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nruaion de leurs fcjnilcres. DcfcriiKimi des pyramides
d’Lg yp tc, X III. ^ 6 . rf. & pariiciilicrement de la plus con-
fidcrahle. IHJ. b. Defeription de la féconde & de la rroi-
fieine. Vertiges de bâtimens aii-devaiu de chacune. Idole
près de ce lieu nommée fphinx par Pline, 6c que l’on croit
avoir fervi de tombeau àAmafis, roi d'Egypte. Ibid. 597.
Defcriptioii de la pyramide égyptienne nommée Rudope.
DIrterentes mefures qui ont été données des pyramides,
en piés 6c en ilades. Ibid. 598. it, h.
Pyi,imid<s d'Ec.ypte‘, Suppl. II. 189. b. Conjcéliires fur le
but de leur conllriiftion. V . 435. b. Leur antiquité. V l l I .
22 t. b. Coquilles décompofées qu’on a trouvées dans les
pierres de ces pyramides. IV. 798. b. Hauteur de la grande.
VII I. ()j. a. Hauteur de la pyramide inefurée par M. de
Clia/.elles au Caire. Suppl, l i l . 317. a , b. Pyramides au
milieu du lac Moeris. X. 6 11. a. Pyramide que fit conliruire
Chéop«^. Suppl. II. 388. b.
Pyr am ide d'amonijjcment. {^Archit.) XIII. 599. u,
Pyrumidc, terme de ferblantier, de gantier, 6c de plombier.
M i l. 599. â.
P V K AM ID Ö ID E , (Gèoni. ) ou fufeau parabolique. Le
fiifeau parabolique eft égal à ^ du cylindre qui lui eft
circonferit. DémonAration. X l l l . 599. a.
Pyramiddide p.iiiiboliijue. XI. 885. a.
PYPxARI), (/ôd/7ceii)fon voyage .tu Brcfil & aux Indes.
Supp/.Ul. 7 1 1 . b.
P Y R A T É , voye^ F o r b a n .
P YR E ICU S , peintre ancien. XII. 264. b.
P YR EN E , {Géogr. une. & Mythol.) fontaine confacrée
aux imifes, qui avoir fa foiircc au bas de l’acro-corinihc.
Origine de cctrc fontaine.XlII. 599-é.
PYRÉN ÉES, Us {Giogr.) montagnes fitnées aux frontières
de la France 6c de rEfpagne. Pline nous marque jiif-
qu’aux limites précifes de cette fcp.iration. Etymologie du
mot Pyrénées. Largeur 8c longueur de ces montagnes. Pays
que la France & l'Efpagne polfcdent dans les Pyrénées. D i vers
noms qu'elles ont felon los pays qu’elles avoilînein.
XIII. 599. b. Defeription de ces montagnes. Utilité que l.i
France pounoit tirer des forêts immenfes de fapins donc
clics font couvertes , 8c des mines qu’elles renferment. Ibid.
600, a.
Pyrénées , ziymoXo'^vi de ce mot. III. 188. A Dlrtribution
des dift'érentes branches qui partent des Pyrénées.
X. 676. b. Une des plus hautes montagnes de cette chaîne.
Suppl. 1 . 175. b. Mines d’argent des Pyrénées. I. 639. j .
Art'ailTement de quelques-unes de ces montagnes en 1678.
1 1 , 7S6. b. Partages des Pyrénées. Suppl. IV . 846. a. Croix
qui éioit fur le fommet de ces montagnes. Ibid.b. Habitans
des Pyrénées appelles Frontaliers. V i l . 340. b. Traité de
commerce entre les Efp.sgnols 6c les François, voifins des
Pyrénées. XII. 140. b.
Pyréné e s , traité des {Hiß. mod.) conclu le ynovembre
1659 entre la France Sc l’Efpagne. Principaux article.s de ce
traité. Rélk-xions de M. de Voltaire fur ce fiijet.XlII. 600. a, b.
PYR E FH R E , {Botan.) trois différentes racines de ce nom
chez les droguilles. Defeription de ces racines 6c de leurs
plantes. X lll. 601. a. Propriétés 8c ufages médicinaux de ces
pyrethres , 8c en p.ariiciilier de celle qu’on appelle racine
f.iitvaire. Ibid. b.
P YR G O ID A L nombre, {Arithm.) X L 104. b.
