836 V E N VEN
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Ibid. b. Nombre cie chevaux de la vénerie. Leur nourriture.
Officiers employés dans la grande vénerie./éii/. 9^2. u. Ordre
pour la chalTe. !biJ. b. Fête de S. Hubert. LargciTes de ce
jour. Ibid. 953- iil'àicric
, royc^ Chasse. Officiers de la vénerie. XI.
427. ./, b.
VÉNERIE royale, (Géogr.) inaifon de plaifance des rois
de Sardaigne. X V I. 953. a.
VÉNÉRIENN E, maladie, ou Vérole, {^Médcc.') époque
oil elle parut en Europe. Becket a tâché de montrer qu’elle
étoit la même chofe que ceux que nos ancêtres appelloient
la lepre , & montre qu’anciennement on connoinoit dans
les mauvais lieux une maladie femblable , dont la définition
donne une parfaite idée de ce qu'on appelle une chaude-
pifTe. XVII . I. a. Qnelques-iins croient que l’nlcere dont
Job fut attaque étoit une maladie vénérienne. L’opinion la
plus commune fur l'on origine , elL que les Efpagnois l’-çnt
apportée de l’Amérique. LiRor prPtend qu’elle doit fa premiere
origine à une forte de ferpent dont on aura été mordu,
on dont on aura mangé la chair. Symptômes des maladies
vénériennes contraélccs par le commerce avec une per-
fonne qui en étoit infeélée. Ibid. b. Diverfes maniérés dont
elles fe communiquent. Premiere mnnifellation de ce mal
dans les parties ou il cR reçu. Méthode du doreur Pitcarn
pour le traitement. D e la falivation. Méthode de Sydenham.
Deferiprion de celle des fauvages d’Amérique. Ibid. 2. a. Voyer^
V érole.
VÉNÉRli^N , adj. (^Médcc.') appétit vénérien. VII. 377. b
— 381. b. Remedes qui l’excitent. Suppl. I. 483. a , b. Aéfe
vénérien, CoiT. Songe vénérien. X V . 337. b. Maladies
vénériennes. X VII . 83. a , b. Recherches fur leur caufe.
Suppl. I. 343. a , b. Virus vénérien : reniede. Suppl. IV.
989. a , h. Bubon vénérien. II. 434. b. Ulcere vénérien.
X V I I . 373. b. Des caries caufées par un virus vénérien.
1 1 . 685. U. Chancres vénériens. III. 122. b. Vers vénériens.
X V l i . 43. a. Maladie vénérienne des chiens d’Amérique. X V I.
936.é.
V E N E R IS LAC U S, (^Géogr. anc.') lac près de Hiérapolis
de Syrie. Defcription de ce lac. Fetes ciu’on y célébroit.
X V II . 2 .i.
Ve s e r is p o r tu s , ( Géogr.anc.) port de la Gaule nar-
bonnoife. Port d’ Italie dansla Ligurie. Port d’Egypte furie golfe
Ara b iq u e.X V ll. 2. t . ' '
P'e .v ERIS Æneadis remplum , (^Géogr.anc.') deux temples
de ce nom élevés par les T royens en Epire. XVII . ■ ^.a.
Ve .v e r is arjinoves farium, (Géogr.anc.) temple d’Egypte.
X V II . 3.^.
V E N E T I, (^Géogr.anc.) 1°. Venetes de la Gaule celtique
ou lyonnoife. Leur habileté dans la marine. Obllaclcs
qui einpèclioienc d’alficger leurs bourgades. 2'^. Venetes d'Italie.
Leur origine. X VU . 3. a. Colonies grecques fur leurs
côtes. Sur quoi paroit fondée la tradition de la colonie
troyenne d’A nteno r, que l’on fuppofe fondateur de Patavium.
Ibid. b.
V E N ETICÆ infulce , ( Géogr. anc. ) illes fur la cote occidentale
de la G aule lyortnoife. X V II . 3. b.
VENEUR. Différente maniéré de parler au ch ien, felon
l’efpece d’animal que le veneur lance. XVII . 3. i.
V eneur , ( U grand) de France, 36 grands veneurs depuis
1 1 3 1 jufqu'.à ce jour. X VII. 3. b.
