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628 S A L
«lu tauxbourg S. Germain & du marais, & celle dds cömc-
clicns italiens. Mauvaife forme de la falle du Palais Royal.
Salle des macltines au palais des tuileries. Salle de la comi-
die à Vcrlhilles conrtniite dans le même goût que celle des
machines. Défaut dans leur forme & dans leur conftruéHon.
Siij'i’ l. IV. 710. i>. Dircélions fur la meilleure forme à donner
à une falle de fpcCfaclc ; foit pour que dans la même enceinte
la place contienne le plus de monde j foit afin que les fpcéla-
tcurs foient le pins également placés pour voir bc pourentea-
dre. Ibid. y i i . j . Foyei T h éâ t r e .
Salle d'armes, {EJerime ) inftriimens ou pieces nécelTaircs
dans une falle d’armes. XIV. 574./’.
SA LLEN G RE, ( Albert Henri de ) littérateur. V l l i . 24. b.
SALLIER , {CLmde) membre de l’académie françoife &
de celle des Inftripclons ; fes foins pour la bibliothèque du roi.
II. 239. b.
SA L LO , {^Denis J e) confeiller au parlement de Paris,
premier attteur du journal des favans. Suppl. III. 636. a , b.
SA LLO BRAN D , ( Géogr. ) en Provence. Monailcre de
cliartrcufes en ce ïicu. Suppl. II. 371. a.
.SA L L üN , {Arc/iit.) defcriptiüii d’un fallon. Différentes
formes qu’on donne aux pieces de ce nom. Décoration des
fnllons. Leur ufage. X IV . 375. J.
Sallon. Du fallon Spinola , exécuté à Gènes fur les deflins
de M .d eW a illy , architeéfe françois. Hiftoire de la famille
d-'s Spinola, & des principaux perfonnages de cette famille.
Suppl. IV . 7 1 1. b. IDefciiption du fallon qui en porte le nom ,
Ibid. 712. a. & qu'on trouve reprefente dans les pUnc/i. d'ar-
ch'iublure du Suppl.
S.tUo/i, CTtb'mct appellé pctit-falion. II. 488. é.
SalLO.v Je treiU.ige. i^J.iuüii.) X IV . 57^. a.
S.ilkm ifolé d.ins un jardin. 11. 489. a.
SALLL'STE , (Crijp us) caraélcre de cet Inrtoricn. II.
^68. b.
S.iUiifle , philofophe cynique. IV . 599. a.
Salluste , irijue de. ( Anti^. ivm. ) III. 477. b.
SA L LU V IEN S , les, l^Geogr. 0/7C. ) Salyens , peuple
originaire de Ligurie, &. qui s’établit dans la contrée des
Gaules, que nous appelions Provence. Guerres des Romains
contre ce peuple, fondation de la ville d’Aix en Provence.
X IV . 57; . J.
Salhiviais, anciens peuples de Provence. XIII. 509. é.
SALMrtClS , ( Geogr. anc. ) fontaine d’Afie dans la Carie.
Pourquoi on attribuoit à fes eaux la propriété de rendre
mous & eftcniinés ceux qui en buvoient. X IV. 573. a.
Salmacis, {^Mytholog.) hiûoire de cette nymphe felon
les poètes. X IV . 375. b.
Salmacis: fon amour pour Hermaphrodite. VIII. 167. a.
SA LM A IS E , ( Géogr. ) dans 1 Auxois. Suppl. I. 2Ö3. a.
SALMANASAR , {Hiß. anc.) roi des AiTyriens, qui ne
nous eil connu que par rhirtoire f.iinte. .Divers traits par
lefquels les auteurs facros nous l’ont fait connoître. Suppl. IV.
bALMANSWElL,(Geugr.) état eccléfiafiiqiie & catholique
dans le cercle de Souabe. Abbé auquel il obéit. Son rang
dans les dictes. Contribution qu'il paie à l’empire. Suppl. IV.
712. b.
SALiMERO , {^Ichthyol.) petit faumon de riviere qu’on
trouve ordinairement près de la ville de Trente. Sa deferip-
tion. Qualité de fa chair. X IV . 373. b.
SA LM EllO N , ( Alphonfe ) jéfultc de Tolede. XVI.