VYRIQ^UE, fpeélacU, {Artific.) nom qu’on donne aux
fpecladcs de feux d’artifice qu’on fait jouer dans des lieux
enfermés 8c couverts. Nouveauté de ces fpeélacles. On efl
contraint de n'y em])\oycr que des artifices fixes dans leur
place , ou mobiles autour d’nn centre. XIII. 602. a. En quoi
confirte l'art do ces feux qu’on a admirés fur le théâtre de la
comédie italienne. Ouvrages à confutter. Ibid. b.
P Y R IT E , {Minéral.) fubUancc minérale. On peut divi-
fer en général les pyrites en fphériques 8c en anguieufes;
les anguieufes fc nomment communément marc.ifjitcs, voyez
ce mot. Différences dans la nature des pyrites félon leurs
couleurs. On donne encore différens noms à ces fiiblhmces
felon leurs ufages. Pyrites fulphurcufcs, pyrites vitrioliques,
pyrites aurifères. Eloge de l’ouvrage de M. Heackel, intitulé
Pyritologie. Lu üynvi joue un très -grand rule dans la
nature, Serien n’eft plus intéreffant .à comioitrc que cette
fiibrtance. XIII. 603. a. Utilité qu’on tire dans la métalliirfic
de celle qui cft compoféc purement de fer 8c de foiifrc.
)ifférens états 6c formes dans Icfqucls on trouve les pyrites
dans les roches 8c dans les mines. Différens noms donnés
à la pyrite. Ibid. b.
Pyrites, leur formation felon Linnaeus. Suppl. III. 94. a.
Pyrites arfénicales. Suppl. I. 580.4*. Celles dont on tire rahm.
I. 309. a , b. Pyrite cuivrenfe. IV. 541. a. Nature de
la pyrite martiale. Suppl. IIL 348. a. Pyrite nommée pierre
des Incas. V I ll. 642. a. Marcaffites. X. 82. b. Suppl. IJI.
844. a. Pyrite appellee mundick par les Anglois. X. 861. b.
Pyrite , dite pierre de finté. X IV . 630. b. Suppl. III. 844. a.
O r contenu dans certaines pyrites. X L 521, a. Abondance
de (bufre dans les mines où l’on trouve ce.s pierres. X V ,
399.41. Maniéré de l’cn dégager. Ibid. b. F'ormation des vitriols
naturels par la décompolition des pyrites. X V II . 364. b.
Maniéré de tirer par art le vitriol <les pyrites. 365. a. Sur
la maniéré d’en tirer le foufie , wyiq; vol. VI. des planches
Métallurgie 8c Soufre.
P Y RM O N T , {Géogr.) comté , montagne 8c bourg d’A llemagne,
lieu connu par fes eaux minérales. Maniéré d’imiter
par art les eaux de Pyrmont, en forte que cette eau artificielle
en aura les mêmes propriétés. X l i l . 603. b.
phénomènes finguliers que préfente une moufette
qui fe fait l'emir dans une carrière qui eft auprès des eaux
minérales de Pyrmont. X. 780. a.
PYRN ou Pyrna, {Géogr.) ville d’Allemagne. Obferva-
tions fur Jean C e tz c l, dominicain 8c inqulfiteur , né à Pyrna
dans le quinzième ficclc. XIII. 604. a.
P YR O FO R E S, {Antiq. grecq.) hoinines qui marchoient
à la tète des armées, 6c portoient des vafes remplis de feu.
L'iifage du feu dans la religion ell de la plus liante antiquité,
mais enfin il dégénéra en fuperrtition. X l i l . 604. a.
P YRO LE , ( ) defeription d e là principale des quatre
cfpeces de pyrolcs établies par Tournefoit. XIU, 604. a.
Lieux oit elle croit. Ibid. b.
Pyro le , ( Aiut. TTzcWir. ) ufages de lap yro lc en médecine.
XIII. 604. b.
P YR OM A N C IE , {Dix-in.) étymologie de ce mo t, qui
figniiie divination par le moyen du feu. Principales cfpeces
de pyromancies ufitécs chez les anciens. XIU. 604. b.
P YROM E T R E , ( ) inftrument qui fett à mefurer
l’aéliou du feu fur les métaux 8c fur les autres corps foüdes.
Etymologie du mot. Defeription 8c iifage de cet inArument,
inventé par M. Mufchcmbroeck. XIII. 605. a.
Pyrornetre repréfenté vol. IV . des planch. Horlogerie, pl.
