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Oi igiiie de ce rachat. Anciennement le rachat étoit different
du relief. Ce droit ert inconnu dans la plupart des
pays de droit écrit. Coutumes qui rudmettent fous différens
noms. Ce droit n’a pas toujours été fixé. XIII. 741. b. En
quoi il confifie dans b plupart des coutumes. Quelles font
les mutations dans lefquellcs il a lieu. Rachat abonné ou
aincic. Rachat rencontré. Ibid. 742. <1. Ouvrage à confultcr.
Ibid. b. Foyc^ ReliEF.
Rachat des premiers nés , {Hift. fier.) En quoi confiftoit
cette loi des Juifs. Comment les Juifs modernes b pratiquent
aujourd’hui. Animaux dont les premiers nés étoient
auiTi rachetés. Suppl. IV. ^63. b.
Rachat des autels , ( Hift. eccl. ) droit que s’arrogèrent les
moines dans les neu f, dix & onzième fiecles, de faire le fer-
vice divin, en fuccédant aux vicaires des églifes. XIII. 741. b.
R.ichiit des prifonniers. XIII. 387. a, b. 788. a.
RACMi'.L, brebis, fie r.) féconde fille de Laban ,
& Iceur de Lia. Principaux événemens de fa vie. Suppl.
IV. 563. h.
RA CH E TA B LE , ( Jurifpr. ) rente rachctablc, non radie-
table. X m . 741. X IV . 118. b.
R A CH IT IS , [^Medcc.) Etym. de ce mot. Oricine de cette
maladie daas le feizi..me fiecle. Les enfans font les feules
vicHmes que le rachitis immole à fes fureurs. Signes qui
l’annoncent. Scs caufes- X llI . 743. a , b. Suites funeftes que
cette maladie entraîne , lorfqu’elles ne font pas prévenues par
une. mort prochaine. Àléthode curative, fbid. 744.
Rhachitis.
, phthifie rachitique. XII. 333. Du redreffement
des membres qui ont perdu leur confismation par le rachitis.
XIII. S79. b.
R A C IN E , (^Botan.) on ne connoît aucune plante qui n’ait
fa racine attachée à b terre ou à quelque corps terreftre.
Les racines confidérées par rapport à leur tiffu , à leur ftruc-
ture , &. à leur figure. XIII. 745. h. Des fondions des racines
, iSc de la maniéré dont elles s’exercent. Ibid. 7.46. a.
récondité avec laquelle les racines de plufieurs plantes jettent
de toutes parts des branches Üc des rameaux. Faculté
qu’ont les troncs ôc les branches de pouffer des racines,
lorlque l’occafion les met en état de montrer cette fécondité
cachée. Cette faculté remarquable fur-tout dans le figuier
d’Inde. IbiJ. b. Voye:^ ci-deffous, pag. 749.
Racine. Obfervations fur les racines des plantes. XII. 712.
b. Végétation des racines. X V I. 936. b. Leur divifion. XIII.
749, b. ~
Racine, ( Jgiicnh. ) La culture qu’on donne aux plantes
agit principalejnenr fur leurs racines. Les racines diflinguées
en pivotantes ik rampantes. XIII. 746. b.
/jjcbrj-dillinguées en pivotantes & en rampantes. I. 187.
Racine qui trace. X V I. 604. a. Racines adventices,
1 . 177. b. farincules. 915. b. Racines fibreufes : racines pivotantes
: leurs difiérens effets fur le terrein. Suppl. II. 8 7t. a.
Obfervations & expériences de M, du Hamel fur les racines
des arbres I. 587. b. 588. a. Comment fe forment celles
des boutures. Suppl. II. 43. i>. Quelques-uns prétendent que
c’eft fur-tout par les fibres llgneufes de la racine que b feve
monte dans b plante. V I. 662. a. L'aftion du foleil fur les
racines contribue à élever la feve. X V I. 960. h. Obferva-
rions fur celles des blés. Suppl, III. 2 1 1. a. Leur cicndue
b it la fécondité. 692. a, b.
Racine , ( Mai. Médic.) En quel tems les racines ont le
plus de vertu , & doivent être cueillies. Cette réglé fouvent
négligée , à la honte du botanifle & du médecin. XIII. 746. b.
