r 1'
II I'fl;
i in:; - W
j'!i. i:
1' 1'
4C0 P A U PAUMIER , communniité des ir.aitres piimlcrs à Paris. Ses
priiv.'ipaiix ri'glemcirs. XII. ao i. >i.
P A V O T , caraderesde ce genre de plante.XII.202. b.
Notnl’rc de fes e(j)eces. On trouve ici la deltription des trois
principales, i. Üclcription du pavot blanc. C e f l de les tèics
qu’on tire l’opium dont i f meilleur nous vient de Turquie.
2. Defeription du pavot noir. 3. Celle du pavot rouge. Jbid,
203. a.
Pavot , pouffiere des grains de pavots vue au miferofeope.
VU . 834. a. X IV . 940. b. Defeription du pavot d’oii fe tire
Vopium. XI. 309. b.
Pavot , {Mar. médk. ) XII. 203. b.
Pavot blanc , 1a feule partie employée de cette plante d l
fon fruit. .Stibllauce qu’on tire par décoélion des têtes de
pavot de notre pays. Sirop de pavot. La maniéré qu’on indique
ici de préparer le firop de pavot ell fort éloignée de
celle qui cfl décrite dans tomes les pliarmacopces : elle cil
propolee d'-après les vues de M. Rouelle. XII. 203. b. Ufnge
de ce firop. On fupplée à ce firop par la decoélion d’ une ou
de deux tètes de pavot. Le lue émullU & l’huile nue des fe-
mences du pavot blanc , ne pai ticipent en rien de la qualité
affoupilTante du pavot. Diifcrcmes préparations auxquelles
le pavot blrnc eft employé. XII. 204. a.
Pavot noir , fon ufago en médecine. Huile retirée des fe-
mcnces. Ufage de fes feuilles. X ll. 204. b.
Pa v o t, méthode pour en tirer l'opium. X VI. 132. é.
Pavot rous,t ou cocjuelicot, fes pétales doivent être defléchées
très-promptement. Ufages &: propriétés des fleurs de coquelicot.
Inutilité de leur eau dillillée. Couferve S: firop de
cotiuclitüt. XII. 204, b.
Pa v o t cornu, {B o t.) caraéleres de ce genre de plante.
Ses efpeces. Defeription du pavot jaune cornu. XII. 204. b.
Exemple des fuiiclles effets de cette plante , & du délire
fmgulier quelle peut occafionner. Ibid. 205. a.
PAUPIERE , ( Anatom.) defeription des paupières & de
leurs dépendances. XII. 203. a. Mouvemens des paupières.
Leur peau ell plus longue cher, les orientaux que chez le i
autres peuples. Ul'ages des paupières. Ibid. b. Tioificme paupière
que la nature a donnée aux brutes , qu’elle a mife eu
dedans fous les deux autres. Le fmge cll le feul entre toutes
les bêtes , q u i, de meme que l'homme, n’a point cette troi-
ficmc paupière. Méchanifme des organes qui la foin remuer.
Cette paupiefe ne fe trouve point aux poifîons , finon à ceux
qui fortent quelquefois de l ’eau pour venir fur terre. On n’eft
pas maille du mouvement des paupières, lorfque quelque
objet fcmble menacer les yeux. On n’efl pas maître de tenir
les paupières ouvertes, lorfque le fomraeil elf prefTant
ou qu’on efl fatigué. Ibid. 206. a.
Paupières , leur defeription. XL 387. b. Suppl. IV . 107. a.
108. a , b. Mufde élévateur de la paupière : niufcle orbicu-
laire, effet de fa conrraélion. III. 432. a. XI. 373. b. XIV.
63. ./.Ouverture de la paupière inferieure : ufage des petits
grains glanduleux placés fur le bord cartilagineux des pau-
picres. III. 432. a. Cils dont elles font bordées. 111. 432. b.
Il n’y a que l'homme & le hnge qui aient des cils aux
deux paupières. VIII. 239. b. Cartilages qui terminent les
paupières. X V. 918. a. Cillement des paupières, méchanif-
luc de ce mouvement. III. 431. b. Autres mouvemens appelles
clignement. 331. b. Clignotement. V I I I . 4 1 1. a. X V U .
346. b. Voyei^ Pa LPÉBRAL.
