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Tabic pardiale gravée fvir le iiinr dii choeur de 1 ancienne
cathédrale. Ihid. ■ 300. a.
PERIHELIE. (^/îron.) Périhélie de la terre. A il. 359.^.
Périhélie, v o ye z  ph e lie &. A psides.
PERIL, Rifque, üjr^ger. ( Syriûr.. ) différences entre ces mots.
XII. 339. h. y'oycr DANGER.
PERIN ALD O, ( Géop-. ) bourg du comté de Nice. OblervationsriirMM.
Jean-DomimqueGar.ini,XII.3 39. i-.&.Jacques
Philippe Maraldi, nésà N ice, & fur leurs ouvrages./i/./. 360. u.
P E R IN D E -V A L E R E ,{Jurijpr.) refcmdecour de Rome
dans lequel cfl cette claufe. Effet de ce referit. Il ne s’obtient
que quand les provifions ont été expédiées par budes.
^ Pe iNÉÈ , ( Anat. & Méd. ) étym. du mot. Obfervations
fur les maladies de cette partie dans les hommes & dans les
femmes. XII. 360. a.
Périnée, artere de cette partie. Ul. 406. a. Uiage
de la chaife chirurgicale dans les maladies du périnée. Suppl.
II. 308. L Ponétion au périnée. Suppl. 111. 687. u. D e la
thliile au périnée. VI. 823. a. Incifion de la boutonniere au
périnée: opération d’une plaie fiftuleufe au périnée parM.
Petit, II. 383. h. 386. a , b.
PER IN G SKIO D , {J eu n) antiquaire fnédois. X V . 543. i.
PERIN-PANEL, ( Bot. ) arbriffeau du Malabar. Scs ulages
en médecine. X ll. 360. ^
PERIN THE, ( Gèogr. anc. ) ou Hcraclée de Tlirace. Comment
les Péoniens s’en rendirent maîtres fous les ordies de
Mégabife,iieiuenantdeDarius. Les Périnthiens fecoiirns par
les Athéniens contre Philippe. Le nom de cette ville changé
par Héraclius, prince de Conffantinople. Obfervations lur
l’exarque de cette ville. Etat préfent d’Héraclée. Ouvrage
à confulter. XII. 360. Z».
PER IO D E , (y^ylron.) période du foleil. Celle delà lune.
Périodes de trois cometes que Ion croît connoître. Harmonie
entre les diftances des planètes au fo le il, Sc leurs périodes
amour de cet affre. XII. 360. b. Table des tems périodiques
des planètes, & de leurs moyennes diftances au foleil.
Ibid. 361. U.
Périodes , proportion entre les périodes des planètes ôc leurs
diftances au foleil. XII. 708. a. Voyei Ré vo lu t io n .
PÉRIODE. ( Ckrc.iolüg. ) Période Callipique : fon inventeur :
pourquoi elle fut inventée. Période d'Hypparque. Penode
julienne ou conftanfmopolitaine.Caraftere particulier de cette
période. Pourquoi Scaliger l’inventa. Accord & différence
entre la période julienne Sc la conftaniinopolitaine. XII. 361.
a. Période méthonique. Période viélorienne ou dionyfienne.
Calcul pour la trouver. Ibid. b.
Période Callipique. II. 360. b. Pério de caniculaire ou fotbia-
que. Suppl. IV. Üi\. b. Deux périodes faraeiifes fur lefquel-
les étoit réglée la chronique des Egyptiens. HL 388. a. Période
méchanique. IV. 086. b. X. 462. b. Période viélorienne ou
dyoniftvnne. IV . 390. a. IX. 345. .7, i. Période julicnne. lV .
390. a. IX. 33. i , ^c .Divifion que les Chaldéens faifoient
du tems en fares, neres & fofes. XI. 99. b. Période ou faros
chaldaïque. IV. 387. a. Périodes lunaires trouvées par M.
Bianchini; divifion du tems, trés-commode , imaginée par ce
favam. III. 391- b. XVII . 768. b. Période chinoife appellée
le pou. XIII. 186. J. Divifion de la durée du monde en fix
périodes.I. 169. b. Seen trois par Varron. V I . 332.*:. Période
platonique. X llI . 269. h. — f'oyeç Cycle.
