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A/)'/.vrjj- iLs Rj-Tuins. Pureté avec laquclic il» étoient célé-
brés.'XlV. 87. b.
A/>yX/cr d'ins. VIII. 913. rf. MylU'i'es de Miihra. X. 581.
MYSTERES d e S . im o th r .if e , ( L u t . ) voyr- A ntopsie.
MY Si'ÉRlGUSIi , yè/V/za'. Son origine attribuée en partie
au définie des voyelle» d.ms quelques livres de l'antiquité.
VII I. 80. b. Ancienne coutume de voiler la Icience
au peuple. XIV'. 79 t . b. Goût des Oricniaux pour le myf-
tore. VIII. 81. b. Les pliilofo'shcs avoieiir aiilii leur doctrine
fecrete , reyr? l.)oC'rsiNE. Science l'ecretc dans le
chridianiline, q u i, léloii Clément d'Alexandrie , n’étoic communicable
qu’aiix parfaits. X IV. 791 . u , b.
M Y S T IQ U L , ( C n ü q . f . i c r . ') origine de la métliode d’interpréter
récriture d'une m.anie.c alL-gorique & myftique. X.
b. Les anciens l'ages affeéloicnc de cadier la l'cience fous
de» lynibolesik (les énigmes. On acru qu cM o ife en avoit ufé
de niéine , Sc que Jefus-Chrift kvoic donné aux apôtres la con-
noifl'aiice des k n s mylHques. Vrai fentiment des apôtres fur
cette maniéré d'interpréter. Les pères la regardoient comme
la fcicncês des fages & des parfaits. Ibid. 924. a.
Myjlique. Origine de la théologie inyllique. XI. 552. n.
Article fur cette forte de theolog ie.X ’V I .2 5 i.i'.S e n sm y ( -
tique des écritures. V . 366. . î , b. Des explications inyfiiqucs
des livres facrès. X V . 21. b. 29. , h. Contemplation des
myfiiques, IV. 1 11. n. VI. 399. a. leurs cxiafcs , VI, 324.
b. leur inaéfion. V llI . 640. b. XL 551. b. Ce qu’ils entendent
p.ar vie intérieure. V i l l . 819. d , é . Q u i É T l S M E .
M y jliq u e . Düélrinc d’imc fcéle perfane. X V .403.*;, é. Les
tliérapeutcs étoient tme feéle de mylliques. X V I . 263. b.
M yst iqu e , tc fl.im e r it, ( Juri/pr. ) X V I. 194. j .
M Y T H O LO G IE , ( ^ B c l l . U i i .) divers objets qu’elle em-
braife. X. 924. .t. La mythologie conditue la branche la plus
grande de 1 etudccies belles-lettres. Son étude eftindifpenfable
aux peintres, aux fciilpteurs & aux poètes. Exercice de la critique
dans la mythologie. RédufHoii du merveilleux au naturel
, felon l'Iiypothcfe enfeignée par Evhcinare. Ibid. b. Différence
elTentielIe entre les diverfes efpeces de fiélionsqui fbr-
moient le corps de la fable ; les unes fe rapportoient à la phy-
fique , d’antres à la métapliyfique , d’autres enfin tenoient à
riiidoire. Fonélions de la critique par rapport à celles de cette
troifieme clalTe. InftruéUon que nous donnent les tiélions phi-
lofophiques. Mélange de liftions formé de l’alTemblage de dif-
férens cultes. Diverfes fources de liftions qui iiilluoieut fur le
fonds, fur la forme fur toutes les branches de la mytholo-
M Y X
g ie ./ iiY 923. <ï. O nne doit point chercher dins la mythologie
des faits liés cnfemble ik r^'vétus de circonllances vrail'cm-
blablcs. C ’cfl un corps informe, irrégulier, mais agréable
dans fos details. Erreursoù font tombés nos meilleurs atitcurs
en voulant concilier les fables avec l’hilloire ancienne des divers
peuples du monde. Syltème mythologique de M. Plu-
clie , expofé dans Ibn Hijhirc du ciel. Voyc^ au mot FM e un
précis des recherches de M. l’abbé Banier fur les différentes
lources des fables. /éiY i. Auteurs à confulter. Ibid. 926. j .
