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586 R E S
particulier. X IV . Aiiifi nous devons toujours mériter
rclHmc (les hoinuies, lîms nous fbucicr de 1 obtenir. Ibid.
162. U.
Rêpu’.won, tvy rf RENOMMÉE, Es t im E. D e h réputation
d'bonncie lioinme. V. 1003. u , Z». Loi publiée à Ruine contre
ceux qui blclléroient la réputation de quelqu’un par des
5mpi''inptus. M i l . 630. i. Vices qui blclle-nt la réputation.
Médisance iy Calomnie.
■ REPUTER , ( Crici.^. /der.) différentes fignifîcations de ce
mot dans l’écriture. X IV . 1Ö2. u.
R EQ U Ê T E , ( Jurifpr. ) procedure par laquelle une
partie deniaiide qiiebpie choie au juge. Forme d'une requête.
La plupart des procès coinmenceiu par requête. X IV .
IÖ2. .(. Requêtes dans le cours d’une cnule. A qui elles s’a-
drcffcnc. Par qui elles l'ont lignées. Grolle Öc minute d’une requête.
Ibid. b. Ordonnance de committimus appelée au bas
d ’une requête. III. 714. -i.
iîcquctc d'.impli.uion. X IV . 161. h.
JicquJtt’ d'.ipurcnnnt. III. 784. a.
Riquàs en \ue d’nrrèt. X VII . 364. b.
Rcquèie<.n caß'.ition. X IV . 162. b.
Requête civile. Différentes acceptions de ce mot. Origine
de^ iequctc.s civiles. Voies admifes parmi nous pour fe pourvoir
contre un arrêt ou jugement on dernier refforc d.ms
les matières civiles. Moyens d’obtenir des lettres de requête
civile. X IV . 162. b. Quelles font les feules ouvemirc-. de
requête civile reçues à l’égard des majeurs , à l'égard de
ceux qui font dans l’état de mineurs, Ik .à l’égard du roi.
Délai dans lequel la requête civile doit être obtenue ik la
demande t'orméc. Ou fe placent les requêtes civiles. Suite des
diverfes maximes obl'ervées en France reLiiivemcm aux re-
qitêics c iviles.//’/./, 163. u.
Rti'/.ê-te civile. Différence entre la revifion Sc la requête civile.
XIV, 233. b. Lettres de requête civile. IX. 428. u.
Requêtes rfr l 'hôtel du. roi, (jurijpr. ) de la jurifdiéHon des
fcquêies de l’hôtel. Son origine. Hidoire de ce tribunal.
X IV . 163. b. Lieu de fes nlTemblécs. Objet de cette jurif-
diélion , felon une ordonnance de Philippe V , & félon des
lettres de Charles VI. Ibiif. 164. a. Oificiers de ce tribunal.
Califes qu'ils jugent Ibuverainemenr. Ibid. b. Moyen de fe
pourvoir contre leurs arrêts. Caiifes doni ils connoiffent en
premiere inOancc. Q ui font ceu.x qui ont droit de plaider
aux requêtes de l'iiôtsl , ik. aux requêtes du palais. Ibid.
165. J.
Requêtes de l ’hôtel. Maîtres des requêtes de l'hotel du r o i,
IX. 900. a 5 b. & c. de l'hôtel des enfans du roi , de l’hotel de la
reine. 901. b.
Requêtes du pubis. XII. 33. a. Etabliffement de la chambre
des requêtes du p.ilais. III. 712. b. Juges des requêtes
du pahiis des différens parlemens. 713. Du droit accorde
à certaines perfomies de plaider en premiere inllance aux
requêtes du palais ou de l’liôtcl.712. u , b. Conflit de jiirif-
diction entre les deux chambres des requêtes du palais.
857. U.
Requête d’emploi, d’intervention, introduffivc , judiciaire,
du palais, de prodiiélion nouvelle , de qu’il vous plaifc , répondue
, verbale ou judiciaire. X IC . 165.u.
R.quête verhüte. X VII , 48. u.
