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566 R E C R E C R E C R E C 5(^7
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fit'ioiis harmonlciifcs les plus rechcrchces , 8c cies plus fa-
\'antcs modulations. Ibid. b. Le nuifiden ne pouvant i'uivre
parfaitement toutes les inflexions de la parole , doit an moins
les imiter le pins qu'il efl pollible ; & utin de porter dans
l’cfprit des auditeurs l’idée des intervalles 8c des accens ,
qu'il ne peut exprimer en notes, il a recours à des tran-
îirions qui les uipponcnt. — Règles fur baffe du récitatif.—
Elle doit reffer fur la même note autant qu’il eff poffible.
Le diangement de baffe ne doit avoir lieu que pour donner
plus d'effet à l’intlexion du récitatif, lorfqu’clle clevieuc
plus vive. — Le récitatif ne doit fervir qu’à lier la conte.K-
ture du drame, à féparer Sc faire valoir les airs, à prévenir
) erourdiffemeni que donueroic la continuité dti grand
bruit. — Quand l’energie de l’expreffion fe trouve dans le
récitatif, elle y fait plus d'effet que dans les airs même.
Exemple. Ibid. ijpo. a.
Réciraeif. Caraéleres du récitatif. Suppl. HT. 826. a. 11 ne
doit être qu'une déclamation notée. "V'I. 318. i . X. 768. j .
Art de la placer. Suppl. I. 237. u. Efpece de céfure dans
le récitatif. Suppl. II. 301. b. Réglés fur le récitatif dans
l’opéra. XII. 823. a. Génie , fineffe 8c variété qu’un grand
compofiieur peut mettre dans cette partie du chant. 826. b.
Oblérvation fur le récitatif françois. 829. b. Lulli a excellé
dans l’expreffion de fou récitauf VI. 315. b. Marche du récitatif
de cc miificien. Suppl. 1. 390. b. La méthode de
clianter nos récitatifs à l’italienne ne feroit point impraticable
fur notre théâtre .• elle les feroit beaucoup plus reffem-
bler à la déclamation. VII. 397. b. Maniéré d’accompagner
le récitatif. VIH. 58. b. Caufe de l’enmii que donnent les récitatifs
trop nombreux. IV . 85 i. b. — l’article D éclamation
[^Mujli].),
Récitatif accompagné. {Mußq.) En quoi confifte cet accompagnement.
Suppl. IV . 590. b.
Recii.ttif mefuré. Souvent un récitatif ordinaire fe change
tont d’un coup en chant, Sc prend de la mefure 8c de la
mélodie. Comment ces changemens fe pratiquent. Suppl. IV.
39.0. b.
Récitatif obligé. Celui qui entremêlé de ritournelles & de
traits de fymphonie, oblige pour ainfi dire le récitant Scl’or-
cheffre Tun envers l'autre, enforie qu’ils doivent être attentifs,
Sc s’entendre mutuellement. Ces partages alternatifs de récitatifs
Sc de mélodie , font ce qu’il y a de plus raviffaut
dans toute la mufique moderne. Suppl. IV . 590. b.
R É C IT A T IO N , ( Poéfe théatr. A n oratoire') déclamation
fimple, inventée pour plaire 8c toucher davantage que ne
feroit la lefliire , fur-tout quand il s’agit de poéfie. XIII.
654. b. Prononciation, Déclamation, V o ix ,
T on, C ’étoit par la voie de la récitation que les anciens
poètes pubüoicnt ceux de leurs ouvrages qui n’écoiem pas
compofés pour le théâtre. Ibid. 833. a.
Récitation, déclamation fimple. IV . 691. a,
R É C L AM A T IO N , {Jurifpr.) différentes acceptions de
ce mot. Réclamation contre les voeux de religion. Caufes
de cette réclamation. Formalités à remplir pour faire déclarer
nuis les voeux qu’on a faits. Terme accordé pour pro-
pofer les moyens de nullité. XIII. 833. a. Juge devant lequel
fe fait la demande en réclamation. Peine prononcée
contre ceux qui ayant obtenu des referits pour être relev
és de leurs voeux , fe marient avant que le refcrit foie
fulminé, ou le procès jugé. Ibid. b.
