8i6 T U N
) : \ , f
plant« y a faits. GrolTetir prociigieiife tics tulipes en Atné-
nqiie. Lieux de l’Amcriquc où on les trouve. X V I. 742. a.
l.e tulipier à feuilles de laurier cfl maintenant très-rare en
Angleterre. Sa defeription. Autre efpece de tulipier découverte
en Amérique. Sa defeription. Ibid. b.
Tulipier. En quoi il différé de la plante nommée ahai.
Suppl. I. 7- ‘i-
T Ü L L , ( M. ) expofition de fon nouveau fyrtème d’a-
griaiiturc. I. 187. b. &c. Defcription de fa charrue. III.
217. a , b., A'^ol. ï. des pl. Agriculture.
T U L L E , ( Cùinm.) efpece de dentelle. X VI. 742. b.
T ulle, ( Grogr.) ville de France , capitale du bas Limou-
fin. Sa fondation. Obfervations fur fon évêché. Remarques
fur M. Etienne Baluze, fu r ie jéfuitc Pierre Jarrige , & fur
M. Melon, nés à Tulle. Leurs ouvrages. X V I. 743. a,
TU LLER , poudre de. i^Phurmuc.) II. 331. a,
TU L L IA , loi. IX. 667. b.
TU L LU S HOSTIL IUS , roi de R om e , hiftoire de fon
regne. X IV . 526. 0. Comment il prévint la défaite des R o mains,
8c l’effet de la trahifon du diélateiir Metius Suffe-
tius. X ll. 480. b.
TU L P IÜ S , liihontripiiquc de. {^Pharmac.) IX. 388. a , b.
Ouvrages de Nicolas Tulpius. Suppl. I. 397. j .
TU M E U R , (^Chir.) différentes caufes & efpeces de tumeurs.
Tumeurs qui reconnoiffent pour caufe la prélènce de
quelque corps étranger. Deux efpecss de corps étrangers; les
uns font formés au-dedans de nous, les autres viennent du
dehors ; les uns 5c les autres peuvent être animés 6c inanimés.
X V I . 743. b. Tous les corps étrangers doivent être
tirés dès qu’il efl poflîble de le faire. Différentes maniérés
d'en faire l’cxtraélion. Ouvrage à confultcr fur ce fujet.
înffrumens dont on lé fert pour ces opérations. Ibid. 744. a.
Tumeurs. Comment elles fe forment. X V II . 194. a. SuppL
I. 133. b. Différentes efpeces de tumeurs. Tumeur anévryf-
male, I. 434. <1, b. apoftématiqiie, 333. a , b. bubon. II.
434. b. Tumeur au col. IV . 318. b. Tumeur caufée par un
fang épanché. V . 267. a , b. Flnéluation d’un fluide épan-
ché dans quelque tumeur. V I. 881. u. Efpece de tumeur
appellee empliyfcme. V . 377. b. Tumeur emphyfémateufe.
579. b. Tumeur enkiftée. 691. a. Tumeur e.xtraordinaire
qui vient à un os. V I , 273. a , b. Tumeur appellee fie , 673.
ganglion. VII. 466. <t, b. hydatides. V llI . 339. b. Tumeurs
froides , leurs caufes , fiippuration , exulcération. X. 847.
U. Tumeur des parotides. XII. 79. b. Tumeur appellee
farcome. X IV . 648. a. Tumeurs skirrheufes. X V . 236. b.
Renitence des tumeurs qui tendent au skirrhe. X IV . 109.^1.
D e la teriniiiaifoii des tumeurs humorales par induration.
V IIL 694. a. Le froid contribue beaucoup à cette induration.
X IV . 109. a. Les glandes du cou font plus fiijeitcs
aux tumeurs dures que les autres parties. Ibid. Vers dans
les tumeurs. XVII . 44. j . Réperculllfs à employer au commencement
des tumeurs inflammatoires. X IV . 131.^;, Remèdes
réfoluiifs pour les tumeurs. 179. a , b.
T umeurs des bêtes .î comes, (Ecou. rujiiq.) caufées par
une efpece de mcuclic. X V I. 943. a , b.