Va v V\ï.KT.S , Maladies des ,{Mcdecine)\Q% enfans naiffent
quelquefois avec les paupières uniesenfemble. AdiefTe qu’exige
l’opération par laquelle on les fépare. Différons tubercules
& verrues qui viennent aux paupières. Traitemens de ces
maux. Enflure ou relàcliement des paupières. Tumeur oedé-
mateufe ou aqueufe qui furvient quelquefois à cette partie.
Remedes à employer pour ce relâchement & cette tumeur.
XII. 2 0 6 .Maladie appelléc mutilation tlela paupicre. Dartre
des paupières. Trois différens degrés de cette maladie ; pour
h eu r e , v o ye z TRACHOME. Dérangement des cils des paupières
, v o ye z TRICHIASE. Renverfemeni & reiirement des paupières,
voyi.'3;ECTROPIUM, La g o ph th a lm ie 6c DifTeriatlon
àconfulter. Concrétion des paupières, lorfqu’elles font collées
l’une à l’autre : union de la paupicre avec la conjonâive.
Caufes de ces maux. Ibid. 207. j . Union des paupières à la cornée.
Ce qu’on doictenter lorfque par une brûlure, la paupicre a
été collée fur l’oeil. Moyen de détacher les paupières qui fe
font collées pendant le fommeil, à l’occafion de la petite
vérole ou d’une inflammation aux yeux. Dèlicatefle de l'opération
qu’exige quelquefois la concrétion des paupieres.Pré-
cautions à prendre pour que les paupières ne s’attachent pas
de nouveau. Pourquoi l’on doit éviter toute opération chirurgicale
fur les paupières des enfans, Auteur à confulter. Ibid. b.
Paupières, leurs maladies connues fous les noms fuivans :
anthracofe, charbon des paupières. I. 497. </. Chalazia, ef-
pece de tumeur, l î l . 18. b. DiflichiafiS. IV. 1033./>. Éraillement.
V.376. b. Grêle. V IL 93i.<2 , A Lagophthalmie.IX. 174.
a , b. Lithiafie. 387. é. Madorofe, milphofis, ptilofls. 840. a.
Orgelet. XL 633. b. Maladie qui confi/Ie dans i ’inflamma-
P A Y
tion de la membrane intérieure. XIII. 342. a. Tophus.X V I .
417. Trachoma. 306. b. Tridiiufe. Ö3 3. rt, A Tylofis. 774.
b. Verrues des paupières. XVII . 137. b. Scarification des
paupières. XL 504. h.
P a u piè r es du cheval, ( Marech. ) Suppl. III. 397. b. Relâchement
de la fupérieure. 409. a. Verrue des paupières.
410. ./.
i^AUPiERES , ( du mouvement des paupières
des oifeaux. V U l. 200. b. Paupières du perroquet. X ll. 399.^.
P AU SA IR E , ( aric.) ofRcier de l’ancienne Rome qui
régloit les paufes que l’on devoit faire dans les proceffions
folemnelles. X II. 207. é. Stations fréquentes dans cc 'cé rémo nies.
College de paufaires chez les Romains. Ofhcicr des
galcres romaines aufli appelle panjaire. Ibid. 208. a.
PAUSANIAS , roi de Lacédémone ; crime qu’il n’avoit
jamais pu expier. X V . 432. a.
Pauja/iias, ouvrages de cet auteur : éloge de fou voya ge
hiflorique de Grece. X V . 224. a , b. Chefs-d’oeuvre de l’art
qu’il a vus dans fes voyages. Suppl. ll\. 238.41, b. Raifon
du filence de cet hillorien fur toutes les belles flatues qui
furent tranfportées deGrece à Rome. X IV . 839.0.
PAU SE , ( Afun/2f.) XII. 208. a.
Pa u s e , {Mnßq.) lignes ou carafleres qui marquent la
paufe 6i la demi-paufe. Valeurs de l’iiiie 8e de l’autre. Ce
qu’on appelloit dans l’ancienne mufiqiie , paufe inisiale. XII.
208, a.
P ause , ( Mufiq. ) ce que les muficiens du feizieme Sc dix-
fepticme fiecles entendoient par ce mot. Suppl. IV , 262. a.
Paufe , demi-. Suppl. IL 691. b.
