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a88 NEW N E Z
Ibid. b. Dos verbes fmneois qui forment leurs prétérits ou par
l'auxiliaire avoir ou par l’auxiliaire être. Ces verbes font les
fuivans, convenir, demeurer, defeendre , monter, p.ijjer, reparti'
8c périr. Dift'érencÈ entre l’expreffion j ’ai été &C je fuis allé.
Ibid. 121.
Neutre. Du genre neutre dans les noms , voye^ G enr e .
Des verbes neutres. I. ii8 . a. D e la formation des prétérits
des verbes neutres abfohis en françois. XII- 97. a. Réfutation
des raifonnemens par lefqnels Sanélius prétend prouver
qu’il n’y a point de verbes neutres. X IV . ^ 3 . 5 4 . J.
N e u t r e , ( C7tym.) XIV. 908.^1 ,^. — 9 1 0 . Neutrali-
ûtion de l’alkali. Suppl. I. 286. a , b.
NEUVAINES , leur origine. XI. 237. b.
NEUVEVILLE , ( Gèo^r. ) mairie & ville de l’évêché de
Balle. Fondation de cette ville. Sa fiiuation. Son gouvernement.
Son droit de bourgeoifie avec Berne. Obfervations liir
les habicans. Source de leur richefle. D u maire de la ville.
Suppl. IV. 44. a.
N E U V IEM E , { A r i th .)X [ . iz t .b .
NEUVIEME, oélave de la fécondé. Accord par
fuppofition , qui s’apjielle accord de neuvième. X I. t u . b.
Neuvième. Autres acccords de neuvième, outre l’accord
de neuvième par fuppofition, dont il eft parlé dans l’Encyclopédie.
On peut pratiquer la neuvième dans tous les accords,
oil l’on auroit pu mettre l’oétave de la baffe. La neuvième
peut encore fe fauver par une marclie de la baffe &
du deffous. On peut quelquefois ajouter , fans la préparer ,
la neuvième à l’accord de la dominante tonique. Quel ell l’accord
de neuvième le plus agréable. Suppl. IV. 36. a.
NEUVILLE r « , ( GVo"/-. ) bourg do Picardie. Suppl.
IV . 36. a. Hommes célébrés nés dans ce lieu. Ibid. b.
Neuville, anciennement Noviomagus. Suppl. IV . 64. a.
NEUVlLLE-/fi-Z7j/n^r, en Breffe, {prieuré & chapitre régulier
tf«) fa fécularifation. Croix que portent les chanoineffes.
Comment ce chapitre cft compofé. Conditions requifes pour
y entrer. Suppl. IV. 36. b.
N EW A R K , {Géogr.) ville d’Ang leterre, dans la province
de Nottingham. D e fou antiquité. Evénemens qui l’ont
rendue remarquable. Suppl. IV . 43, b.
NE W B U R Y , ( Geogr.) ville d’Angleterre, dans la province
de Berck. Ses fabriques. Son origine. Batailles livrées
fous fes murs en 1643 ^ *<^44. Suppl. IV . 44. a.
Newbury, en Angleterre. Obfervations fur la bataille de
Newbury. Sttpp/. IV . 379. j .
N EW C A S T L E , {Géogr.~) ville d’Angleterre. Sa deferip-
tion. Sonancien nom. Négoce du charbon de terre qui fe fait
à NewcaHle. P rivileges de cette ville. X L 1 11. i . Obfervations
Tur le vénérable Bedo, né àNowcadle Si. fur fes ouvrages. 7^/^/.
122. a.
NEW-JERSEY ou Nouvelle Jerfey , ( Géogr. ) province de
la nouvelle Albion. Province d’ElVJerfoy. Ses bornes. Avantages
qui s’y trouvent pour la navigation. Frodiiélions. Province
d’ouert-Jerfey. Fourrures qu’on y trouve. Autres pro-
duélions. XI. i i z .a .
N EW PO R T , ( Géogr. ) chef-lieu de l’ille de Wig t. Obfervations
fur Tiîomas James , no dans ce lieu , & fur fes ouvrages.
Autres villes du mémo nom. X I. 121. a.