^A LM O N A , l'ombre , ( Geogr. facr.) campement des Ifraé-
litcs dans le defert. C e qui leur arriva dans ce lieu. Suppl.
IV . 713. a.
SAL.MONÉE , {^Mythol. ) frere de Sifyphe. Ses impiétés &
fon fupplice. X IV . 376. a.
S A SO , {Géogr. anc.) riviere de l’Efpagne tarragonoife.
Epigrammes de Martial où il en e ll parlé. Propriété de ß s eaux
Xl-V. 376.4.
Salo , ( Géogr. ) ville d'Italie dans l'état de Venife. Obfer-
vations fur le canton auquel elle communique fon nom, XIV.
37Ö. a. ek fur Jacques Bonfadio, né dans cette v ille , liilbrio-
graphe de la république de Gênes. X IV. 376. b.
SA hOM È ypacificjUi, {Hiß. fucr. ) fille d'Hérodias. Sa danfe
devant'H érode Antipas. Evéuehi'eni funeile qiu en fut la füiie.
Suppl. IV. 713. J.
Salomé , {Hrß. fa c r .) femme de Zébédée & mere de
S. Jacques le majeur, fk de S. Jean l’évangclifle. i.)ivcfs
traits par lefquels l’évangile nous Va fait connoitie. SupdI
IV . 713. 4. ‘
S.A.LOMON , cap de ( Géogr.) à la pointe orientale de l’ifie
de Candie. X IV . 376. b.
Salomon , les ißes , ( Géogr. ) ifles de la mer du fu'd. Elles
ne font pas connues. X IV . 376. é.
Salomon, ißes de {Géogr.) ifles de la mer du fud. Leur
découverte par Alvaro de 'Alen'dagna. Suppl. IV. 713. <1. Second
voyage que ce dernier fît à ces ifles; leur defetiptibn
m jamais été tendue publique en entier. Qualité du pays.
S A L Leurs liabitans. Grande dlverfitè qu’on remarque dans les ha-
bitans des terres de la mer i.hi lucl. Enumération des iflps 1I«
Salomon. Ibid. b.
Sa lom on , Us pifànes de ( Géogr. ) ou les lavoirs de Salomon,
forte de réfervoirs d’eau à deux lieues de Tliécua X i v '
376. b.
Sa lom on , {Hiß. facr. ) fils de David & de Beihfibée
Hifioire de ton regne. Suppl. IV. 714. u , é. Livres facrés dont
il efi l’auteur. IbiJ. 713. u.
Salomon , pourquoi E/.èchias fît brûler fes ouvrages. VIII.
82. a. Temple de Salomon. X V I . 61. /’.T rô n e de Salomon
301. a. Cavalerie de ce roi. V. 884. b. Vilitc que Im fit U
reine de Saba. Suppl. W . 6ç) ï . a , b.
SALON , ( Geogr. ) ville de France en Provence. Travaux
en mèclianiquc hydraulique, de Adam de Craponci né à
Salon. XIV. 376. b.
SA LO N A , ( Géogr. ) ville de Grece dans la Liv.adie. Ses
lutbitans. X lV . 377. a.
SA LÜ N li, {Géogr. anc. & mod. ) ancienne ville maritime
de b Dalmatic. Defeription des refies de cette ville. Obfer-
vations fur l’empereur Dioclétien , né à Salone , & fur l’état
des chrétiens fous fon regne. X IV . 377. a.
SA LO N IA , {Géogr. anc.) ancieinie ville deBhliynie.Scs
pâturages. X IV . 377. a.
SA LÜN ICK I ou -Sa lo n ich i , {Géogr.) ville de la Turquie
européenne. Son commerce. Gouverneur de Salo-
nicki. Révolutions de cette ville. Golfe de Sulonicki. XIV.
377. b.
SA L P E TR E , {Chymie) voye^ Nitre. Sa nature. XIV.
377. /.Propriétés qui le diftmgueiit d'un autre fel. Lieux ou
il fe trouve. Maniéré dont il fe lorme. Moyen d’augmenter
la qu.imlté du falpêtre que les terres produifeiit naturellement.
