'M M
Ï , ' .
i"'ii
t r f !
h ii'tt
!i V
786 T O N
réguliers, dont quatre «uthcnrlques , & quatre plagaux. C cft
S. Ainbroil'}; qui vers l’an 370 choifit ces tous autlientiques
pour en dampoier le cliant de l’églife de Milan. Addition
laite par S. Grégoire des quatre nouveaux tons appelles
pUgjux. La comioi/Tancc du ton aiuheiulque ou plagal efi
effenriclle pour celui qui donne le ton du clioeur. X V l. 404.
l,, TiMnlpofuions à la quinte dans un même ton. Comment
les orgauirtes ont approprié , ju tan t qn'il a été polfible ,
rmionation de ces tons à l’étendue d’iine feule voix. Les
tons de l'églife ne font point alTcrvis aux loix des tons de
la mnfique. IbiJ. 405. a.
T o n . (Luihcrie) inftrumcnt dont les inuAciens fe fervent
pour trouver & donner le ton. Sa defeription. X V I . 405. a.
T on , ( ALiri/ie ) partie du mat. X V I . 405. j .
T on , ( Peinture) X VI. 405. b.
T on , ( Riibun. ) grolTe noix percée de plufieurs trous.
X V I . 405. b.
T o n , ta , adj. ( Grarnm.) obfervations fur cet adjeéllf.
I. 136. b. 7 } i . b.
TO N D E U R ( Artmècb.) ftatuts de la communauté des
tondeurs établis ii Paris. Ses principaux rcglemens. X V I.
405. b.
Tondeur, forêt des tondeurs. VII. 134. u. Table à tondre.
X V . 802. b. Opération des tondeurs appellee catir. II. 778.
b. Derniere tonte qu'on donne aux draps. Suppl. I. 1S2. b.
Voye:(_ vol. III. des planch. Draperie , pl. 8.
TO N D I-T ER E G AM , ( Botan. ) grand arbre de Malabar.
Sa deferiptign. X V I. 406. a.
TO N D R E , (^Chapelier) tlainber ou poncer le diapeau.
X V I. 406. b.
T ondre , ( /ari/;/z. ) tonture des parterres, des ifs , ar-
brilTeaux de rieurs , paliflades baffes , & grandes palilTadcs de
ch.irmille Sc d’érable. X V I . 406. b.
T ondre , ( LTma^e ) tondre les étoffes. X V I . 406. b.
T O N D R U C , ou Tendruc, {Hijî. nat. ) animal quadrupède
de l’iric de Madagafcar , qui eff une efpece de porc-
épic. Defeription & hiltoire naturelle de cet animal. Q ualité
de fa chair, X V l. 406. b.
TO N E LLE , ( Jardin. ) Voye^ BerCeau.
T onelle , ( ) chaffe des perdrix à la tonelle. vol.
III. des planch. Pèche , pl. 27.
T O N G , ( Luth. ) inffrument de niufiqtie des Siamois. Sa
defeription. Suppl. IV . 948. b.
TO N G -CH U , (Bot. exot. ) arbre de la Chine dont on
tire une liqueur qui approche du vernis. Reffemblance de
cet arbre au noyer. Préparation 8: ufage du vernis qu’on
en tire. X VI. 406. b.
T O N G -H O A - F AN G , ( Omithol. ) petit oifeau de la
Chine. Les particularités qu’on en rapporte le font regarder
comme im être fabuleux. XVI. 407. a.
TONGRES , ( Géogr. ) ville des Pays-Bas dans l’évèché
de Liege. Obfervations hifforiques fur cette ville. XVI. 407. a.
T O N G -S T A O , (Boiun. ) arbrlffeau de la Chine. Efpece
de rob qu’on fait avec la inoélle de cette plante. Defeription
de l’arbriffeau. X V I . 407. a. Voye^i^ Suppl. 111. 50. a , b.
TONGUSES. T unGüses. .
T O N IQ U E , mouvement ( Economie anim. ) on croit
cominunémeni que c’eff l’aélion tonique des mufcles , qui
nous retient dans une fituation dro ite ,ce qui nous empêche
de tomber en-devant, en arriéré 8c fur les côtés. XVI.