Requête, {Hiß. rom.) les requêtes préfentées aux empereurs
, le nommoient libelles, Gc la réponfc étoir appellee
lefcript. X IV . 165. J. Ancienne requête prefentée à un empereur
romain. Refeript dont elle lut accompagnée. Rctiiiéte
préfentée par Eiidémon , marchand de Nicomédie , à l’empereur
Antouin. Refeript de cet empereur. JbiJ. b.
Requête préfeiuêe à l’cnipereiir Antonin le p ieux : réponfe à
cette requête. IX. 854. i. 8 3 3. .t.
Requête, {C h u lfe )X \ \ . i6q.b.
R EQ U IN , {lektliyol. ) defcripi'ton de ce poiffoii de mer.
X IV . i6-).b.
Requin, cc poiiTon reprefenté vol. V I des planches ,
Regne animal, planche 31. Defeription poétique du requin.
X 'V ll. 729. .1, b.
R E Q U iN T , ) droit feigiieurial. Coutiimcsoii il a
lieu. X IV . 166. a.
RÉS ou R e is, {Monn.) monnoie de compte dont on fe
fort en Portugal. Sa/jpÊ IV. 609. é. C ’efl 1a plus petite qui ait
été jul'qu’a prêfent imaginée. Sa valeur. Ibid. 610.
RESCHEL , ( George-Chrijliern ) anatomiffe. Suppl. I.
414. il.
RESCISION , ( Jurifpr. ) aflcs qui font mils de plein droit.
Les voies de nullité n’ont pas lieu en France ; il faut prendre
la voie de la refeifion. Moyens de refeilion. Refcillon d'un arret.
X IV . 166, é. Restitution EN e.ntier,
Re/cifion , lettres de. IX. 428. u.
R É S CO N TR E , {Comm.) cc qu’on entend '^o.x rcfconire Sc
refeontré.Suppl. IV.610. u.
RESCRIPT ,(yr/-'iypr. ) refeript des empereurs. Quelle ctoit
leur force. X IV . i66. i. Qiich[ues-uns prétendent qtie Trajan
ne donna point d« referipts, Rçfcripts inférés dans le code
R E S
de Juffinien. Ihld. 167. u. R equ ête. Ouvrages à con-
fulter. Ibid. b.
Rejcripis des papes. Deux fortes de referipts , ceux de
grace &. ceux de jufficc. Diverfes obfci vations fur cette cf-
pece de lettres apollolkiiies. Ouvrages .à confuher, X IV . 167. a.
Refeript de cour de Rome , déligné fous le titre de pe rinds
vulcrc. X ü . 360. .1.
RESCRIPTIO N , {Comrn.) les referiptions ne font ordinairement
que d’un lupêricur fur fon intéiieur. Referiptions
que l’on prend à Paris à l’hôtel des fermes. Modele de roferip-
lion des banquiers. XIV. 167.0.
R E S E D A , ( ) ciiraéteres de ce genre de plante.
Scs cl'pcccs. Defeription de la plus commune. Lieii.x où elle
croit. X IV . 167. b.
R É SE R V E , {Jurifpr.) réferve des bénéfices ou réferve
apoffoliqiie, faculté que le pape prétend avoir de retenir
à fa collation les bénéfices qu’il veut , au préjudice des
collateurs onlinaircs. Origine de ce fylléme. Les réferves
peuvent procéder de quatre caufos différentes, favoir du
lieu , de la pcrfonne , de la qualité du bénéfice , ék du teins.
De toutes les réferves , celle des liénéfices vaeans en cour
de Rome eff la plus ancienne. En quels cas le collateur ordinaire
peut dilpolér dos bénéfices , comtne s’il n’y avoir
point de réfci ve. Bénéfices non-l'ujets à la réferve. X IV . 168.
U. Quelle cft la forte de referve reçue en France. Ouvrages à
conliiher. Ibid. b.
de bois Réferve des dépens, referve .a faire
droit. Réferve du quart. R éferve des lervitudes. Réferve d'ul'u-
friiit. XIV. 168. b.
Réserves, { Hiß. moJ. Droit public) prérogntive.s réfer-
vées h l’einpcreiir d’Alleinagne. Elles font prefque toujours
diljîutées. On les diliiiigue cii ecdclialliqucs 6c en politiques.
Leur eniiméraiion. X IV . 168..^.
Réserve, { A n milu.) Oificier qui commande les réferves.