N EW -SO L L , en Hongrie, fource d’cait cuivreufe qu’on
trouve près de ce lieu. X V II . 714.7.
N E W T O N , [ I f ia c ) N ew to n ia n ism e .
NEW TO N IAN ISM E , ( Phyfup ) différentes fignificatîons
du mot de philofophie newtonienne. On entend parrlculiére-
meni ici par ce mo t, les nouveaux principes que Newton a
apportés dans la philofophie , le nouveau fyftême qu’il a
fondé fur ces principes , & les nouvelles explications des
phénomènes qu’il en a déduites.XL 122. b. Temsauquelces
principes furent publics. Auteurs qui ont tenté de rendre la
philofophie newtonienne plus facile à entendre, ou qui ont
commenté l’ouvrage de Newton. Lenteur avec laquelle cette
philoJophie s’eft établie en Angleterre. Plan que Newton
a fuivi dans l’ouvrage intitulé Philofopliitz naturalis prin-
cipia mathematica. Ibid. 123. a. Les différens points de cette
philofophie font expliqués dans ce diéllonnaire aux articles
qui y ont rapport. Legrand principe fur lequel eR fondée la
philofophie newtonienne , c’eü la gravitation iiniverfelîe.
Phénomènes expliqués par ce principe, ou qui fervent à le
démontrer, i. Les fatellites décrivent autour de leur planete firincipale des aires proportionnelles auxtems, & les teins de
eurs révolutions font entr’enx en raifon fefcuplée de leurs
diftances au centre de la planete principale. 2. La force qui détourne
continuellement les fatellites du mouvement refllli-
gne Sc les retient dans leurs orbites, eft dirigée vers le centre
de la planete principale, 6c cR en raifon inverfe du quatre
d e la diflance à ce centre. 3. La lune pefc vers la terre , &
cfl retenue dans fon orbite par la force de gravité. Démonf-
trafion. Ibid. b. 4. Tous les corps gravitent vers toutes les planètes,
& leurs pefanteurs vers chaque planete fo n t , h égales
diltances , en raifon dircéle de leur quantité de matière. Ibid.
1 ^ . a. 3. La gravité s'étead à tous les corps, 6c la force
avec laquelle un corps en attire un autre , eR proportionnelle
à la quantité de matière que chacun contient. Méthode
pour trouver 5c comparer les gravités des corps vers
différentes planètes , pour déterminer la quantité de matieic
de chaque planete 6c fa denfiié. 6. Le centre de gravité coni-
imm du foleil 6c des planètes eR en repos; 6c le foleil, quoique
toujours en m ouvement, nes’éloigne quefo rtpeu du centre
commun de toutes les planètes. Ibid. b. Les planètes fe meuvent
dans des ellipfes dont le centre du foleil eR le fo y e r , 6c
décrivent des aires autour du foleil proportionnelles aux lems.
8. Les orbites de jupiter 6c de faturne un peu dérangées par
l’aélion réciproque de ces planètes l’une fur l’autre. 9. L’u.xe
de chaque planete eR plus petit que le diamètre de fon équateur.
xo. Caufesdes inégalités obfervées dans le mouvement
de la lu ne , 11.6c de celles qu’on obferve dans le mouvement
dc^ autres fatellites. 12. Caufes du flux 6c reflux de la mer.
Iftd. 125. a. 13. Théorie des cometes. Des objeélions qu’on
/faites contre la philofophie de N e w t o n . b.
Newtonianifme 6c Newtoniens. Province d’Angleterre où
Newton naquit : obfervations fur cet homme iUuRie6cfur
fes ouvrages : honneurs qu’on lui rendit après fa mort. IX.
333. b. X V II . 630. a , b. — 635. a. Obfervations fur fa philofophie
6c fur fes ouvrages. I. xxvj. xxvij. dife. prelim.