29. Son ufage. VI. 599. b.
P YRO PH O R E , (Cliymie) on nomme pyrop/iores p\i\Cueuts
conipolés de l’art, qui par la réaélion de plufieiirs fubAances
les unes fur les autres, s’embrafenrloifqtt’ils i'ont expofés à
un air chargé de vapeurs aqueitles. Différence entic les pyrophores
Sc les pholphores. X l l l . 605 ..t. Duféreus pyrophores
connus. Compofitioji de celui de M. le Fevre. Compo-
fition du pyrophore ordinaire. Ibid. b. Théorie des phénomènes
que préfentent les pyrophores. Ibid. 606. a.
Pyrophore fait avec l’atfeiiic 8c d’autres Ingrediens. XL
665. a.
P YR O T E CH N IE , {A rts)zxt du feu.Etymologie du mot.
XIII. 606. h.
Pyroiechnic militaire. Obfcrvations fur le traité de la P yrotechnie
de Wo lfiiis , fur l’guvi age de S. Remi, intitulé :
mémoires d'artillerie, fur celui de Cafunir, qui a pour titre
U gr.tnd art d'artillerie, 6c enfin fur celui de M. le Blond,
XIII. 606. b.
Pyrotechnie de Vanoccio Biringiiccio. VII. 246. 8, a.
PYRRHIQU E , la ( Orchefliq. grecq. ) danfe de gens .armés.
Defeription de cette danfe. Diverfes interprétations que donnent
les auteurs de l’origine du terme de pyrrhique. Ancienneté
de cette danfe dans la Grece. Defeription que fait Homere
du bouclier d’Achille , où étoit repréfentée enir’autres chofes
une danfe de Crete. XIII. 607. a. Les Lacédémoniens furent
ceux d’entre les Grecs qui s’adonnèrent le plus à cette danfe.
Fête qu’ils donneront à un ambaffadeur des Paphlagoniens.
Autre efpece de pyrrhique donc parle Xenoplton dans la
defeription qu’il fait du feffin que Seuthe, prince de Thr.-ice,
rit aux Grecs. Dans la fuite, cette danfe reçut divers adou-
eiffemens, 8c fut confacrée ùBaechus. Nérou aimoit beaucoup
la pyrrhique. Ibid. b.
Pyrrhique, daiifc à la mode chez les Athéniens. IV. 627, a.
XI. 958. 4*.
PYRRHONIENNE, ou fccjttique,philofop/ùque,{H iß. delà
philofoph. ) méthode de philolophcr (les Pyrrhoniens. HiAoire
de Pyrrhon, chef de cette fcéte. XIII. 608. u. CirconAances
qui concoururent à le conduire au fcepticifme qu’il profeffa.
Scfl.itcurs de Pyrrhon : Euriloque , Pyrrhon l’Atliénicn ,
Timon le Phliaficn, La feéle pyrrhonienne dura peu : elle s’e-
leignit depuis Timon jufqu’à Enéfideme, contemporain de
Cicéron. Ibid. b. Principaux axiomes de cette fciAe. Ibid. 609.
4j, b. Réllcxions fur le fcepticifme. Service qu’il rendoit à la
philofophic. Pourquoi il ne pouvoir faire de grands progrès
chez aucun pcujtle. Etat du fcepticifme parmi les Romains
8c fous les empereurs. Cette philofo])hie rcnoiivelléc dans le
feizleme ficclc. Obfcrvations fur les principes 8c les ouvrages
des feeptiques modernes, dont les itrincipaiix font, François
Sanchez, Jérôme Hirnhaym. Ibid. 6 i i . b. François la
Motlie le Va yer , Pierre-Daniel Huet, Michel de Montaigne-
Ibid. 612. a. Pierre B-.\y\ie. Ibid. b. Condufion de riiiAoire
des feeptiques. Réflexions fur le fcepticifme, 8c fur cette forte
de fobriété à laquelle il faut fe réfoudre dans l’tifage de ki
raifon. Ibid. 613. b.
Pyrrhonienne philofophie, quelques traits du caraélere de
Pyrrhon. V . 89. a , b. Rapport entre les édeiAiqiies 8c les
P Y T
feeptiques. V . 270. b. Les Pyrrhoniens tenoient pour Taca-
talepfte abfolue. I. 59. b. Du pyrrhonifnie des Grecs. V IL
9 1 1. b. Dix moyens principaux par lefquels ils arrivoient au
doute. V . 831. é. Le plus formidable argument qu’ils em-
ployoient contre les dogmatiques. IV. 935. Dodrine de
quelques Pyrriionicns modernes. X V . 58. a , b. Difpute entre
Cicéron 8c fon frere fur le pyrrhonifme dans lequel doit fc
renfermer un pliilofophe à l’égard des prodiges. Réflexion fur
ce fujet. IL 144. a. Réfutation du pyrrhonifme. V. 89. a.