Lieux oil elles campent. Comment elles font comoofées.
Leur iifage. Du nombre des troupes de réferve, M. le maréchal
de Saxe mettoit fes meilleu.es troupes .à la réferve On
ne doit jamais faire combattre des troupes , fans les faire
fouienir par des rélerves. Ul'age des réferves chez les anciens.
X IV . 169. U.
Rêjc/ves néceffaires pour pourvoir, dans le cas d'une bataille
, à tous les événemens imprévus. XI. 606. b.
RÉbF.RVGIR , ( Hydr.ml. ) quatre fortes de réfervoirs, les
réfetvoir» fur terre , ceux qui font voûtés, XIV. 169. a. ceux
que l'on bute, ik ceux que l’on éleve en l’air, Matières dont
ils le conOruil'ent. Ibid. b. Hoye^ II. 123. b.
Rêjêrvoir. Connoître la hauteur des réfervoirs par rapport
à celle des je t s , ik la hauteur des jets par rapport à celle
dos réfervoirs. V . 504. b. 303. a. Art de calculer les climcn-
fions d'un refervoir. X V I . 384. a , b. Mur de douve d’un
réfervoir. Suppl. III. 974. b.
Rêjcrvoirs dans les fulincs. II. 23. b. dans le travail des greffes
forges. V IL 144. i l , b , tkc.
R l ser v o ir du chyle , o\x de Pccquet, {Anatom.) fa defeription
, 8c Ibn ufage. X IV . 169. b.
R é s e r v o ir s , {Munuf. de papier. ) grandes caiffes de
charpente , leur defeription & leur ufage. X IV . 169. b.
R É S ID E N C E , {Jurifp. ) Officiers obligés à réfidcnce.
X !V . 169. b. Les bénéficiers fiijets au même devoir. Comment
ils s'en font relâchés. Défenfes qui leur furent faites
par les conciles ék les papes , de Ibrtir de leur réfidence.
Difpcnfes de réfider accordées par les papes. Caul'es pour
lefqiiellcs le concile de Trente permet aux êvêque.s de s’ab-
fenter de leur diocefe, Ibid. 170. a. & aux curés de s’abfenter
de leur cglife. Défenfes faites aux chanoines de s’ablenter
plus de trois mois dans l’année. Les ordonnances du royaume
ont aulfi preferit la réfidence aux évêques , curés , & autres
bénéficiers, dont les bénéfices exigent la réfidence. Ibid. b.
Bénéfices fimples, & qui n’obligent point à réfidence. De la
réfidence des chanoines. Deux bénéfices fujots à réfider foin
incompatibles. Ouvrages à confultcr./é/y. ly i.a .
Rêjidence que chaque nmiveaii chanoine doit faire clairs
fon églife. X V . 489. .7. Difpcnfe de réfideuce accordée à un
bénéficier. IV. 1041. i.
RÉSIDENCE , {Pharm.) X IV . 17 1.J .
R É S ID E N T , {Hiß. mod. ) différens états de l’Europe,'
ou le roi de France n’a que des rcfidens. Caraélere de ces
minifircs. X IV . 171. a.
RÉSIDENS, {Jurifpr. féo dale.)X\V . 171. u.
RÉSIDU , ( Chyrnie. ) dans une recherche reguliere philo-
fophique , il n’y a aucun réfidu proprement d it , ou qui ne
doive devenir le fujet d’une opération uhérieiire. XIV. 171.
a. Différence entre rrßJu öt réjidence. Ibid. b.
Réfidu, voye z caput mortuum. Du réfidu des difiillations.
IV. 1034. a.
R É S IG N A T IO N , ( Jurifpr. ) refignation d’un bénéfice.
Réilgniition pure Gc fiiuplc. Réfignaiion en faveur. Maximes
de jurii|)riulence lur ces deux fortes de réfigiutions. XIV.
171. b. Ouvrages à conl'uhcr. Ibid. 172. b.
R E S
Rêfipiatîon : différence entre l'abdicaticm G: la réfi.»natIon.