Epitaphe de Newton. V . 817. a. X V II . 634. a. Réponfe
de M. de la Mothe à un liomme qui parloit avec mépris
de ce philofophe. V IL 627. u. Regies qu’il a données pour
l’explication des phénomènes de la nature. Suppl. IV . 319.
h , 6cc. Ses ouvrages fur la géométrie. V i l . 631. b. 632.
a. L’analyfe perfciVionnèe par N ewton. I. 262. a. Son traité
des lignes du troifieme ordre. IV . 382. b. Obfervations fur
fon calcul des fluxions- IV . 983. b. 9 ^ , b. Examen de la
queRion s’il efl l’auteur du calcul différentiel. IV . 988. b.
Dotflrine de Newtoti fur la defeente des corps , 874. b. fur
la réfillance des fluides , V I. 888. a , 7. lur l’attraiRlon, I.
846. a , b. fur la gravitation , V IL 871. a , b. 6cfnr la grav
i t é , 873. 7. fur les couleurs, IV .3 2 7 .7 . 6clur la liiniiere.
IX. 718. 7 , 6'c. Sa table des réfradions. Suppl. IV . 899.
Son fentimem fur le feu 6c la chaleur, III. 26. a. fur
la dureté , V . 172. a. fur l’élaflicité , 444. 7. 446. a. fur l’éther.
V I. 31. 7. 619. 7. ARrononiie de Newton. I. 791. a.
Son fenciment fur les cometes. III. 674. 7. Réponfe à une
objeélion des Carcéfiens contre la gravitation Newtonienne.
XII. 707. b. Correfpondance des calculs newtoniens avec
les obfervations. X V . 782. 7. Théorie de Newton fur l’ap-
piaiifleinent de la ter re .V I . 752. 7. 733. a. 736. 7. 737.
a. Table qu’il a donnée des valeurs du degré du méridien.
Suppl. IV. 878. 7. Sentiment des Newtoniens fur la quef-
t ion, fi la quantité du mouvement dans l’univers eR toujours
la même. X. 834. 7. 833. a. Chronologie de Newton.
III. 391. a , 7. Ses obfervations fur les années des premiers
peuples. X V l. 7 72 .7 . — 774. 7. Les Newtoniens ne font
pas affez de cas des hypothefes. VIII. 4 1 7 .7. T ékfcope newtonien.
X V I . 4 3 . 7 . 4 3 . 7 .
N EW -Z Ü L , {Géogr.) ville de la haute-Hongrie. Obfer-
vationfurlts mines decuivre qui font dans ce ttevilleôcaux environs.
XL 123.7.
NEXUS , ( Droit rom.) citoyen attaché par efclavage à fon
créancier pour dettc.s. XL 123. 7. Les travaux de ces débiteurs
n’entroient point en déduétion de leurs dettes. En quoi cette
forte d’efclavage différoitdu véritable. Tumultes que cette
coutume excita dans Rome. Son abolition l’an de Rome 429.
Ibid. 126. a.
N E Z , {Anatom.) defeription de tontes les parties Internes
6c externes de cet organe. X L 126. a. Utilités du nez. Ibid. b.
Variétés dans fa grandeur 6c dans fa figure. Pourquoi les Nègres
ont le nez applati 6c les lèvres greffes. Pluficurs peuples
trouvent de l’agrément à fe percer le nez pour y paffer toutes
lortes d’ornemens de leur goût. Sa forme 8c la pofition plus
avancée que celle de toutes les autres parties du v ifage, font
particulières à l’elpcce hiiinaine. Ibid. 1 27. a.
Nes;_. Deferiptions de cet organe. VIII. 268. a. XT. 334,
7. Suppl. IV . 100. 7. Lames inférieures ou cornets inferieurs
du nez. IX. 227. a. Os criblcux du nez. IV, 462. 7. Os
unguis. X V II . 380. 7. Oblique du nez. XL 307. 7, Mufcles
pyramidaux. XIII. 394. a. Membrane pituitaire du nez. XII.
664. a , 7. Humeur fébaccc retenue dans fes petits canaux
autour du nez , que les perfonnes peu infirtiites s’imaginent
être des vers. X V . 887. 7. Différentes fortes is<inQz.Suppl.