T umeurs. {'Muréch.') Toutes celles auxquelles le chev
al efi fujet font décrites avec leurs reinedes , article Hyp-
pi.uri.pic. Suppl. III. 401. b. &c.
TU M U L T E , Vacarme. ( Synonym. ) X V I . 790. b,
TU iV lULTUA IRE, Tumultueux ; ( Synonym. ) différences
entre cc.s mois. X V I . 744. b.
T U N A , voye{ Nopal.
TU N B R ID G E , ( Géogr. ) bourg d'Angleterre dans le
comté de K en t , renommé par fes eaux minérales. Charmant
éloge que Pavillon fait de ce lieu dans une lettre qu’il
écrit à madame Péliffari. X V I . 744. b.
T U N D E S , {Hiß. du Japon') prêtres revêtus d’une dignité
eccléfiaffique dans la religion de Budsdo. L'empereur
les nomme , & le fiaka ies confirme. Fonds d'où ils tirent
leurs revenus. X VI. 744. I.
TU N D EM AN , ( Gêogr. ) pays d’A fie : fes îiabitans. Suppl.
II. 124. a.
T U N G , {Hiß. des infefl.') nom qu’on donne chez les
Guaranis, peuples de l’Amérique méridionale, à un petit
infeéle qui les défoie, 8c qui s’infmue peu-à-peu entre cuir
& chair. Remede à employer. X V I . 743. a. Voye^ C hique
, Niga & T on.
TU A G R I , ( Géügr. une. ) peuples de la Gaule belgiquc,
les mêmes que les Eburones. Pays qu’ils habicoient. Leurs
villes principales. X V I. 743. a.
TU AGRORUM F O N S , {Géogr. anc.) eaux minérales
au pays des Tongres. On croit que ce font les eaux de Spa.
X V I . 74T. b.
TU N G ST EEN , {Minêralog.) les Suédois donnent ce
nom à une pierre ferrugineufe ou mine de fer , qui reffem-
ble à la mine d’étain en criffaux de la forme du grenat.
Quantité de fer qu’on en peut tirer. Fondant à employer
pour la réduire en fufioii. Différentes variété^ de cette fubf-
vance. X VI. 743. b.
T U R
TU N G U SE S , ( Gêogr. ) peuples tartares. X V . 92a. b:
Tribut qu’ils paient au czar. VIII. to8. a.
TU N IQ U E . {Rocan.) X V I. 745. b.
T unique. {Anatom.) Tuniques de l’oeil. Tunique vaginale.
Tunique aciniforme. Tunique vitrée ou arachnoïde:
précis d’un mémoire de M. P etit, fur cette iimictue. X V I. 74Î- b.
T unique, {Antlq. rom.) efpece de chemife des hommes
8c des femmes romaines. Los femmes avoient accou-
mé de les porter beaucoup plus longues que les hommes ,
8c il n’appartenoit qu’à elles de les porter avec des man-
ches. X V l. 746. a. La tunique prenoiu fi juffe au cou , &:
defeendoit fi bas dans les femmes modeffes, qu’on ne leur
voyoit que le vifage. Changement arrivé dans les tuniques
des femmes , avec raccroiifement du luxe. D u tems de
Séneque , la tunique desfemmes étoit très-fine. Voye^ Gase
de Cos. Couleurs de ces tuniques. Ibid. b.
Tuniques romaines, VIH. 12. b. celles des fénateurs & des
chevaliers. 13. <z. Angiifiiclave , partie ajoutée à celle des
chevaliers. I. 467. b. Tuniques des liommcs 8c des femmes.
M IL 13. ê. Partie du peuple qui portoit la tunique
fans robe. X V L 743. b. En quel tcnis commença l’ufagc
des tuniques de lin. VIII. 14. a. Différentes fortes de tuniques,
appellées birrum, 16. a. colobium , Ibid. b. dalmatl-
q u e , Ibid, hemiphorium , Ibid, tunica calvuta, tunica reÜa.
IX. 301. a , b.
T unique des Egyptiens, {Antiq.) nommée calaßni.U.^^o.b.
T unique, vêtement dont les diacres fe fervent en officiant.
X V I . 746. b.
Tunique, côte d’armes pour être portée fur l’armure du
corps. X V I . 746. b.
