2 ^ 2 N I T
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i j . i 1
au
N IR E ü P AN , ( //Iß. mod. Myihol. )étatcnnipolTibiricé éterne
lle, dont l’anic jouit felon la doiSrine des Siamois, après
avoir palTé fuccclTivement par dix-liuii mondes diffcrcns. XI.
Ï46. b.
NIR-NOTSJIL , ( 5 <>/, ) arbriiTeau du Malabar. Scs ufages
en médecine. XI. 146. i>.
N ISAN , {^Câlend. des .Juifs') mois des Hébreux. Fêtes Sc
cérémonies qu’on célébroit en ce mois. Le pior NIßin étoit
inconnu aux Juifs avant la captivité de liabylone. XL
147-
NISI, Chufe du {Droit canon.') f.tmeufe claufe inventée
pour prévenir les détours du ferment, & afiurcr l’cfièt de
l’excommunication lancée contre les jjrinces qui violoient leurs
traites. XI. 147. a. Traité de Louis XI avec Edouard IV , roi
d'Angicicrrc, dans lequel cette claufe cA exprimée. Comment
elle devint enfuite illufoirc. Ibid. b.
NISIBE ou N ifb is , (Crosr. ÜUC.) ville de h Méfopota-
mie. Sa fitiiaiion. Les Grecs i’appclloient Antioche de Myp-
donie. Quels lurent fes différens maîtres- Etat préfenr de te
lie u , & des environs. Obfcrvations fur la vie & les ouvra-
ces de S. Eplircni, pere de rég lilé , Sc diacre d’Edelfe, né à
Nifibe. XI. 147. b.
NISMEIS, ( ) ville du bas Languedoc. Son origine.
HiAoire de cette ville. XI. 148. 0. Conciles tenus à Nmn.s.
Son état p;cfent. Beauté du pays où elle eA fuuée. Sa.pofi-
tioir géograpiûque. Hommes de lettres dlAingués que Niinv. s
a produits, Jacques Broullbn, avocat, /bid.'b. L’abbé Cnliai-
ene. Jean-Baptille Cotelier, Jean Nicot. Samuel Petit. Jacques
Saurin. Obfcrvations liir la vie de ces liommcs célébrés, &
fur leurs ouvrages. Ibid. 149. .j. Ni.MES.
Nifmcs. Sa population. Médaille découverte fous François
I. qui avoir été trappée à i’occnfion de la colonie nimoife.
Origine des armes de cette ville. Monument érigé dans Nif-
mes à l’honneur du roi nommé ci-delTus. Ouvrage à conful-
ter fur la fontaine qu’on y a conAruite. Obfcrvations fur quelques
célébrés Nimois. HiAoire de cette ville. Trait glorieux
à la mémoire duconful de Nifmes, nommé Viilars,qiii vivoit
du tems de Charles IX. Nouvel ornement d’archiceélure dont
on avoir couronne la m.-.ifon quarrée. Suppl. IV. 52. b.
N iSMES , Maifon qU iirrce de ( Arcbli. a n tiq . & rom. Infcrlpt. )
defeription de cer cdirice. Divers fentimens fur fon origine
& fur fon ufage. Dillcrtatlon dans laquelle M. Ségiiièr a
détruit toutes les fauAes idées qu'on avoir conçues fur ce
bâtiment. Indices au moyen delqiiels M. Feirefc fe Aattolt
de pouvoir deviner l'inicription de cet édifice. X L J49. é.
C ’etoit la coutume du Aecle d’AugiiAe de fe fervir de lettres
de bronze pour les infcripiions des temples & des autres
édifices d’une grande magnificence. Méthode que l’ouvrier
fuivit pour attacher les lettres à la fi ife du temple de Nifmes.
Ibid. 150. a. inferijition de ce temple découverte par M.
Ségiiier. Détails où entre ce favant, qui montrent qu'il a
étendu fes recherches à tout ce qui pouvoir le mener à la
vraie connoiflance de l’inicription. Ibid. b.
NISS.V, (Gs'ogr. ) ville de la Turquie européenne. Obfer-
vations fur le regne de ConAaniin né dans cette ville 6c
lur fon caraélere. XI. ii;o. b.
NITHISD ALE , {Comuffe de) fa générofité envers fon
mari. X V . a.
NITIOBRIGES , les ( Géogr. ) obfcrvations fur ces anciens
peuples, 6c fur le pays qu'ils occupoient. Suppl. IV. 52. b.