II. 343- .r , 7. Voyc:^ NariNES.
N ez , maladies du , ( Mèdec. ) maux qui réfultent de ce que
les fiiuis qui compofent l’étendue du nez fout trop refferrés ou
étranglés. Ceux qu’occafionne la qualité viciée d,e l'humeur
muqueufe du nez , Fon épaiffiffeinenr, fa trop grande fluidité ,
fa trop grande abondance. XL 12 7.7.
Mucüfité qui en fort. X. 847. a , b. 848. a. Du fai-
gnement de nez. V lI I . 119, a. PrognoRics tirés des hémor-'
rhagies par le nez. X V . 306. 7. Vers qui s’engendrent à l:i
racine du nez. X V II . 43. a. Des polypes dans le nez. XIV.
663. a. 950. 7. 951. «J, 7. De la puantem: ür nez. X R L
N I C
549. a. 370. a. Des remedes propres à être pertes dans le
nez. V . 913../, 7.
N e z , (proverbe. Langage) N ou e n s zh rm k , origine de
cette plailauterle. IX. 176. u. Parler du nez. XVII. 431.^.
Ne z , {Modes) Des anneaux portés au nez. I. 47g! b. XII.
429. 7. Touret du nez. X V I . 474. u.
Nez coupé ou faux Pißac/iier, {Botan.) caraâeres de ce
genre de plante. Defcnption de cet arbriffeaii. XI. 127. 7. O rigine
des noms qu on lui donne. Lieux qui lui conviennent. M aniéré
de le multiplier. Ufage qu’on en peut faire dans les jardins.
Qualité de fon bois. Autre efpece de cet arbriffeau
nommée nei coupé de Virginie. Sa defeription. 128. </.
N i.z , ( O / / / 5 . o b f e r v a t i o n s fur les différens ufages
de ce mot dansleRyle de l’écriture. Les Romains regardoient
les gens dont le nez étoitaquilin ou crochu , comme'enclins h
la raillerie. Le mot de nez fervoit à exprimer la fierté 6c la
giandcurd’ame dans la langue hébraïque. Les femmes d’O -
rient, en quelques endroits , mettent des cercles d’or à une
de leurs narines. On mettoit des anneaux aux nazcaux des
boeufs 6: des chameaux pour les conduire, XL 1 28.7.
Ne z , {M eta ll.) nez dans les fonderies. XI. 128. 7.
N ez du navire, { ALirine ) XI. 128. 7.
N ez d’un bateau, {Charp.) XL 128.7.
N ez ,{M a r c ch .S x \ . 128. b.
N e z , {Manege) Avo ir le nez au vent. IV. 269. æ. Du
nez du cheval. Suppl. III. 379. ^.383, b. 386. .2. 394. 7. 397. 7.
Nez dur ; nez haut, ou chien de haut
nez. X L 128. 7. Pourquoi certains animaux ont meilleur odorat
que l ’homme. Ibid. 1 29. a.
N G
N G O -K IA O , ( Hiß. des drogues de L Chine) colle faite
avec la peau d’âne noir. Maniéré de la préparer. XI. 120..1.
NG OM BÖ S , i Hiß.mod.Supeißiiion) prêtres impoReiirs
des peuples idokàtres du royaume de Congo en Afrique.
Moyensqu’ils emploient pour tirer des libéralités des peuples.
XI. 129. J. N H
(-^oran.) plante farmenteufe d’Amérique. Sa
defeription. XL 129. a. Lieux où elle croît. Qualité de fes feuilles.
Ibid. 7.
N H AM D IU , {Infcélol.) efpece d’araignée du Bréfil. Sa
defetiption. XL 129.7. Namdui.
NHAN D IROB E , ( Botan. ) plante farmenteufe d 'A mérique,
Caraéleres de ce genre de plante. Sa defeription.
XI. 129.7.
N H AN D U G U A C U , ( Omith.) oifeau du Bréfil , de la
claffe des autruches. Sa dcl'cription. X L 1 29. 7.
N I
N IAG A R A , faut de, ( Hiß. nat. Géogr. ) en Amérique. II.
769. a , b. .XIV. 72Ç. a.
N IAIS , (GV.!/««, ) en quoi confiRe ce caraftere. Faux niais
dont il cR ailé de devenir la dupe. XI. 130. a.
