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‘t'l
, 1
'd e pourAiivre les nerfs dans leurs ramifications, leurs efi-
trelaeeiiiens , & la fingularité de leur dillribution. Priiici-
Eale> oblcrvaiions des jeux de la nature fur les nerfs,
’origine du nerf iiitercollal efi encore une qucAion. Ibid.
102. d.
Nerfs, maux de, { Midec. ) Nerveuse , affection.
Nerf ou Nervure , {Coupe de pierres.) Diffcrens noms
donnes aux nervures par rapport à leur fituation. XI. 102. b.
Nerfs , {Jardin. ) nerfs d’un viigétal. XI. 102. b.
Nerf, {Maréch.) XI. 102.
Nerfs du cheval, ( Maréch. ) Suppl. III. 39a. a , b. 398. b.
Nerf ferurc, ( Marieg.) XI. 102. b.
Nerf de cerf, ( Vénerie. ) XI. 102. b.
Nerfs , ( Relieur. ) XI. 102. b.
Nerf de bauf, {Sellier.) ufage qu’en font les felliers. XI.
Ï02. b.
NERFURE , ( Maneg. ) Suppl. III. 404. a.
NERGEL ou Nergal , ( truiq. fier. ) divinité des Cu-
tliéens. Le nom de Cuthéens donné aux Samaritains. XI.
102. b.
NÉRITE , ( Conchyliol. ) caraél ere de ce genre de coquillage.
DifiinéKon des nérites & des limaçons. Différentes
efpeces des unes & des autres. XI, 103. a.
Nérites , vo yq Coquilles. IV . 187. a. 189. b. — Voye'^
auffi vol. V I . des plancli. Hifioire naturelle, pl. 63. 66.
N É R O N , empereur romain. Projet qu’il forma d’abolir les
impôts. VI. 513. .r. Incendie & rctabliffement de Rome fous
fon régné. X IV. 347. Il rend la liberté à la Grcee, VIII.
931. b. Comment il tâcha de gagner les bonnes graces des
Hellcnodiccs & de les corrompre. X . 183. b. Prix de poéfie
£c de niufique qu'il remporta aux jeux olympiques. XIII. 392.
b. Avcrtiffemenc qu’il reçut de l’oracle de Delphes. XL
535. b. Il force les fénateiirs de faire le rôle de comédiens.
X V I. 703. b. Sénateurs 8c chevaliers qu’il fit combattre
comme gladiateurs. V IL 696. b. Loteries qu’il créa. IX.
693. a. Combat douné fur l’caii pendant fon régné. XI. 60.
b. Coupes de cryfial qu’il brifa lorfqu’il apprit la révolte de
fon armée. X V I. 833. b. Dépenfes qu’il avoit faites pour
l ’acquifition de quelques vufes myrrhins. ibid. Son goût pour
la magie. IX. 28. a. Mépris qu’il faifoit des libelles qui l’at-
taqiioient. 460. a. Portrait de Néron d’une grandeur prodi-
gieufe. X I lL 134, b. Statue coloffale de cet empereur. X IV.
828. b. Palais de Néron. IX. 892. b. Satlon où il prenoit fes
repas. X V . 408. LSa maifon de phifance , appellee Sublacum.
363. b. Cirque de Néron. III. 477. b.
Néron, ( /’/t/re ) 'iirifconfulte 3 fon recueil d’ordonnances.
III, 381. b. X L 393. a. 394. .1.
NÉRONIENS , je u x , ( Jeux rom. ) leur inllltution. En
quoi ils confilloient. Néron couronné dans ces jeux. XL
103. b.
N ERPRUN , ( ) caraflcres de ce genre de plante.
Defcripcion de cet arbriffeau. Lieux où il fe plait. XL 103. b.
Maniéré de le multiplier. Ufages qu’on en tire. Vertu purgative
du nerprun. Différentes efpcces de ce genre au nombre
de quinze. Leur defeription, Ibid. 104. a.
Nerprun , ( Botan. Jard. ) nom de cette plante en différentes
langues. Son caraftere générique. Enumération de
quatre efpeces. Lieux oii elles croilTciu. Leur defeription ,
culture , qualités & ufages. Suppl. IV . 3 1. i.