PÉRIODE, ( Gramm. 6* Rhét. ) définitions de la période.
Période fimple & période compoféc. Une vraie période oratoire
ne doit avoir ni moins de deux membres, ni plus de
quatre- Exemples de la période à deux, à trois, a quatre
membres. XII. 361. b. Selon les regies de l’art oratoire, les
membres d’une période doivent être égaux, au moins à-peu-
près. Mauvais effet des périodes trop courtes 0« trop longues.
Anciens rhéteurs qiii bornent à quatre membres la jufte
longueur de la période. Èxeniple du difeours périodique dans
l’exorde de l’oraifonpoiirie poète Archias. Périodesappellées
quarrées. Exemple tiré de M. Eléchiei. Périodes rondes. Ibid.
362. a. Exemple tiré de Cicéron. Périodes croifees. Exemple
tiré de M. Fléchier. Regies fur l'emploi des différentes
cfpeces de périodes. Ibid, b,
PeWoi/r, fa définition. IV . 82. b. Suppl. III. 307. a. Membres
de la période. IV . 83. a. En quoi confifte l’harmonie
de la période. II. 414. a. Difconvenance dans les mots qui
la compofent. IV . 1032. b.
PÉRIODE, {Belics-leiir.) fe dit du point ( . ) qui marque la
fin des périodes dans le difeours. Foye:^ P o n c tu e r . Deux
difficultés dans l’ufage de la période ou du point. Regies
pour les réfoudre. XII. 362. b.
PÉRIODE, pcnodKjue. {Médec) Etymologie du mot. La
période comprend deux tems, celui du paroxyfme , & celui
d e là rémiffion. Période fixe, & période indéterminée. Maladies
périodiques. Leur uaufe encore inconnue. Ces maladies
ne font pas dangereufes, mais il peut être dangereux de les
faire paffer. Remedes les plus propres à emporter leur pério-
tUdté. XH. 363. a.
P E R
P E R IO D EU T E , (^Hiß. eccl. grecq.") officier eeelefiafiique
...c z les Grecs. Ses Rmétions. Etymologie de fön nom. XH.
363. a. Cet officier auffi nommé Exarque.
P ERIO D IQ UE, {^Chrort. & Aßron.) mois périodique de
de la lune. Ouvrages periodiques.AlI. 363. b.
Périodique , année périodique. I. 388. a. Mois périodique.
Voye^ M o is. Pourquoi il différé du mois fynodique. X V ,
73È. b.
PÉRIODIQUE , ( Gramm. 6* Rhét. ) avantages du ftyle périodique
fur leftylecoupé. XII. 363. V o y ez 307. a,b.
PÉRIODIQUES,yrwA, (^Antiq. grecq.)X\l. 363. b.
P ER IQ D O N IQ U E , combat i^Art numifm.) Recherches
fur la fignificatioii de ces abbréviaiions cer. per. qui fe trouvent
fur quelques médailles de Sidon. Athletes appellés
périodoriiques. XH. 363. b.
PERKECIENS, ( Coy/nogriipA.) habitans. de la terre fous
les mêmes paralleles. X ll. 363. b. Les peuples fous un même
parallele ont la meme longueur de jours & les memes faifons.
Les Périoeciens qui font à 180 degrés de diftance en longitude
comptent les mêmes heures, mais pour les uns ce font des
heures de jours, & pour les autres des heures de nuit, 6’c.
Ibid. 364. a.
PERIOSTE, {^Anatom. & Pky/tolog.) membrane très-fine
qui revêt les os. Explication de la ftrufture de cette membrane.
Le périofte n’exille point dans les lieux où naiffent les
ligamens qui unifient les os articulés, il s’étend furies liga-
mens, $i paffe de cette maniéré à l’os adjacent. X ll. 364. a.
Rien n'entre dans les os ui n’en fort que par le moyen du
périofte. Adhéfion du périofte aux os. Les offelcts de l’oreille
ont aufli leur périofte. Périofte intérieur des os. Sa foibleffe
extrême le rend difficile à découvrir. Recherches fur cette
membrane qui enveloppe la moelle , & qui adhere à la fur-
face interne des os, Ibid. b. Ufage de ce périofte interne. Obfer-
vation fur une maladie de l’os cubitus d’un enfant, qui fert
à confirmer ce qui a été dit fur ce périofte. Ibid. 363. a.