P ause , ( Batt. d'or. ) X ll. 208. a.
l’AUSIAS , de S ic yo n e , peintre. V . 608. b. XII. 262. b.
438. a , b.
PAUSIt LIPPE, {Gèogr.) montagne du royaume de Naples.
Saficuation. Edifices remarquables des anciens furcetie
montagne. Ecueil appellé la Caiola. Grotte dont cette montagne
elf percée. Danger de ce paffage. XII. 208. b.
P a u s y l ip p e , ( Gêogr.) lignification de ce mot. Defeription
de la grotte de cette montagne. Lieu du tombeau de
Jacques Sannazar, dans l’églife des Servîtes. Suppl. IV . 262. <2.
Cap de Paufylippe.
i^AUTRE, {Pierre le) fculpteur. X IV . 831.4.
PA W L E T , ( ) marquis de Wincheltcr. X V . 336. *2.
P AW L U S K l, fon voyage au nord-ell de l’Afie. Suppl. \.
638. b. 643. b.
P A U V R E , Pauvreté, { Criiiq. facr.) foins des pauvres
recommandés dans la loi de Moïfe. Difi'érentes acceptions de
ce mot dans l’écriture. Explication du paflage, heureux Us
pauvres en efprit. XII. 209. d.
P a u v r e s, ( Hifl. Moral. Jurifpr. ) malheurs du pauvre dans
la fociété. V. 347. a. Q ui font ceux que l’abbé de S. Pierre
appelle pauvres. IV. 1008. a. D e la permiffion qu’on d evroit,
felon cet auteur, leur accorder de travailler une partie du
dimanche, ibid, a, b , &c. Etablilfemens pour les pauvres en
France 6e en Angleterre. III. 207. b. f^oye^ F o n d a t io n .
Des hôpitaux des pauvres. VII I. 294. a. Adminiftrateur des
pauvres chez les anciens G recs. V . 299.4. Commiffaire des
pauvres. III. 710. 4. Devoirs envers les pauvres. Voye:^
A um ô n e , C h a r it é . Des taxes fur les pauvres. X V I I . 874.
a. 879, 4.
P a u v r e catholique, {Hifl. eccl.) religieux de ce nom .
XII. 209. U.
Pauvres de la mere de Dieu , congrégation fondée en 1 5 56.
Fonélions j^ a b it de ces religieux. X ll. 209. a.
Pauvres^lontaires , ordre qui parut vers la fin du quatorzième
fiecîe. En quoi il confifloic. XII. 209. a.
P A U V R E T É , ( Mylhol. ) divinité allégorique. XII. 209. a.
Pauvreté, déejfede la. X ll. 301. 4.
Pa u v r e t é , {Gramm. H if. eccl. Morale) différence entre
pauvreté, befoin , difette, indigence Ôc néceflité. II. 213. 4.
Voeu de pauvreté. XV II . 4 1 1. 4. Eloge de la pauvreté.
603. 4.
P A X - J U L IA , ( Géogr. anc. ) infeription qui fe lit dans la
place du marché de cette ville de la Lufiianie, aujourd’hui
la ville de Béja. X ll. 209. 4.
P A Y A B L E , {Comm.) lettre de change payable à v u e ,
payable;! jour prefix, à tant de jours de v u e , à une ou
pluficurs iifances; billet payable au porteur, payable à un
tel ou à fon ordre , payable à volonté, X ll. 209. 4. payable
en lettres ou billets de change, ou en autre papier. ïbid.o.\o. a.
Pa y e i/l' la milice romaine, {A r t milh. des /?om. ) jilfqu’A
l’an de Rome 347 , les citoyens romains avoient été à la
guerre à leurs dépens. Défordres qui en croient réfultés. Eta-
bliffement de la paye des foldats, de celle de la cavalerie.'
Paye des alliés. Augmentations de la paye d’un fantalîîn en
différens tems. Celle des centurions & des cavaliers. A quoi
fe montoit la paye des légions fous les empereurs. La fold®
des troupes confidérablement plus haute en Angleterre dans
la guerre de 1700. X ll. 210. a. Abondance de l’argent à
Rome, après la conquête de l’Egypte, ibid. 4.
Paye,
P A Y
Paye de la milice romaine. X. 312. 4. Poye( SOLDJt.