Mythologie. Diverfes fources de h mythologie. VI, 2-’ 4
m 342. b. XVI. 309. b. L’art d’envifager un mot fous tomes
les combinaisons poffibles a été une de ces fources, VU E
S i . n. L’artilice de la poéfie a été quelquefois de transporter
riiilloirc de peuples connus dans des pays élol^’ nés. XL
743. b. Pluficurs héros de la mythologie étoicnr originaire*-
ment des perfonnages allégoriques. Suppl. I, joo . u. 307 b.
C e ft à l’allégorie que l’on doit toute la beauté de la mythologie
des Grecs. 302. b. La mytliologie des Grecs cft un
calios, & non pas un fyAéme. VH. 903. a , é. Mythologie
des Egyptiens. VU E 913. b. On trouvera dans les fabtes
anciennes tout ce qu’on y chercher,1. III. 421. b. Des
moyens d’éclaircir la mythologie. Suppl. 111. 10. a. Ufage
de l'art des étymologies pour l’explication des fables. V I .
i i o . b. Réflexions fur les explications que quelques ptilo-
fophes ont données des liflions poétiques par des allégories
ou des dogmes de phyrique. IX. 66. b. Sur l’intcrpreha-
tion des fables dans un feus phyliqiie , vo yq Suppl. HL
189. n , é. — 193. a. Origine ou développement de tout le
merveilleux de la mythologie. Suppl. IV . 1001. ^ D e
l’utiliré que la poéfie a retirée des riflions d e là mytholocie
1002.4. ®
M Y T ILEN E , ( Géo^r. anc. ) ville de l’iHe de Lesbos. Ses
révolutions. Médailles de cette ville dont les cabinets des antiquaires
font remplis. Obfervations fur les hommes célébrés
que Mytilene a produits. Pittacus j Alcée : X. 926. a. fes poé-
hcs. Sapho. Médailles frappées à Mytilene en l’honneur de
Pittacus, d’A lcée & de Sapho. Auteurs à confulter fur la
viedeSapho. Ihid.b. La poéfie, la mufique, laphilofophie &
1 éloquence étoient cultivées à Mytilene. Monnmens qu’on
voit encore aujourd’hui dans C a flro , bâtie fur les ruines de
cette v ille ./h Y 927. 4, V o y ei^ Mételin 6* L esbos.
MYX IN E,_(/ f^. ztuf.) nom donné par Linnæus à un animal
marin , feul de fon eenve , de l’ordre de ceux qu’il appelle
vers iniejïms. Sa defcription. Ses meeurs. Suppl III
984. b. ‘ ‘
.PI
N
L articulation repréfentée par cette
lettre efl linguale , dentale & nafale.
Commutabilité de cette lettre avec
d’autres. Elle a quatre ufages dans la
langue françoife. 1 “. Elle ell le figne
de l’articulation ne , 2°. A la fin de 1;
fy lla b e ,e lle cft le figncorthographique
de la nafalité de la voyelle précédente.
Dans pliifieurs mois terminés
par cette lettre, comme figue de nafalité, il arrive fouvent
que l’on fait entendre l’articulation n e, fi le mot fuivant
commence par une voyelle ou par un h muet. XL i. a.
Obfervations fur la prononciation des mots bien, en &0/1,
fuivis d\in mot qui commence par une voyelle. Ibid. b.
D e la prononciation du mot rien dans la même circonf-
tance. 3“. La lettre n eftuii caraélere auxiliaire dans la re-
préfentation de l'articulation mouillée que nous figurons
parf//. 4“. Cette lettre eft avec le t , un figue muet de la troifieme
perfonne du pluriel , à la fuite d’im e muet. Ibid. 2. a.
N , obfervations fur cette articulation. IX, 336. b. Cette
lettre , la plus liquide de toutes , eft la caraélérillique de ce
qui agit fur le liquide. IX. 483. a. Foye;^ auffi fur cette articulation
l'artidc Nasal.
N, fignification de cette lettre en terme do marine , fur
nos monnoies,Iorfque les anciens l’employoient comme lettre
numérale, XI. 2. a. Sc dans le commerce. Ibid. b.
N {écriture) formation de cette lettre. XI. 2. é.
N double , en terme de boutoiinier. XL 2. b, N A
NA , ou N .tg i, ( Botan. ) efpece de laurier. Sa defeription.
XI. 2. b.
N A AM A N ,é c4 « ( Hiß. facr.) feigueur Syrien, que le
Îrophetc Elifécguérit de la lepre.Suites de ce miracle. Suppl.