R a c in e , (^Fharm. Cuifin. Confit.) Méthode pour oter l’à-
creié iiiordicante de toute forte tle racines. XII. 663. b. Ob-
fervation fur les racines farineufes. Suppl. 1 . 91 b.
Racines d'arbres pétrifiées. ( Hifi. nai. ) XI. 690. b. 6^1. a , b.
Racine de S. Charles , ( Botan. ) lieux oti elle fe trouve.
Defcriptioii & propriétés de fon écorce. XIII. 647, a.
Racine de Sle Helene. Sa defcrlption. Lieux d’oii on l’apporte.
Ses propriétés 8c fon ufage. XIII. 748. a.
Racine de Rhodes, cfpece d’orpin. Deftription de cette
plante. Lieux où elle croit. XIII. 747. a.
Racine , ( Gramm. ) l’étude d’ une langue fe réduit à deux
objets 3 celle des mots 8c celle de b fymaxe. D e b maniéré
dont on doit étudier les mots. XIII. 747. a. La connoiffance
des racines eft pour cela d’une utilité généralement reconnue.
Auteurs qui Ce font occupés à préparer de leur mieux cette
connoiffance aux jeunes gens. îbiJ. 747. b.
Racine, ou mot radical! VII. 17 1 . b. Le génitif confidéré
comme racine des cas obliques Sc de divers mo ts, foit latins
, foit françois, 383. Scc. Des mots radicaux à indiquer
dans un diffionnaire de langue. IV . 963. b. Racine d’un
verbe : manière de b trouver en grec & en hébreu. X v j .
244. b. 243. a. Moyens de recueillir 8c d’expliquer les mots
radicaux d’une langue. V . 638. b.
Racine d’une équation, (jdlgebr.) Vaieiw de b quantité
inconnue de l’équation. X IlI. 747. b. Vne équation a toujours
autant de racines, qu’il y a d’unités dans la plus haute
R A C
dîmenfion de l'inconnue. Démonftration. Racine vraie, Ra-
eine fauffe. Racine imagioairc. Dans une équation quelconque
les racines imaginaires, s’il y en a , font toujours en nombre
pair. Ibid. 748. a. Méthode qu’on fuit en algèbre pour trouver ht
folution des problèmes. Obiervations fur deux excellentes dif-
fertations qu’a données M. de Gua fur les racines des équations
,dont b première a pour titre , démunfiraùon Je la regle de
Defcarles , pour connohre le nombre des racines pojhivcs & négatives
dans les équations qui n'o/iC point déracines im.iginaires. Ef-
pece de préface que l'auteur a mife à b tête de cet ouvrage ,
contenant une difcuffion hillorique trës-intéreffante. Ibid. h.
Racine. Des différentes racines d'une équation. Suppl. U.
833. b. Celle du cas irréduéiible. II. 736. a , b. Dos racines
des équations du troifiome degré. 737. b. Méthodes pour avoir
la valeur approchée de toutes les racines d’une équation numérale
déterminée, Sc d’une équation algébrique déterminée.
A p p r o x im a t io n . Commenron parvientà trouv
e r , au moins par approximation , les racines d’une équation
, en changeant cette équation en une autre d’un degré
inférieur. 11. 740. a. Racines fauffes ou négatives, VI. 440.
a. Méthode pour trouver les racines impoflibles. Suppl. 1 1 .
834. a. Racines vraies. XVII . 482. a. Racine imaginaire.
V l i l , 360. a. En quoi les racines négatives diftcrenc des imaginaires.
XI. 73. b. Extraftion des racines. VI. 329. — 334.
a. Extraire les racines des équations quadratiques afteélées.
XIII. 638. b. Faire évanouir les radicaux, lorfqu’ils ne font
que du fécond degré. VI. 119, a. Des expofnns radicaux.
314. (I, b. Conilruélion 8c ulage d’une machine pour trouv
er les racines de quelque équation que ce puiffe être. Suppl.