407. b.
T onique, ( Thérapeutiq. ) remede fortifiant. Deux efpeces
de toniques ; les aftringens 8c ceux qui font fur les folides
une impreffion paffagere, qui les ftimulenr, les excitent , 5c
augmentent leur mouvement 8c leur force. Effets de ces remèdes
fur toute la machine. XVI. 407. b. Différens noms
qu’ils prennent lorfqu’on les confidere par quelque effet
fecondaire 8c plus particulier. Remedes toniques échauffans ,
voyr^ Échauffant. Toniques tirés des fubftances végétales
ameres. X V I . 408. a. Spécifiques antifpafmodiques 8c
hyftériques, voye^ SPASMF Sc HYSTÉRIQUE.
T onique, {Mu/îq.) note tonique. L’accord parfait n’appartient
qu’à elle. Par la méthode des tranfpofitions, la tonique
porte toujours le nom d'ut au mode majeur , 8c de la
au mode mineur. Tonique, felon la dourine d’Ariffoxene.
X V I . 408. b.
Tonique, corde. IV . 1030. a. VI. 8 l l . b.
TO N L IEU , ( Jurifpr. ) ou Tonnelieu , Thonntu , Thon-
nleu , ou Toulieu. Droits de ce nom qui fe paient au roi
ou au feigneur. Origine du mot. Coutumes où il eff parlé
du droit (le tonlieu. Obfervations hifforiques fur le tonlieu
de Flandres. X V I . 408. a. Tonlieu de mer qui fe percevoir
dans la Zélande. Ouvrage à confulter. X V L 408. b.
Tonlieu : ce droit ne doit pas être confondu avec le de-
n'er-Céfar. IV . 826. b.
TO N N AG E ou Toilage, ( ) X VI. 408. b.
T O N N E , ( i'onchyliol. ) carafteres de ce genre de coquille.
X V l. 408. Cinq claffes détonnes. !■ ". Les tonnes rondes &
ombiliqués. 2“ , Les tonnes oblongues 8c rayées. 3®. Les tonnes
T O N
oblongues, garnies de cotes 8c de boutons. 4®. Les tonne«
donc la queue eft alongée 8c faite en croiffant. 5°. Les tonnes
en gondole. Efpeces contenues dans chacune de ces
claries. Obfervations furcclles de ces efpeces qui font les plus
remarquables : la conque perfique , la coutonne d’Ethiopie,
la harpe , Ibid. 409. a. la figue 8c le radis , la conque
fphérique. Defeription de l’animal qui habite la tonne. Tonnes
fiuviatiles. Ibid. b.
T onne, (^Mefure de continence.) X V I . 409. b.
T onne d‘or, (^Comm.) XVI. 409. è.
Tonne ù’or d'Hollande. IX. 621. a.
T onne , ( ArtilUr.) X V I . 409. b.
T onne , ( Marin. ) XVI. 409. b.
TO NN EAU-, i^Comm.) tonneau, mefure.de liqueurs.
Tonneau, mcfurc de grains. X V l. 410. a.
Tonneaux , appelles bottes. II. 346. a , b. Inventeurs des
tonneaux. Suppl. I. 214. a.
T onneau , ) libations que les Romains faifoient
en perçant un tonneau de vin. VIII. 701. a.
T onneau, ( Ccimm. de mer) le tonneau de mer eft efti-
mé pefer 2000 livres. Oji donne 42 piés cubes pour chaque
tonneau. Comment fe fait l’évaluation du tonneau pour
le prix (lu fret. X V I . 410. a. Voyc^ Rang. ( Marine.)
T onneau de permijjlon, ( Comm.) on nomme ainfi enEf-
pngne la quantité de tonneaux de marchandifesque le confeil
des Indes 8c le confulat de Séville jugent à propos d’envoyer
en Amérique par les gaffions 8c par la flotte. Comment
fe regie le nombre de ces tonneaux. XVI. 410. b.
Tonneau de pierre de Saint-Leu 6c d’autre pierre tendre.