Danger du doute des Pyrrhoniens dans la focicté. Ibid. b. Il
eA contraire à la recherche de la v ér ité , & indigne de
l’homme. Ibid. Manière de prouver à un Pyrrhonien que les
hommes qu’il voit ne font pas des automates. 1 . 346. a. Le
doute de ces philofophes examiné à l'article V .4 3 1 .
b. Seéle des Mahométans pyrrhoniens. VIII. 26. a. Voyet^
Scept ic isme.
P YR RH U S , {Hiß. anc.) fils d’Achille 8c de Deiclamic.
Principaux traits de fa vie. Suppl. IV. 555. a. Foyc^XlV.
Py r r h u s I I , defeendant d'Achille , 8c du premier Pyrrhus
, fils d’Eacide 8c de Troade , roi d’Epire. Principaux évé-
nemens de fa vie 8c de fon regne. Suppl. IV . 555. a , b.
Py'RRHUs , rot d’Epire. Vertu qu'il poA'édoit de guérir les
ratelcux par le taél. V . 376. a. X V . 821, b. Son dertein de
joindre par un pont l’Italie à ta Grcce. XL 696. b. Sou (lege
de Sparte. Suppl. I, 535. b.
P Y T H A G O R E , pliilofophe né à Samos, voye;^ Py t h a g o risme.
Pythagore,fyßemede, étoit le même que Copernic a renou-
vellé. XIII. 614. J.
Pyihagore, fyßeme de. XII. 703. b.
Pythagore , table de, ou table de multiplication. Expofition
de ccrtc table: fon ufage. X l l l . 614. h.
P Y TH A G O R IC IEN S , {Mußq.des anc.) deux feéles de
miilique clicz les anciens , favoir les Ariftoxéniens , 8c les
Pyciiagoricicns. Leurs difiérens fyAèines. Suppl. IV. 556. u. f'oyei A iustox éniens.
P Y T H a G O R 1 Q U E ,> h. X IV . 792.4*, A
P Y fHAGORfSMEjOU philofophie de Pythagore, ( Hifl. de
la phiiojoph.) fc».(;ncle tige de la pliilofopbie feélaire de la
Grece. Pytiugore fut élevé par Phérécyde. Obfcrvations fur
lcsouvr.agcs fx la phiiofophie de ce dernier. X lli. 614. b.
Pythagore n’a point é c r it , 8c il y avoit près d’un ficelé qu'il
n’étoit plus, loifqii'on recueillit ce que fes difciples avoient
Liirte tranfpirer de fes principes. Fables que les ennemis du
chriAianii'me inventèrent fur ce plflofophe dans le but de
détruire la foi des miracles de Jefus-ChrlA. Ibid. 615. a.
Hirtoire de Pythagore. Détails fur fon école de phÜofophic,
6c (ur les moeurs 8c les exercices des Pyiliagoricicns. Ibid. b.
Comment fe perdirent les moinimcns de la doétrinc de Pytlia-
gorc. C e qui luit fur les principes de ce philofophe, ne nous
a été tranCmis que par des auteurs trés-furtrefts. Principes
généraux du pych.igorifme. Arithmétique de Pyihagore. Ibid.
(116. a. Sa mufique. Ibid. b. Son aAronomie. D e la philofo-
phie de Pythagore en général. Ibid. 617. a. Sa philofbphie '
prniique. Ibid. b. Sa philofophie tliéoréiique. Sa théologie.
Ibid. 619. a , b. De la médecine de Pythagore. Des difciples
8c feélateiirs de ce philofophe. Hirtoire du pythagorifine.
Principes pliilofophiqucs d’Ecphante , Ibid. 620. b. 8c
d'Hlppon de Rhegium. La firiAe ne dura pas au-dcl.'i du
tems d'A lexandre le grand. Caufes de fon extinélion. Expofition
de b vie 8c de la doArinc d’Einpédoclc, natif d’A -
grigente : prodiges qu’on lui attribua. Ibid. 621. a , b. Précis
de b vie Sc de la philofophic d’Epicarme de Cos. IbiJ.
622. b. Tiinée le Locrien: ouvrage cmi nous rcAe de lui.