II. 832. b. 8cc., 834. b. 8cc. — Foyeq ÉQUATION.
Racine d'un nombre. ( Maihématiq. ) La racine prend la dénomination
de la puiffance dont elle eft la racine. La racine
quarrée efi moyenne proportionnelle entre le quarré 8c l’u-
nité. La racine cubique eff la première de deux moyem^es
proportionnelles entre l’unité 8c le cube. XIII. 749. a. Racine
binôme , trinôme , muliinome. M. l’abbé de Gua a
donné une méthode fur le nombre des racines im aginaires,
réelles pofitives , ou réelles négatives. Obfervations fur cette
méthode. Ibid. b.
Racine. Ce qu’on entend par dimenfions des racines. IV.
1009. h. La racine efl au quarré , comme le qiia;ré eft au
cube. IV . 330. a. Racine cube. 330. b. 331. a. Rac n.‘ quarrée.
X U l. 639. b. Racine fourde. X V . 412. b. Ln uiiicr
qui n’a point pour racine un entie r, ne faiiroii avoir une
fraélion pour racine. VII. 263. b. Les racines dés incommen-
furables font incommenfurablcs. VIII, 633. a. Extr,'(filon des
racines. VI. 329. b. — 334. a. XIII. 336. b. Méthocl.^s pour
approcher de b racine d’ im nombre. I. 339, a , b. En quoi
confiée l’extraffion de la racine cube. IV. 330. b. Elever
une racine à une puiffance donnée. V U i. 582. b. Foye^
ÉLÉVATION.
Racine , ( ^dfironom. ) inflant d’où l'on commence à compter
les mouvemens des pbnetes. XIU. 749. b. Foye^ Époque
& T ables.
Racine. ( ) Les racines des plantes diflinguées en
bulbeufes, tubereufes, 8c en fibreufes. XIII. 749. b.
Racine. {Anatom.) Racine des dents. Racine du nez.
XIII. 749. b.
Racine, {Crhiq. facr.) Ufages de ce mot pris au figuré
dans l’écriture. XIII. 730. a.
Racine, couleur Je. {Teintur.) Comment elle fe fait. XIU.
730. a.
Racine, {Jean) Obfervations fur ce pocte Sc fur fes
ouvrages. X V I . 313. b. 1 1 n’a pas toujours exa(ftement ob-
fervé dans fçs pièces l’unité d’aélion. X V II , 402. a , i. Mais
aucun poète n’a plus exaftement obfervé l’imité de lieu ,
404. a. 11 n’a pcefquc jamais perdu le vrai dans fes pièces. 482.
a. Éloquence de ce poète. Suppl. II. 791. b. Il a parfaitement
faifi le flyle noble. Suppl. IV . 34. a. Il a trop mêlé
de nos meeurs dans celles des peuples qu’il a mis fur h
feene. Suppl. II. 586. é. Endroits de fes pièces qui contiennent
les plus beaux vers. Suppl. IV . 964. b. Imitation
qu’il a faite de Tlphigénie d’Euripide. V llI . 368. h. Romar-
Siie fur cette piece de Racine. Suppl. IV . 990. b. 991. a.
•bfervations Air l’intrigue de Phedro 8c fur celle ci’Atha-
lie. V I ll. 846. a. Sur le récit de Théramene dans Pliedre.
XIII. 834. a. Suppl. IV. 17. b. Prophétie de Joad dans Atha-
lie. Suppl. IV . 91. a. Sur Titus 8c Bérénice, XVI. 319. b.
Suppl. IV . 063. a. Aiflion de la tragédie de Britaii«icus.
Suppl. \. 1^6. i . Obfervations fur Andromaque. Suppl. IV .
991. a. Sur b comédie des plaideurs. Suppl. II. 686. b. Exemples
du fublime tirés de ce poète. XV. 366. b. Parallele de
Corneille 8c de Racine. X L 906. b. Vers pour être mis au-
deffoiis de fon portrait. X llI . 136. b.
Racine, { L ouis) fils du précédent. Examen de fonfenti-
meiit fur l’invention poétique 8c fur le choix des détSiis.
Suppl. TII. 643. a.