N ITR E , ( Chym. Mut. méd. ) divers noms donnés à ce fel.
Différence entre le nitre 6c le nlmmi des anciens. Définition
du nitre. Quatre efpeces principales de ce fel ; le nirre
qui a pour bafe le fel alkali fixe, appelle de tartre: celui
qui a pour bafe le fel alkali fixe appelle de fonde: celui dont
la bafe cA une terre alkaline cj/c^rire ; la quatrième efpece
u’eA pas déterminée par des expériences fiiffifamcs , elle cA
appellee nitre crud., nitre des murailles. Le nitre de boufiage
n’eA pas une cfpece particulière de nitre. Acide nitreux combiné
avec différentes fubAaiices métalliques. SiibAances fali-
nes connues dans l’art fous le nom de nitre^ 8c qui font trè:
parer le nitre dans l’attelier de l’arfenal de Paris. Ibid. . , . . . . .
Diminmlon que fouffre le falpètre rafiné. En quoi confiAe la
bonne qualité cUi falpètre. 1^3. b. Moyen de connoitre
Il les fiilpétres font gras on falés. Le fuc ou la décoâion de
toutes les plantes qui donnent de l’alkali fixe de tartre par
l’incinération , étant putréfié ou dégraiffé par la chaux vive
donnent du nitre parfait. Le fel marin fe trouve allez communément
dans les plantes, mais avec le nitre prefqiie partout
dominant. Obfervaiions fur le nitre de houffage. Ibid.
134. a. On ne trouve que très-peu de nitre dans rmtérieur
_dc la terre. Chimere du nitre aérien. Nul cliymiAe n’a retiré
jufqu’à préfent du nitre des iubfiances animales Du petit
nombre de faits qui ont été rapportés, l’auteur conclut
lur l’origine du nitre, que les végétaux feuls le fourniffent
manifeAement. lb,d. b. 2-. Q u ’il exiAe évidemment deux
N I T
efpcces de nlire naturel, favoir le nltrc parfait à bafe alkaline
terreufe , 8c le nitre à bafe terreiife, qui fe retrouve dans l’ean-
mere des falpécrc-rics, fans compter le nitre cubique qui exiAe
dans quelques plantes. 3°. Erreurs de quelques chymiAes célébrés
fur ie nitre. Ibid. 135. 4". De la formation du fel commun
qui accornpagiie prefque toujoiirs le oiirc. Moyen dont
on fe lcre dans les laboratoires pour féparer du nitre un peu de
lel marin, 6c un reAe d’eau-mere qn’on y trouve toujours
mêlés. loid. b. Caractères extérietirs ou qualités fenfibles du
nttre parfait. Obfervations fur fa propriété de détonner ou de
. ufer par le contaél de certaines matières pîiloglAiques embra-
lécs. Ibid. 136. U. Le cuivre Sc le plomb étant mis avec le
nitre dans l’état d'ignition, lâchent leur phlogiAique, 6c le
nitre perd fon acide, mais fon autre principe rcAc. Il n’y a
que le foufre qui en donnant du [fiilogiAique au principe
acide du nitre , agit aulîi fur fa bafe. Sel qui en réfulte
appelle Jf/ polychrejk de GLifer. Si c'eA de l’antimoine crud
qu’on emploie, le produit qtii en réfiiltc s’appelle nitre anti-
inonié. La bafe du nitre détonné avec des l'ubAances métalliques
, s’aniiue ou devient cauAiqne. Produits volatils qu’on
retient de ces détonnations faites dans des vaiffeaux fermés.
De quoi font formes les Aux ordinaires des travaux de la
docimaAique. Ibid. b. Moyen d’anaiyfcr le nitre, 6c d’en
démontrer la bafe. Autre moyen de l'analyfer pour en
démontrer l’acidc. Intermèdes employés pour féparer l’acide
de fa bafe. Ibid. 137. a. Expérience curieufe de Ncuman faite
par un mélange de foufre 6c de nitre. Différentes préparations
que les apothicaires font du nitre pour les iifages médicinaux.
Ibid. b. Nitre appelle ejfenfjfcatum on infuccatum dans
pliifieurs pharmacopées. Autres nitres des pharmacopées ;
nitrum pcrlatum , corollaium ; nitrum nitratum ay(l.iUi nitri.
Les médecins François n’emploient que le nitre purifié, 6c
même rarement. Traité de Juncker,dans lequel il en exalte
les propriétés. Vertus attribuées au nitre, Ibid. 138. a. Les
végétaux éminemment nitreux, n’exercent des vertus vraiment
médicamenteufes qu’à raifon de ce principe. Préparations
où le nitre cA employé. Ufages médicinaux extérieurs
du nitre. Ibid, b.