Nerprun , efpece de nerprun , nommé alaterne , voye^ ce
mot. Baie d’une efpece de nerprun , appelle graine d’A v ignon.
V IL 836. b. Verd de veffie , tiré du nerprun. X V II .
39. .2.
Nerprun , ( Pharm. M.it. médk.) Ses baies font la feule
partie dont on fc fort. Propriété & ufage de ce rcmede. Différentes
préparations de ces baies. XL 104. b.
N E R V Â , empereur romain. XL 29. a. Place de Nerva dans
Rome. XII. 674. fl. Voyci .\ntiquifés , vol. I. des planches.
NERVEU X , demi-, ( A/iai. ) un des mufcles fiéchiffeurs
de la jambe. Sa difpofition. XI. 104. b.
Nerveux , {Anat. & Phyfwlog.) genre nerveux. V IL
394. b. Du plus ou du moins de mobilité du genre nerveux
dépend le plus ou le moins de vivacité des fenfations. Suppl.
III. 36. b. Centre du fyflème nerveux. V. 792. a. Force motrice
qui anime le fyftême nerveux. Suppl. IL 91^. a. Force
nerveufe. Suppl. III. 664. a , b. 981. b. Détails fur les fibres
nervciifes. V I . 669. b. XL 100. a , b. Suppl. III. 36. a , b.
Houppes & papilles nerveufes. V III. 263. b. 326. b. XL 872.
b. Suc nerveux. X V . 393. b. Fluide nerveux. Suppl. III, 36.
b. Puurquoi l’on a cru que le fluide nerveux fe mêle au fuc
nourricier. XL 289. b. Tout ce qui influe fur la quantité du
fluide nerveux , influe fur l’aélivité des fibres. Suppl. III. 37.
fl. Dillinftion des parties qui font fous l’empire du fluide nerv
eu x , 8c de celles qui ne lui appartiennent pas. Suppl. IV.
634. b.
Nerveuses , maladies, ( Médec.) Différens défordres dans
leconomie animale qui réfuhem des affcéiions nerveufes.
X L 103. a.
N E U
Nerveufes, maladies , voye^ V apEURS. Hypocondrlaijue
hyjlérique, affeélion- , & fyafmodiques , mouvemens. Affeélions
nerveufes , caufoes par un air humide. I. 236. a. Des affections
nerveufes ou eftets de la fenfibilité pliyfique. X V . 38. b.
— 32. J. Des rcmedes preferits dans les maladies nerveufes.
Suppl. I. 463. fl , b. D e l’équitation. Suppl. IL 848. b. Principe
de la dillinflion des maladies, en nerveufes & en hiimu-
rales. 436.^’. Fievres nerveufes, leur caiife. 43. b. Pliihifie
nerveule. XII. 334. b. Ufage des véficatoires dans certaines
aftcflions nerveufes. XVII . 193. a.
NERVIENS , ( Gèogr. anc. ) peuples de la Gaule Belgique.
Etendue de leur cité. Bataille fanglante qu'ils livrèrent à
Cél.ir. Principales villes des Nerviens. X L 103. a.
NERVIO , ( Géogr. ) riviere d’Efpagne, Son cours. Son eau
excellente pour la trempe des armes. XL 103. a.
N E S A C T IU M , ( Géogr. anc. ) ville de l’Idriç. Horrible
extrémité à laquelle furent réduits les liabitans de cette v ille ,
lorfqii’elle fut affiégèe 8c prife par les Romains. XI, 103. b.
NESLE, ( Monnaie ) petite monnoie dont on fc fervoit en
France. Origine du nom. XL 103. b.
Nesle , ( Géogr. ) petite ville de France. XL 103. b.
NESS , Lie , ( Géogr. ) lac d’EcolTe. Etendue 8c defeription
de ce lac. XL 103. b. Pourquoi il ns gcle jamais.Vite/.
106. fl.
Nef!'. Obfervation fur ce lac. IX. 130. b.
NESTÉES , ( Litter. ) étymologie du mot. Jeûne établi à
Tarentc. Origine de cette infiiiiition. X. 106. a.