RÉC LIN AISO N d'un plan, {^Gnomo?iiquj:') Moyen par lequel
on trouve cette réclinaifon. Cadran réclinant. Cadran
réclinant 8c déclinant. XIII. 836. a.
RECLUS , ( Jurifpr. ) Différentes acceptions de ce mot.
Particularités fur ces reclus qui fc retiroieiu autrefois dans
une cellule pour n’en plus fortir. Formalités qui s’obfer-
voient avant qu’ils fiiffent admis à ce genre de vie. XIII.
836. a. Defcriptioii de leurs cellules. Maniéré dont ils y
vivoient. Reclufes qui menoient à-peu-prés la même vie.
Cérémonies qui fe praciquoient lorfqu’ou faifoit une reclufe.
Ibid. b.
R É CO L EM EN T , {^Jurifpr.') Récolement de témoins. En
quel cas cette formalité s’obferve. Affignntion des témoins
pour le récolement. Comment cette formalité fe pratique.
Le récolement ne fe réitéré point. Des témoins qui rétractent
leurs dépofitions. Le récolement eft fuivi de la confrontation
des témoins à l’accufé. Ouvrages à coiifulter. XIII.
857. a.
Récolement en matière d inventaire. Cas où fe fait le récolement
des meubles & autres effets , 8c où ce récolement
tient lieu d’inventaire. Raifon de cette manière deprocéder.
Traité k confulier. XIII. 837. h.
R É C O L IN , chirurgien : pratique qu’il a adoptée dans certains
accidens des fauffes couches. VIII. 730. a.
R É C O L L E T S , {H iß , eccl.) ou frères mineurs, congrégation
des Francifeains réformés. Leur infficmion. Origine du
nom de récollets. IntroduéHoii de cette réforme eu France.
XIII. 837. b. Voye^ Mineurs, Frères-.
RÉCOLTE. {Econom. rufiiq.') Quoiqu’il s’agiffe dans cet
article principalement de la récolte des grains, on ne laiffe
pas d’y trouver bien des chofes applicables aux autres fortes
de récoltes. Diligence dont le laboureur doit ufer pour
recueillir fes grains, 8c s'affûter pour cet effet d’un nombre
fiifhfam d’ouvriers. Des conditions de leur travail. Obligation
de fe pourvoir de vivres abondaiis pour les nourrir,
fur-tout de farine. Suppl. IV. 391. j .
Récolte, voye^ fur cet article tous ceux qui fe rapportent
à l’agriculture 8c au commerce des grains. On doit avenir
les décimateurs avant de commencer la récolte. IV . 1093.
b. Dimimiiion du produit des récolteseu France. V IL 816.
b. &c. Variations des récoltes , felon la diverfité des années.
8i8. a. En quels icms les graines 8c les fruits des arbres fe
recueillent. 833. b.
RECOMMANDARESSE, ( Jurifpr. ) D e la police établie
dans Paris fur les recommandareffes 8c nourrices. IX. 311.
R K iO M M A N D A T IO N , {Jurifpr.) oppofition à l’élar-
giffement d’un prifonnier. Formalités que doit contenir le
procès-verbal de recommaiHlation. XIII. 837. i. La recommandation
peut être faite fur uu homme emprifonné pour
dettes, ou fur im homme détenu pour crime. Maximes de
jurifprudence fur ce fujet. Ibid. 838. a.
Recommandation, lettre «/e. ( Z;/«'/-. ) Réponfe de C icéron
à Trebatius, qui fe plaignoii que Céfar ne lui faifoit
point de bien, quoique lu i, Cicéron, l'ciit recommande
par piufieurs lettres. XIH. 858. a.
Recommandation , lettres de. IX. 413. b. 4I4. a. 427. b.
Celles qui étoienten ufage entre les premiers clirécicns. VII.
181. b. 182. J.