R A C K ou A rak , {Hifi. mod.) liqueur fpiritueufe en
iffage parmi les liabitans de l’Iiidoflau : mauvais effets 4«
R A F
fon ufage immodéré. E'peces de racks qu’on apporte en
Europe. Les Anglois s’en fervent pour f.iirc une forte de
piuicli. X iü . 730. a. Foye^ A rack.
ilA C LO lR is , inflrimient defliné .à racler b langue pour
enlever une pituite limoneiilé qui- cxiide de fes glandes.
Caille des incniflatioiis rarcarcules ([iii l'e forment fur les
délits. Comment on prévient cet inconvénient. Defcripiion
de d'flerentes efpeces de racloires. Iiillriinicnt propre à nettoyer
les dents a leur partie poflérietire. XIII, 730. b.
Rachire, inflrumeiis de ce nom en ufage en divers arts
Sc métiers. XIU. 751. a.
R A C O N T E R , voye^ Na r r a t io n , R écit.
K A C O V I ou A r a c o v i , ( Géogr. ) village de Grece dans
la Livadie. Eglife de ce village. Habits 8c ornemens des
femmes de ce lieu. Fragmens d’antiquité qu’on y trouve.
XIII. 73 I. b.
R.4 C O V IE , ( Géogr.) ville ruinée de b petite Pologne,
autrefois fameiife par l’école que les fociiiiens y ont eue.
Obfc;rv.;tions lur Staniflas Lu b ienictA i, né dans ce lieu , Sc
fur fes ouvr.iges. XIII. 731 . b.
R AD AR S , {Hiß. mod.) efpece d’aichcrs en Perfe , pof-
/ “ r grands chemins. Fondions qu’ils rempliffent pour
b sûreté publique. Leurs appointemens. Lorfqu'im marchand
a etc volé , le gouverneur de b nrovince lui rcflitiic ce cnii
lui a été pris. XIII. 732. a.
R A D E ( M.irinc) arrangement d’une flotte dans une rade.
1 "^*88 les vaiffeauxà la raAee. Suppl.
R A D E A U , train de bois flotté. X V I, 326. b.
R A D L G A S T , {IJolat. germaniq.) idole des anciens Slaves
, crigée , dit-on, en riionneur de Radagaifc , 8c brifée
par 1 empereur Oihoii 1 . Delcription fabuleufe qu'on en a
faite. X llI . 732 a.
R A D E G O N D E , {S.iintc) Suppl. IV. 467.
, ( Botan. ) efpccc de bananier. Suppl. I. 784. b.
R A D IA L , {An.itom.) fe dir des parties qui ont quelque
rapport avec le radius. Arrere radiale. Mulcle radial, interne
8c externe. N e r f radial. XIII. 732. b.
_^^Radi.de, ancre, Suppl. II. 49. a. 30. a. Nerf radial. Suppl.
R a d i a l , ( Gs'o/«.) courbes radiales. X llI . 732. b.
r a d i a t i o n , {Phyfiq.) tout corps vifible efl radiant,
mais non pas radieux. La furface d’im corps radiant peut
être conçue comme confifl.-int en points radieux. XIU. 732. a
llADfATiON , {Jurijpr.) aélioii de rayer quoique chofe
XIU. 733. U.
R A D IEU X , {Opriq.) toii.s les rayons qui partent du même
point, font divergeas. Comment l’ceil les raflèmble XIU
753. b.
RADIS , ( /.tij'//;. ) Foycq^ R a if o r t .
R A D IU S , {Anatom.) os qui accompagne le cubitus
depuis le coude jufqu’au poignet. Sa defeription. Parties qui
ont du rapport au radius. XIU, 733. b. Foyc^ R a d ia l ^
Radius , parties qui ont quelque rapport avec cet os. XIII.
732. b. Miifcles du radius appelles pronateurs, XUl. 449. .1.
8c fupitiateiirs. X V . 671. a.
R A D O U B ER , ( Marine ) lieu appellé forme , oii l’on radoube
les vaiffeaux. VII. 179. a ,b . Terrein creiifê pour
tirer à terre les vaiffeaux à radouber. II, 348. a. Officier
qui a foin de faire donner le radotib aux vaiffe.aux. 336.
a , b. Maniéré de iticrtre un vaifll-au fur le coté pour le
radouber. IV . 304. <1.