NESTOR , ( Myth. ) un des douze fils de Néîée , fnccéda
à Ion pere au royaume de Pylos. Traits par lefquels il fe dif-
lingua au fiege de Tro y e. Suppl. IV. 32. a. Du grand âge que
les poètes lui ont attribué. Ibid. b.
Nestor , fils de Nélée Sc de Chloris. XIII. 393. b. Coupe
de Neflor. XVI. 833. a.
NE STO RIEN S , ( Théolog.) anciens hérétiques, dont Ir
principale doflrine efl que Marie n’efl point mere de Dieu.
Hiftoire de Nellorius leur ch e f, 8c des progrès de fon héré-
fie. XL 106. fl. Concile où elle fut condamnée. Chrétiens qui,
regardent aujourd’hui Nefloiius comme leur patriarche. Hiftoire
de leur réunion aVeÇ l’églife romaine , fous le pontificat
de Paul V . De-là quelques favans prétendent qu’il n’y a plu»
de véritable héréfie neftorienne. Quelle efl leur croyance fur
le myflere de l’Incarnation. Cinq chefs dans lefquels ils ne
conviennent point avec l’égUfe romaine. Ibid. b. Comment
ils concilient l’églife roiûaine , qui appelle la Vierge Mere de
D ieu , avec la neftorienne qui l’appelle mere de Chriß. Les
Latins reconnolffent en Jefii.s-Clirill deux natures & une
feule pcilbnne, Sc les neftoriens difcnt qu’il y a en lui deux
pcrlbnncs, Sc uns profopa ou perlbnne v ifible, 8c outre cela
qu’il n’y a en Jefiis-Chrift qu'une puiflancc ou vertu. Conciliation
de ces deu.x femimens. Les neftoriens n’admettent en
Jclus-Chrift qu’une puiffance 8c une volonté ; conciliation de
cette doélrine avec celle de l’églife romaine. Autres confidé-
rations lur les neftoriens modernes. Auteurs à confulter. Ibid.
107. fl. _
Ai-TÎnA/V/tj, en quoi confiftoit leur cloffrine. VIII. 348. a.
III. 729. fl. Voye^ C hapitres , /roiV. Caraéleres des neftoriens
modernes. I.732 . h. Leur liturgie. IX. 398.0. Langue
dont ils fe fervent dans le culte. X V . 9 n , i>.
N E STV ED , ( Géogr.) ville de Danemarck. Obfervations
fur fes églifes. Bataille qui fe donna fous fes murs en 123g.
Suppl. IV. 32. b.
Ne t , ( Cornm. ) ce qui n’a point été altéré par le mélangé
de rien d’étranger. Ne t, ce qui refte de profit fur une mar-
chandife. N a , ce qui ell fans difficulté dans les affaires. N e t,
parlant du poids d’une marchandife toute feule. A'a provenu.
XI. 107. b.
Net, {Gramm.) penféo nette. XII, 309./>.
, ou propre, ( ) qualité dans le càraflere. XL,
107. h.
Net, {Jouaill. ) diamant net. Pierres glaceufes. XL 107. b.
_ N E TO PION , ( Hiß. des drog. ) forte d’onguent des anciens.
Maladies pour lefquclles Hipjxicrate le recommande.
XL 107. b.
N E T O T IL IT Z E , {Hiß. mod.) danfe que l’on faifoit en
préfence du roi du Mexique. XI. 107. b. Détails fur cette
danfe. Ibid. 108. a.
NET.SC.HER, ( Gafpard ) peintre. V. 313. a.
N E T TU N Ü , ( Géogr. ) ville d'Italie , fmiée dans l’endroit
oi| étoit la petite ville Ceno. Ouragan qu’elle effuya en 1737.
N E Ü CH AT E AU , ( Géogr. ) ville de Lorraine. Suppl IV ,
32. b. Obfervations liiftoriques fur ce lieu 8c fes environs.
Hommes célébrés dont il eft la patrie. Ibid. 33. a.
Neuchateau , {Géogr.) ville de Lorraine. Suppl. IV.
813. b.