Veneur. De l’office du grand veneur en France. X V I. 947,
b. Ses armes , planche 18 du blafon , vol. II. Maitre veneur du
roi. IX. 893. Eloge des veneurs anglois ,par Lignivdle. XVI.
927. b. Voye^ VÉNERIE.
V EN E ZU E LA , {Géogr.) province de l'Amérique méridionale.
Scs bornes. Ce pays découvert en 1499 , par Ojeda 8c
Vefpucc. Origine du noin qu'ils lui donnèrent. Progrès que
Jean d’Amquez fit enfuite dans cette province. Fin tragique
d’Affinger envoyé dans ce pays par des marchands d’Augs-
boiirg. XVU. 4, a.
V E N G E AN C E , { Droii nar.) \3vsn2,enücc cfi une forte
de jufiiee. Cependant l’homme qui a profité des lumières de
tous les fiecles, condamne tout ce qui n’efi que pure vengeance
, & abhorre celles qui partent d’une ame balTe & lâche.
XVII . 4 . -ï.
Vengeance. Différence entre la vengeance &; la défenfede
foi-même. X V . 233. b. Réflexionscontrela vengeance particulière.
X I .412. b. Caraâeredu vindicatif. XVII . ^oy.a. Volupté
de la vengeance. 460. a.
V engeance, ( Jf//7 o/re) voyeiL oi du talion. IX .676.
i. Droit établi chez les Juifs de pourfuivre la vengeance
d’nn parent mis à mort. XIII. 874. a. XVII. 4. <ï , b. Voye^
H omicide & Refuge, villes de. Cérémonie par laquelle
les Scythes fe procuroient le moyen de fe venger d’une injure.
II. 294. a. La vengeance étoit perinife , félon la loi
des Barbares , à cliaque famille , jufqii’à ce qu’elle eût été
fatisfaite. III. jy i.a . Du droit de venger une injure ou la mort
d’un parent parmi les Germains. VI, 372. a , b. X V I . 603. a ,b ,
(toC. a , b.
V engeance , {Myihol. ) divinités de la vengeance. XL 90.
<2,i. XI11 .2 6 3.é . S ymbole de ces divinités. XV. 73 i. é.
VENGEURtf«_/j/ig, {Criciq. fucr.) Ului étoit permis, fclon
laloi d eMüïie.de tuerie meurtrier involontairehors des bornes
de l’afyle. X VII. 4. j . Pourquoi Moiife avoir jugé à propos d’accorder
en ce cas l’impunité au vengeur du fang. Ibid. b. Voyei^
V engeance.
VÉNIEL,/Jec/jc’ , (jfhéolog.) différence entre ce péché &
le pèche mortel. Examen de l'opinion des réformés qui rejettent
cette diflindlion. La confefTion des péchés véniels n’eft pas iié-
ceffaire , mais elle elf utile. X V I I . 4. b. Voye:^ PÉCHÉ.
VENIMEUX , Vénéneux , ( Synon. ) différence entre ces
mots. X V li. 4. b.
VENISE , ( Géogr. ) ville d’Italie, capitale de la république
de ce nom. Son origine. Sa defcription. Vers de Sannazar
à la gloire de Venife. XVII . 3. a. Ses canaux & fos ponts.
Ibid. h. Eglifc Ù. place de S. Marc. Tréfor de l’églife & tré*
for de la république. Ibid. 6. a. Arfeiial de Vcniie. Avantages
de la fituation de cette ville. Ouvrages à confulter fur
Venife. Obfervations fur les papes qui y font nés : Eugene
IV , Paul II & Alexandre V . 1 1 . Savans que cette même ville
a produits ; François Barbaras ; Hermolaüs Barbaras ; Daniel
B.T-barus ; Pierre Bembo ; Ibid. 7. a. Jean-Baptifte Egna-
tio ; P.ml & Aide Manuce , Marco Fra-Paolo Sarpi , que
nous nommons en françois le pere Paul , Ibid. b. Paul Partita;
Jean-Baptifte Raimifio; Bernard Trivifnno. Ibid. 9. a.-
Hiftoire de Thomas Pifan & de fa fille ChrifKne. Obfervations
fur les ouvrages de cette femme célébré. Ibid. b.