^ T U N I S , état de, {Gêogr.) état d'Afrique dans la Barbarie.
Ses bornes. Cotifidérations politiques fur cet é ta t , fur
lôn gouvernement, fur fes relations avec fes voifins. X V I .
747-
Tunis, royaume de : étendue de ce royaume d’Afrique,
X V I . 747. a.
Tunis, ville de. Defcription de cette ville d’A friq u e,
X V L 747. a. 8c de fes environs. Son hiftoire 8c fes révolutions.
Obfervations fur S. Louis qui finit fes jours devant
Tunis en 1270. Ibid. b.
T U N K IN G , {Géogr.) phénomènes finguliers des marées
qui arrivent dans le porc de Tunking à la Chine. V I .
906. a , b.
T U N Q U IN , ( Gêogr. ) royaume d’A fie dans les Indes.
Ses bornes. Tunquin eft un des plus conCdérables royaumes
de l’orient par fon étendue, fa population, fa fertilité,
8c les richeffes de fon monarque. Defcription des Tunqui-
nois. Leur habit. Leurs maifons. To ut eft réglé chez les
Tunquinois, comme chez les Chinois, jufqu’aiix civilités
qu’ils fe doivent. Marques d’honneur qu’on rend au roi en
fe préfentant devant lui. Comment les mandarins, après
.avoir pris congé de ce prince, fortent de fa préfence.
Tous les mandarins font eunuques au Tunquin. X V I . 748,
a. Situation dans laquelle les Tunquinois s’entretiennent.
Leurs falutations. Obfervations fur leurs repas. Des procès
8c des juges. Supplices en ufage dans le Tunquin. Leurs
iifages dans les maladies, après la mort 8c aux funérailles.
Deuil pour le roi. Ibid. b. Produélions du pays. Ouvrage
à confiilter. Ibid. 749. a.
Tunquin. Obfervations fur les Tunquinois. VII I. 343. b.
Ufage qu’ils font des fruits du limonier. IX. 343. a. Lettrés t
du royaume. X V . 893.(1, b. Cérémonie que pratique le roi
pour infpireràfe s fu je is legoû t de l’agriculture. IX. i i i . b.
Religion de Xaca établie dans le Tunquin. III. 3. Dieux dit
Tüxie\\\\n , voyet^ Brama, Vißnou, Ruddiren. Idole qu’on y
adore, nommée Buabin. IL 434. a. Grande magicienne du
Tunquin. IL 10. a. Bonzes de ce royaume, appelles fays.
73 “i ' Sefte de leur religion , nommée Lanthu. IX.
278. a. Jongleurs du Tunquin. X V . 949. a. Devins qui
soccupent à chercher le lieu le plus avantageux pour les
fépultures./i>i(/. Fête qui fe pratique pour exorcifer les démons
du royaume. X V L 34. a. Mariage à tems pratiqué
par les matelots qui arrivent dans le Tiuiquin. X. 113. a.
Voyei Orientaux.
T U R B A N , {Hifl. mode) coèffure de la plupart des orientaux
, 8c des nations mahométanes. X V L 749- Etym.
du mot. Defcription du turban. Avantages de cette coêffu-
r c , particuliérement à la guerre. Du turban du grand-fei-
gneur Sc de celui du vizir. Différences dans le turban des
Turcs 8c celui des Perfans. Ibid. b. Voye^ Mandil.
Turban, écharpe de toile qui l’entoure. X V . 127. d.
T u r b an , (toilerie de coton) forte de toile de coton.
X V L 749. b.
TU R B E , {Jurifpr.) enquête parturbe. Cette forte d’enquête
abrogée en 1667. On lui a fubffimé les aftes de notoriété.
XVI. 749. b. Voyei Enquête.
T urbe , {H iß . mod.) efpece de tour ou de colonne que
les Turcs élevent fur les tojnbeaux. XVI. 730. a.
TU R B IN E ,
T U R
TU R B IN E , {ConchyUol.) voyet^ V is, Difference entre
les tuibines Scies turbinées. XVII . 332. b. 333. .1.