Paye, forte de poids, forte de nionnoie. a II. 210. 4.
p a y e m e n t , ( C(i/7//n.) prompt payement, terme vulgaire
en Angleterre & à Aniflcrtlam. Efeompte pour un
prompt payement. Autres fignifications du mot payement.
Quatre payemens réglés de la ville de Lyon. X ll. 210. 4.
Payement, dation en payement. IV. 642. 4. Validation de
payement. XVI. 821. a. Payement du double. V . 74. a.
Imputation de payement. V l i l . 6.30. 4.
P A Y E N , ( Theolog.) divers feniimens fur l'origine de ce
mot. X ll. 210. 4.
Payens, en quel tems & pourquoi les payens ont été appel-
lés de ce nom. VIII. 300. 4. XI. 747. a. Des divinités p.iyen-
nes; les payens avoient cherché dans des ailitms infâmes
l’origine des êtres qu’ils dévoient adorer. VIII. 217. a. Ma-
crobe a prétendu que toutes les divinités du paganifnie pou-
voient fe rapporter au foleil 5c à la lune. IX. 741. 4. En quoi
confiftoit l’idolâtrie des payens. VIII. 500. b ,& c . Autels
qu’ils confacroienr aux dieux. Suppl. 1. 722. 4. D e leurs
fêtes: de leurs mylleres, ces mots. L^e la croyance
des payens fur la providence. XIII. 511. 4. D u falut des
fages payens : fentimens de quelques théologiens, & de quelques
p^res fur c e fujet. XVII. 6i 6. r t ,4. P a g a n i s m e .
Païens. {Potier.) XII. a n .n .
PAY EUR des gages de la cour des aides. IV . 363. 4.
PAY.'s, ( Gramm.) origine de ce mot. XI. 747. a. Diflc-
rence entre p a ys , province, région , contrée, diilriél. X V .
739. a, b. Produéliuns d’im pays. III. 690. 4.
Pa y s , {Médec.) maladie commune dans un p ays,
E n d e m i q u : . Maladie du pays. V llI . 129. 4. X I. 34. a. b^oye^
aufli Nostalgie.
Pa y s , Ijîes, {Géogr.) i(lcs de la mer des Indes. En quel
tems elles furent connues de nom. Extrait d’une relation
du P. le Clair fur quelques habitans de tes ijUs P jy j ,q i i i
échouereut à la bourgade de Guivam dans l’ifle de Samal.
X li. 2 1 1. <2. Defeription qu e cet auteur donne de tes gens-
là. Ibid. b.
Pa y s-Ba s , les {Géogr.) énumération des dix-fept provinces
des Pays-Bas. Sommes immenfes que les Pays-Bas ont
coûtées à i’E^agne. X ll. 2 1 1. 4.
Pays-Bas. Comment quelques-unes des provinces des Pays-
Bas ont été formées. XI, 336. a. Inondation des Pays-Bas. IV.
796. a. Caufe de leur fertilité. Suppl. U. 186. 4. Bibliothèques
de ces provinces. 11. 234. a. Droit des Pays-Bas. V .
121. 4, ô'f. Les peuples des Pays-Bas ont toujours aimé les
jeux 6c les fpcflacles. V.803.4. f'uyqPROviNCES-ÜNiES, Ô'c.
Pay s-reünis, ( Géogr. ) liefs appelles de ce nom. X ll. 2 u . 4.
P ay's des ténèbres, {Géogr.) tontrée de la grande Tartaric.
Pourquoi on lui a donné le nom de ténèbres. Habitans
& animaux du pays. XII. a i i . 4.
Pays , ( Art miUi. ) reconnoitre le pays. XIII. 862. a , 4.
Des détadiemens employés à cette opération. VII. 994. b.
Des contributions levées en pays ennemi. IV. 144. a, 4. X V .
947. b. Fourrager en pays ennemi. VU. 249. b. Comioiirance
d’un pays oh l’on veut tamper, Suppl. II. 1 49. 4. où l’on vctir
faire la guerre. 349. a. Quand on entre dans un p^ys, il
faut faire enforie d'y répandre 1a terreur. 138. b. Utilité des
Cartes militaires pour reconnoitre un pays. 234. a.
Pa y s , ( René le) homme de lettres. ^ U. 220. .t. XI. 14. 4.