XVI. 410. b.
T onneau , ( Argenteur ) X V I . 410. b.
T onneau de pierre, i^Archit.) X V I . 41O. b.
T onneau des Danaides, ( Myth. ) ftroplie d’une ode de
M. de la Mothe fur ce tonneau. Explication de la fable du
Tonneau des Damùdes. XVI. 410. b.— Voye^ ce dernier mot.
T O N N E L E T , {^Modes ) partie inférieure d’un habit à la
Romaine. Sorte de bas de foie ou de pourpoint appelle de
ce nom dans les carroufels. X V I . 4 1 1. a.
TONN ELIER , ouvrages des tonneliers. Communauté 8c
ffatutsdes tonneliers d eParis.XVI.4ii.tt.Maiieres 8c outils que
les tonneliers emploient pour leurs ouvrages. Maniéré dontles
tonnelierss’y p rennentpour monterune futailleneuye.lbid.b.
T onnelier, {^Marine) X V I . 412. <7.
T onnelier , ( Verrerie ) X V L 412. a. TONNELLE, voyaç Berceau 8c T onelle. TONNERRE, ( Phyjiq. ) explication du tonnerre felon les
anciens phyficiens. XVl. 412. a. Celle qu’en a donnée
Newton. Les effets du toiînerre reffemblent fi fort à ceux
de la poudre à canon , que le dofteur Wallis croit que nous
ne devons pas faire diniciilté de les attribuer à la même
caufe. Maniéré de juger de la proximité ou de l’éloignement
du tonnerre. Comment peuvent s’allumer, felon Wallis, les
matières fulphureufes 8c nitreufes répandues dans l’air. Caufe
de l’éclat que font ces matières enflammées. IVuL b. D’où
vient le ronlement du tonnerre. Pourquoi lorfqu’il fait du
tonnerre , certains fluides ceffent de fermenter, tandis que
d’autres entrent alors en fermentation. Mi yens dont on fe
fert pour rompre 8c détourner le tonnerre. Il faut fe garder
de fonner les cloches , lorfque le nuage eft précifémentau-
deffus de la tête, car alors le nuage en lé fendant peut lailTer
tomber la foudre. Exemples. Ibid, 413. a.
T o n n e r r e , {Phy/iq.) C e ft une vérité généralement
reconnue aujourd’hui que la matière qui s’enflamme dans les
nuages, qui produit les éclairs 8c la foudre , n’eft autre
choie que le feu cleélrique. Ouvrages à confulter fur ce
fujet. Suppl. IV . 948. é. Principes fur lefquels eft fondée la
théorie des conduiSeurs ou paratonnerres. Appareil par !e-
(}^Liel on en a rendu l’effet fenfible à volonté. Ibid. 949. a.
Obfervations qui prouvent que le tonnerre quitte fa direflion
pour fe porter fur les matières métalliques , 8c qui par l:i-
nième démontrant à tout homme raifonnable , la lùreté 8c
ruiilité des condufteurs métalliques ou paratonnêrres. Maniéré
de les conftruire. Ibid. b. Conduéleurs établis en Bour*
gogne. Méthode la plus fimple , la plus commode 8c la plus
rijre , d’armer de condufteurs les clochers 8c autres édifices
femblables. 930. a. Maniéré dont M. deSauffùre a armé
les magafms à poudre de la ville de Geneve. Ibid. b. M oyen
de conftruire des condufleurs ifolés , c’eft-à-dire qui ne touchent
que des matières non éleârifables par communication.
Danger de ces.inftrumens. Précautions à prendre pour s’en
préferver. Defeription d’un conduéleur ifolé , qui eft en meme
tems paratonnerre. Ibid. 93J. Comment cet inllru-
ment annonce la décharge de la nuée avant que d’être averti
par l’éclair. Signes auxquels il fait cennoître que l’éleélrl-
cité des nuées eft pofitive ou négative. Ibid. b. Autre appareil
par le moyen duquel, quand l’éleélricité eft très-forte,
on parvient à rendre fenfibies les feux qu’elle produit aux
pointes des corps éleélrifés, /éiif. 932. a.