PÉRIOSTE, (Af/iur.)état de cette membrane dans l’homme
adulte Sc dans le foetus. Examen de la queftion s’il y a un
périofte interne. D e la fenfibiliié du périofte. Foye^ Sensibilité.
Des nerfs de cette membrane. Suppl. IV . 300.
Perioßc. Confidéraiions fur cette membrane, fur fon étaf
dans le foetus. Suppl. IV . 193. i . Dans l’animal adulte ,& fur
fon origine. 196. a. S’il eft vrai que le périofte foit l’organe
dans lequel fe forme l’os. Ibid. D e fon iufenfibilité. Suppl.
IV. 777. b.
Plrioße interne, voyr{ fur ce fu je t ,X . 603. b. Incertitude
fur fon exiftence. Suppl. 111. 941. b. Suppl. l'V. 192. a.
PÉRjPAT£TlCIhNNE,;5/;//q/ù/7A/r, {Hiß. dt la Phdofoph. )
joignez la leélure de cet article à celle de l’article A r is t o -
TÉLis.ME. XII. 363. a. Abrégé de la logique d’Ariftote.
b. Principes de fa philofophie naturelle. Ibid. 367. a. Principes
de fil pfydiologie. Ibid. 368. b. Sa mètaphyfiqiie. Ibid.
369. a , b. Principes de la morale ou de la philofophie pratique
d’Arlftoce./éic/. 370. a. Obfervations fur les fucceffeurs d’A -
riftote 6c fur leurs principes philofophiques. Théoplu-afte.
Ibid. b. Straton ; Ibid. 371.<7. Lycon ; Arifton ;Critolaùs; Dio-
dore; /éiif.i.Dicéarque ; Eudème ; Hétaclide de Pont; Pha-
nias. Démétrius de Phalere. Articles à confulter pour avoir
la fuite de l'iiiftoire de la philofophie d’Ariftote. Ibid. 372.
a. Des philofoplies récens , Ariftotélico-fcholaftiques. Ibid.
b. Foye^ A risto t él ism e . Supplément à cet article. François
Sylvcllrius ; Michel Zanard de Bergame ; Joannes à S.
Thoma ; Chryfoftômc Javelle. Difciples d’Ariftote , chez les
Francifeains, dans l’ordre de Citeaux , parmi les jéfuites.
Des philofophes qui ont fuivi la véritable philofophie d’A -
riftore , voyeç A r istOTÉLISME. Supplément à cet article.
Nicolas-Léonic-Thomée ; Ibid, b, Pomponace. Difciples de
Pomponace. Vrais Ariftotéliciens qui doivent venir après
Ruphus. Supplément à l’article des proteftans ariftotéliciens.
Sur Thomafius , /éitf. 373. a. Foye:^ T h o m a s iUS, {philofo-
phie de )
Péripatéticienne, pkilofophie. Pourquoi les feélateurs d’A riftote
furent appellés péripatéticiens. IX. 772, i . Progrès du
péripatétifme dans le chriftlanifme. VIII. 319. b. 320. a ,
b. Violente guerre entre les platoniciens 8c les péripatéti-
dens à la renaiffance des lettres. I. 662. b. XII. 743. b. Explication
que les difciples d’Ariftote donnent de la gravité,
voye^ A c c él é r a tio n , D escente. Comment ils définiffent
la nature. XL 4 1 .0 . Leur fentimem fur l’origine du monde,
IV . 440. a , b. fur la chaleur, III. 23. a , b. fur la dureté
, V . 172. a. fur la vifion , 95^- ‘‘ ‘ XVII . 344- ft*’’
génération. VII. 363. a , b. Ame fenfitive qu’ils donnent
aux bêtes. VIII. 795. a. Leur doftrine fur le lie u , IX .493.
b. fur la lumière. 717- b. Leur définition du mouvement.
X. 831. a. Idée du tems felon eux. X V I . 93. i . Leur fen-
timent fur le vuide. XVII. 372. a. Dogmes des péripatéti-
ciens adopté par les Juifs. IX. 30.