N E U CH A T E L , ( Geogr. ) petit état en Sulffe. Ses bornes
8c fon étendue. Defeription de trois différences régions diftin-
guées dans le pays de Neucliâtcl ; l’inférieure , la moyenne ,
Bc la fnpérieure. Leurs produélions. Habitans des montagnes
N EU de Neucliâtel. A n s qu’ils exercent. XI. loS. b. Obfervations
fur leur caraélere. Cours des principales rivieres du pays de
Neucliâtel. Sa divifion en mairies 8c châtellenies. Lieux les
plus remarquables. Population des mo'ttagues. Moulins pratiqués
dans les cavités d’un rocher près du Locle. Ôbferva-
îions d’biftoire naturelle. Ibid. 109. a. Traites à confulter.
Principaux produits du pays. Sa population. Bonheur des
habitans. Hiftoire des différens fouvernins qui ont poffedé ce
pays. Ibid. b. Quelle en eft aujourd’hui la conftitution politique.
Serment que prête le prince lors de fon avènement.
Alliances de i'écat de Neuchâtel. D e la religion des Nenchà-
Telois. La châtellenie du Landeron demeurée feule catholique.
Avantages que retirèrent les peuples de Neuchâtel de
la réformation qu’ils avoient embraffée fins le concours de
rautorité fouveraine. Ibid. b. Pouvoir des alTemblécs eccléfiaf-
tiques, appellees la claffe. Des droits que poffedent les peuples
de la fouveraineté de Neucliâtel , par lefquels l’autorité
du prince eft limitée , plus qu’elle ne i’eft peut-être dans
aucun des états de l'Europe. Origine de ces droits. Ibid. 1 11.
a. Code que formèrent, en 1 70 7, les peuples de Neuchâtel ^
par lequel ils fixèrent leur.-; privileges 8c le.s limites des droits
de leur fouverain. Obfervations fur les principes du gouvernement
du pays en général. Ibid. b. Expofition des principaux
droits que les peuples de Neuchâtel fe font réfervés. Liberté
qu’lis ont confervée d’entrer au fervicc des piiiffances étrang
è r e s . I l 2. fl. Milices du pays. Exemption d’impôts.
Etat de la judicature criminelle. L’exercice de ces droits, en
affurant le bonheur des peuples, n’eft pas moins avantageux
à leur fouverain. Ibid. b. Caraélere des ncuchâtelois. L ’induf-
tric animée par la liberté, 8c foutenue par une paix continuelle
, fait chaque jour parmi eux des progrès mai qués. Ibid.
Neuchâtel. Mine d’afphalte dans ce pays. I, 739. a.
Neuchâtel, {Géogr.) capitale du pays dont on vient de
parler, ba population. Son ancienneté. Agrandiffement de
cette ville. Le prince ne peut employer dans la ville ou le
pays aucune gnrnifon étrangère. Cliâceaii du gouverneur. XI.
i i 3.fl.Calamitésquecetteville a effnyées. Magiftratiiie de
Neucliâtel. Ses droits. Edifices remarquables. Ibid. b.
Neuchâtel, lac de, {Géogr.) fon étendue. Sa fituation.
XL 113. i.
N E V E R S , {Géogr.) ville de France. Son ancien nom.
Salituation. Ses révolutions. Premier duc de Nevers Population
de cette ville. XL ii3 .E P a rm i les hommes célébrés que
cette ville a produits, on diftingue , Simon Marion , avocat
du parlement de Paris, Jacques Carpentier de Mari>’ ny ,
poète François, Ravlfms Tex tor , grammairien, Sc Adam
Billam , poète connu fousle nom de Mflhre^i/flm.Rondeaude
ce poète./^;V. ii3.fl.
Nevers. Cette ville eft le Noviodunum dont parle Céfar
Origine de fon nom moderne. En quel tems elle fut élevée
au rang c.cs eues. Son premier évêque. Ses manufaélures
de f.iycnce. Ouvrage à confulter fur cet art. Suppl. IV
33. fl.
Nevers, ce qui s’y pratiquoit autrefois à l’égard des meurtriers.
VIII. 23 2. i.
NE VEU , {Jurifpr.) degré de parenté entre les neveux
w les oncles. Des mariages des oncles avec leurs nieces.
X. 114. a. Droit de fucceffion des neveux. Ibid, b Vovez
O ncle. ^ ^
P>'opriétés qui ont rendu ce nombre
cclcbre. i''. La fomme des chiffres qui expriment un multiple
quelconque de 9 , eft elle-même un multiple de 9 ,
comme réciproquement tout nombre dont la fomme des chiffres
eft un multiple de 9 , exprime lui-même un multiple de
9. 2-. Si l’on renverfo l’ordre des chiffres qui expriment un
nombre quelconque, la difference du nombre direél au notn-
bre renverfé, cil toujours un multiple de 9. Explication Sc
demoiiftration de ces propriétés. X L 1 14. b.
Eeuj. Suite des propriétés de ce nombre. 3°. Les caractères
qui expriment un nombre quelconque étant tranfpo-
fes de telle manière qu’on voudra, 8c les différens nombres
qui en réfultent étant comparés deux à deux , leur
diriérence fora toujours 9 , ou un multiple de 9. Suppl. IV. 33. fl. La difference des puiffances quelconques des nombres
qui réfultent des mêmes chiffres ,• fora aiiffi 9 , ou multiole
de 9. Ibid. b. ^ r
AVfl/.Propriétés de ce nombre félon les Pythagoriciens. XL
NEUFME ou Mortuage , ( Jurifpr. ) droit fingulier que
les cmés perçoivent dans certains pays for les biens de leurs
paroiffi^is décédés, pour leur donner la fépulrure eccléfiaf-
tique. Origine de ce droit. Pourquoi ce droit fut établi en Bretagne.
ourqiioi il foc appelle tierjage. Conteftations dans cette
province au fojet de ce droit. Réduélions qu’il a fouft'ertes. Il
n c lt autonle aujourd’hui que pour tenir lieu des dixmes. A u teurs
a confulter. XI. 1 16.
S r i ' l l h * ( G iV - ) 'VI. 28. i.
N E U IL L y , dans la ie de Fiance. (G ipgr.) bourg, Ob-
N E U 187
farvaiions fur Foulques , curé de ce lieu , fucceffeur de S. Ber-
nard. Suppl. IV. 34.0.
Neiiilly. V .
Neuil ly , ( Géogr. ) ancien village du Diionois. Son églife
donnée a 1 abbaye de S. Etienne de Dijon. Scs j.arJins.
1 faits dhumantte 8c do bienfaifance, dignes de f in ir de
modelé, ! un de la part de Jacques-Plulippc Fyoc de la
Marche , comte de Üraci-lc-Fort ; 8c l’autre de ) / part d’un
jeune homme de ce village. Suppl. IV . 34. b. ft/onument
UC reconnoiffimce élevé en rhoiineur du premier par les
liabitans de Neuilly. Etabliffement qu’il a fondé à l’imitation
de la rofo de Salency. Célébrité de quelques-uns des
ancêtres de ce fcigiieur. 3 3. rf.
. NEUMANN , ( Gfl_/pfl/c/) opérationchymiqiic par laquelle
il imita le miracle de S. Ja n vier. X lIL 8 3 1 .fi
NEUME,(A/fl/^.) terme de piain-chant. Raifon qui auto-
ulc lulage des neimies à la fin des antiennes. Suppl l\ '
N E U N AU G E , {H iß . nar.) nom allemand d’une forte de
lamproie que l ou tiouve dans des eaux marécageufi-s. Com-
menc ce poillbn annonce leschangemensde la tciu'icniuu e d*
lair, XI. 1 17, fl. ‘
N E U R A D E , {B o tan .) caraéleres de ce genre de plante.
XI. 1 17. fl. ‘
N E LRO G RAPHIE , {Anatom.) ouvrage intitulé Neuro-
gr.iphta univcrfalis. XL 117, a. Différence entre les termes
ncuTographie 8c ncvrologic. Ouvrage de nevrologic par Willis
Ibid, fi /■ 'oyr^NERF.
NE VRÜ LOG IE , {A n a t.) obfervations fur les principaux
ouvrages qui ont été faits fur les nerfs. Il nous manque
encore une nevrologie complctie. Cet article renferme
un traité abrégé de nevrologie , q u i, s’il n’eff pas
jompfoi, ne renferme du moins rien qui n’ait été vérifié. Suppl.
N ex ROLOGIE c'a tr/i^vfl/, {^Saréch.) Suppl. 111 202 a b
N EU RO PTERE S, infeRés. VIII. 786. i ^ ^ ‘ '
N E VR O TOM IE , ( Anatom. ) Pour une bonne névrotomie
les plus jeunes fujets font les meilleurs. Suppl. III.
43. fi
^ E G SO U L ,Bcs:^teri^e , Eanya, ( Géogr. ) ville de la
bafle-Hongne. Diverfes obfervations for ce lieu. Suppl. III.
Neufohl, ville de Hongri
d’eau cémentatoire. II. 81
, près de laquelle eft une fource
NEUSTRIE, {Géogr.) pays delà France qui comprenoit
les terres renfermées entre la Meufe 8c la Loire, mais qui dans
la luitc fut reffené dans des bornes plus étroites. Ce nom
ch an g é en q ia en celui de Normandie. X\. 118. a.
Neuflric. Ce mot propre dans la langue germanique
comme dans la romaine , paroît employé pour diftinguer
une terre nouvelle ajoutée par acccliion, à une poffeïHoa
antérieure ou plus ancienne. Ce qu'on entendoit par Neuf-
trie 8i Auftrafie. Diftinélion faite du tems de,s Carlovingicns
entre Francia Sc Neufria Province conficlérable de la Neuf-
t rie , qui fut tippcWi Nortmannia. Cette province inféodée
a Rollon par Cli.irles-lc-fimple. Suppl. IV . 33. b. Gouvernement
fondé par Cliaries-le-cliauve , pour s’oppofes
auxeourfos dos Normands Seaux entreprifes des Bretons.Des
anciensconues d’Anjou. Ibid. 36. a.
NiUSTiiiE, { G .V - ) panic dePltaUe. Le pays des Lom-
bards d ivife en Auftrafie 8c NcMiftrie. X L 118. a. '
N E U T R A L IT É , {Droit poUtiq.) deux fortes de neutralité
, Time générale 8c l’amre particulière. On ne l'auroitlé«»iti-
mement contraindre perfonne à entrer dans une neutralité
particulière mais celui qui a entrepris une guerre jufte ,
peut obliger les autres peuples à garder exaélement ü neutralité
générale. Devoirs des peuples neutres. XI. 1 18. a. De-
'if^Pb'^ *^1^“ en guerre envers ces mêmes peuples.
terme employé dans deux fens
différens. 1. übfervations fur le genre neutre dans les noms
8c dans les adjeélifs. 2. Diftinélion dos verbes adjeélifs ou concrets
en trois efj>eces générales, favoirles vernes aflifs, les
paffifs 8c les ncuires. XL 118. fi Examen des raifons que
Saniftius allégué pour ne rcconnoiire que des verbes aftifs Sc
des verbes palfifs, Sc rejetter la diftinélion des neutres. Ibidc
1 19. a, b. C ’eftim vice d'avoir réuni fous la même dénomination
de neutres , les verbes qui ne fom en effet m aflifi ni paffifs ,
avec ceux qui font aélifs intranfitifs. On a encore réuni mal-à-
propos fous la même c.itliégorie des verbes Téritablem-.-nc
paffifs. Autre afpeél fous lequel il auroit fallu enviftger les
verbes concrets, qui en auroit fourni deux divifions différentes,
dont l’une auroit donné les verbes aélifi, les verbes
paffifs 8c les verbc.s neutres , 8c Tautre les verbes abfolusSc
les verbes relatifÿ^ Ihid. 1 20. a. Les grammairiens ont encore
abufé de la qualification de nefltr^, en diftinguant les verbes
neutres aaifs 8c les verbes neutres paffifs, foit dans la langue
françolfe, foit dans la latine. Obfervations fur cette diftinélion,
w