P A Y S A G E , {Peinture) le payfage c!t dans la peuuure
un fujet des plus riches, des plus agréables 6c Ue^ plus
féconds. Deux principaux llyles dont on peut traiter le
payfage 3 le flyle héroïque , 6c le ftyle cliampetre. On peut
fort hetireulement les réunir. Obferv.itions iur les paylages
où l’on reprél'ente les bizarres effets d’nne nature inculte 6c
abandonnée à elle-même. Quel ell le genre de paylâge que
les peintres intelligens préfèrent. X ll. 212. a.
Pjy/àgr, dudeiîindespayl.iges. IV .S 9 1 . <2. Caraéleres de
ceux du Poulfin-Xll. 2 12 .4.X V.230.4. Les terreins aident beaucoup
à la perfpeélive d’un payfage. XVI. 183. 4. Comment
un payfage doit être éclairé, pour que fa beauté nous trappe.
Suppl. II, 3 IJ. Moyen d'tn rendre le tableau intéreliant.
9 1 1. a. Suppl. UI. 629. a.
PA Y SAG IST E , {Peint.) écoles qui ont produit les plus
exccllcns payfagifles. Obfervations fur les principaux arti-
fles en ce genre. L’Albane, le B..flan. Le Bologiielc. François.
Marie Borzoni. X ll. 2 1 2 . Annibal Carrachc. Le Giorgiüii.
L e Gual'pre. Le Lorrain. Le Moia. Le Mutian. Übfcrvaticns
plus particulières fur le Titien 6c le Poulfin , les plus grands
payfagiftes qu'on connoifl'e, Del'criprion d’un tableau de ce
dernier, re))réfentant un payfage d’A rcadie, 6c d’un autre
rcpréfemaiit le déluge. IbiJ. b. Rubens. Jean Brugcl. Mi.thieu
Bril. Paul Bril. Hcnnaïul Juanefcld. Jean Van-Derméer.
Jonghe \'an-Dcrmcor. Lucas Vaii-Ucicn. Nicolas Bergheiii.
Bariliolomé Brccnberg. Jean Griflicr. Corneille Poéieniburg.
P„iil Potter. JacobRuyfdal!. Wauwermans Ibid. 213. <^i.Adiicn
Van-Everdin. Herman Zachet-Leeven. Les Vandervekles.
Artifles de la Grande-Bretagne dans le genre du payfage.
Ibid. 4.
Tome II.
P E A 401
Pa y s a n , mets groiners des payfans de l’ancienne Rome.
X V I . 787. a. Mifere du payfan dans les provinces,où la culture
fe fait avec des boeufs : quand le payfan laboure lui-
même , c’efl une preuve de fa mifere ; occupation des payfans
dans les provinces où la culture efl bien entretenue : bonheur
de leur état: caufes qui font que les payfans abandonnent
les campagnes. VI. 338 a, b. Moyen de les y ramener. 539.
a , b. VU . 824. a. Pourquoi les payfans font peu fujets à
la goutte. 774. 4. Leur caraétere moral. Suppl, III. 948. 4.
932. 4. Voyei AGRICULTEUR, LABOUREUR. P E
PEAGE, {Hiß. rom.) tems auquel les péages furent établis
chez les Romains. Rome 6c toute l’Itr.lie accablées de
de péages, par l’ambition d’augmenter ou de conferver les
conquêtes de la république. Ces péages abolis par le préteur
Cæcilius Mctelhis, furent renouvelles par Jules Cc fa r ,8 c
confirmés par Aiigufte. X ll. 213. 4.
Pe a c e , {Droit politiq.) fi un fôuverain peut avec jufiiee
impofer des péages fur les vaifleaux étrangers qui paffenr par
un détroit dont il efi le maître. IV. 903. a.
Pé age , {Jurifpr. ) différens noms que reçoivent les péages
, felon l’objet pour lequel ils le perçoivent. Le roi peut
leu! établir des péages. De ceux que polTédoicnt les fcigneiirs
liaut-juiliciei s. Dii'pc.litions de l’ordonnance des esu.c 6c forêts
fur les péages des feigiieuis. Bureau du confeil établi pour
l’examen des titres des propriétaires des droits de péage. Lorfque
quelqu’un étoit volé l'ur un chemin où le feigneur avoi:
droit de péage, il étoit tenu de rembourfer la perte , à moins
que le vol ne fût arrivé demiic.X lI. 214. <2, Les péages font
droits domaniaux. Coutumes 6c autres ouvrages à tonfuher»
Ibid. b.