I. 16. é. Concordat triangulaire 8c quntriannulaire fuHa réfi-
gnation des bénéfices. III. 826. a. Regies de chancellerie
romaine fur les réfignations. XIV. 23. b. 24. a , b. Réfigna-
tioiis en faveur. IV. 814. a. XI. 414. a. Terme pendant lequel
le réfignant doit furvivre pour faire valoir la réfigiuition.
Claiifes à mettre fur la procuration ad refignandurn. iV . 32.
a , b. Des curés qui réfignent. 373. u. Liberté accordée à un
officier de réfigner fon office, encore qu’il ne furvive pas
quarante jours à la refignation. 1041. b. Un eccléfialtiquc
aceufé ne peut réfigner, quand le crime emporte piivation
du bénéfice, I. 93. j.
RÉSIN E, ( Chym. Phann. Mat. medic.) la réfine eff un
compofé chymique d’une huile eirentielle & d’un acide.
Expériences qui le démontrent. Caraffercs extérieurs, ik
propriétés chymiques de la réfine. Les baumes ne different
des réfines que par une furabondance d’huile effemieUe.
XIV. 172. b. Deux chiffes de réfines , fa v o ir, celles qui
cGuIent de certaines plantes, & celles qu’on retire par le
moyen de l’efprii-de-vin. Teinture formée par refprit-de-
vin , chargé de réfines. Précipitation d’où réiùlte la liqueur
connue fous le nom de lait virginal. Ufages des réfines dans
la [iharmacic Gc autres arts. Plufieurs léfincs font appellees
improprement du nom de gommes. Ibid. 173. a.
Rejine dit pin ; fes iilages : à quel âge du pin on la tire.
XII. 632. b. Maniéré de tirer cette réfine. 633. a , b. Refine
que donne l’arbre qui porte le vernis de la Ciiine. Suppl. I.
849. a. Ufage de la réfme en métallurgie. V I, 914. i . gomme-
réfinc. VU. 756. a , b.
R ésine caoutchoue , ( Botan.) cfpece de réfine. Particularités
fur cette fubffance. X IV . 173. ,7. Arbres dont elle découle,
üfiiges auxquels on l’emploie en Amérique. Ibid. b. — Foyez
C a o u t c h o u e . _ '■
R ésin e éLi/Uque , {Botan. Chirur.) corps fingulicr que la
nature nous offre dans le régné des végétaux. Elle efi venue
récemment d Amérique ; elle fort de l’nrbre comme un fiic
laiteux, Gc ([uand elle eff durcie, 011 dirait que c’eil du cuir.
Suppl. IV . 610. il. Ufages qii’cn font les Américains. On peut
en conffruire des inffriimens , qui ne peuvent être faits d’aucune
autre matière. Cette forte de fubffance employée en
chirurgie pour des bandages conipreffifs. Moyen de la Ibn-
dre, en employant pour cela l’éther très-reffifié. Sa flexibilité
& facilité à s’alongcr. Elle fe raccourcit enfuire, quand
k s caufes defon extenfion n'agiffein plus. Mouvemens qu’elle
donne , lorfqu on l ’approche du feu. Autres expériences fur
fon élafticité, & les différentes propriétés qu’on lui rcmar-
qim. Ibid. b. Carafferes qui la rendent fur-tout d’une utilité
irès-étendue dans la chirurgie. Le premier ufage auquel l’auteur
l’a d’abord deffinée , elt celui de fervir de bandage unif-
fant dans toutes les plaies, dont on eff obligé de rapprocher
les levros. Ibid. 6 1 1. a. Defeription d’une petite machine que
l’auteur a imaginée pour le bec de lie v r e , qui rendra uni-
verfelle 1 application de la refine élaffique pour toutes les
blelfurcs. Ibid. b. Appareils propres à rapprocher les lèvres
de différentes efpeces de bleffures au moyen de cette fubffance.
Ibid. 612. a. Auvre ufage qu’on en tire , celui d ’exercer
les fonélions des imifcles perdus dans les paralyfies, îorf([ue
les mufdes amagoniftes ont confervé leur vie. Defeription
de deux bandages à cet u fag e , l’un pour la paralyfic des
mtifcles pofféricurs de la tète , l’autre pour les nuifcles antérieurs
de l’avant-bras. Ibid. b. Troifieme ufage de la ikTine
élaffique , celui de fervir de bandage compreliif dans tous les
cas où il eff befoin d’une compreffion confiante, fans gêner
les mouvemens des articles ou des mufdes. Ibid. 613. b.