Tonnerre. Différence entre la foudre & le tonnerre. VIL
T O P
213. è. Phénomènes 6- effets du tonnerre. Quelquefois c’eft le
tonnerre qui allume l’éclair : dans d’autres cas c’eft l’éclair
(jui procure cette explofion dans laquelle confifte le tonnerre.
XL 343. b. Quelquefois on entend le tonnerre
l.ins voir l’éclair. V . 268. Manière de juger par l’éclair
il quelle diftancc eft le tonnerre. Ibid. Exemples de
neige accompagnée de tonnerre. XI. 87. b. Ls tonnerre :i
communiqué quelquefois une vertu magnétique au fer. I.
222. b. Ses effets fur l’aiguille aimantée. 200. a. Scs effets
fur certaines liqueurs. I. 233. a. Suppl. III. 103. a , b.
Explications des phénomènes. Comment fe forme le tonnerre.
V . 268. a. Caufe qui le produit en tems de g rêle , VII.
931- a. 8c pendant les orages. XL 343. a. Caufe des éclairs
8c des tonnerres en temsfercin. VU . 214. a. Caufe du bruit
du tonnerre. S^ p l. III. 104. a , b. Comment il peut arriver
que le tonner * f e falfe entendre fans avoir été précédé d’aucun
éclair. XI. 343. a. Pourquoi le bruit du tonnerre varie
8c reçoit différentes modifications. 347. a. Pourquoi il tonne
fouvent en certains p a y s , rarement en d’autres, cc qu’il en
cri: où il ne tonne jamais. Suppl. III. 103. b.
T onnerre âmjfcie/, (Théâtre des Rom.) XVI. 413,17.
T o n n e r r e , (Armur.) XVI. 413.4,
T onnerre , ( Géogr. ) X V I . 413. a.
TO N O -S AM A , ( Hiß. mod. ) nom qu’on donne au Japon
aux gouverneurs des villes impériales. Obfervations fur ces
gouverneurs ; leur cour , leur pouvoir , leur punition , &c.
X V I .4 1 3 .E
T O N Q ü IN , (Ge'ogr. ) T u n q u in .
TO N SU RE , (H iß .eccl.&Jurifpr.) la tonfure totale a toujours
été regardée comme une marque d’infamie. Tonfure
des eccléfiafttques. Amefure que l’eccléfiaftique avance dans
les ordres, on fait fa tonfure plus grande. XVI. 413, b.
Formalité de la tonfure que l’on donne à ceux qui entrent
dans l’état eccléfiaftique. ,Raifon de l’ufage de la
tonfure. Ancienneté de,'cet u f a g e ; 414. a. Origine de
la couronne cléricale. Dans les cinq premiers fiecles , on ne
conféroit la tonfure qu’avec les premiers ordres. A qui
appartient le droit de la conférer. Conditions rcqiiifes pour
la recevoir. Bénéfices à fimple tonfure. Ibid. b.
Tonfure impofée aux ecclèfiariiques. Abus fur ce fujet
réprimé par plufieurs conciles. Il y eut des tems où les longues
chevelures furent interdites à tous les chrétiens. III.
319, a. Tonfure cléricale. IV. 394. b. De qui les clercs
doivent recevoir la tonfure. 111. 523. b. Un évêque ne
peut donner la tonfure qu’à fou diocéfaîn. IV . 1012. a.
Lettre que l’évêque accorde à quelqu’un de fes diocéfains
pour prendre la tonfure d’un autre évêque. lO i i . a. Pourquoi
l’on n’a point fait de la tonfure un facrementparticulier.
,VIII.204. 4.
T O N T E des brebis, ( Ufage des Hébreux ) fête que les
Hébreux pratiquoient le jour de cette tonte. X V I. 414.^.
T onte des brebis, ( Econom. rußiq. ) précaution à prendre
avanteette opération. X V I . 717. b. Détails fur la manière de la
pratiquer. IX. 182.4 , b.
Tonte de drap, voye^^ T onDEUR.