Formation de ce fel. I. 98. b. Des fois nitres, X IV .
908. b. Le nitre fi.xe contient un peu de la partie graffe de
la matière inrlammablc avec laquelle on l’a fixé. 273. b. Niire
antimonial. 1. 306. a. Le nitre regardé par quelques phyfi-
ciens comme caufe de la congelation. III. 863. a. Son iifac^e
pour hâter certaines calcinations. II, 345. a. Produit volanl
des détonations du nitre avec difiérentes fubAances. III. 333.
a. Expérience faite par un mélange d’étain 6c de nitre. V f .
8. a. Mélange de limaille de fer 6c de nitre dans un creu-
fet rouai. 497. a. Prétendue fixation du nitre par le diarbon.
832. il. Le nitre confidéré comme fondant. 916. a. Double
fitfibiiité du nitre. IX. 370. u. Détonation du régule d’arfcnic
avec le nitre. XI. 663. b. Purification du nitre. X lll. 381, u.
D où vient fa vertu tempérante. XVI. 39. a. Sa décompofi-^
tion par 1 arfenic. 381. b. Utilité dit nitre pour la fécontliié
des plantes. Suppl. III. 213. a , b. Son influence univerfclle
felon quelques auteurs. Ibid. b. Remarques fur l’ouvrage de
Boyle intitulé ejfai fur les parties du nitre. III. 433. b. Nitre
reprefemé vol. i l l . des planch. C h ym ie , pl. 16. 17.
NITREUX , acide ( Chym. Mat. medic.) qualités extérieures
6c paiticulieres de cet acide. XI. 138. é. Ses qualités fpécifi»
ques 6c eHéntielles, ou proprement chymiques, font fes affinités
avec diverfes fubAances, la génération des nouveaux
êtres chymiques qui réfultent de fa combinaifon avec ces
fubAances, ibid. 139. a. 6c l’ordre ou le degré de fes affinités
avec ces fubAances par rapport aux autres acides. Différences
dans l’efprit de nitre fdon l’intermede qu’on a em-
p b y é à fa préparation. Ibid. b. Ufages médicinaux , 8c autres
ufages pliarinaceuiiques officùiaux de l ’acide nitreux. Ibid.
160, a.
Nitreux acide, couleur des vapeurs de l’efprit de nirre. I.
98. b. Comment l’acide nitreux agit fur le fe r, le zinc 6c le
bitmmh. IL 343. a. Combinaifon de la chaux avec l’acide
nitreux. III. 267. a. Difi'olution du cuivre par cet acide. IV .
343. b. Du melange de l’acide nitreux avec l’efprit-de-vin.
V I . 33. é. XVII , 302. a. D iffolution du fer dans l’acide nitreux.
V L 496. b. L’efprit de nitre a fur-tout l.a propriété de produire
le frOid. VU. 318. b. Effervefcence produite par le mélange de
l’efprit de nitre 6c de l’huile de girofle , 6 7Ï . b. XVI. 130. a.
par le inêlange de cet acide avec l’iniile , V llI . 3 37. l’efprit
de nitre enflamme l’huile de térébenthine. Ibid. b. 6c X V I. 149.
b. Obfervations fur les propriétés de produire la flamme attribuées
à l’acide vitriolique &c à l’acide nitreux. VII I. 337. b.
Dillolution de l’argent par l’efprit de nitre. IX. 740. a. EAèt de
cet acide fur le plomb. XII. 773.3. Préparations d’un acide nitreux
par !e moyen de l’arfenic. Suppl. I. 381. b.
Nitreux , éther. VI. 33. b.
N ITR IE , ( Géogr.) lac 6c défert de Nitrie en Egypte.
Formation du nitre par l’eau de ce lac. XI, 160. a.
Nitrie. Cette partie de l Egypte remplie de pétrifications.
Suppl. IV. 209. a.
N IV E A U ,
N O B
NIV EAU , ( Géo-r pkyftq. ) différence du niveau apparent
au vr.ii niveau. X l i l . 900. b.