Pe a c e fur les rivieres &■ Us can.‘iu x ,{ Jurifpr.) les abus ÔC
dangers des péages démontrés par M. Linguet. Suppl. IV .
2Ö2. 4.
Péage. Droit de péage finguÜer en Champagne. Suppl.W.
b.
PEAKS , ( Comm. ) forte de coquilles dont les fàtivages
de Virginie le fervent au lieu de munnoie. Sur quel pié
les Anglois les reçoivent. X ll. 214. 4.
Pl a n ou P<e.m,{BelUs-Un.) c’étoit originr.'remcnt un
cniuiquc en l'honneur d’Apollon 6c de D iane.Etymologie de es
mot. Pæans eu l’honneur du dieu Mars. Dans la fa ite , ces
cantiques s’étendirent à l’invocation de plufieurs autres divinités.
On eu fit même pour llluftrer les grands hommes. Psan
dont Arifiore honora l’eumique Hermias fon ami. Autre coo*
fervé par Achenée. Ouvrage à confulter. XII. 214. 4. Voye^
Poean.
Pean , différence entre les hyporchemes & les péans. VII I.
4 1 1 . a. Flûte dont on accomjtagiioitles péans. Suppl. IV. 336.4.
Pean ou Péon, { P A f ) Ibrte de pié dans les vers des
anciens. Origine de fon nom. XII. 213. a.
Pe a n , (Créogr.) ville de la Corée enAfie. XII.213.12.
P E A R SO N , ( Jean ) littérateur 6c théologien anglois. X V .
246. a , 4.
PEa U , {Anal.) liqueur muqiieufe dans les véficiiles de
la peau. Malpighi 6c d’autres penfent que la couleur de la
p-eau vient de la teinture de cette liqueur. Formation .de la
peau. Coinntent elle cfl liée aux parties fubjaccntes. Son ufage.
Ses maladies. X ll. 113.12.
Peau , pures de la , { Science mlcrofcop. ) idée que tâchent
de donner M. Leuwenhoëck 6c le P. Merfenne , du nontbre
incroyable de pores qui font l'ur le corps humain. Les pores
par Icfquels nous tranfpirons , font plus icmarquablcs en
particulier aux mains 6c aux piés. Nous avons lieu de croire
que les infeéles qui nous piquent, ne font qu’inflmicr leurs
aiguillons dans les pores de la peau. X ll. 213. a.
P E A U , {Anatom.) les animau.K compofés Scies plantes
ont la furface couverte d’une envelope générale naturellement
divifée en deux lames, l’épiderme & la véritable peau. Cette
enveloppe entre dans l'intérieur du corps par tomes les ouvertures
que la peau paioit avoir : par les narines, la bouche, les
oreilles, 6^. Smiélure de la véritable peau. Son irritabilité.
Suppl. IV'. 263. a. Ses vailTeaiix artériels & veineux. Autres
vaiHeaux plus fins, qui répandent fur la furface du coips la
matière cranfpii anic 6c la f’ueur, De la caufe de leur rranfpa-
rencc. Nerfs de la peau./4iu'. 4. Mamelons donc elle cfl couverte.
Leur defeription. Leur fcnflbdité les fait regarder
comme l’organe du toucher. Différentes efpeces de glandes
dans la peau. Humeurs qu’elle^ cxprinieiir. Ibid. 264. a. CralTe
dont la peau fe couvre. Efpece de gr_aiffe que répand auflî
la cclhilofité placée fous la peau. Vailic-au qui foutniffent la
fiteiir. Ibid. b.
Peau, defeription de la peau. VIII. 26]. a , b. Suppl. II.
612. 4. Sa formation dans le foetus. Suppl. III. 69. 4. 7 1 . a.
Sa ftruflure 6c fes ufages. Suppl. I. 733. a. Sa qualité réforp-
tive. 63. 4. Maïuelous de la jieau. Suppl. III. 436. a , 4. Artifice
avec lequel eUc cfl iravtiiUée pour produire le fentlment
IfJ
ill
: