Ibid b.
, . (Phyfolog. & Médec.) comment fc fait cette
evacitanon menffmelle. V. 5 ,2 . b. Caufesde cette évaci.a-
t ro n.V I.8 6 o i . X V . 42 4. 5 , I. I , 5. 4. Variation, dans
la manme & les tntervalles de l'ccolilcment des règles entre
drfforentes femmes. VIII. 259. 4. Accord de Icnr rinoiir avec
le mois lunaire. 746. a. L’mtcrvalle des regies eft à-peu-
près le même dans toutes les nations. XIII, 349 /; Les règles
font quelquefois une évacuation crititpie. Etat du pouls
qm la precede & l’accompagne, pariiculiércmeiic chez les
filles qm commencent â être réglées, Sc chez les femmes
qm ccllem de 1 e „e . XIII. 2,4. , b. Etat des yenx q„i
precede & accompagne cette excrénon dans la plupart des
femmes. XVII . 669. b. Du régime pendant le tems des nAes
Los femmes ne doivent pas durant cette évacuation trenmer
les pies ou les mains dans l'eau froide. V. 193. a. XII. 238
a. D e l’iifage des narcotiques dans le rcm.s des regie's. X f’
23.22. Des acctdcns que peuvent foujfrtr les règles. Fleurs blanches
: elles font caufe quelquefois que récoulement du fang
menftrucl n’a pas lieu , alors il eft fuppléé par elles, Dans
les femmes feorbutiques les regies font fuppléées par des
fleurs blanches fort abondantes. 'VI. 861. b. De la ceffation
des regies dans la groffefî'e. VIL 960.22, b. 964. b. Comment
on remedie aux inconvéniens qui en réfultcnt 963 a De
la fiippreffon des regies. Suppl. III. S99. .2. Caufes’ ciui les
arrêtent quelquefois tout d’un coup. VIII. n o . b. Caufe des
maux qii’emramc cette fuppreffion. V . 877. a. Enflure qui
en rcfultc. Comment on la dlftingue de la groffefié. Suppl.
III. 273. rf. Comment le lait peur fe filtrer dans les filles donc
les regies font fuppnmées. X. 3. b. Fièvre qui furvientpar
cette fuppreffion. V I . 731. b. Remedes pour relâcher les
vaiffeaux dans ce cas. I. 178. a. Remedes propres n exciter
les regies, Em m én a g o g u e s 8c U t é r in s. Remedes
propres à difllper les pâles couleurs 8c à procurer ccire évacuation.
Suppl. IV. 220. b. Ouverture de ia veine faphene
efficace pour exciter les regies. XIV. 633. b. Le ccit falu-
tairc dans cette maladie. X V II . 38. a.-~Voyci Su ppr e ss io n .
D u flux excelfif des règles : l’iifage des topiques condamné
dans ce cas. XVI. 419. b. Pourquoi les jeunes perfonnes
ejuj n'auront point été réglées , 8c les femmes qui auront
efluyé des pertes confidérables deviennent caclieéiiques. IL
303. a. Clilorofe qui attaque les femmes qui ont paffé
quarante ans & qui font mal réglées. 5;2jp/>/, IV. 221.22. Q uel
eft le plus fameux traité fur les menftrues des femmes. V .
370. 22—Sur les régies, M enstrues. X. 337. b. 339.
.2, Sc Sa n g m en st ru el , 342. a , b.
m eRnté. g l é s , {Mythol. ) déeffe qui préftdoit à leur écouleVI.
891. b.
R églés , ( BdUs-lett. ) elles font les leçons de l ’expérience
, Sc le rofultat des operations. Suppl. IV . 393. b. Examen
de la queftion fi le génie eft jamais affez fur de lui-même , pour
avoir droit de méprifer les regies ; 8c fi , d'un autre côté
les regies fout affez infaillibles, affez étendues , pour avoir
droit de maîtrifcrle génie. — Poètes de l’aniiquiié qulfem-
bleut n'avoir eu pour modèle que h nature ; 8c pour guide
que leur inftiiuft. Des regies du goût. Il y a fur ce l'ujec
deux juges à confultcr Sc à concilier enfemblo ; l ’un eft le
bon feus qui eft rarblrre des convenances, du defféin de
l’o rdre, 8cc. Ibid. 394. a. Cette partie du goût eft du ref-
fort de la raifon. Elle eft fufccptible de cette évidence qui
frajipe tous les hommes dés qu’ils font éclairés ; 8c les retries
qui s’y r.ipportent ne font que celles du bonheur, invima-
bles comme lui. Le fécond juge en fait de goût, c'eft le
fentimenc ; juge dont les décilions varient, Sc qu’on ne peut
en quelque forte fixxT qu’en recueillant les ftiffr.iges ties
fiecles Sc des nations. O r , dans tous les arts qui iméreffenc
les fens , la déférence univcrfelle décidera en faveur des
Grecs , Sc dans les fiecles modernes , ce font les nations qui
fenibleut avoir pris la place des Grecs , Sc avoir été les con-
fidens de la belle nature : ainfi en l'culpture, en architefture
en peinture , en mufique , le goût fait oii prendre fes règles
; les modèles en font les types : l’expérience en eft la
preuve , Sc le fuffrage univerlél de tous les peuples y a
mis le Iceau. Ibid. i.En éloquence 8c en poéfie , nous n’avons
pas d’autorité auftî formellement décifive ; parce que dans
les goûts qui intéreffent l’cfprit, l'inuigination & le femiment
il y a plus d’inconftance 8c de variété. Cependant il eft
certain que les fecrets eu ont été .approfondis 8c le.s moyens
réduits en régies. Mais ces regies font devenues dans les mains
des commentateurs de lourdes chaînes dont ils ont chargé le
génie.— Une autre efpecc de faifenrs de reg ies , ce font
ces artiftes médiocres, qui commencent par conipofer 6c
qui fc donnent peur modelés , font de leur pratique, bonne
ou mauvaife, la théorie de leur art. Q ui font ceux qu’on
doit regarder comnic les vrais légifiateurs des arts /é/aé
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