TU R B IN É E , coquille, {Conchyl.) coquille dont la figure
tourne au-moins une fois dans Ibn étendue, 8c s’élève en
fpiiale. Defcription des coquillages turbinées. X V L 730. j .
Turbinéc. Différence entre les turbines 6c les turbinées.
X V II . 3 3 i. b. 333. a. Prcfque tous les coquillages univalves
font turbinées. Voyc:^ Univalve.
TU R B IN lT E b , {Coquin. fh£U.) Strombites.
TU R B ITH , {Boian. exotiq.) écorce d’une racine des
Indes orientales. X V I . 730. a. Defcription d e là plante.
Lieux où elle abonde. Les Arabes font les premiers qui en
ont tait mention , quoiqu’ils fembleiu tore incertains fur fou
origine. Defcription qu’en donnent Avicenne , M e fu é , Ac-
uiarius, &c. Ibid. b. L’origine de cette racine découverte par
Garzias, 8c décrite enfuice trés-exaèlement par Herman, ü o -
fervations fur fon ufage en médecine. Ibid, 731. a.— Voyci
T erbedh.
T uRBITH biîtard, {Botan.) voye:^ T hapSIE.
T urBITH minéral, {Chym. (S* Mat. médic.) OU précipité
jaune. X V L 73 1 . a. — Voyei^ Mercure.
Turbiih minéral. Sa révivificadon par le miroir ardent.
Suppl. IV . 337. b.
TURBOT, , 8cc. {Ichthy.) poiflbn de mer plat.
Defcription de deux efpeces de ce poHfon ; le turbot piquant,
X V I . 731. *2. 8c le turbot fans piquans. Ibid. b. —
Voye:^ vol. VI, des planch. Règne animal, pl. 33.
T ur bo t , (Littêr.) confeil tenu d.ans le cLàteaii d’A lb e ,
au fujet d’un turbot monftrueux dont on avoit fait préfent à
Domitien. F allo ii-il couper ce poiffoii , ou le faire cuire
tout entier? C ’étoit le fujet de la délibération. X V L 731. b.
TU RBU LL . Obfervations fur un traité de cet auteur fur
la peinture des anciens. XII. 169. b.
TC/RCÆ, {Gêogr. anc.) peuples qui habitoiein aux environs
des Palus méotides, 8cc. Signification du nom de
CCS peuple^ X VI. 731. b.
TURCKuVlANNS, les {Gêogr.) peuple d’Afic. Son origine.
Turckmanns occidentaux 8c orientaux. Etat de ces peu-
])les, leurs moeurs , leur religion , leur gouvernement, a VL
751. b.
T U R C O C H O R I , {Géogr.) Heu de la Livadie au nord
du mont-Parnaüe. Rivieres qui l’avoifinent. Monumens d’antiquité
qu’ou y trouve. X V I . 752. a.
TURCS,/Avù r des. ^ Calendr.) détails fut l’année des Turcs.
Enumération de leurs mois. X V L 732. a. Sur les T u rc s,
voyez T urquie.
TU R D E I 'A IN S , les {Gêogr. anc.) peuples d’E ïpagne,
dont le pays s’appelloit Bciique 8c Turdeianie. Ridielles
desT urdc iauis, lorfqiie les Piiéniciens abordèrent ciiez eux.
Lumières 6c politclle qu'ils acquirent par le commerce. Le
pays des Turdétains, appellé Tharjis dans récritiue. Le langage
8c les moeurs des Romains adoptés enfuitc parmi eux.
Produâions de ce pays fertile. X V l. 732. b.
TU RDU LES , Géogr. (2/2C. ) peuples d’Efpagne. X V I .
732. b.
TU R E L , {Pierre) aftiologue. Suppl. I. 726.(2.
TU REN NE : ( ^cTtri de la Tour, vicomte de) lieu de fa
naiffance. XIV. 883. a. Ufage qu’il faifoit de fa cavalerie.
V . 921. b. Projet de guerre qu’il forma lorfqu’il fut quef-
tion en 1674 , de chaffer de l’Alface les impériaux. VI.