— Foye:^ SUBSTANCE RÉSINEUSE.
RÉSIN É, forte de confiture. XV II . 293. a,
RÉSINEIJX , bois. Baume préparé par fa décoélion. II.
»63. b.
RESINGUE , ( Orfevr. ) branche de fer , pointue Sc pliée
par lia b o u t , 8c arrondie 6c coutbée par l'autre. Deferintion
& ufage. X IV . 173. h. ‘
R É S IS T AN C E , (A/f'c/!<7/7. ) définition. X IV . 173. é. D e la
réfiffance des folides ( on ne parle point ici de celle qui a
lieu dans la pereuffion ). Deux forces de réfiffanccs, l'u ne ,
que nous appelions frottement, v o y e z ce mot ; l'autre , que
nous appelions rêni/cncc. Explication de cette féconde. Moyen
de trouver jufqii’à quelle longueur on peut étendre un cylindre
d’une matière quelconque, finis (lu'il fe rompe. D é ve loppement
de la théorie de la rénitence, d’après Galilée. Ib.d.
174. a. Pourquoi des machines exécutées en petit ne donnent
point une idée de la refilhmee qn’cprouveront en grand
certaines pieces horizontales de femblahles machines. Du
pouls propre à bril'er un corps placé horizontalement. Ibid. b.
Un corps lufpendu horizontalement, étant fiippofé tel que le
plus petit poids ajouté le falî'c rompre, il y a équilibre entre
Ion pouls Gc fa réfiffance. Remarques de M.'vl. Mariotre Gc
Vangnon , fiM e fyftême de Galilée qui vient d’être expofé.
figure doit avoir im corps pour que fa
reliltance loyt égalé dans toutes fes parties. Ibid, b.
R E S 587
Rêfifijncc. Regie fondamentale fur la réfiffance tks foli.Jcs
en g énéral, Gc des bois en particulier. II. 3®2. a D e la réllf
tance de, poutres, XIII. 254.5. D e la réfiffance des cordes.
1 ■ . 207. é. 208, a , b . Sic. Réfifiances produites par les frot-
temens. VII. 3 4 1 .A - 3^4. b. Force de réfiffance des b ois,
voyez ce dernier mot.
Rêfifiance des /hides. Loix de la réfiffance des milieux flui-
(..s. Caufes de la rcfiftance que trouve un corps qui fe meut
dans un fluide. Quand le meme corps fe meut à travers le
même fluide avec différentes viccfl'cs , cette réfiffance croit
en proportion du nombre des particules frappées dans un
tems é g a l, & de ta force avec laquelle le corps heurte contre
chaque panic. X IV . 173, b. Réfiffance qui vient d'e la cohé-
fion des parties dans les fluides. Les retardations qui naiffent
de ta réfiffance , comparées à celles ([u! nalll'uu de ht pclân-
tciir. Quelle eff la réfiffance d’un cylindre qui fe meut dans
un fluide, félon la dircélion de fon a.xc. Un corps qui defeemî
librement dans un fluide , eff accéléré par la pefanteur relative
des ciarps qui agit continuellement fur lu i, quoiqu’avec
moins de force que dans le viiide. Quand les denfités d'un
corps fluide font données , on__pctu connoitre le poids ref-
peélif dit corps ; & en connoiilant le diamètre du corps, on
I)eiit trouver de quelle hauteur un corps qui tombe dans le
vuidc , peut acquérir une vitc-fi'e , telle que la léfiffance d’im
fluide fcr.a égale à ce poids refpeélif. Ibid. 176. a. Loix par
lefquclles un corps plus léger qu’un fluide monte dans ce
fluide. Réfiffance de l’air. Réfiffanccs différentes que te mémo
milieu erppofe à des corps de difl'éremes figures. Quelle doit
otie la figure d’un foiide qui aura moins de réiiff.mce qu’un
autre de même bafe. IFui. b. Géomètres qui ont donné la
demonffration de ce théorème. Obfei vations de rauccur fur