Expérience par laquelle l’auteur s’efi afl'uré que le fel
commun a la propriété de produire le falpêtre. D ’où il paroit
que ces fels pourroiem bien être les menres dans leur principe
, & qii ils ne difi'erent entr’eux que par une plus grande
quantité d’acide volatil, qu’une fermentation plus parfaite
fournit au falpêtre. Ibid. 378. a. Peut-être potirroit-on tirer
parti de cette découverte , en érablilfaiit des halles ou an-
gards pour y former du falpêtre. Avantages qui réfulteroient
de cet ctablilfement. Defeription de la maniéré dont on tire
le falpêtre des terres. Salpêtre de la premiere cuite. Ibid. h.
Maniéré dont on le purifie. Le falpêtre brut contient quatre
fubfiances diftêrentes; du falpêtre, du fel marin, une eau
mere Ck une niaticre graffe. D e ces trois fels, il n’y a que
le falpêtre qui foit inflammable. En quoi le fel marin efi préjudiciable
à la poudre. Ibid. 379. a. La poudre fabriqué«
avec un falpêtre qui contient de l’eati-merc, devient humide
rrés-facilemenr. S^ilpétre de deux cuites. Salpêtre de la troi-
fiemc cuite. Diflêieute propriété du fel & du falpêtre dans
leurs maniérés de fe congsiler. Produits des différentes cuites
de fcl ék de fiilpêtre, fur une qnaiitité déterminée de falpêtre
brut. Ibid. b. Q uel elf le meilleur moyen de connoitre h
quantité de ici niarki contenue clans le falpêtre , & celui
que l’on emploie en chymie , pour avoir un falpêtre abfo-
liimem pur. Rcfiiltacs des differens affinages du falpêtre de
trois cuiies. Préparation du falpêtre pour la compofition de
la poudre. Ibid. 380. a. Fufion par laquelle on fait le
falpêtre en roêhe. Comment on achevé de le dégraiffer.
Ibid. b.
Salpêtre. Formation de ce fel. I. 98. b. Alkalifation du
falpêtre. 276. b. Ufage de la chaux dans la préparation de
ce fcl. n i . 268. a. Degraifl'ago du falpêtre. IV . 760. a.
Le travail du falpêtre repréfenté dans le volume V I des
pi. article Métallurgie, Salpêtre. Effets de ce fel fur la glace.
VII. 318. b. Sa propriété d’augmenter le froid des liqueurs.
XIII. 902. a. Son ul.age dans la fabrication de la pondre à
canon , 191. a, b. dans les feux d’artifice. VI. 640. b.
Salpêtre à la monnoic. Comment fe fait l’affinage de l’ar:
gent par le falpêtre. X IV . 380. b.
SA LPÊTRERIE, baquets des falpètreries appelles recettes. Xin. 843. b. Terres réanimées. XVI. 178. b. f’'oye:^ Salpêtre.
SALP Ê TR IÈR E , hôpital de Paris. XI. 932. a.
SA L P ICAD O , {B o t.) efpece de 'bananier. Suppl. L
782. a.
SALPION , fculptcur ancien. X lV . 826. a.
SA L SE B E R Y T , en Suede. (Géogr.) Defeription de b
mine d'argent qui s’y trouve. I. Ö39. b.
SALSE-PARÈILL'E, voyo' SaRSf.-paueîlle.
SALSES, ( Géogr.) fortöfeffe de'Fr.’mce dans le Rouffillon.
Hifioire de cette fortereffe. X IV . 380. b. Salfcs efi cilebfe
par fa fontaine qui porte le même nom. Auprès de cette
fontaine étoit une pleine couverte) de rofeàux, qiii forhioïc
un m.irais,Sc où l’on raifoic une pêche a'oondantc. l^alTag’^
dc'Polybe fur cette plaine. Ibid. 381. a,
S A L S IF I , voye^; C ercifi & ’ Scorsonnere.
SA L T A T E SQ U IS , {Hiß. mod.) membre d’un tribunal
qui décide de tomes les affaires parmi les negres de Sietra-
Lêona,
S A L Xéona en Afrique. Singularités dans la maniéré dont on
les reçoir. Moyen , dont fe fervent les avocats qui plaident
dev.im ce- juges pvnir réveiller leur attention. X lV . 381. b.