30. a , b. Campagne d’hiver de cette même année , glo-
rieufeà cegénerak^//^/)/. II. 162. a. Sa retraite de Marien
à Dehveiller. X IV . 215. L Foibleilés de (M. de Turenne;
comment il les répara. V IL 28. a. Son humanité. IV , 731.
b. Combien Louis X IV reftimoit. Suppl. 111. 801. a. A nnée
de fa mort. X IV . 885. a. Son maulolée. 833. a. Son
épitaphe. V . 817. a.
T U R IA , {Géogr. a nc.) rivicre d’Efpagne, aujourd’hui
Giiadalaviar. V IL 975. a.
TU R IA N U S , fculpteur ancien. X IV . 828.(2.
T U R IN , {Gécgr.) ville d’I ta lie , capitale du Piémont.
EgUfes 8c couvens qu’elle renferme. Son évêché 8c fon académie.
Hiftoire de cette ville 8c de fes peuples, appelles
anciennement Taiirini. X V I . 733. a. Beauté de Turin 8c de
fes environs. Province de Turin. Ibid. b.
Turin. Caverne près de cette ville où fe trouve un roch
e r, qui, par une ouverture, afpire 8c expire l’air alrer-
nativemenr. V i l . 101. a. Obfervations fur le fiege de T u rin
en 1706. III. 465. a. VI. 628. b. Deffuis des plans 8c
coupes du théâtre royal de Turin , vol. X. des planch. Theatre
s , 10 planches. 4
TU R LO T T E . {Pêche) Defcription de cette forte de pêche
, qui eft la même que la pêche à la ligne. X V I. 733. b.
TURLUPINS , {Hifl, cccl. ) fefte d’hérétiques ou plutôt
de libertins , qui faifoient publiquement proleffion d’impudence.
Leurs progrès fur la fin du quatorzième fiecle. O rigine
de leur nom. Supplice que phifieurs d’entr’eux fubirent
en France. XVI. 734. a .~ Voyez A damites.
TU R LU P IN A D E , {Abus des Langues) équivoque inhpi-
Tm e II.
1’ U R 81*
dc> mauvaile pointe, baffe 8c fade plaifnntcrle, X V I . 734..
a. Sages obfervations fur cette forte d’abus de la laiiRUCb
Ibtd. b. ^
TU RN ER E , caraétef-es de ce genre de plante.
Obfervations lut les deux cfpcccs qu’on en connoit. X V l.
734. b.
TURNHOUTjj ou Tourhout, { Gêogr. ) petite ville des
Pays-Bas dans la Campanie. Evénemens qui la concernent.
Ouvrages de Jean Dridoens, 11c à Tiirnhoiu. XVI. 734 b.
T U I IO T , capitaine. IV. 363. a.
T U ilP IL lU S , pcimre. XII. 273. J.
iU R P IN , roman. {L ittcn it.) Obfervations fur cet ouvrage.
XIV, 342. b.
1 U llQ U E S T A N , (Géogr.) grand pays d'A fic. Scs bornes
8c Ion étêndite. Ses princes fouverains. Sa capitale. X V L
736. (2.
T U R Q U IE , terre de, {Hifl. nat.) terre bolairc qui fe
trouve prés d’Andrinoplc. Ses carafteres Sc fon ufage. X V I.
75 V*»- .
Turquie, pierre de, forte de pierre à aiguifer. X V I .733.,2.
T u r q u ie , {Geogr. ) vafte empire, un des plus grands
de l’univers. Son origine 8c fes progrès. X V L 735.’ a. Si
l’on examine les états qui le compolcnt, 011 eu coniioirra
la füiblelfc ; on verra que le fultan n’eft point maître ab-
folu d’une partie ; qu’une autre eft ftcrile 8c inhabitée ; Sc
que d’autres provinces font plutôt fu|ettes de nom que do
fait. Ibid. b. La fouveraincté du grand feigneur eft à la vérité
defpotiquc , mats ce prince n’en eft que plus malhcureux.
Juges auxquels l'e.xeicice des loix 8c de la juftice eft confié
dans ce grand empire. Eloge de l’ordre établi pour le
maniement des finances. Gouvernement militaire poliriqu«
des provinces. Tout appartient en Turquie au grand - fei-
gneiir. Partage qu’il fait des terres entre les foldats. Ibid.