PÉRIPÉTIE , ( Bellcs-lett. ) ou le dénouement dans le
pücme dramatique. Etymologie du mot. La péripétie eft la
même chofe que la cataftrophe. Elle eft quelquefois fondée
P E R
fur un reffouvenir ou une reconnoiffafice. XII. -373. a.
Exemple. Lu péripétie doit être probable 8c néceffaire. Q u elquefois
elle fc fait fans reconnoiffance. Elle peut venir d’un
limple changement de volonté. Exemples. Périperies qu’A-
riftote appelle fimples. Les Italiens affcclen? dans la plupart
de leurs poèmes la péripétie p r reconnoiffance. Celles de
Racine , au contraire, ne font jamais de cette efpecc , 8c n’eu
font pas moins intérefiances. Ibid. b.
Péripétie. IL 772. b. Suppl. II. 693. a. Leçons ftir la maniéré
de l'amener. IV . 831. b. 832, a. Averlion de l’empe-
ïcur Charles V I pour les cataftrophes tragiques. X ll. 8 3 1 .i.
PÉRIPHÉRIE , ( Gèom. ) ou circonférence. Etymologie
du mot. DiVifion de celle du cercle. Rapport encre le cercle
8c un triangle don: la bafe eft égale à la périphérie de
es cercle, Ôc fa hauteur au rayon. Confèquence de cette pro-
poiiiion. X ll. 3 73 .i.
PÉRIPHRASE, ( Rhetor. ) ou circulation. Définition qu’en
donne Quiiuilien. XII. 373. b. Regies fur l’iifage des péri-
plirafes. Exemple de cctce figure tirés de Platon , de Xenophon
, d'Hérodote , de Cicéron dans fon p laidoyer pour Mi-
lon. El'pecede périplirafe iffâmée avec raUbu dans Racine.
Ibid. 374. a. Foye[ CIRCONLOCUTION.
P:nph:jJe, figure dcpenlée. VI. ’j j i . b .
PÉRIPLE j ( Gécg-. anc. ) journal de navigation autour
d’une mer ou de quelque côte. Périples des anciens dont la
connoilîànce nous a été eonfervée. X ll. 374. a. Périple de
Seyiax. Périple d’Hannon ; fon ancienneté. C e voyage de
Haimon rcg.irdé comme fabuleux par quelques critiques ,
ii’a pas moins été regardé par des écrivains célébrés comme
un monument précieux. Précis d’im mémoire de M. de
Bougainville fur ce vojrage. Ibid. b. L'ifie de Cerné furies
côtes d Afrique fut toujours l’entrepôt du commerce des
Carthaginois au fud de l’Atrique. Commerce de ces peuples
avec une ville d'Etiiiopiens dont parle Scylax. Moiiii-
ineni qvi’on voit encore dans l’ifie de Cerné ou d’Arquin
du long féjour qu'y fire.nt les Carthaginois. Perte de l’original
du périple de Hannon. Obfervations fur la tradiiéiion
grecque de ce journal. Ibid. 373. Périple de Pyehéas de
Marlcillc. Defeription de fes voyages. Ouvrages dans lef-
quels il en donna la relation. Ibid. 376. a. Obfervations
lur la critique trop fevere qu’en a faite Strabon. Périple
d’Arrien philofophe Sc iiiftorien, né à Nicomédie. Editions
de cet ouvrage conuu fous le nom de periylus Ponti-Euxini.
Ibid. b. Extrait de ce périple , ou relation de ce voyage
d’Arrien. Autre ouvrage attribué à ce philofophe , comc-
nant une defeription des côtes orientales de l’A frique 8c de
celles d’Afic jufqu’aux Indes. Raifons qui ont engagé à croire
que cet ouvrage n’éioit pas d’Arricn. Ibid. 377. a.
PERIPLOCÀ , ( Botan.') caraâcres de ce genre de plante.
Ses efpeces. Defeription du périploca à longues feuilles.
XII. 377. é.
Pcnploca. Caraâere génériquedecette plante. Enumération
de fes elpccesau nombre de ffpt. Lieux où elles croiffent. Leur
defeription 8cculture.Suppl. IV .300.b.
PÉRIPNEUMONIE, {Médec.') 1°. De la. péripneumonie
vraie. En quoi elle confifte. Ses caufes. Ses fymptômes. XII.