Venife. Situation de cette ville. IX. 173. a. Bibliothèque
de S. Marc. II. 234. b. Endroit de la place de S. Marc
nommé Broglio. 434. a. Ca'.iiers» confervés à V en ife , que
l ’on prétend être l’original de l’évangile de S. Marc. X. 8 1.
fl. Bàfnnens publics appelles fcnolesi. X IV . 843. b. Eglifes de
Venife dont l'architeélure eft ellimée. 1 .5 39-fl. Des gondoliers
de V enife. 8o6. a.
V enise , république de, {H iß. mod. ) précis de fon hiftoire.
X V I I . 12. a, b. Obfervations fur les auteurs qui ont écrit
cette hiftolre J Bernard Jiiftiiiiani ; Marc-Antoine CocciusSa*
beliieus; Dominico Suazzarini; le cardinal Bembo ; Ibid.i'^.
fl. Paruta ; André Morofini ; Jean-Baptifte Nani ; le fénateur
Diedo. Ibid. b. Auteurs qui ont écrit cette hiiloire en françois,
Ibid. 14. fl.
Venife, république de. Son origine. XI. 53. a. Viftoire de
Lépance Sc conquête de Tunis par les Vénitiens. IX. 392-
b. Interdit fur cette ville en 1309 & en 1606. VIII. 817.
a. ComiHerce & navigation des Vénitiens. VII. 376. é. X L
33. fl. Avantages que la republique retire de fa banque. IL
33. b. Fêtes appellees maries qu’on célébroit à Venife. X.
120. b. Deux partis oppofés parmi le peuple , celui des
Nicolotti & celui des Caflellani. XI. 136. a. Réponfe d’un
ambafTadeur de Venife au pape , qui lui demnndoit les titres
de fa république fur le golfe Adriatique. 836- h. Milice d’élite
des Vénitiens. II. 626. a. Envoyé de la république à la
cour de France. V. 739. a. Armes de Venife , planche 16
du blafon , vol II des planches. Couronne de Venife.i'fl/J/;/. IL
642. b. Bonnet du doge. Ibid.
V enise , gouvernement de, {Droit polirlq.) hiftoire & defcription
de ce gouvernement. Nobleife vénitienne divifée en
différentes clalfes. Second état entre la noblefl'e 8c le peup
le , les citadins. XVII . 14. a. Précautions que le fénat a
prifes pour que les princes étrangers 8c en particulier la
cour de Rome n’eulTent aucune connoilTance de fes délibérations
& de fes maximes. L’éledlion des eufés abandonnée
à la difpofition des paroilTieiis. Inqnifition de Venife. Ibid.
i. Connoiffance que prend la république des affaires des relb
gieux Sc religieufes./iii/. 1 3. a.G ouvernement des provinces.
Ibid. b.
Venife, gouvernement de. Difficulté de s’inftruire de ce qui
regarde l’adminiifration intérieure. IV . to88. a. D u doge.
V . I I . f l, i>. Cérémonie par laquelle il époufe la mer. X.
338. b. Vice-doge. XVII . 233. b. Confeil des dix. IV. 1088.
fl. Sénat dans lequel refide toute l’autorité de la république.
XIII. 283. b. 284. fl. Différens tribunaux appelles quaran-
ties. 639. fl. Tnquifition-d’état. VIII. 773. b. Etablifl'cment
& pouvoir de l’inquifition. 774. a. Procurateurs de S. Marc.
XIII. 410. fl, b. Proveditenrs. 509. a. Nobles. «XVII. 13.
b. Nobleife de terre-ferme. XI. 179. b. Magiftrats appelles
du nom de fages. X IV . 493. b. Moyen employé pour attacher
le coeur du peuple à l’adminifiration Sc à la nobleffe.
X V II . 879. fl. Sagefle avec laquelle les nobles ménagent
l’obéHfance du peuple. VII. 848. b. Défaut dans l’objet delà
légillation. IX. 362.0. Il y a moins de liberté à Venife que dans
phifienrs monarchies. IV . 1088, a.
V enise, état de, {Géogr.) X V I I .i3 .i .
V enise, golfe de, ( Géogr. ) voyej Adriatique, mer.
Pourquoi la marée y eft plus fenfible que dans le refte de la Méditerranée.
V I . 906. fl.