RÉCOMPENSES M IL ITA IR E S, {H iß .a n c .) On peut
les dirtinguer en deux cfpcces; favoir, en récompenfes honorables
Sc eu lucratives. Quelles étoient celles que les
Grecs diftribuoient. Récompenfes militaires chez les Romains.
XIII. 838. b. — F ù yq Militaire , D iscipline des Romains.
Récompenfes militaires, chez les Athéniens , I. 669.
b. 674. b. Suppl. 111. 933. b. chez les Romains. Suppl. IV .
674. b. Le devoir de tout c h e f, ort; de faire valoir les actions
de ceux qui fe fom dillingués fous fes ordres. Suppl.
II. 160. b.
Récompense. {Hiß. anc. Poliùq.) Récompenfes que les
Athéniens accordoient à ceux qui avoient rendu quelque
fervice à l’otat, VIH. 381. b. XIII. 336. b. Si h leurs en-
fans. Ibid. Récompenfe qu’on donnoit chez les Grecs à ceux
qui avoient fait voir quelque chofe de merveilleux au peuple.
XVI. 223. l. Récompenfes accordées aux vainqueurs
dans les différentes fortes de jeux , voyes^ Prix. Couronnes
que les anciens donnoient pour récompenfes, voye^ Couronne.
D e la diftribution des récompenles dans un état.
IX. 360. b. 361. a.
Récompense. {Jurifpr.) Récompenfe en fait de communauté.
En quel cas cette indemnité a. lieu. Récompenfes
dues par le frere ainé à fes puînés, par l’héritier au légataire.
XIII. 839. d.
R É CO N C IL IA T IO N , ( Jurifpr. ) d’un cimetiere poilu ,
III. 433. b. d’une églife profanée. 904. a.
R E C O N D U C T IO N , ( Jurifpr. ) renouvellement d'un
louage ou d’un bail à ferme. Voye:^ Contrat Pignoratif
, & Relocation. Rcconduftipn cxprefi'e. Reconduélion
tacite. XIII. 839. b.
ReconduElion tacite. H. j6 . h.
RECON NOISSAN CE. {Morale) Il ne faut point confondre
ce fentiment nob le , avec une adubrion fervilc , qui
n’eff autre chofe qu’une demande déguiféc. La reconnoif-
fance, de même que l’amour, ne s’exprime peut - être jamais
de fl maiivaifc grace , que quand elle eff véritable.
Portrait de l’homme reconnoiffant. H n’y a point d’hommes
plus reconnoiffans que ceux qui ne le biffent pas obliger
par tout le monde. Comme les principes des blenfiùts
font différens , la pratique de cc devoir n'eff point pénible
comme celle des autres vertus. XIH. 860. a.
Rcconnoijfance. Différence entre gratitude S^ reoonnoiff
fance. Exemple de reconnoiffancc de la parc d’un animal.
VII . 863. b. Reconnoiffancc que nous devons à Dieu. XIV.
79. b. Le fentiment de la reconnoiffancc bien approfondi
vient de l’amour de nous-mêmes. I. 373. a. Cependant piufieurs
caufes le rendent rare chez les hommes. VIIT. 273.
b. Chez les anciens, les graces préfidoicni à la reconnoiffancc.
X V I. 72. b. X V II . 798. a. Temple de la reconnoiffancc
à la Chine. X V I . 82. b. Des épitaphes confacrées par
reconnoiffancc. V . 817. u. Traits remarquables de cette
vertu. Suppl. III, 267. b. Gy-j. a. — Sur cette v ertu, voye^
Ingratitude.
ReconnoissaNCE, Reffenùment, {Synonym.) DiiTéren-
ces dans la fignification & l'ufage de ces mots. XIII. 860. b.