RADSHEER , ( Hifi. nat. ) oifeati du Spitzberg, Sa defeription.
XIU. 734. a.
R A F A X IS , {Hifi. mod.) c’cfl-ii-dire infidèle. Noms que
les Turcs donnent aux Perfans , qui fnivent une interprétation
de l’alcoran un peu différente de la leur, lis penfenr
que la clémence de Dieu jicur .s’étendre fur les Juifs 6c les
Chrétiens, mais non fur les Raia.xis. IV, 364./'.
R A F F IN A G E , {Metallurg.) le raffinage de cuivre paffe
pour une des opérations les plus difficiles de l’art de la fonderie.
Defeription du foiinieaii de raffinage, 8c de l’opération
pour laquelle il efl employé. XUl. 734. b. Le cuivre
obtenu par cette opération, s’appelle cuivre de rofette. Comment
doivent être les gâteaux lorfqiie le raffinage a été
bien fait. Petits globules appelles cendrée Je cuivre^, que le
ttiiyre donne quelquefois en fe raifinaïu. Raffinage dn cuivre
a i Suede. Ibid. 733. a. Pourquoi le cuivre de jSuede Sc de
Hongrie pnffc pour le meilleur de l'Europe. Ralfinagc du
vuivre dans le Hartz 8c ù Grncntlial en Saxe. Ibid b
do eniv re, IV. 54;. b. V. 993. de Va'rgent.
1. 641. a. V, 993. a. Fourneaux de raffinage. VU, 242. c.
Ra f f in a g e : {Sucrerie , Saline ) il n’y a guère de villes
en Europe ou il y ait plus de raffineries de toutes fortes
qua Amltcrdani. XIII. 733. b. Foyer .SuCRE
RAFFINER, (W r r i . ) Defeription dcs differentesopé-
'" 'n X '“ - 7 5 ! ' *■ 'Atyrf Su c Iie :
RA FFINEURS, {Sucrer.) negres raffincurs. XI. 81. h.
Le plumotage défendu aux raffineurs. XII. 801. b.
R A G 5 5 5
RAFLE des des , ( Analyfe des hasards) coup oli les dés
jettes viennent tous lur b même point, XllI. 733. b On
ne don niettre que i contre 2 5, pour faire une rafle dé-
lerniincc avec deux dés en un coup; 3 contre 2 13 , pour
f'tirc imc rafle déierminée avec tiois dés en un coup; 8: i
contre 2 1 3 , avec quatre d é s, Sc aùifi de fuite. Parti de
celui qm emreprendroit de faire une rafle quelconque dn
premier coup avec deux ou pluficiirs dés. Ibid. ne(l
ruJUq ) petit rameau de la vigne où
îenc aitadios les grains de laifui. Comment on s’en fert
a faire du vinaigre. Moyen de cor.fcrver ces rafles. XUL
736. 0.
Ra fle , {Pèch.) voyez V erveux.
R A F R A ICH IR , {.Métall. Ch)w.) comment fe fair cette
operation de nietnilurgic. IX. 363.,/. Opération de r.ifraichir
dans les diffillntioris. IV. 1058. é.
inoyem de rafraichir 8c de produire le froid.
v a . 318. < r ,i.6 c c .X lll. 9C1, b. 8cc. Comment les Romains
'•.draichiiroient leurs chambres. IX. 890. i. Conduit à veut def-
tine a produire cet effet. 1 1 1 . 844. u. Moyen de rafraidiir les
filles en etc. XIII. 3 8 7 . Soin qu’on doit avoir lie i.ifKiicliir
an-de la chambre d’iin malade. 7 5 7 - Moyen de rafr.aidiir
l ean, \ II. 6 8 4 .a .X lI l. 902. .:,b. Les Orientaux l'e feivoiert
de vinaigre pour fe rafraichir. XVII . 304 b
R A F R A ICH IS SA N T , ( T b i r . , ,c,„ cd v, r.,frad,iflans_
imernes : quel cil leur effet. Enumération tics düi'érentei
claires do rcmedes ausqiiels on attribue ce-ite propriété.