SA-.T .AIRE, ( Hijl. mod. ) officier c liei les Romains ciargé
du loin des camp.ignés 6cc. Dans le livre de Néhémie ,
ch. ij. V 8. il t-ll parlé d'un officier fcaiblable, cujlos Jal-
süs regis , garde de la forêt du roi. Officier .appellé faltua-
rius <1 m iles loix des Loinb.irds. XIV. 381./.
S A L F O , {Mu/iij.) c’êtoit ci-devant le nom d’une figure
du diout. Deux tones de lalti ; le l'alto ftmpltcc, ék les falci
comvojii. S..p:t. IV. 713. a.
S.-Vl TZ BOU RG , ( Géogr. ) ville d'Allemagne. Origine de
fon nom. Son hutore. Ooiervatioiis (iir le chapitre & la
cathédrale , fur runivcrlitê ik l’avehevéclic de Saltkiboiirg.
X lV . 382. 4.
S iliibourg. Aciene de cette ville. I. 106./. D e l’archevêque
de S.iU/,l>')iiig. IV'. 68. a.
SAciV A D O R , ( Gro^'r. ) i". V ille d’.Afrlque. 2°. Ville
d’Amèi ique, au gouvernement de Giutimala. 3". ville du
Rréiî; , dont elle efi la capit.iie. X IV . 382. a. Maniéré dont
le , liabiraiis de ce lieu !.. iont porter par leurs efelaves.
Cours ik jurifdidUons dont ectee ville efi le fiege. .Sa def-
ciiption. M irchaiiilifes C|ui s’y traiiqm.iu. Situation de ce lieu.
Moeurs déréglées de fa g i nifon ik de les liabicans. Habil-
leincnt hifarre de ces deriners. Ibid. b.
SALUBRE fièvre , {Medec.) VI. 738. a.
SALUCES , (Creogr.) vilie d’Italie dans le Piémont. O b-
fei vatlü.is fur la vie de George Blandrata, né à Salucts
dans ic feliieme iieclc. Du marquifat de Saiuces. X lV .
5S3. a.
S A L V E , {Fortifie.) falut militaire. X IV . 383. a. Effet
finguiier que prodiiilit une falve l'ur un chien de boucher.
Charge des pieces prefciite pour les falves. Ibid. b.
Salve, terme d’eglife , premier mot d’une priere qu’on
chante fur le point <le l’exécution des criminels. Origine de
cette priere. X lV . 383. b.
Sa L v E T A T , la (Géogr.) i". bourg du haut Langue-
d o .. 2'. Bourg de l’Agenois. Oblerva.ions ('ur la v;e 6: les
ouv'ages de Jean-Claude, ilicologien réformé , & fur Pierre-
Sylvain Régis , né dans ce benne. X lV . 383. b.
SALUt.R:, (Gramm.) XIV. 383. /.
S a l u e r , { Cntiej.facr.) Le mot grec du nouveau tefla-
meiu «fTrcmrir, rendu par celui de /u.mer, exprime davantage,
il fignifie aimer, ejlimer, honorer. X IV . 384. b.
Sa l v 'cR.{ Alaiine) Saluera boulet. Saluer de lamoiifque-
teric. Saluer de la voix. Saluer des voiles. Saluer du canon.
Saluer du pavillon. X IV . 384. a.
SA LV'IEN, prêtre de M.irfeille dans le cinquième fiecle.
X V I . 607. a , b. Ses piincipes de tolérance. VU i. 139. a.
844. a.
SALURE de la mer. (Phyfqé) Qiiefiions curieufes auxquelles
la falurc de la mer a donné lieu , & dont on donne ici
la réponfe. 1“ . D ’où vient cette f.dure , de même que celle
de certains lacs. X lV . 384. a. 2". D ’où procédé la différence
de falure de la me r, qui efi d’autairt moins falée.,
qu’on approche des poles, & qui l’cft le plus fous la zone
torride. Ibid. b. Beau fcl que donne l’eau de la mer dans
l ’océan éthiopique, vis-à-vis la Guinée. 3°. On demande fi
l ’eau de la mer efi plus douce au fond, ÔL pniirquoi dans
quelques endroits on tire de l'eau douce du fond de la mer.
Âl. Hook a inventé un iiiitiumeiu pour découvrir quelle
efi la falure de la mer à quelque profondeur que ce luit.