T O N T IN E , (Finances) efpece de rente viagère , imaginée
par un Italien nommé Tonti. Premiere tontine établie en
France en 1633. X V L 414. b. Les rentes viagères font un
tore irréparable aux familles, dont le prince devient infen-
fiblement l’héritier. D e tous les expédiens de finance , les
tontines font peut être les plus onéreufes à l’état. Autres
expediens auxquels un état qui n’eft pas abfohiment dépourvu
de reilources, devroii recourir : annuités viagères.
Ibid. 413. 4.
Tontine, des renies en. X IV . 1 19. 4 , i , & c . voye^ VIAGERES
, rentes.
T ontine, ( J e u d e la ) defeription de ce'jeii. X V I . 413.4.
T O O , (Hiß. nat.Boian.) arbriffeau du Japon , qui fort à
garnir les treillages des jardins. Sa defeription. X V I. 413. b. TOHARCHIE, ( Théolog. ) feigneurie , gouvernement
d’un lieu. Toparchies de la Judée. XVl. 413.
TO P A S E , (H iß . nat.) pierre précieufe jaune. Trois efpeces
de topafes relativement à la couleur. Topafes diriin-
guées en orientales & occidentales. Divers lieux dont on
les tire. Expériences de M. Pott fur cette forte de pierre.
X V I . 416. 4. 11 paroît que c'eft au fer qu’eft due la couleur
de la topafe. Transformation des topafes du Bréfil en
rubis. Efpece de pierre fine , que Pline décrit, fous le nom
de topaje dans fon hiftoire naturelle , lib. xxxvij , chap,
v iij , & qui doit être confidérée fous le nom de chryfoli-
the. Origine du nom de topafe. Ibid. h. Voya^ plus bas T o -
PAZOS. Moyen dont on fe fervoit autrefois pour faire p.iffer
les topafes & les faphirs en qualité de diamans. Pour être
dans fa perfedion , la topafe doit être d’un très-beau jaune
doré & latiné, ou d’un jaune de citron très-agréable. Défauts
ordinaires des topafes 'l’Occident. Jiid. 417.4.
Topafes, en quoi elles dift'erent des hyafinthes. VIII.
338. L
T O P A Y O S , ( Géogr. ) fortereffe , bourg , riviere , peu-
T O R 787
pic fauvngc de ce nom , en Amérique. Efpece de pierr..
connues fous le nom de pierres des Amazones , qui fe trouvent
chez IcsTopayos. X V I. 417. a.
TO PH ou r y i , ( Afo&. H iir .) lambourdes Hd-
• brcux.Sadefcripiion. 'S'rrp/?/.lV.992. 4.
„ .J O P H E T , (^Giogr.Jacr.) lit,, dans la vallée de Hinnou,
VII, 339. 4.
TO PH U S , (Médec.) petite tumeur qui fe forme aux
paupières. Origine de fon nom. X V L 4 1 7 . Keyes; pour le
traitement, O rgeolet , Grêle des paupières.
ToPHtrs, ( Chtr. ) maladie différente de la précédente ,
expliquée à l’article A'oz’C'^.
lO P lA R IU M opus, rom. ) deux fentimens fur la
fignification de ces mots. A V I. 417. h.
TO P IK K I , efpece d’arbre. Suppl. I. 900. a , h.
T ü P IL Z IN , (HiJÎ. mod. Superflic.) grand - prêtre des
Mexicains. Son liabillement. Sacrifices humains qu'il ofl'roit à
fon idole. Détails fur ces facrifices. XVI. 417. b.
TO P IN AM B O U R , (Botan.) les topinambours font les
lubercules de la plante que plufieurs botaniries appellent he-
lianihemiim tuberofum efculcnium , &c. Defeription de cette
plante. X V I . 418. 4. Toyr^ Ba t at e , ScSuppl. IV. 474. b.
T O P IQ U E , {Rhetor.) art d’inventer 5c de tourner loii-
tef fortes d’argumentations probables. Etymologie du mot.