V enise, terre de, {H iß. nat.) ferre d'un beau rouge, qui
s’emploie dans la peinture. XVII , j 3. i.
V enise,
VEN V E N V enise, talc deverreie,{ Verrerie) X V . 863.4.
V ÉNIT IENS, nobles, ( Hijl. mod. ) on diftingue les nobles
de terre ferme , & les nobles de Venife. Ceux-ci font divifés
en trois claffes. XVII . 13,4. Voye^ V enise , gouvernement de.
VÉNITIENNE, école, {Hifl.de la Peinture)''!. b ,Scc.
VENIUS ou Van-Veen, ( Otto ) peintre. V . 3 23. é.
V E N L O , ( Gc'egr.) ville des Pays-Bas dans l.i province
de Gueklre. Origine de fon nom. Sa population. Son commerce.
Sa monnoie. Sa police. Evénemens remarquables arrivés
à Venlo. Obfervations fur deux favans célébrés, nés
à V en lo , & fur leurs ouvrages. Hubert Goltzius. XVII . 16.
fl. Erycius Pnteaniis. Ibid. b.
Venlo. Premiere expérience de la bombe, funefte à cette ville.
11.316. fl.
V E N T , ( Phyflq. ) les vents font divifés en permanens on
conftans, réglés ou périodiques, variables, généraux, XVII .
ly.a . 8c parriculiers. L’iiiftoire des vents eft affez bien connue.
Differtation de M. MiifTchenbroeck fur ce fujet. Delà
caufe des vents. On fait en général qu’ils viennent d’un défaut
d’équilibre dans l'air : mais on ne fait encore que frès-
imparfaitement quelle eft la caufe qui produit ce défaut d’équilibre.
Principales opinions des philofophes fur cette matière.
Quelques phitoloplies , comme Defeartes , Rohault,
rapportent le vent général au mouvement de rotation de la
terre , 8c tirent tons les vents particuliers de ce vent général.
Obfervations contre cette hypoihefe. Ib'id. h. M. Halle
y a cherché la caufe des vents , tant dans l’aftion des
rayons du foleil fur l’air 8c fur l’eau pendant le palTage
continuel de cet aftre fur l’O cé an, que dans la nature du
fol 6c la fituation des continens voifins. Développement de
cette hypoihefe. Ib'id. 18. a , b. Cç philofophe ne paroit pas
avoir penfé à mie autre caufe très-conficlérable des vents ,
c ’eft la gravitation de la terre 8c de fon atmofphere vers le
foleil 8c vers la lune , qui doit produire néceftairement dans
l’atmofpliere un flux Sc reflux continuel. Cette hypoihefe a
cet avantage fur celle de M. Halley , qu’elle donne le moyen
de calculer allez exaélement la virelTe & la direiftion du v ent,
au lieu que celle de M. Halley ne peut donner que des
raifons fort générales 8c allez vagues , des différens phénomènes
des vents. Comment le m ouvement diurne de la terre
peut imprimer aux différentes parties de l’atmofphere un
mouvement d’où doivent s’enfuivre des vents variables prel-
qne continuels. Les exhalaifons confidérées comme caufe
particulière des vents. Ib'id. 19. a. On ne fauroit douter
qu’il ne forte des vents de la terre 8c des e au x, des antres
, des gouffres, des abymes. Comment fe forment ces
fortes de vents. On cite encore l’abaiffement des nuages,
leurs jonélions , 8c les greffes pluies , comme autant de
caufes qui font naître ou qui augmentent le vent. Ibid. b.
La hauteur, la largeur, 8c la fituation des montagnes , rétrécit
quelquefois le paffage des vapeurs Sc de l’air agités ,
8c caufe par-là de l’accélération dans leur mouvement.
Comme quelques auteurs modernes ont cru pouvoir pouffer
la théorie des vents au point d’y appliquer les regies des
mathématiques , l’auteur donne ici une idée de leur travail
avec quelques remarques. Caufe des vents dans les différentes
condenfatlons 8c raréfaétions de l’air. Ib'id. 20. a.