Kemedes ratraichill.ins externes. XIII. 756, b. Emploi des
rafraicliillemens contre les incummodiiés, vnvtr .t/tittnt/
r E,h.mffan: ik EJuuff«,,/,::. Leur etnnloi
«ans le traitement des maladies aigues. Foyer encore liir ce
fujer Chaleur animale contre naturc.Xh.-^C. b. 37. Q u d efl le
plus effic.ace des rafraichiflaiis dellinésà l’ufage inccrieuv Ibul
7 3 7 - m
Rafraichissans , ( M.ic. incdic. externe ) inédicamens qui
ont la vertu de calmer la chaleur extraordinaiic mi'oii fent
dans une partie. Réflexions fur leur ulégc. X lI l. 737.4, Liniment
propre à calmer la douleur des cancers. Ibid. b.
RAFRAICHIS.SEMEN r, f'oins qu’on diaif avoir de re-
nouvellcr & de rafr.-iichir l’air de la di.-.mbre d 1111 malade.
A u I . 737. b.
Rafraîchissement , {Chir.) celui qu’on donne à im
lembre fraéliiré. VI. 832. b.
Rafraîchissement, quanicr de { A n m:i:.'.) XIII,
Rafraîchissement, {M.irine) X llI . 737. b.
R A G A U , /e/i ami {Géogr. Jacr.) plaine prés <!c i’Eii-
pliratc 8c du T ig re , où Nabudiodonolbr vainquit Aruhaxad Suppl. IV. 364. b.
R A G E , on en diflingue de fept fortes pour les chiens,
dont on trouve ici b defeription 8c les remedes. XIU. 738.
•' Remede pour empêcher qu’un chien mordu ne devienne
iragé. Ibid. b. Foyeq^ Hydrophobie.
Rage, utilité de l’opération d'énerver les chiens pour i-s
preferver de b rage. XVI, 932. b. De b rage deschiuis :
les fyniptômcs ; remedes employés avec fuccés : expédient
pour favoir fl le chien dont on a été mordu , 8c que l’on
fuppofe tué depuis, étoit enragé. 936. a , b. .Méthode des
anciens dans le cas de la morfiire des chiens enragés. V I.
'^23. b. Remede d’Æfchrion contre cette morfure. X . 278.
Ufage du mercure contre b rage. 376. a.
Rag e , ( M.rrâ-A, ) maladie du cheval. Suypl. 111. 422.
R A G H L E S , {Géogr.) petite ifle d'Irlande dans le lac ap-
pellé Dirg. On b regardoit autrefois comme le fauxbourg
du purgatoire. Contes que les moines répaiuloicnt fur cette
ifle , pour entretenir ta fuperflltioii du peuple. Leurs fourberies
découvertes vers la fin du regne de Jacque.s I. X ll.
"’ 38. b.
RAGNE.a u , {François) fes ouvrages. X. 307. a.
R A G O U T , ( Hifi. rom. ) palTage de Cicéron qui montre
que vers b fin de b république, les Romains coiilcrvoient
encore dans leurs tables des refles de leur premiere frug.
iiité. x m . 739.
Ra g o u t , {D icte, A n cuUn.) voycq^ Met.s , Cuisine,
Ll.MENT.
R A ItU E L , {H ifi.fier.) pere de Sara, proche parent de
Tobie le pcrc. Il donne fia fille au jeune Tobie avec b
moitié de fes biens. Suppl. IV. 564./>.
R A G U F .N F T , {Fiançois) littérateur. X IV . 396.4.
RAGUSAN , /r, ( Géogr. ) état qui fubfifle foii.s b protection
des Vénitiens & du grand-feigneur. En quoi conflflelbii
domaine; fa capitale efl R.-igu/c. X lil, 739. b.
K A G U S E , cette ville prclqu’entiércmcnt détruiic par un
tremblement de terre en 1667. évêché. Anciens noms
de cette ville. Comment elle s’efl mife à couvert des cour-
fes des Diilcignotes. Gouvernement de Ragufe. Obfervations
fur la vie iSc les ouvrages de D. Anfelme Baiiduri, bené-
diéfin , XUL 739. b. 8c de Joan-Bapiifle Hodierna , Tun Sc
l’autre nés à Ragufe. Ibid. 760. a.
Ay,
' i.- 's.-J;
I f<l