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m ic & p>rt',raUere, & laparriciilicrc en ilMritaitlïc & peraul- |
de jnffiee “ " S :
d L ! v l t ° a c " 7 égài,t6 ï i û n X . V . 4- ï . “ • ','’ r
la ,„11,ce & ré^„i.i. 894. t- Aitacl,einem clca ' .
„ „c’ en penple clee.lnclea , i la |urt,ce. W . a , ■ ^aplaa^
lion (le ccitc maxime de jiiftice , ne J‘“ ^ f ' x i î l
rd me vous ne wider p js <me Us âutres vvua AUI.
' 4. RMu.a.im. d„^.n„cipa ,1c Hobbes le , le fomle-
? „ I L de la inftice. V l l l . . , 6 , 7S4- •;“ ' ƒ “ *■ *
i„ffice ,1„\ s’eaeice de dtoy^eii a citoyen. X V l l . l l l j ■
. iu s T i c c , ( i im m ,. ) dbelle allesmiqn'- *>; .■ „t Ä
TiiilMis. Coramem on la peignoit. Fiel'on d Helw e ” U
ii.llice. Autre llaiim d'Aranis. Bon mot Je Bautiii lu, im
tableau où pour exprimer le bonheur de l.a France , on avoir
peint la iiillice 8c ^b. paix tliii s’embrairoient tendrement.
'^ ÏuÎtice ( j,„i/pr. ) Différentes acceptions de ce mot.
Dans'les premiers te.,,; , la juftice é.oit exercee par ehacine
pere dans fa tliillllle. Mais bientôt chea pliilieurs nmio ls o t
L v a une pl.ilTance fonveraine au-dcllns de dç^ PÇ e •
Jiiltice domcllkioe qu'ils conlcrvetent. IX. S.j. i. H' « . 1
bliqne a toujours été regardée comme un a.tnbu d ■ <“
taul. Dés le c e m s ^ ^ c ^ , ^
S Î ; , S ' c r S i r ’;;émblé: luges „„xqucls Hconba „m
pairie de Ibn autorité , après l'avoir exercee pal u v '" “ ';».
'comment les tribunaux de jtillice forent teg es dans .1 1 . •
lellme. Magillrats qui çottverneren, e peuple imf dçl>“ is
Jofiié, M J <;o. U. Obfervations liir le bvtc des piges. Le
nom de juges donné autrefois aux gouverneurs cliec les t
pagnols & eu Sardaigne. Juges établi, par Menés lorlq
liureprit de policer l'Egypte. Cirer les C ré e s , les ,, g
avoient en mcnie teins le gouverncineui. Senat des timi
cens prytancs & achonies des Athéniens. Autres juges nr e-
rieiir, D e l'aréopage. D e l'adtmntllrattoo de la lU'Use f fm
le gouvernement de Lacédémone. JhJ. é. Coinment elle lut
exercée chez les Romains fous les rois & otis les coiiluL.
Foneffions des oreinicts queftciits. Création du prêteur 1 devoirs
de fa charge. AirelVetits de ce magtllrat nomme, c™-
iumvirj Fonaions des édiles. Dlmmution de l aiuonte du
préteur fur la fin de la république. Création de divers aimes
préteurs. La jiillicc réformée par Augulle. MJ . 9t. a. Aides
& fubdélégttés <ltt préfet de la vtlle. Admmtllration de la
juftice dans les provinces délignees fous 1 empereur Adrien
par les noms de coimrra & ,/trecr. Admimftratton de a
luflice dans les Gaules , lorfqtie les Francs en eurent lait la
conquête. M J . b. Sentiment de quelques-uns Itir 1 ottgtne
de la haute , moyenne Sc baffe juftice. Ciimmillaires que
le roi envoyoit dans les provinces pour contenir l=s “ Ih-
ciers de juftice dans le devoir. Jtill'ices ro ya le s , eccleiialli-
qiies 8c fetgncuriales qu'il y avoir dans le royaume. O rigine
du droit de garde gardienne. MJ . 92.4. Ltabhflemcnt
de quatre baillifs pour juger les appellations des juges royaux
inférieurs. Arigmentatton des jultices royales au dépens i es
jiiftices feignciiriales. Subordioaiioii des Jiilhces feigneiiriales
8c des juftices royales intérieures. Dt^ affaires qui Jed orn -
foient au parlement de Paris. Etablifferaent des prcfidiaux.