736. (2. Cérémonie par laquelle le nouvel empereur eft revêtu
de fa dignité. Grands officiers de l’empire. Marques
d’honneur que le fultan donne à fes hachas 8c beglerbegs.
Détails fur fes beglerbegs. Amiral de la flotte. Fomftions
du reis-efiendi ou clief des dépêches, 8c du dcfierdar ou
grand tréforier. Ibid. h. Milice de l’empire turc. Les loix
civiles font partie de la religion chez les Turcs. Livres où
font renfermées ies loix de la religion turque. Cinq articles
tbndamentaux que doit obferver tout bon mufulnian. Du
mufti 8c de fon clecHon. Ibid. 737. a. Fonélions du cadi-
leskcr Sc des mollas. Celles desimans ou prêtres de paroiffei
Origine illuftrc des émirs ; leurs officiers fuperieurs. Deux
feéles générales qui divifent les mahométans. Nourriture, boif-
fo n , fobriété des Turcs. Leur goût pour i’oifiveté. Ibsd. b.
Leurs Jieures de fommcil. Excès qu’ils font des bains fudü-
rifiques, par lefquels ils aft'oibliffent leur famé , de même
que par les remedes qu’ils prennent pour s’exciter à l'aniour.
Efpeces de fondations 8c d’établiffemens publics que font les
particuliers qui ont un peu de fortune. Nombre prodit^ieux
de mofquées dans Conftantinople. Etabliffemens de charité
fondés dans cette ville. Hofpitalité des Turcs. Sciences
qu’ils cultivent. Monnoie turque. Ibid. 738. a. Commerce
que les Turcs exercent. Leurs manufaèliires. Moyens
par lefquels la Porte a facilité le commerce avec les nations
européennes. Ibid. b. Obfcrvation fur les fiicccllions. Le prince
fe contente ordinairement de prendre trois pour cent fur
ies fucceffions des gens du peuple. Cependant la plupart
des biens de l’état ne font poffedés que d'une maniéré précaire.
Maniéré dont les juges terminent tomes les difpmes.
Un des fléaux de la Turquie qui dépend uniquement du climat,
eft la pefte , dontle fiegejtriiicipal eft en Egypte. Ouvrage
à confiilter fur l’empire Ottoman. Ibid. 739. a.
Turquie. Etats de la Turquie aftatique 8c européenne. X IV .
421. é. Provinces de cet empire. II.2 19. b. PuilTance delà Turquie
européenne comparée à celle de l’Allemag^ne. SuppLl,', 13.
J. Obfervations fur les Turcs. VII I. 546. a. Turcs employés
à la garde de la perfonne des califes. Suppl. I. 13. b. Suppl.
IL 131. a. Commencemens de cette nation. 131. a. Leur
origine 8c leurs progrès. IX. 868. a. XIV. 73 1 . b. Invafion
de l ’empire d'O rient par les Turcs. XL 642. b. Principautés
particulières qu’ils formèrent dans laNatolie au commencement
du quatorzième fiecle. XFV'. 654. (Z, b. Du gouvernement
civil 6* militaire de l ’empire Turc. D e l’empereur. X V . 633. (Z,
b. Deux fortes de divans dans ce r<^aume. IV. 1067. b.
D u grand vifir. XVII . 334. a , b. Gouverneur de villes
ou de provinces, v o ye z Gouverneur. Juges civils. II. 51g.
a. Ch e f de la juftice, Ibid. Lieutenant appellé caïmacan.
336. (2. Efpece de iiobleffe chez les Turcs. XL 167. a. Tribut
que paient en Turquie ceux qui ne font pas Mahométans.
V IIL 41. a. De la milice turque. X V l i . 7 1 1 , a , b.
712. a. Premier lieutenant général dans cette milice. Suppl.
IV. 788. b. Milice turque nommée azapes. I. 910. a , b.
Milice turque qui n’eft point fur un pié fixe. X V . 8 i. a.
Cavalerie turque. 427. a. Cavaliers de cette nation appelles
gindi. V IL 662, (2. Volontaires dans les troupes turques
appellées gionuüs.. 667. <2. Enfeignes 8c étendards des Turcs.
X X X X x x x x x