Arcliyias de Tarento: hirtoire 8c caraaere de ce philofophe.
Dialogue qu'Horacc a iiiAitué entre Archytn,s 8c un matelot.
Principes pliilofophiqucs de ce pytliagoricicn./i/./. 623.
b. l’ hilolbphic d’Alcméon , d’Hypafe 8c de Philol.'iiis. Abrégé
de la vie d'Eudoxe de Cnide. Ibid. 6Î4. a.
Pyih.igorifmc, tems oîi florilToit Pythagore: découvertes
qu’on lui attribue. XIV. 600. b. Obfcrvations fur Abnris le
Scythe 8c fur Pythagore. 849. a. Voyages de ce philofophe;
fes connoiffances en inédecinc. X. 263. a. Il cA le
plus ancien philofophe qui fe foit adonné à la théorie de
cette fcieiico. Apjihcation qu'il fit au corps iuimain des loix
de l’harmonie, felon Icfquclics il croyoit ruiiivcrs dirigé.
XI, 362. b. Il cil regardé comme le créateur de la médecine
qu’on exerce aiijourd’luii. Suppl. I. <>31. b. Sa phyfiologie.
Suppl. IV. 344. b. 1 1 fiibAitua par modcAic le titre de philofophe
à celui de fage. X ll, 512. .1. D e la mufique de Pytiia-
gore. X IV . 600. b. è o i. a. Moyen qu'il employa pour calculer
le rapport des confonnances muficalcs. X V . 345. b.
Scs connoiffances aAronomiques. I. 786. 4J. XII. 703. b. XIII.
614. rf. Pythagore paroit avoir placé l’cnfcr dans le folcil.
V . 667. b. Ses connoiffances en géométrie. V IL 629. b. Les
difciples de ce philofophe diAribués en detix claflcs, les exo-
tériques Sc les efotériques. I, m . a. Doéliinc des pythagoriciens
fur 1 origine de la j i ie , I, 328. b. fur fon immorta-
P Y T 543 h tc , 338. b. fur fa nature 8c fur fon fiege dans le corps.
XI. 363. a. Amour des pythagoriciens pour les nombres-
leur doétrine fur ce fujet. IV. 474. b. XI. 205. A X V I. 209.
a. Leur médecine fuperrticicufe. V l i l , 2 1 t . L ComparaiCnn
entre le lyA^.me de mufique d’Arifioxene 8c celui de Pyihagore.
839^.1. Ufage auquel les pyiliagor'.clv-ns appliqiioiciu la
mufique. X. 899./.. ScAe des pythagoriciens eu maiiere de
mufique. XVI. 57. Leur doctrine lur b métcmpfycofe. X.
444. b. LcMir feniimeni fur la vifioii. V. 567. é. Règles de
divination p arje s noms, felon ces phiJofojihes. XI. 483. É.
484. U. Ce qu’ils ont penfé fur b providence. X lil. 51- a
Leurs idées liir la Trinité. X V I. 648. Sur le vuidc on
phyfique. X V II . 572. a. Des moeurs des pythagoriciens 8c
de leurs regies de pratique. Leurs abAinences. 1. 44. b. 111.
II. a. Divers fcntiniens fur la raifon de la délénle que
Pythagore faifoit à fes difciples de manger des feves. VI.
650. b. 631. a. Les Japoniiois d’accord avec les pythagoriciens
fur i’abAinence de la chair des animaux. V IH. ..,54, b.
Leur attention à certaines paroles des hommes, perlua'dés
quelles portoient niallieur. III. 519. b. Charite dont ils
faifoienr profeflion. IX. 37..^. AuAérité de leurs moeurs.
Ibid. Ils éiüicnt fort entêtes de la ipéculation 8c du renos qui
l’accompagne. Ibid. b. ‘ ‘
Du pythagorifine renouvelle. Obfcrvations fur la vie £c la
philofophie des reAauratenrs du Pytluigorifine,dont les principaux
font, Anaxilaüsde Lariffe, Quintus Sexuiis. X l l i .
624. b. Sotion , Modé rai, Apollonius de Tliyanc; fiihlc-s
débitées fur ce dernier. Ibid. 625. a. DoRrinc pliilofophique
qu’on lui attribue. Ibid. b. Secondus l’athénien. Herodes At tiens,
précis de fa philofopliie. Ibid. 626. a.