Différence entre les vents inférieurs 8c ceux qui foufflent
dans une région fupérienre. Les vents qui foufflent dans
différens pays de l’Europe ne s’accordent guère communément,
excepté lorfqu’ils font violens Sc de durée, 8c plus
encore lorfqu’ils font au nord ou à l’eft. Loix de la force
6- de la vitejfe du vent. La raifon de la pefanteur fpécifiqiie
de l’air à celle d’im autre fluide, étant donnée , avec l’ef-
pace que ce fluide pouffé par la prellion de l’air , décrit
dans un rems donné, on pourra trouver l’efpace que l’air
pouffé par la même fo rce , décrira dans le même tems, en
employant la regie dont on trouve ici l’explication. Ibid. b.
Regie pour déterminer la preflion, capable de produire une
vîteffe donnée dans le inouvement du vent. Expériences
faites pour trouver l’efpace parcouru dans une fécondé, par
les vents les pins impétueux. M. Derham a trouvé cet ef-
pace , de 66 pieds d’Angleterre. Machines appellées anémomètres
, doftinées à déterminer la force du vent. Qua-
Etés 6* efléts du vent. i". Un vent qui vient du côté de la
m e r , eft toujours humide, Sc de plus froid en été Sc
chaud en hiver, à moins que la mer ne foit gelée. Ibid. 21.
fl. 2°. Les vents qui viennent des continens font toujours
fe e s , chauds en é té , 8c froids en hiver. Les vents du nord
8c du fu d , qui font communément eftimés les caufes des
lems froids 8c des tems chauds, doivent être plutôt regardés
, felon M. Deiham , comme les effets du froid 8c du
chaud de l’atmofphere. Utilités des vents. Ib'td. b.
Vent. Obfervations fur les vents. VII. 623. a , h. D e la
caufe des vents. 1 . 230. a. VI. 284. b. Différentes caufes
du vent d’eft. Suppl, IV . 321. a. Explication du vent impétueux
qui fe fait feniir ordinairement aai commencement
des orages. XL 342. b. Quel eft le teins que le vent dn
nord peut employer à venir du nord à ^aris. VU . 316. Tome II.
837
a. Moyen qn’emNoyoh à Aiheries Andronic de Cyrrhe pour
wnnoitre le vent qui fonffloit. 674. b. Des effets du vent.
Halley croit que les vents 6c les exlinlaifons fuffiffr.t pour
produire les variations du baromètre. U, 81. b. Effet des
vents par rapport à l’êvaponiion. VI. 129. b. 130. a. VIL
88. b. Leur inllucnce fur la température de l’air. VU. 313.
b. Sec. Les grands vents font un obftacle à la formation de
la glace. 340. b. Quel eft le vent le plus favorabîj a la
congélation de l’eau. 68t. a. L è v en t principal caule d e là
pluie. XII. 793. f l , b. Suppl. IV. 416. b. Divers effets des
vents fur la rofee. X IV . 368. a. Altèr.itions produites fur
la terre par les vents. XVI. 164. b. 171. a , b. Les vents
confidérés comme caufe de féchereffe. Suppl. IV, 410. a.
Vents du nord, du fiid , d’eft , d’oueft, 8cc. Vo y ez loins
articles particuliers. Vent brûlant qui regne en Syrie. Suppl.
IV. 719. a , Pronoftics de la pluie 8c dn vent. XVI. 1 18.
b. Machine qui fert àeftimerla force du vent; machine qui fert
à en prédire les changemens, 1 ,4 3 3 .4 , b.
V ent, (M y c c .) 'b o n s cft'cts desventsdu nord 8c d e l ’eft
dans les tems d’épidémie. V. 788. b. Efpece de vents conû-
dérés comme nial-fains. XI. 219. a. Attention à faire par
rapport aux vents dans radininiftration des remedes. X V .
4 9 - fl.
Vent, {Phyflq.) arqnclnffe à v en t , canne à vent. T. 703.
fl, h. II. 398. b. Contiuit à vent. 1 1 1 , S44. a. Vent d e l’éoli-
Py'e. V . 740. b. Phénomène appelle pié de vent. X il. 361.
V ents étéflens, ( H'ifl. anc. ) VI. 30. b.
V ent , {Navigation) les vents divifés en cardinaux Sc
collateraux. Le-. Grecs ne connoiftoient que quatre vents
collatéiaux , les Romains en connurent v ing t, nous en dif-
tinguons vingt-huit. Compofition des noms de ces vents.