CCS différentes démonffrations. Divers rapports fous lefruiels
on confidere la réfiffance d’un globe parùniemciit dur, dans
un milieu dont les particules le fout auffi. Ibul. 177. a. Réfiffance
des cylindres qui fe meuvent l'uivanc leur longueur
dans des milieux continus & infinis. Réfiffance d’un globe
qui fe meut dans un milieu infini & fans élafficité. Théorèmes
démontrés par M. Jacques Bernoulli, fur les réfiffanccs d’un
triangle , d’im qiiarré , d’un demi-cercle , Sec. qui fe /neuvcnc
dans un fluide, felon diff'érentes dirciffions. Obfcrviirions générales
fur les loix qui viennent d'être expofées. Rien de plus
difficile que de les donner précifes & exaéles. Méthode par
laquelle on peut arriver à des formules affez générales fur la
réfiffance , dans lefquelles il n’emrc que le rapport des cienfi-
tés du fluide, & du corps qui s’y meut. Ibid. b. Méthode
générale de Newton , & de prefque tous les autres auteurs ,
pour déterminer !a réfiffance qu’un fluide fait à un corps foli-
dc. La difficulté iirincipale cft d’évaluer exaélemem l'aélioii
d’un fluide contre un plan ; auffl les plus grands géonretres
ne font point d'accord l.'i-clelTus. Auteurs à confuhe-- Ibid
i - 8 . . ; . • •'
Rêfifiance des mdieu.x. X. 510. b. X IV . 198. b. 109. n b.
D e la réfiffance des fluides. VI. 887. b. D e la réliffance'de
l’air dans le mouvement des pro/eéiiles. F o y e z R a l ist io u e
R ésistance y « e.-7/.'.v, ( //ye'r.7/'/. ) X IV . 17S.
RÉ SO LV AN T E S opêr.niuns, {Chymie ) XI. 301. a.
RÉSOLUTIFS intcines, {Ther.ipcur.) :iStlon de ces remèdes.
Diff'ércns dilTolvans pour les dift'érenies fortes d'humeurs,
ü n doit aider leur cff'et par des friélions, Différentes daffes
de réfokuifs. X ÏV . 178, b.
R é s o l u t if s , {Alat. médic. e.xterne) quelles font les rumours
qu’il faut faire fuppurcr. Pour obtenir la réfolution des
autres, il faut que lc,s humeurs folent alfez fluides pour
rentrer dans la circulation. Moyens d'obtenir cette réliflu-
tion. Enumération des refohirits les plus doux G: les plus
propres à atténuer les lumieurs, & .a donner du refforc aux
vaiffeatix. X IV . 179. a. Signes par Icl'queis la réfolution s’annonce.
Ouvrages à conl'ulicr. ibid. b.
Refolucifs , remedes. XIII. 783. b. .Comment leur aélioii
doit être aidée. X IV . 180. b. Farines rél'ohirivcs. VI. 413. b.
D e l’iifage des réfoltuifs dans les inflammations, N'IÎI. 710. u.
Obfervations fur la nature Sc l’effet de ces remedes. XII.
319 ,7.
R É SO LU T IO N , Dêcifion , { Synonym. ) dift'ércnce d'uîécs
que prél'cntcnt ces mors. X IV . 179. é.
RÉSOLUTION , & plus commtmémenr fohiùon , ( M.nhitn. )
Deu.s efpeces de rélbUitlons algébriques, l’ime s’exerce fi;r
les problèmes luimériciues, G: l'autre fur ceux de géométrie.
Méthodes .à liiivrc pour réfoudie les uns Gc les autres.
Ibid. 180. .7,
Réfolution, méthode de réfoudre les problèmes en nombre
, connue autrefois fous le nom d’exclüiion. V L 221 .5 , 5.
— Foyet;_ SOLUTION.
R é so lu t io n , ( Phyfq- ) rcduéllon d’un corp.s en fon état
originaire Gc primordial. Philofophes qui prétendent que l'état -
naturel de l’eau eff d'etre glacée. X IV . iSo. a.
R é so lu t io n , ( Médec. ) terminaifon ordinaire de l’inflamination.
Cominent le fait la rcfolution. Ses caufes. Les éréfi-
peles l'ü véfolvciic plus ordinairement que les phlegmons. Les
'À y