377. b. Signes qui annoncent la giiérifon. Autre maladie
qui lui fuccede, s’il ne fe fait pas de réfolutlon. Signes auxquels
on reconnoit la fuppuration prochaine. Comment fe
raie la métaftafe. Abfcès périprieumoniques qui en font la
fuite. Prognofiic de cette maladie. Son traitement. Tifane
pour la péripneumonie vraie. Potiort propre à debarraffer Les
poumons eu atigmeiiiant les crachats. Ibid. 378. 2^. De
IJ péripneumonie f.uijjé. Ses caufes. Ses fymptômes. Son traitement.
Ibid. b. Tilàne bonne dans la péripneumonie fauffe.
Apozeme./6/i. 379. a.
Péripneumonie. Obfervation fur 1.2 nature de cette maladie.
111. 763. b. Péripneumonie caiifée par un dépôt laiteux.
buppl.ll. 700. b. Apozème contre la péripneumonie. I. 342.
a. Des topiques employés dans ce cas. XVI. 449. b.
PÉRIPSE.VIA , ( Critique facrée ) 8c ka&s'jj/wc ,
deux mots grecs fynonymes, qui fignifient balayeures, ordu-
tes, 8cc. Obfervations fur le paffage où S. Paul dit que les
chrétiens êcolent regardés comme Us balayeures de ce monde. I.
Cor. l'V. 4. 13. Vjdime appellée caMar/Hu qu’on immoloit
dans les villes défolées par quelque fléau. Altufion que l’on
croit que faifoit S. Paul à cette viftime. XII. 379. a.
PÉRIPTERE , ( Archit. Anùq. ) temple qui avoir des colonnes
de quatre côtés. Le périptere tft le nom d’un genre qui
comprend toutes les efpeces de temples, qui ont des portiques
de colonne tout autour. X ll. 379, é,
P é r ip t e r e , r e,„ ;,/ f.X V I.6 i.i. '
^^PÉRIR, {Lang.}'runç, ) de la maniéré de conjuger ce verbe.
PÉRIRRANTÉRION,(Zfff.grrcj.)vafe qui contenoit l’eau
luftrale chez les Grecs. Etymologie de ce mot. Lieux où on le
plaçoit. Ufage de l’eau facréc qu’il contenoit. Comment on la
fteroit. Deux fortes de purifications auxquelles elle lervoic.
Xll. 379. b.
P E 419 PÉRTSCÉLIS, {Crit'iq.facr.) jarretlere ou ornement q:ie
les femmes mettoient autour de leurs jambes en guife dejnrrc-
tiere.^ XII. 379. b. Paffage de l’écriture oii ce mot eft employé.
Ufage qu’obfcrvoient aiiciennemein les femmes de
porter de magnifiques jarretières, Ibid. 380. a.
PÉRlSCIENS, {Géogr.) étymologie du mot. Ce nom
donné aux habitans des zones froides. XII. -180. a Fove?
O.MBKE , ( Géogr.). ^ ^
^^ ftlbSÜ LOG IE, ( Grainni. ) voye:(_ PLÉONASME.
PERLSTALTIQUE , mouvement, [ Phyjïolog.) la préparation
8c la diftribution des humeurs par tout le corps fup-
pofeiit un mouvement local. Explication du méclianifmc par
lequel fe fait le mouvcmenc pénftaltique des inteftins. Uiilité
du pliffemem des tuniques des inteftins pour y faire pénétrer
le chyle. Le mouvement périftaltique , fcnfible dans l’ouverture
des animaux vivans. XII. 380. b. Pourquoi ce mouvement^
a dù être tranquille, d oux, 8c comme uri mouvement
d’ondulation. Il eft alternatif, c’eft-à-dire coinjiofé de
refierremenr 8c de relâchemeiir. Continuité de ce mouvement
pendant la vie 8c même quelques moinens après la
mort. Ibid. 381.
PériflaUique, voyeç V e rm iCULAIr e . Mouvement pcriftal-
tique des inteftins, VIH .841. a.Suppl. II I .633. a , é.de l’efto-
mac. Suppl. II. 876. b.
P ÉR IS T Y L E , ( Archit. ) celai du vieux Louvre. III.
647. b.
PÉRITOINE, enveloppe membraneufe adhérente
à la furface interne de la cavité du ba.s-ventre. Sa
defeription. Sérofité de la face interne du péritoine. X ll.