Jurifdiaions exiraordinaites que nos rots ont établies. Que le
étoit ancienne,lieu- la maiiiere de rendre la Jiil lec dans les
tribu,,;,,,X de France. Miniltere des' procureurs dont les parties
font obligées de fe fervir prefentement. Fortnidites de
juftice en matières civiles Sc criminelles. M J . b. p,flcrcn,cs
lo is pat lefqiiclles les François étoieni gouvernes dans les
premiers tenis de la monarchie. Quelles tonr celles fur
Icfquellcs ils fe règlent aujourd'hui. Les premiers juges
doivent toujours juger à la rigueur. Utilité des formalires
de la juftice. Des frais de juftice. Ouvrages a conl,liter. tb,d.
^^Ju'ßice Ufage des anciens Juifs de rendre la juftice aux
„one s des villes. XIII. t )6 a. Des jours chez les Romains,
anxciuels Ü étoit permis ou défendu de rcmlie la julticc dans
les tribimaiix. Suppl. 11. n j - Comment & par qui la
iiifticc étoit autrefois rendue en Frunce dans les provinces
k les parleinens. VI. z6. b. L'adminiftration de la juftice
n’eü point une fonftion au-deflbus de la nobleffe. 27. a. Pendant
lon'’ -tcms en France , la profelTion des armes & l’ad-
ininidration de la juftice ne furent point féparées. XL 179. ai.
Compaaniesde juftice. IlI.739,/..lV.267.at. Lettres dcjufticc.
IX. 424. é. Officiers de juftice. XI. 423. b. Voyei ci-dcilous
C hambke de justice.
Jiißiced'eipanage. IX. 93.*:-
Jujlices d'attribution. IX. 93. a.
Jußiees baitliageres. IX, 93. b. . . „
Ji'ifike , baße , mattere dont connoir le juge qui 1 exerce.
Deux fortes de bafles juftices diftinguées dans quelques c<3ii-
tumes. Appel de la balle-juftice, IX. 93, i.
jußiee capiiaU. IX. 93. b.
JuJUce de cenfier. 1X.93./1-
JiijVcc cenjierc ou caiJuelle.W. 93. i.
JupicecenfueîU, ccnjlere oü foncière. IX .94. a.
JujUce civile. IX. 94. a.
JiijUce commutative. IX. 94. a.
JujUce coitiere ou foncière. IX. 94. a.
JujUce criminelle. IX. 94. u.
Jiiflicc diftribuiive. IX. 94. a.
Juf.icc domaniale. IX. 94.
JujUce domejUijue, Jainitiere cconomiijuc. Comment elle
s'exe'i’çoic cliez les anciens Romains, les Germains & les Gaulois.
Cicllcque les maîtres e.xerçoieiit du tsms de Juftinien iur
leurs colons. IX. 94. b.
JiijUcc engagée. IX. 94. b.
Ju(Ucc extraordinaire. IX. 94. b.
JujUcejéodaU.W. 94. h.
JujUcefiJcaU.lX.rjj^.b. r , i r
JujUce foncière , OU cenfierc , ou ccnfuclk. Coutumes ou
CCS juftices ont lieu. D iv u lcs oblcrvatious lur cette forte de
juftices.Ouvrages.2 confultcr. IX-94.^.
JujUce tres-jonciere. IX. 95. a.
JujUce en g.irde. IX. 95. -t.
JujUce du glaive. IX. 95. a.
Justice , ( grande) IX. 9 5 .<t-
Justice , {/mute ) IX. 93. a.
JujUce hommagere. IX. 93-rf*
JujUce inj'érieure.lX. 93. é.
JujUceJous latte. IX. 93. b.
JujUce rnanuclle.lK.Ç)’^. b.
JujUce militaire :iicf.n\s qui expliquent la manière dont eüe
s'exurce , tant dans les places cju’a l’armée. Forme que 1 on
1 doit übferver pour tenir le conlèil de guerre : voye^ (ur ce
fujet Conseil de guerre. Le titre de juftice militaire
donné à la connétablie Sc maréchaufféc de France. IX. 93.
b. Sens figuré dans lequel fe prend quelquefois le mot de
jujUce militaire. Ihtd.ejio. a.
Jujluc moyenne. IX. 96. a.
JujUce municipale. IX. 96. a.
JujUce ordinaire. IX. 96. a.
Jujlice pairie. IX. 96. a.
JufUcepar pairs.YX. 96. a.
JujUce en paréage, ou pariage. IX. 96. a. Juftices tenues Cii
pariak avec le roi : celle du bourg d'E ftbyc , coutume de
Chaumont en Bafligny. Juftice en pariage entre le roi éic
l’évêque de Mende. Arrêt du parlement de Touloufe 1601 ,
qui ordonne l'exécution du pariage. Arrêt du confeil du
roi 1641 , qui ordonne que tous les contrats de pari.-.gc palTés
entre les rois 5c les eccléllaftiques , foient exécutés 5c entretenus.
Ibid.b.
JujUce patibulaire. IX. <)6.b.
JujUce perfonnelle. IX. 96. b.
JujUce populaire , IX. 97. a.
JujUce de privilège. IX. 97. a.
JujUce réglée. IX. 97. XL a.
Ju f '.ce de ref'ort. IX. 97. a.
JujUce royale. IX. 97. a.
JuJMc à /.wg. IX. 97. 4.
JujUce du fang 6- du l.trron. IX. 97.
JujUce jéculierc. IX. 97. <2.
JujUce jèigneuriale , ou fubaltcrne. Orifioc: des juftices fei'-
gneurialcs. Divers fentimens fur ce fujet. IX. 97. b. Origine
de la diftinflion de liante , moyenne ék. balle julUce. Trois degrés
de jurifdi«ftion fcmblable chez les Romains. IX. 98.^. Q u elles
font les califes dont le juge du fcigneiir haut-jufticicr
peut connoître. Peines auxquelles il peut condamner. Appel
de fes fentenccs. Droits dont le fcignciir haiir-jufticicr jouit
à caiife de fa juftice. Ibid. b. Caiifcs & affaires donc la moyenne
juftice prend connoiffiince. Différens degrés de pouvoir
que les coutumes donnent an moyen jufticier dans les affaires
criminelles. Caiifes de ces dilFércnces. Caufes 6c aftaircs
dont la baffe-jiiftice prend comioiffance. Deux fortes de balle*
juftice en certains p a y s , l’une foncière & I autre perfonnelle.
Ibid 99 a. D e l’ancienneté des juftices feigneuriales. Pouvoir
du roi fur ces juftices. Comment elles font devenues
patrimoniales. U n’y a point de juftice feigncurialc qui ne
foit attachée à un fief, quoiqu’elle s étende quelquefois fur
d’autres. Anciennement les Rigueurs 6c les abbés rendoient
la juftice en perfonne. Obfervations fur les juges de fei-
cneurs, 6c fur leur nombre clans une juftice. Procureur par
lequel le feigneur plaide dans fa juftice. Sceau des juges.
Leurs fergens. Les feigneurs hauts-jufticiers nom pas tous
droit de notariat ou rabellionage. Des juftices des duchés
8c comtés pairies. Titres que prennent les juges des dillc-
rentes juftices. ibid. h. . , ta . .
Juftice j'eigneuriale ; jurifdiéfions chez les Romains n j-ieii-
pnis analogues à la haïue, moyenne Ôc baffe-|>iftice. IX. 81.
a. 98. a. Origine des juftices des ieigneurs. III. 771- b. lA .
I f b 02. a. 98. a. Comment la juftice fut un droit inhérent
au fief même : pourquoi elle en fut enfuite féparéa.^Vl.
691, a. Les jiiftice.s feigneuriales font tenues en fief du ro i,
& attacliées à quelque fief corporel. 694. Le droit de
juftice jsciit être avec 011 fans le fief. Ö96. b. Coutumes où
le fief 6c la juftice font rêciproqiie.s. Ibid. Procès-verbaux
qu’on falfoit pour reconnoitre les homes 6c l'étendue d’une
juftice. III. 313. a. les juftices a|jparicn;m[cs aux villes ne
font point marques de feigiieiii ie. XI'V. 898. b. Les moyenne
6c baffe-juftices appellees du nom de voirie. XVII . 422.
b. Démembrement d’une juftice. X. 830. b. Offices des ju ftices
foigiicuriales. XI. 418. a. Juftices des pairies. 762. b.
763. b. Le parage ne divife pas la juftice. 898. a.
jaßiee jbmmaire.iydpoÇmons d’un article de l’ordonnance
de Blois fur les caufes qui doivent être traitées foiimiaire-
ment. Diverfes jurifdiéUons qui font de la claft'e des juftices
fommaires. IX. 100. a.
Juftice fouveraine. IX. lOO. a.
Jußiee fubalternc. IX. 100. a.
Jußiee fupéiicurc. IX, 100. a.
Jußiee tcmporcUc.Y.o\x félon lefqiielles on fe regie dans ces
juftices. Appel (les fentciices de ces jurifdiélions'. IX. 100. rf.
Jußiee vicomticre, IX. 100. b.
Justice , chambre de, {FinaneJ) Les chambres de juftices n’ont
jamais procuré de grands avantages;! l’étuc, ni aiiroi.L’établiffe-
ni«ntde ces cliambrespeut devenir dangereux, lorfqu’il n'eft
pas mile , 6c les circonftances en ont prcl'qiie toujours énerv
é I’litilite. Combien il importeroit d'abolir efficacement les
profits exceffif’s do ceux qui manient les finances. Exemple
qu’ils donnent d’un luxe ruineux pour la noblcffc 6c pour
toutes les autres conditions. IX. 100. a.
J u s t ic e , ( Chambre de, ) voyc^ fur ce fujet. III. <2. a , b.
JU S T IC IA B L E , {Jurijpr. ) chacun cft jufticiable du juge
de fon domicile. En matière de police cliaciin eft jufticiable
du juge du lien où il a commis quelque contravention. En
matière criminelle on l’cft du juge du lieu où le délit a
été commis. En quel cas on devient jufticiable en matière
civile d’uii juge autre que celui du domicile. IX. l o i . a.
JU S T IC IE R , d'Aragon, { Hiß. d'E fp .) quel fut le gouvernement
des Aragonois depuis que ce royaume fut l'o-
paré (le la Ntivarre en 1033 jufqu’en 1478 , que Ferdinand
V , roi de Callille, réunit toute rEfjjtignc en fa perfonne. IX.
l o i . a.
Jiijlicier, bas-jufUcier. II. 113. b. IX. i i . b. 13. a. Haïu-
jiifticier. VII I. 70. b. IX. 13. a. Moyen-jufticicr. Ibid. Juge
haut, moyeu 6c bas-jiifticicr : juge moyen 6c bas-jufticier.
JbiJ. Caufes que peuvent cennoitre ces trois dift'éreus juges.
98. é. Droit de titre du feigneur haut-jufticier. IX. 39.j.,2,é.
Droit de pilori des feigneurs h;iucs 6c moycns-jufticiers. XII.
623. a.— Voye^ SeiGNEUR.
JU ST IF ICA T IF . ( Jiirifp. ) Enquête jiiftiflcative. V .
697. a. Fait juftificacif. VI. 383.
JU S T IF IC A T IO N , ( Théolog. ) vovr^; Imputation. Les
catholiques 5c les réformés partagées fur cette matière. IX.
l o i . b.
Jußification , doélrine de Baïtis fur cette matière ; II. 167.
b. celle des Unitaires. XVII . 390. a. 393. b.
Ju s t if ic a t io n , ( IX. l o i . a.
Ju s t if ic a t io n , {Fonderie de cara&aes) deux fignifîca-
tioiis de ce mot. Defeription 8c ufage de rinftrument ainfi
nommé. IX. 101. b. Voyet^ CARACTERES D'i.MPIUMERlE.
JU.STIFICATION, {Irnprim.) IX. 101. b.
JUSTIFIER , ( Gram. ) IX. lO l. b.
Jußifier. Différence entre juftifier & défendre. IV. 734, h.
Jußißcr, en terme de fondeur de caraélcres, 6c en terme
d’imprimerie. IX. lOi. b.
JUSTIF IEUR, {Fond, de caraci. ) Defeription & ufage de
cette partie du coiipoir. IX. 102. a. Voye^ Caractères.
JU S T IN , ( Hiß. des cmp. ) baffe origine de cet empereur.
Précis de fon regne. Suppl. ÏII. 678. b.
Justin I I , ou te jeune, ( Hiß. des emp. ) fils de la fille
de Juftinien , auquel il fiiccéda à l’empire d’orient. Tableau
de fon regne. Suppl. III. 678. b.
J Y R 77 Justin , m.inyr. Obiervatiens fur ce pcrc de l’édifc R-
fur fes cm ragc.s. V l l l . 317. b. X!L 340.4;. Scjs apologies fV-s
chrenenh. i. .j-a. h. Son femiinein fur !a nature de DRu &
des cfprits.VIil. 372. 42. Sadoéîrme fur le fraac-arbh.e. XIII
X IV . 94S. h. XV. 6b. b. IW i c d e Jullin, martyr; édition
de (es oeuvres. 164.
JU S F IN IAN I , (AvvMrt/) fon hiftoire de Veiiifc. X'\'{I,
ju S I IN ÏE N , {Hiß. des emp.) fils de la foeiir de Juftiti
1 ancien . monta fur le tronc d’orient aj>rès lu mort de fon
oncle. 1 nncipaux événeir.eiis de l'on regne. Supp/, [il, 678. b.
Justinien cnraaerc de ccc empereur 6c de fon regne.
V IL 677. a. 642, rf. X V . 941. a , b. Il crut étendre fa
gloire en batiffant des villes qui portaffenr fon nom. IX.
33. 4i. Etendue de l’autorité qu’il donna aux évêques. 76. a.
Müiiuitere dans lecjucl il enferm.a les femmes qui par ini-
Rre fe proftimoicnr. X. 436. ;t. Il .abolit les ijoITcs en niu-
f ie r s endroit,. X lil. . 7 . 4. Funelics offers ri.; fon i„ ,„ lé -
i.incc. X IV . S76. b. X V I. 889. 4. Il firvoriik le [rarti des
hleuz eontre les y e r ,s . X V i l. 5,9. i . A.,tcu,-s tlei comni-
h,rions qi, ,1 fit faire. IX. 7 , . b. Co,le Juftinien. 111. 2 7 7 1 ,
y . 140. 4 DeciCoiis tleJuffinicn. IV . 680. ...Travaux „ „ e
lui coûta fon code de loix. 992. b. Iiiftitmes de Juftinien.
V. 140. a. VIII. 800. b. Edits de cet cmjicrcur, V . 292. b
Justinien I I , ou U jeune, fils 6c fucceffeur de Ctinftan-
tm Pog(>nat. Tableau de fon regne. Suppl. III. 659. <7.
J ü l ES , ( Grbijr. ) peuples du Jutlmul. Colonies du Jutland
, qui (but paftées en Angleterre. IX. 102. ,2.
JU T L AN D {Géogr. ) Cherfonèfe ciinbriquc des Romains.
L e pays abandonné par les Cinibres.qui furent défaits par
Marius, 6c enfiiiic^ occupé par les .Tiitcs, peuple de Genna-
nie. C e pays divifé en nord-Jutland 6c eu fiui-Jiitlaiu!, ou
duché oc Slcfwich. Divifion du nord-JutlaiKl en quatre dio-
cefes. Quels font les princes auxquels appartient le Jutland.
IX. 102. .2. Foyer Suppl. I. i6 r . b.
1 ^ ^ fontaine 6c petit
lac d Italie. En quel teins 6c comment les eaux de ce lac ont
(d(parii. Ufage facré que les Romains fiiifoient de cette eau.
Hift()ire de la deefte Juturne felon la fiiblc. Difeours que
lui tient Junon dans l’Enéide. IX. 102. Z». ^
JUVEIGNEUR , {Jiirifpr. ) terme ufité dans la coutume
. » pour defigncr les puînés relativement à leur
amc. Ui-donnancc du comte Géoffrol en 1183 , fur la nro-
vifioii que les aînés des fiefs devoient faire à leurs puînés
Autre ordonnance du duc Jean. II. Coutumes à confultcr
IX. 102. b.
JU \ ^ N A L , obrervationsfar ce poète. 5/m«/. IV. 64/. a.
^ iiivitoit à fil table. IX 314
;2. übfervationsfurfesfatyres. XIV. 701.42, E702. h 70s d
JU V EN AU X , >22. , U : t k . r o i ) jeux infthués'^pi Né-
ron. Comment on les célébra. IX. 103. a.
, ( Mytholog. ) déeffe de la jcuncffe. Sa fta-
tiic Sc fon autel dans le capiiole. Temple que lui voua M.
Livms Salinator. Jeux célébrés à cette occafion. L’Hébé des
n r \n c7 r Pas l a d c . s Romains. l.X. 103.47.
JU V IGN I ( Geogr. Aniicj. ) village du Soiffonnois. Obfcr.
yations fur deux colonnes milliaires qu’oii voit dans ce lieu.
Inlcnptions qu elles portent. Suppl. UI. b.
I X IX IO N . f A/,-,/,u/uy ) Auteur qui ac.vuliquélafaMe
IA. 105. 4 1 ragcriie tl Ltirypidc fur La,on. Moialité que Pin-
dare tire de cette fable. Ibid. b. ^
I.xion, fable d’Ixion 6c des Centaures. II. 810. b. J Y
JYRCES , peuples Scythes , leur maniéré de clralTcr. V .