N IC A R A G U A , ( Géogr. ) province de r.Amérique fepten-
tnonale. Ses bornes. Qualité du terroir. Ses ville s, fes rivieres
6c fes produirions. XI. 130. a.
Nicaragua , qualité du climat de cette province. XVII.
727. a , b.
N ic a r a g u a , ( Géogr. ) lac de ce nom. XL 130. a. Iflc de
ce lac où fe trouve im volcan. Ville de ce nom dans la province
dont on vient de parler. Ibid. 7,
NICARI..\ , ( Giogr. une. 6' mod. ) ifle de l’Archipel. Sa
delcriptiüii. Ses haifitans. Produirions de Tifie. Sa population.
Origine du nom iClcaria donné à cette ifle. Langue & religion
des liabicans. Culte de Diane établi autrefois dans Ica-
iia. Vieille tour qui fervoit autrefois de fanal pour lesvaif-
feaux. Comment les Nicariens font gouvernés. Impôts qu’ils
paient. XL 130. 7. ^
NICE , comté de , {Géogr. ) fon étendue 8c fes bornes. Produit
du pays. Obfervations fur Jean Dominique Calfini, né
dans le comté de Nice en 1625. Ses travaux 6c fes décou-
yertes en aRronomie. XI. 131. a.
N ice , ( Géogr. ) ville capitale du comté de même nom.
rnnee qui h polfede. Révolutions de cette ville. Sa fitua-
ptemiers fondateurs furent les Pliocéens. Beauté 8c
Tcrtilitü de les environs. Elle eR aujourd’hui entièrement dé-
(on ancienne dignité. X L 131. 7.
^ ^ » ( Myth. ) nom Grec de la viâoire. XI. 1 31. 7.
f o n d S . ^ aujourd’hui Ifnich. Son
certe vUl,^ * médaillés nous apprennent touchant
atio le r i i ’r-rt' devenue remarquable depuis
ä h vie ^ - 3'. i. Obfcrverions
f^oiï célébrés écrivains nés dans
I C 289
cette ville , favoir Hipparque, aRronome , Dion-Caffius
luRoricn , 6c Parthenius, auteur du liv r e , des paffions d'amour.
Ibid. I 3 2. a.
M e * aujourcHn,! Ifnicl., VIII. 916. i. Symbole de cet.e
Ville. A V . 727. a.
Nicée eooafc, * e „ i ) premier concile tenu dans
cette ville. III. 808. n. Ibir qui il fut prcfidé. S t t . h. 814
a. S, ce concile ordonne le célibat aux prêtres. II. 804. I
JW l . 645. b. Ce concile aceufé davoir innové dans la clo-
am e . IV 10. U. Le jour de Pâques fixé par ce concile. XI.
S81. i. Ouvrage de George Bull , intitulé firW é de U foi
du eme, c * M e * . XVII. 596. L Second concile tenu dans
cette ville. III. 809. a. Livre compofé par ordre de Charlemagne
contre ce concile. H. 692. 7.
_ NICEPHO RE, ( Hiß. des emp. ) empereur d’orient. Principaux
evenemens delbn regne. Suppl. IV, 44. a
Nkephoro I. attaqué par Aaroii-Rashid I fe réconcilié avec
Un. Suppl. 1, 3. a.
Nicephore IL ou Phocas , précis de fon regne Suvpl. IV.
44. 7. "
Nicephore F // .o u Botoniate. Principaux événemens de fon
regne. Suppl. IV. 44. 7.
Nicephore Cuhße , fon témoignage fur la vifion de Conf-
tamin. X V II . 349. a.
N ICH A BO U R , ( Gwgr.) ville de Perfe. Combien elle a
. déchu de fon premier éclat. Turquoifes qui fe trouvent dans
les montagnes de fon voifiiiagc. XI. 132. 7.