RECONNOISSANCE, { Focfe dramaùq.) La plus heurcuftf
recounoiffance eft celle qui caufe la péripétie. Reconnoiffancc
double Si fimple. Comment les reconnoiffances doivciit
être .amenées. La reconnoiffancc fe fait quelquefois
D.ir le raifonnement. Excmiilc. XIH. 860, b. De toutes les
bc.iucés de la tragédie , les reconnoiffances font une des plus
■ 'i'uikIcs fur-tour celles oii la nature fe trouve ituéreffée.
i''x(.iii()le tiré de l'CEdipe (lo Sophocle. Ce n’e ll qu’entre
les principaux pevfonnnges d'iino tragédie que les recon-
noirt'anccs ptoduit'uU leur grand effet, 8c ce n'eft aiillî que
des ciiconiianccs où elles font placées que dépend leur v é ritable
beauté- Moyens finguliers de recounoiffance dont les
anciens n'om point fait ufage. C e l l au fon de lu voix que
Zénobie reconnoît Kliadamllte. Ibid. 861. a.
RECONNOISSANCE , ( Belles - leur. Poéf. ) Connnlffance
qu’un, perfonnage acquiert, ou de lui-méme , ou de celui
qui eft cil aého'ii. Suppl. IV. 391. a. La reconnoiffance peut
êne limple ou réciproque, — Ouvrages à coufiiltcr fur les
dirtérciitcs combinaifons de la reconnoiffance , Si fur les
ijuiiieres de la varier. Quelles font celles qui mévitciu la
préférence. Examen de la queftion fi la reconnoiffancc doit
|)rüduirc tout - à-cotii) la révolution, ou laiffer encore eu
tùfpens le fort des perfonnages. — H n’y a point de reconnoiffance
fans un changement de fortune, mais il peut y
avoir des revolutions fans reconnoiffance. — Reconnoirtancc
de chofes. — Reconnoiff.mce avant le crime 8c après le crime
: rime 8c r.iutre piécicufc dans la tragédie. It>id. b. Dans
la comédie , b rccoimoiffiuce cil une Imirce de ridicule ;
comme dans la tragédie , elle eft une fource de pathétique.—
Combien tout ce qui accompagne les reconnoiffances doit
contribuer au comique de fituation. — Si à la reconnoiffance
des perfonnages on ajoute celle des chofes, on aura l’idée
de prefque tous les moyens q u i, dans la comédie , amènent
les révolutions. Ibid. 392. a.
Reconnoiffancc , dénouement par. II. 772. b. IV . 832. a.
Suppl. II. 692. b , &c. Suppl. IV. 640. a , b, &c.
RECONNOISSANCE : {Jurifpr.) acceptions de ce mot. XIII.
S61. a.
Rcconnoijfance d'écriture privée : elle fe fait devant notaire
ou en juftice. XIH. 861. a. Formalités qui doivent
l’accompagner. Reconnoiffancc d'écritures privées Si figna-
tures en matière criminelle. Ibid. b.
Reconnoiffance d’ainé & principal héritier. XIII. 861. b.
Reconnoiffancc, titre nouvel. X V I . 360. b.
Reconnoiffancc d’hérit.igcs. Les gens de main-morte font
tenus de paffer une reconnoiffance pour les héritages amortis.
Tout nouveau tenancier eft obligé de paffer à fes frais
reconnoiffance au feigneur. XIH. 861. b. Le nouveau fcl-
gneur peut tlemamler reconnoiffance à fes ccnfitaires. Pour
autorifor la perception des droits exorbitans, une feule reconnoiffance
ne fuflît pas. Auteurs à confulter. Ibid. 862. a.
Reconnoiffancc du vaffal : origine de cette formalité. VI.
692. b.
. RECON NO ITRE , {Fortification) Qualités requifes dans
ceux que le général emploie pour examiner les différens objets
fur lefqiiels il a beloin d’avoir des reconnoiffances exactes
, Si en particulier le pays par où les armées doivent
pafiêr, & où elles doivent agir. Les connoiffances qu'on en
acquiert par les meilleures cartes, font encore très-imparfaites.
XIH. 862. a. Importance de la connoiffance du pays
oîi l’on fait b guerre. Ouvrage à confulter. Ibid. b.
Reconnoitre le pays : des détachemens employés à cetto
opération. VII. 994. a.
R E C O N V E N T IO N , {Jurifpr.) cette aflion eft en matière
civile , ce qii’eft la récrimination en matière criminelle.
Difpofitions des coutumes fur la reconvemion. XIH. 862. b.
Comment elle a lieu en cour eccléliallique. Auteurs à coii-
fulter. Ibid. 863. a.
RECORD . ( Jurifpr. ) Record d'un jugement ou d’im contrat.
Record dans un exploit. XHI. 863. a, b.
R E CO U S SE , (Jurijpr.) aeftion de recouvrer quelque
chofe. Autres acceptions do cc mot. XIH. 864. a.
Recoiffe, retrait de. XIV. 213. a.
RECOU VREM EN T des forces, {Médecine) il ne s’opère
que par l’cxpulfinii do la matière morbifique. Régime lo plus
pro])re à procurer ce recouvrement. En quelle circonftauce
les fecours alimeuteux peuvent cire em p l ie s . En quels cas il
eft dangereux de fe gorger d'alimeiis nourrllhins. XIH. 864. a.
Recouvrement des foices : remèdes propres à le procurer. 1.
399. a.
IIECRÉANCE. {Jurifpr.) Rccréancc cn matière bcnéfi-
cialc. Jugement de recréance. On adjuge la rocréaiice au
poffeffeur, quand les titres des parties font fi douteux qu’il
n ’y a pa$ lieu d’adjuger la main-tcmic à l’une on à l’autre.
Fruits Si revenus qu’emporte la rccvéancc. D e roxccution
des fentcnces de recréancc. XHl. 864. b. Formalités auxquelles
eft obligé celui à qui la recréancc eft accordée.
Lorfqu’il êcliet de juger féparément la piovifion avec le
fonds, il n’cft pas permis aux ji'gcs de prononcer par un
même jugement fur b pleine maiiitcmic , 8Î. fur la recréance.
Le dévolutaire ne peut prendre poffertioii de fait, à moins
qu’il n’ait obtenu femenec de recréancc ou de maiutemie.
Ouvrages à confulter. Ibid. 863. a. Voyc:^ Maintenue.
Recréancc. Différence entre état Si recréancc. V I. 28. a.
Sentence de recréancc. HI. 764. a.
R É C R É A T IO N , amufement, divertffemenr, réjouffance :
différentes fignirtcations de ces mots IV, 1069. b. Les re-
cié.’.tions doivent être une partie cffciuiellc des fêtes des
chrétiens. X IV . 607. b.
RECRÉMENT. {Econom. ar.im.) Recrémens dcftiiiés pour
la génération , pour la nourriture du foetus, & pour celle
des enfans nouveau-nés. Recrémens diffolvans. X ili , 863.
a. Recrémens lubrirtans. Rccrcmens humcélans. Ibid. b.
RF.CRÉMFNTITIELLES/i«r«cf/r.(. V i l f . 330. b. 331. a.
R E C R IM IN A T IO N , {Jurifpr.) aceufation d’un aceufé,
contre fon acciifateur. Comment doivent procéder les juges
en pareil cas. La récrimination par laquelle l’accufé attribue
à fon accufatcur un autre délit , n'cft point reçue en
France. Ouvrage à confulter. X I ll. 863. b.
Récrimination. Si celle d'un aceufé eft admife. I. 93. a.
REC RU E S , { A n milit.) (Comment eft payée la conduite
de cliaque homme de recrue. XIII. 866. a.
Recrues. Police établie rl.ms Paris pour les recrues. IX.
312. a, b. Routes que le roi accorde pour des recrues. X IV .
416. a.
R E C T A N G L E , ( Ceomét. ) Trouver la furface d’un
reflanglc, Expofition de quelques théorèmesfur les reélangles.
XHl. 866. a. Triangle rcftangle, Ibid. b.
RethmgUs fembbbles. XlV'. 936. h. Propofitious fur les
triangles reélangles. HI. 734. b. 733. a. Voyei auffi l’article
T riangle.
R E C T E U R , {H if . mod. Jurifpr.) Le ch e f des imivcr-
fités eft qiialiho de reéleur. Détails fur les fonélionsde celui
de l’univerfitc de Paris, 8e fur le tribunal auquel il préfide.
Dans quelques académies, celui qui préfide eft auiU qua-
liric de reéleur. En quelques provinces , les curés font appelles
reéteurs. Officiers qui ont à Venife le titre de reflcurs.
XIH. 866. b.
Relieur : ce mot fynonyme à celui de curé en certains
endroits. IV. 573. b. Députés par les quatre nations de l’ii-
niverfité pour l'éleélion du reéleur. VIH. 843. a.
Reéleurefpril , \ o y c i E.IU.X dijUllées , Odorant, principe.
Mercure, & Inodore. XIH. 866. b.
Reéleur, efprit, principe du goût Si de la propriété fortifiante
des alimens. VH. 760. b.
R E C T IF IC A T IO N , {Chymie) nouvelle diftillation du
produit d’une diftillation précédente. XIH. 867. a.
Rectification, {Géom.) reéliner une courbe. La rcélifi-
cation des courbes eft une branche de la geometric conipo-
fé e , dans laquelle on apperçoic fenfiblement l’iifage du calcul
intégral. Exemple. Reélification de la parabole. Rcélihca-
tion de la cycloïde. XIH. 867. a.
Reélifc.tiion de l’ellipfe. V . 317. a.
R E C n n E R le globe ou h fpliere , {A fr o n .) c’eft clifpofer
le globe ou la fphere pour la foliition d’un problème. Operations
coniprifcs dans cette reélification. XIII. 867. b.
RECTILIGNES , carres. IL 708. b.
RE C TUM : {Anatom.) dcfcriptioii de cet intertin. Muf-
des (le fa partie inférieure. Obfcrvations finguheres fur le
reélum du cadavre d'un enfant. X ill. 868. a.
Reélunt : defeription de cct iiueftin. VIH. 841. b. Suppl.
n i . 637. b. Chiite du reélum. III. 404. a. V .8 } 6 . a , b.
VII. 78.
RECUEIL. {Bclles-lettr.) Parmi les differentes manières
de difpofer un recueil, la plus eftiméc eft celle de M. Locke.
Explication de cette méthode. XHI. 868. b.
Recueils de M. de Sallo. Suppl. III. 636. a.
RECUIRE , {Art méch. ) le recuit fe fait de tous les ouvrages
traiichans après la trempe. Effet de l’aélion du feu
fur ces ouvrages. Maniéré de redreffer la piece recuite lorf-
qu’elle s’eft envoilée. XHI. 870. E _
Recuire, terme ufité en divers arts Si metiers, X ill. 070. b.
RECUL ( Artillerie) Expériences faites fur le recul des
canons. Caufe de ce recul. XHI. 871. a. I! eft effcnticl de
ne point l’empêchcr. Ibid. b.
Recul des pieces courtes. Suppl. 1. 616. b.
Recul, {Horlog.) rétrogradation d e là roue de r^icon-
tre dans l’échappement à recul. Conimenc ce recul eft produit.
C e recul eft en raifon compofée de b dircéle des arcs
que le balancier décrit par b levé e , & de 1 uivcrfe du nombre
des dents de b roue. XHI. 871- Z
RECURR ENT nerf. {An.uom.) Recurrent droit Si recurrent
gauche. Pourquoi ces nerfs ont été ainfi nommés.
Il paroit qu’ils contribuent à la formation de la voix. XHl.
872. V o y e z é'wp/. HI. 709. i . ,
Ré c u s a t i o n , (/«nypr.)-Differentes caufes de recufation
d’un juge. XIII. 87.1^ u. Terme dans lequel la reçu-
H
en matière de récufaiion.
des jugemens qui
Condamnation de Ja, paÉ-ffè dont b reculation a ete declarce
impertinente Si in 'àd^ ib le. Ouvrages à confulter fur la reintchvicn’nent
l ' J