Obfervations fur les livres d’Ariftote 6t de Cicéron fur les
topiques. XVI, 418. a. La rhétorique fe divife quelquefois
en deux parties, le jugement appeité dialeSîiqiie , 8c l’invention
appellee topique. Obfervations du P, Lami pourÔc
contre ceiie fécondé partie 6c les lieux communs. Ibid. b.
T opique , ( Médec. ) remede topique , remede appliqué
extérieurement fur quelque partie du corps. X V I. 418. b.
Obfervations fur le bon 5c le mauvais ufage des topiques
dans diftércnies maladies. Ibid. 4 1 9 .4 , E
TO P O G R A PH IE , ( Arpent. ) différence entre la topographie
8c la chorograpliie. X V l. 420. a. Voye^cc dernier
mot.
Topographie. InrirumeiLS dont on fe fert pour les plans topographiques.
VII. 626. 4. En quoi confifte le travail d’un
topographe. 6 13.4 . Cartes topographiques. II. 709. a.
T opographie. (Rhétor. ) figure de rhétorique. Exemple.
X V I . 420. 4. ^
T o p o g r a p h ie , (P e in t.) peintres topographes. X V I.
420. a , b.
T O P O O , ( Bot. ) arbre du royaume de Siam. X V . 1 30. b.
T O R C H E , Ti/tm , (Syno/i.) ufage de ces mots. X V I.
421.4.
Torche, v o ye z Tæ d a 8c Flambeaux. Efpece de torche
faite de cordage poiffe. II. 837. a.
T o rche, (Cirerie) cérémonies de l’églife dans Icfqucllcs
on fe fert de torches. Manière de les fabriquer. XVI.
421.4.
T orches, (Antiq.grecq. S’ rom.) le jour de la fête de
Gérés , que célébroient les initiés à fes myftercs , s’appel-
loit par excellence le jour des torches ou des flambeaux. Les
torches ou flambeaux qui fervoient dans la religion
étolent anftî employés aux obfequcs 8c aux cérémonies nuptiales.
Citations de quelques poètes. XVI, 4 1 1. a.
Torche, terme d’épinglerie , X V I. 4 2 1 .4 de ferranderle
de commerce de po ix , de tonnelier, de jardinage , de maçonnerie
8c de vannier./ii«/. h.
ToRCHE-/iér, (Maréch.) inftrumenc du maréchal. X V I ,
a,^^.b.
ToRCHE-pi«ctf4« , (Peinture) X V I . 421.^.
TO R CH E L Canutfon , gnmcl-maréchal de la couronne de
Suede fous le régné de Birgcr. SuppL I. 901. b.
T O R C H E -P O T , PIC-CENDRÉ , ( Omithol. ) defeription
de cet oifeau. Son nid. Sa nourriture. X V I . 421. i.
Torche-pot , voyet^ Casse-noisette. Torciie-pot du Canada
repréfenté vol. V I des planches, Régné animal , planche
42.
T O R C H IS , ( Archit. ) comment on bâtit en torchis. II.
163. 4.
T O R C O U , (Omithol.) defeription de cet oifeau. X V I .
422. 4.
TO RD IN O N E , (Lict. ) théâtre de ce nom à Rome, vol.
X des planches, article T héâtre.
TO R D R E un cable ,(Cordier) X V I .422, b.
T o r d r e /^t?/, (Econom. rufliq.) VI. 783.
T ovcokZ la mèche , (d r ie r , Ch.indcl.) X V I. 422. i.
T ordre, (Ruban.) différentes fortes de retords. X’VI.
422. b. Defeription de la maniéré de les travailler. La mi-
lanefe. La graine d’épinars. Ibid. 423. a. Le cordon pour les
galons à chaînette. Le retord pour les franges, Ibid. b. Les
guipures pour les livrées. Les cordonnets pour les agrémens.
Les cordonnets à broder. Les câblés. Ibid. 424. a. Les grifettes.
Le frifé. La ganfe ronde. Ibid. b.
T ordre , ( Ruban.) maniéré d’ajouter une piece de même
contenance au bout d’une autre pièce qui finit. Defeription de
la maniéré dont cela fe fait. X V I . 423. 4. Voye:;_ Souder.
' 1