NICHE, (^^rc/iù.) diflimRion de différentes fortes de niches*
niche a cm ; n.clic angulaire ; niche d’autel ; niche de buRe \
A L 132. 7. niche de rocaille; niche de treillage; niche en tabernacle
; mciie en tour ronde ; niche en lonr creufe • niche
feinte ,qunrréc, ronde ,ruRique. Les niches étoient fort en
ulage clans les edifices des anciens. En quel lieu elles doivent
etre placées Proportions qu’on doit obferver dans leur conf-
tn\t.t;on. Ibtd. ip .d i.E fp a c e entre celles qui font placées les
unes aii-deffus des autres. Boffages .autour d’une niche Q u elques
modernes ont regardé les niches comme un ornement
de mauvais gour. Etymologie du mot. Ibid. b.
Niches, repréfemées dans les plajiche,s d’arcliiteélurc, vol I
Statues clans les niches. X V . 301. b. Niches appellees cc/ü«.:
baria chez les anciens. 74. a. Ciiambrcs en niches. 111 46 7
Nic h e , ( r/icWeg. ) efpece de trône où l’on place le S*.
Sacrement. Il eR parlé dans les anciens de niches ou pavil-
ons fous lefquels on portoit les images des dieux. Pavillon
chi dieu Moloch que les Ifraélites portèrent dans le dé-
lert. Petits temples de Diane d’Ephefe. Comment la coutume
de porter les hgurcs des dieux lous des tentes & dans des
Imeres couvertes , prit naiffance chez les Egyptiens. XI.
133. a. Exemples de pluficurs dieux portés de cette maniéré
Petits temples portatiik/7i./. ij4 :a .
NICF IÜ LS, {François) anatomiRe. Suppl. I. 408 a 8c
phyfiologiRc. Suppl. IV . 338. .2. Ses injeaions. Suppl ’l l l
602. a.
N IC IA S , capitaine Athénien. Son caraRere, Suppl. I. 673. 7. Comment il rétablit l’ordre entre les muficiens làcrés que
les villes Grecques envoyoient à Déios. XIV. 249 a X V I
253. a. Difeorde entre Alcibiade 8c Nicias, XI. 694. a. Il eR
envoyé en Sicile. Suppl. I. 239. a , 7. Perte que lui caufa
une echpfe de lune. Suppl. II. 732. 7. Comment fes foidats
vaincus en Sicile trouvèrent moyen d’y fubfiRer X IV
537 . 2 • .
Nicias, peintre Athénien. XII. 260. 7.
N IC K E L , ( Minér. chymie. Métall. ) nouvelle fubRance
minérale trouvée en Suede dans une mine de cobalt. Différentes
obfervations fur la mine dont on tire le nickel, XI.
134. a. 8c fur la nature de cette fubRance. Matières avec lef-
quellcs le nickel s’allie. Chaux du nickel. Ibid. 7.
NICO B AR , ( Géogr.) ifles des Indes , dont la principale
porte particuliérement le nom de Nicobar. Situation de cette
ifle. Son étendue. Arbres dont elle eR remplie. XI. J34. 7.
Obfervations fur les habitans. Animaux dont ils trafiquent.
Ibid. 133. a.
N ICO C L É S , roi de Paphos, fa mort & celle de fa famille.
Suppl. I. 727. a.
N ICO D EM E , évangile de. VI. 116. 7.
N ICO L A I , {Litt. 6* Botan. ) nom qu’Augufle donna aux
dattes fameules de la vallée de Jéricho. Eloge de ces fruits.
Origine de leur nom. Auteurs qui ont cru que les nicolaï
n’étoient point des dattes, mais des efpeces de gateaux. Ce
fentiment rejette, XI. i3 3-<t.
Nic o l a ï , Ollaiïs, ( Hiß de Norwege ) gentilhomme Nor-
wègien. Révolte qu’il excita dans fon pays. Sa fin malheu-
reufe. Suppl. IV . 43. a.
Nicolaï, critique de fon ouvrage fur les gants. IX. 607,7
N ICOLAITES , ( Théolog. ) une des plus anciennes fe âe s
du chriRianifme. Maxime particulière ciei nicolaïtes fur la
communauté des femmes. Anecdote fur Nicolaï, auteur de la
feR e, 8c fur fa femme. Différentes imputations faites aux
uicülaïtes. Origine du nom de nicolaïtes , U o n quelques
O D d d