381. b. La foiirce de cette férofité peu connue encore.
Ttffu cellulaire du péritoine. Principaux ufages du péritoine.
Utilité de cette férofité dont on a parlé. Ibid. 382. a.
Péritoine. Différence entre cette membrane & celle du
péricarde. Liqueur qu’elle exhale. Sa réforption , Suppl. IV .
301. a. fon utilité. Suites de fon deffécheinent par quelque
inflammation. Defeription du péritoine. Ibid. b. Organes qui
dans le foetus font dans le fac du péritoine, 8c qui en for-
teiu avec i’àge. Ufages de cette membrane. Ibid. 302. a.
Périio'me. Sa defeription. Suppl. II, 613. a. Productions du
péritoine , voye^ M esentere 6* M é so co lo n . Produftions
de cette membrane qui fervent de ligamens au foie. Suppl.
III. 73. a , b. Hydropifie du péritoine. Suppl. 1. 629. a. 630.
a. Effet de fa rupture, i. 17. a.
Pé r it o in e drr poijjons , {Ichihyol.) cette m embrane di-
veifem ent colorée dans ces animaux. X ll. 382. b.
P ERLE , {H ijl.n a t.) coquillages dans lefquels ou trouve
les perles. Carafteres de la coquille de la mcre-perle. Nombre
des perles qu’on trouve ordinairement dans ce coquillage.
Diverfes hypothefes fur la formation des perles. Celles des
anciens. X il. 382. b. Sentimeiu de M. Geoffroi le jeune.
Celui de M. de Reaumur. Extrait d’un mémoire qu’il a
donné fur la formation des coquilles 8c des perles. 11 croit
que les perles fe produifenc de même que les autres pierres
dans les animaux, comme celles qui fe forment dans la vef»
f ie , dans les reins, &c. 8c qu’elles font les effets tie quelques
maladies de l ’animal où elles fe trouvent. Preuves de
ce fvftérae. En quoi confifte la pcrfeélion des perles. Leurs
différentes couleurs. Ibid. 383. a. D ’où vient cette différence.
Comment elles perdent 'infenfiblemcm de leur prix
8c de leur beauté. Comment elles fe vendent en Europe.
Ce qu’on entend par loupes de perles. Perles baroques ou
d’Ecoffe. Perles parangones : exemples de ces perles. Ce
qu’on entend en médecine par femeuce de perles : ufage de
cette femence.Cofinétiques préparés, dit-on, avec des perles.
Ibid. b. Once-perles. Foye^ O n Ce.
Perle. Meres perles. IV. 188. X. 382. b. Des loupes
de perles. IX. 703. a. Perles à l’once. XI. 472. b. Perle
qui fut appellée pérégrine. X ll. 3 30. b. Des perles qu’on tire
des pinnes-marines. 641. a. 642. b. Inftrument pour trouver
le poids des perles fines & rondes. XV. 236. a.
Perles , pêche des. Lieux des Indes orientales où fe font
ces pêches. X ll. 383. b. Pê c h er ie è -Pescherie. Ca-
rafteres des perles qu’on pèche fur ces dift'érentes côtes.
Lieux où fe fait la pêche des perles en Amérique. Caractères
de ces perles. Pèche qui s’en fait dans ta Tartarie chinoife.
Guerre entre les Chinois 8c les Mofeovites à ce fujer.
Pêche des perles en Europe. Ces perles inférieures à celles
des autres pêcheries. Manière de pécher les perles dans les
Indes orientales, ihid. 384. a. Eloge de la chair du poiffon
d’où l’on tire ces perles. Ibid. h. Maniéré de pêcher .les
perles dans les Indes occidentales. Valeur de toutes fortes
de perles par rapport à leurs différens poids. Ibid. 383. æ.
Perles. Pêche des perles par les Ef'pagnols à l’ifte Mar^ae-
fite. X. 100. b. La pêche des perles enrichit la ville d’El-fCtif.
Suppl. I. 3o8.*î .
Perles faujfes. Différentes maniérés dont on a contrefait
les perles. Defeription de la méthode qui eft aujourd’hui la
plus ufitée. X ll. 385. b.
Perles faujfes. Mamere de les travailler j voye^ l’ariicle
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