De la philofophie pythagoreo-plaionico-cabalißique, dont Pic
de la Mivandolc fut le perc. Difciples qu’il eut. Hirtoire de
ceux qui ont donne à cette phitolopliie le peu de crédit doiu
elle a joui pendant fa courte durée. Jean Reuchlin.XlII. 626. b.
François George le vénitien. Agrippa, ( Henri Corneille. ) Ibid.
627. b. Expofition des principes de la philol'ophie qu'Agrljjpa
8c d’autres ont profelTé fous le nom à'occulre. Ibid. 628. a, b.
Réflexions fur certe efpece de philofophie. La philofophie
pythagoreo-platonico-cabaliAique, réduite au platoiiifme p ur,
par François Patrice. Titre du plus rare de fes ouvrages.
Ibid. 630. Principes philofophiqucs de Patrice. Femme célèbre
à laquelle il s’attacha,nommée Tavquinia Molza. Obfer-
vation fur les femmes qui fe fout iUuArécs. Progrès que fit
en Angleterre le pythagoreo-platonico-cabalifine, dont les
feftatcurs furent Galle , Cudworth 8c Morus. Réflexion générale
lur les philofopbes qui fc font attachés au pytliagor.o-
platonlco-cabalifme. Ibid. b.
PY TH EA S de Marfeille : fes connoirtances aAronomiques.
I. 786. b. Ses travaux géographiques. VII. Cep. a. Scs voyages.
X l l . 376. a , b.
P Y TH IE , {H iß. de.< oracles) prêtreffe du temple d’Apollon
à Delplic.s. Etymologie de fon nom. InAinition de cette
prètrclle. Précautions qu'on prenoit dans le choix d'une py-
tliic. Un Tlieffalicn ayant enlevé une pythie extrêmement
belle, Oil (it une loi qu’on n'cliroit h l ’avenir pour cette fon-
élion, que des femmes qui enflent pafl'é cinquante ans, On
augmenta le nombre des pytliics jiifqu’ii trois ; mais dans b
décadence de l'oracle, il n'y en cm plus qu’dne. La pythie
ne rendoit fes oracles que vers le commencement dirprin-
tems. X l l l . 631. U. Ceremonies par Icfquclics elle fc prépa-
roit à (es tonélions. Comment Apollon lui comnuiniquoit fes
infpiratioiis. Manière cioiii on rccuoilloit fes oracles. Reflexions
de Cicéron (nr b vapeur divine qui agitoit la pythie. Oracles
oppofés' qu’elle donna un jour aux Ioniens 6c aux Achéciis.
Différence entre b pythie 8c la fybille de Del];hes. Defeription
que fait Virgile de la fureur de la pythie. L’enthou-
fiafme poétique peint par RoulTeau. Ibid. b.
Pythie. Comment elle rendoit les oracles d'Apollon. V .
681. J. XI. 297. X V II . 33. é. Suppl. I, 489. a , b. Trépié
de la pythie. X V I . 594, é. Palpitation que les prêtres exi-
geoient dans laviîlimc immolée, avant que d’inAaller la pythie
fur le trépié. V llI . 314. a. Voyeq^ O racle DE D elvhes. IV.
794. h.
P Y TH IEN , {M ufq. des anc.) tems oii fe jouoit le nome
pythien. En quoi ilconrtlloic. Son inventeur. Suppl. IV. 556. b.
Pythien, Aatiie d’Ajrollon pythien qu'on voyoit à Samos.
X IV . S27. a, b. Cette flatuc rcprcl'cntéc vol. 1 1 1 tics planches,
DolTin, j>l. 35.
P Y T H IQ U E , {Mufq. i/ißr. Antiq.) flûte dont on accom-
pagnoit les péans 6c la chairtbn pyihiijue. Il paroit par un
part'age de Pollux, qu’il y avoit aiifli une e(|)cce de cythare
appdlée pyihiqiic ik daétyliqiie ,011 <(ue la flûte ainfi fiinioni-
mée étoit propre Raccompagner les cytharcs. Suppl. IV. 556. L
PVTHlQUES,yc74.v {Antiq. grecq.) origine de ces jeux l'clon
Paufanias. Leur renouvellement par Euriloque. De l'ètyino-
logic du mot pythique. La préfulence des jeux pyihiqiies iifur-
péc par Philippe. Iiucivallcs entre leurs célébrations. En
(luoi CCS jeux confiilolcnt. Ces jeux .adoptes par les Romains.
OAîciers qu’ils prépoferent il leur célébration. X l l l . 632. a.
sr
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