Noms françois , latins 8c grecs des rhumbs de vent j avec leur
diftance dn nord. XVII. 22. a. Noms anciens des vingt-quatre
v en ts , fuivant .Vitrnve. Ibid. b. Quant à l’iifage des vents dans
la navigation, Navig ation, Rhumb, 8cc.
V ent , ( Afflriflÿ ) précis des obfervations des navigateurs
furjes vents. Vent d’eft perpctiid entre lestropiqnes. Vents de
paiiage hors les tropiques. Vents niouffons. Vents des côtes
orientale 8c occidentale de l’Amérique méridionale Sc de l'A frique.
Vents de mer Sc vents de terre. XVII. 22. b. O tivmges
à confuherfiir la caufe des vents. Vent alifé, arriéré, d’amont,
d’a v a l, de bouline, de quartier , en pouppe largue la fou te,
largue, routier, variable , à p ic, au foleil. Ib'id. 23.4.
Vent. Air de vent. Suppl. 1 . 236. a , b. Faire vent arriéré.
I. 709. fl. Préfenter le côté au vent. IV. 304; a. Debout
au vent. 6^7. b. Dérober le vent. 869. Deffiis dn vent. 893.
Gagner le v e n t , gagnerau vent. V IL 423. a. Vent largue.
IX. 294. fl. Vent mouffon. X. 824. a , b. Quart de venr.
XIII. 672. fl. Virer vent arriéré. Virer vent devant. XVU.
323. è.
Vents alifcs. I. 27O. b .iy i.a , i. VIT. 623. a.X. 824.4, b.
_ V ent, ( C’riri<;./flcr. )fignifications 8c ufages de ce mot dans
l'écriturefainte. XVII.23.fl.
V ent, {Phyflol.)XW U . 23. b.
V ents , ( MéJec. ) Voyc^ Flatuosité, Rots , Ructa-
tion. Bruit excité dans le ventre par les vents. 1 1 . 331. b.
Eau de fenouil contre les vents. VI. 492. a. Remedes car-
minatifs contre les vents. II. 689. a , b. Remcde contre
ceux des femmes en couche. VI. 480. b. Maniéré de guérir
les ventuofités des hyftériques 8c des hypocondriaques. X IV .
427. b. Sachets pour diffiper les ventuofités. 473. b. Spécifique
concreles vents. XV. 443. a.
V ent, {Maréch.) avoir'du vent, porter au vent. XVII.
23. b. Voye[ Porter.
Vent. Avoir le nez au vent : avoir du vent. IV . 269. fl.
X Etrv du boulet, {A n'ill.) XVII . 23.é.
V ent , ( Jard'm. ) le vent eft l’él ément le plus nuifible aux
jardins. Fâcheux effets que canfent aux vignes 8c aux campagnes,
le vent d’amont, celui d’aval, degalerne , de Life, les
vents roux 8c ceux du nord. XVII. 23. b.
V ent, {^Fauconn.) explications de diverfes phrafes relatives
à la fauconnerie, où ce mot eft employé. XV II . 23. b.
V ents , ( Mytholog. ) vents nulfibles 8c vents favorables
fuivant Héfiode. Séjour des vents aux ifles Eoliennes. L’antiquité
païenne fiicrifioit aux vents pour fe les rendre favorables.
M ontagnes, temples, autels confacrésauxvents. X V I I ,
13. t.
Vents, voye z l'article Eole. Origine des vents nulfibles.
X V I . 781. i>. Alltel des vents près de Tirana. 35 3.4.
V E N T A , ( Géogr.anc. ) taverne, hôtellerie dans la campa«
g n e .X V lI .2 4 . fl.
Venta-Belgamm, ville de la Grande-Bretagne, aujourd’hui
Winchefter, Pourquoi on trouvoit anciennement des Belges,
des Airébates, 8cc. dans la Grande-Bretagne. XVII . 14. a.
Venia-lcenorum, ville de la G randc-Bretagne.Ruines de cette
ville dans le Norfokksh’me , prés d’nn lieu, nommé Cafier. X VU .
24. fl.
, î'enta-SiluTum , ville de la Grande-Bretagne : quoiqu’on
C C C C C c c c o q
DI