V. I , 4. Naaman confidéré comme une image des païens
appelles à la foi & au baptême de J. C. Ibid. b.
N A BA B , ( Hiß. mod. ) gouverneur prépofé par le grand
Mogol .à une ville ou à un diltriél, Les gouvernemens du premier
ordre fe nomment foubas. XL 3. a.
N A B A C , fruit du lotus , atnfi nommé par les Arabes.
X IV . 486. 4.
N A B A L , force ( Hiß. facr. ) Ifraélitc de la tribu de Juda.
Affaires entre cet homme 6c David. Suppl. IV. i. b. Foyer
Abigail.
NABATHÉENS , ( Geogr. anc.) peuples de l’Arabie pé-
tree. Pay.s qu’ils liabiroient. XI. 3. a.— Foye^ Iduméens.
NABEL , ( Géogr. ) bourgade d’Afrique. Obfervations fur
ce qu’elle étoit autrefois, ba fituation & fes noms modernes.
XI. 3. a.
NABLE ou Nebel, {Mußque inßr. des Hébr.) Différens
feiitimens fur cet infiniment de mufique. Suppl. IV. 2. 4.
N A B O , ( Mychol. ) divinité des Babyloniens. Conjeffures
fur cette divinité. La plupart des rois de Babyloiie joi-
gnoient ce nom à leur nom propre. XL 3. a.
Na b o , ( Géogr. ) cap du Japon. XI. 3. b.
NABONASS'AR , ( Chronol. ) Recherches fur le prince
défigné par ce nom. Pourquoi le commencement de fon
regne efi une époque importante. Tems auquel elle commence.
Années de cette époque. XI. 3. b.
Nabonajfar, voye^ fur cette époque. V. 833. é. 901. b.
N A BO N ID E , ( Hiß. anc. ) Foye^ Balthasar.
N A B O TH , Prophetie , {Hiß. fac. ) de la ville de Jezraël.
Crimes que commet Achab , roid’lfracl, envers cet homme.
Suppl.lW. 2. 4.
Naboth , ( Hiß. face. ) lieu où étoit fa vigne. Suppl. III.
330. b.
N A BU CH O D O N O SO R , Pleurs de la génération ou
Saofduchin , ( Hiß. fac. ) roi ci’A ffyrie , fils d’AlTaradon. Hif-
toire de fon regne. Suppl. IV. 2. b.
NabuCHODONOSOR {Hiß. facr. ) autrement Nabopoîajfar,
perc du grand Nabuciiodonofor, fi fameux dans l’écriture.
Il renverfe l’empire d’Affyrie dont il forme deux royaumes ;
celui des Médes 8c celui des Babyloniens. Suppl. IV . 2. b. Foyer
A r b a c e .
’• _ NabuCHODONOSOR , ( Hß.facr. ) fils difprécédent. Prin-
c^aux événemens de fon regne, d’après l’hlfioire fainte. Suppl.
l y . 2. é .& y â iv . Sentiment le plus probable fur fa métamor-
phofe. Ibid. 4. é, ^
’ conquête qu’il fit de l’Egypte. IX.
ç ■ : Jérufalem 8c emmene le peuple en captivité.
upp ■ - 7Dî-^-Obfervationscritiques fur fes fonges. XV. ;
^57' • 3 5 Explication allégorique de la ftatuc qu’U vit
N A J
en fonge. 21. a , h. Statue de ce roi. 304. b. Il ombe'lit le
temple de Behrs X V I. 68. b. Explication de fa métumor-
phole. VI. 416. b.
N A C CH IV A N . ( Géogr.)v]\k d’Arménie, ruinée autrefois
par Amurat. Sa defeription. Archevêque de Nacchivan.
eccléfiaftiqiies de cc lieu. XL 2 b
N A C R E , (A y 7. 44/.) X I .4 . 4.
^[Na c r e , {Chym. Mat. rnédic.) Scs diverfes préparations.
Na cr e de perles , {Jouail. ) divers ouvrages OÙ les nacres
ont employées. Nacre ou/oz/y?« , chez les lapidaires. X I. 4 b.
Nacre de perle , vzijq Perle. XII. 386. 4. Nacre de perle
nominee chantjuo à Bengale. III. 139. a.
P de Jéroboam auquel il fuccéda
lur le tronc d’Ifracl. Suppl. IV. 4. b.
Na d a b , (Ai/?, znoi/.) nom du fouverain pontife des Per-
^ autorité. Suppl. IV. 4. b.