4“. On demande fi l’on peut deffalcr l’eau de la. mer. Procédés
par lefquels M. Hamon en efi venu à bout. Preuves
de la falubritc de cette eaudefTalée. Ibid. 3S3./. Ccpendaiu
des marins ont afl'uré que cette eau n’étanche point la foif.
Plus les imprégnations que les eaux éprouvent dans leur
palTage fur la terre , font riclics & lulfuteuics, plus les eaux
deviennent douces & bonnes. 3". D ’où vient que l’eau de
pluie ramafféc au milieu de l'O céan , venant des vapcur-.de
la mer, efi douce ; au lieu que celle qu’on tire de la me r,
foit en la faifant bouillir ou en la d iflillaiu, ie trouve toujours
falée ? 6". Pourquoi l’eau de |)luic efi-elle aiiliî douce liir
l ’Océan que liir terre? Ibid. 386. a.
Salure de mer, voy^3; Eau de mer. Caufes qui doivent diminuer
la falurc de la mer Noire. VII. 89. a. De la falure des
eaux de quelques lacs. 621. k. La falure des mers fait qu’elles
gclent plus difficilement. 623. a. 684. a.
S A L U S , (Mythol.) la conforvation de l'empire fut déifiée
fous le nom de la deeffe Sains. Son temple à Rome. X lV .
386. b.
S A LU T , ( Gr.imm. ) variétés dans les maniérés de faluer.
Caul'e pliyfique du prétendu falut que la fiatue de Mcm-
non en Egypte , rciidoit chaque matin au foleil. X lV .
386. b.
Salut , (Critiq. facr.) différentes acceptions de ce mot
dans l’écriture. X lV . 386. b.
Salut , de la nécefliré de la foi pour le falut. V IL 21.
a , b. Du falut des fages du paganifme, voyei PrÉdESTINA-
Jçmc II,
S A M 629
TION. Scmlmens des peres fur ce fu je t , v o ye^ Peres. Celui
de Zwlngle , d'Er:üine , d'un théologien portugais , d’un ly-
node de Pologne Sc de quelques peres. XVII, 616.4.
Salut , terme d’eghf'e ; partie de roilîcc divin citez, les
catlioliqiies. Reflexions de la Bruyère fur ce f'ujct. X lV .
386. b.
Salut à la guerre ou parmi les troupes. Le falut le plus
finiplc efi le plus noble. Ancien faiiit d e là cavalerie. Nouveau
falut qui lui a été hibfiiiiic. S.iliit de l'étcndatcl. ( Foyer
VI. 40. b.) XÎV, 387. .7. Salut de l'clpoiufm, lorltpi'il fe
fait de pié ferme , ôc lorfiiii’il fe fait en marchant, Ibid. b.
Salut du fiifil, de pié ferme & en inurcham. S.flut du drapeau.
S.iluc des fergens, Obf'et vations de M. le maréchal de Jfiiy-
fégur l’ur le falut de rcf'pontoii. Ibid. 388. a. Salut qÙil
fe fait par une ou plufieurs décharges d’aniheric, Ibid. b.
Sa LUT, (Marine) iionneur que les vaiffeaux fe ivmicnt.
En quoi il confifie. Difpofitioiis de l’ordoniumce de l.i marine
de 1089, l'ur ce que les vaifl'eaux françois doivent pratiquer
à cet égard. X [V . 388. b. Article concernant les galères.
Ufages piMiiqucs par rapport au falut par les vailTcaux des
différentes nations. Ibid. 389. a.
•Salut , (Ejcnmc ) comment s’exécute le falut d’aimcs,
voyci^ vol. IV des planch. Efcriine , planch. 3 & 4.
S.aluT , (Mo.’iiioie) monnole d’or que fit faire Charles
V i , loi de Trance. Qualité Sc prix de cetic monnoic. l^our-
quüt elle fut appellee filur. S.iluts d’or fabriques j>ar Henri
V I , roi d'Angleterre. X IV . 389, b.
S A L U T A R IS , (Géogr. anc.) principales provinces qui
ont porté ce nom. Pourquoi il leur a été donné. Lc.s
anciens géographes n’ont point connu ce nom difiinéUi. X lV .
389, b.
S.ALU TAT ION , ( Ufigcs ) manière dont fe fiiluent
les Européens, les T u r c s , les Ethiopiens ou Ab) flîns. XIV*
sS<). b.