N A D A L , ( Azzffzzyii/z ) littérateur. X ll. 893. 4.
, N A D D E , ( Ichthyol. )poi(Ton du genre des carpes. Lieux
ou on le^ trouve. Sa defeription. Suppl. IV. 4. b.
N ADEL LE ( Ichihyol. ) defeription de cc poilTon, Qualité
de fa chair. Graiffe qu’on en tire. XI. 4. b.
N A D E R , ( PIß. mod. ) officier de la cour du grand Mocol.
Ses fondions. XL 4 .4 . ° b
Marvro’ villc des Indes orientales. XL 4. a.
N A D IR , ( Ay2/o/7. ) fignification propre de cc mot Arabe.
Le zemth 8c le nadir font les deux poles de l’horizon. Nadir
du fo le il, felon quelques anciens afironomes. X\.A.b.
N a d i r , ( A//?.) K o u l i-Kan .
NÆ N IA , { Myihol.) déeffe qui préfidoit aux pleurs 8c
aux funérailles. Son temple à Rome. Autres acceptions de
ce mot. X. 4. b.
NAERDEN , ( Géogr. ) ville des Pays-Bas. Sa fituation.
bes revolutions. Xl. 4. b.
Japon. Gouverneurs de cette place.
A V IL 282. 4.
n a g e , ( Batelier) diverfes exprcffions où ce mot efi employé.
X. 3 .4 .
_ NAGEOIRES , ( Ichthyol. ) admirable méchanifme qui em-
peclic que le poiffoii vivant ne foit dans l’eau dans une fituation
renverfée. XL 3. 4. Autre ufage des nageoires par lequel
les poiffons peuvent s’arrêter 8c fe tourner à droite ou à
gauche. Ibid. b.
Nageoires, obfervations fut cette partie des poifi'ons. XI.
087. b.
N A G E R , chez les anciens Grecs Sc Romains, l’art de
nager faifoit une partie effentielle de réducation. A l’égard des
poiffons, c’efi leur queue qui contribue le plus à les faire
nager. Auteur qui a expliqué le méchanifme par lequel les
poiffons exécutent leurs moiivemens. L ’Jiomme ne nage
point natureilemcnt. Expérience qui le prouve. Obfervation
qui le démontre. XI, 3. é. Pourquoi pluficurs animaux nagent
naturellement. En quoi confifie l’art de nager par rapport à 1 homme. Ouvrage de M. Bazin dans lequel il recherche
pourquoi le bêtes nagent naturellement, pourquoi au contraire
l’homme efi obligé d’en chercher les moyens. Ibid.
Niger , les Romains exerçoient leurs foldats à nager. V î .
a39. 4. X. 312. 4. Ufage que les animaux tirent tie leurs
piés pour nager. XIII. 433. b. Manierede nager des infeéles
aquatiques, if’zo'. 8c 436. a. Pourquoi l’homme nage mieux
fur le dos que fur le ventre ; pourquoi l’eau ne foùtientpas
fi bien les animaux maigres que les gras. XVII. 209. a , b,
F&ye^ Na t a t io n .
Na g e r , l’afUon de , ( Médec. ) Diverfes obfervations fur
rutilité 8c les inconvéniens de cet exercice. Précautions que
les anciens employoient. XL 6. a. Na t a t io n .
Na g e r à fcc , ( Maréch. ) opération pour les chevaux qui
ont eu un effort d’épaule. En quoi elle confifie. Cette opération
condamnée. XI. 6. b.
Na g e r , {H if .n a t . Ichthyol.) méchanifme d’où dépend
la faculté de nager des poiffons. X L 6. b.~Foye^ ce dernier
mot. Foyer aufii NATATION.
N A G R Ö U , alphabet— Foyei[^ vol. IL des planch. Cara-
éieres, pl. 17.
NAHER , ( Hifl. mod. ) les habitans du Malabar divifés
en trois cafies ou tribus ; les Nambouris, les Bramines 8c
les Nahers. Obfervations fur ces derniers. XL 7. a.
NAHUM , ( Hiß. facr. ) le feptieme des petits prophètes.
Tems où il a vécu. Principal objet de fes prophéties. Suppl.
NAJA , ( O/’/iio/og.) ferpem : remede contre fa morfur«»
Suppl. IL io o . b. Defeription de cct animal. 478. b,
7 , -