Salutation en baif.mt la main. II. 22, b. Foyei Adorer.
Salutation angelique, ( Théolog. ) voyez Annoncuiion Sc
Ave maria. XIV. 390. a.
S.VLYENS, (Geogr. anc.) ancien peuple de la Provence.
Pays qu’il occujto.t. Pafiages de qi!ciquc,s anciens aiuciirs fur
ce peuple. Subdivif ■ n des Salyens en d’autres petits peuples.
XIV. 3yO. a. i'oyel Sa LLUVIENS.
SALZMAN , (Jean ) aiiatomifie. Suppl. I. 404. a.
S A L Z TH A L , pierre de (Liilwlog.) efpece de marbre.Ses
caraéLres. Lieux oii il fe trouve. X lV . 390. a,
Salzthal ou s.i!q^.-faium, (Géogr.) bailliage & château
dans la balle Saxe. Coni'truition 6c ornemens des galeries du
cliàreau. Funaariuu rebgleufe dans ce lieu. Suppl. IV. 713. /-
SA L ZW L U i .L , ^ Geogr.) ancienne ville d’Àllcmagne dans
la haute-Saxe , la fécondé vilie des Pays-Bas, appellees immédiates.
Defeription de ce qu’elle ofl're de plus rciViar-
quable. Obfervations hil'ioriques fur ce lieu. Suppl. IV .
713. b.
S AM A C A , (Botan.) arhufie des Indes orientales. Qualités
de fon truit k do fes Auülcs. X IV . 390. a.
SAMAN'ÊENS, (Hiß. des rrlig, orient.) pliilofophcs Indiens.
Auteurs qui en ont \)arlé. Moeurs ék düéliiiie de ces
piiüof'ophcs. Conlîaéiac'ioii donc iU jouifloient. X lV 390. b.
Les i.iinanéens ik les bvaclimancs paroiffcnt à certains é'^ards,
être deux feéles d'une même religion. Mais ceux qui ont
une parfaite rcfl'embhmcc avec ces .anciens fimanécn.s, font
les talapoins de Siitin. Royaumes des Indes ou leur doffrlnc
efi répandue. Ils font connus à la Chine ou au Japon, fous
le nom de bonnes, & dans le Tibet fous celui de larrus. Il
paroit même que cette religion a pénétré en Sibérie. Mais
plu-, les l'amanéens fe font éloignés du lieu do leur origine,
pins ils le font écartés de lu doffrinc de leur foiidatour. Si
les famanéens ne fubfifient plus fous ce nom dans le.s Indes ,
on y trouve les brachmes , dont la doélriiie efi a-peu-pres
lemblable à celle des famanéens, Ibid. 391. a. Fondateur de
ces derniers, nommé Butta. Son hifioire. Deux feiles ([lie fes
dilciple> formeiciu aprè-» fa mort ; l'iine compoféc do ceux
que nous connoillbns [flus communéinent fous le nom de
br.tchmcs , (le bontys , dé lam.is ik dc tal.ipoins. Leur doilrine.
iüid. b. L’autre efi Celle des famanéens , ou de ceux q u i ,
après diverfes tranfmigrations ik métempfycofcs, font parvenu,.
à l’état de porfeétion. Leur doffrine fur leur amc ik fur
l’Etre fuprême. Comment cet être a créé le monde, félon ces
philofophes. Ibid. 392. a.
SAM AN ID E S , (Hifi. orient.) dynafiie des califes fondée
par Saman. X lV . 392. a.
S A M A R A , ( Gc-eiî/-.) ville & rivière d’A fie dans la Tar-
tarie. X lV . 3 9 I b.
Sam ar a, (H iß. de l'inquißt.) efpece dc fcaptilaire ou
dalmatiqiie, que les iiiquiiîtcurs font porter à ceux qu’ils
condamnent à être brûlés. X lV . 392. />. Foycÿ_ San bénito.
SAM AR ATH , ( Hiß. mod. ) feile de Banians dans les
Indes , qui croient que leur dieu , qu’ils nomment Permiféer,
gouverne le inonde par troi,s lieutenans, nommés Brama,
Biißiria, Sc Mais. Fonilions qu’ils attribuent à ces dieux infé- VVVv v v r
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