Niv e au , {Arpenta^.) defeription du niveau d’a i r , qui
montre l.i ligne de niveau par le moyen d’une bulle d'air
Defeription du niveau d’air avec pinnules. XI. 160 b Niveau
d’air avec lunettes. Niveau fimpie. Celui des ciiar- pentiers 6c des paveurs. Celui des canonniers Ibid i6 i a
Celui des maçons. Niveau à plomb ou à pendule. Njveaii
de reflexion. Niveau de M. Huyghens. Ibid. b.
Nheat: à équerre. Defeription ÖC ufage. XI. 162. a.
N iv e a u , (J / y i/W Q defeription de celui dont on fe fert
dans 1 hydraulique. XI. 162.3. M aniéré des’eii fervir. Ibid. b.
A '«™ « , celui cju'obfcrve un fluide dims des tuyaux oui
comuuimquent cniemble. V I . 882. i . Niveau des anciens
appdle cl.orobetc^ III, ,7 4 . a. Niveau de l'a.peu.eu,. Vol.
V . des planches. Niveau du lontainier. Vol. I. des planch
Fomainier. Niveau du mineur. V IL Ó28. b. 'Vol V l'
phneh. Métallurgie. J^oyc^ Niveler.
Niv e au , ( Phyfq. Ajiron.) abaiffement du niveau - différence
entre le niveau vrai 6c appareiif. Suppl. I, 7. b.
Hauflemeiit du niveau apparent au-deffus du vrai Suppl IV
880^, U. Tables pour les hauieurs du niveau appareil au-
delius du veritable. 884. a.
NIVELLE (Geusr.) ville des Pays-Bas Autridiiens. D it iils
& r 1 abbaye des elianoineircs établies dans cette ville. Homme
d e fe r appellé /eun-Æ-Æv.-*, qui fonne les heures au haut
tl une tour. XL 162. b.
N iv elle !.7, {G ü g r .) château de Bourgogne. Trait de
patnotifmc de Gerard-f acquêt de M agui, & de Claude-Jacquet
de Tremom Ion fils , lors que faim Jeaii-de LÔnc fut afub.é 7 Soigneur à qui appartient le château de la Nivelle
Suppl. IV . 53. U.
Ar,v,;/r Explication du proverbe du diim d , Jiun d , N ,„ 11,
Suppl. V I . 33. a.
Mvelle , imprimeur. VIII, 628. 3.
NIVELER (.^/-pc/m) objets du nivellement. Deuxfortes
de n iveaux fur h furface de la terre, le vrai 6c l’apparent. Cor-
Teélion du niveauapparent fur le vrai.Effetdcs rétrudions fur
lemvellementice qn’on doit obferverà cet égard Deux fortes
de n ivellement, le fimpie 8c le compofé. XL 162 b Divcifes
precautions à prendre quand on veut opérer fur le terrein
I remure p r a tiq u e : niveler un terrein de 230 toifes de Ion-
p e u r , lui- 3 pies de pente. Seconde pratique : niveler une
longueur de 800 loties , ou il fe trouve nue gorge & un con.
tre-loulcmenr, fur la pics de pente. Ibid 163 a DoiCi me
pr.ittque: niveler la defeente d’un côteau lans eoree lii remontée.
loid. b.^ Maniéré d’établir la preuve des opérftioiis <lu
nivellement. Precaution à prendre dans la conduil^e des eaux
a caufe des frottemens caufes dans les coudes 6c les jarrets
des tuyaux. Ibid. 164. 3. ‘
M „ h , profil de terre oh l'on tr.ice fort nivellemcm X l i l
A2'6.a. J ermesd un nivellement. X V I. 159. é, S u r l’ ir td en i
‘Jufontainier, vol. I. 6c de l’arpentaae vol V
N ILERN O IS , (Gfhgr.) province de France, f e i bornes'.
Fcuplcs anciens qm lhabitoient. Origine du nom de Niver-
Produélion de cette province. X l. 164. m Ses évêchés
D e Ion gouvernement. Obfervafion fu r ie comte de BmFv-
Kabutin , ne a Epire en 1Ó18. Ibid. b. ^
Nivernais , mine d’argent de cette province. I. 639. 3. N O
N O A CH ID E S , {Critiq.facr.) defeendans de Noé Pré-
8c à fes enfans.XI. 164..Z.
N Ü A IL L E S , {Antoine, cardinal d e ,) pcrfécution qu’il
la part des Jéfuites. X V I I 281 a b
(C 'o g r -p e r .) ville de Th eb es 'en Egypte.
A / o o r r , ' "PP t"“ No-Amou. XL i6 s . a. ’
m B I L lS S IU E C E S A R ,(M ld a .ll.e - iu fc „p ,.) qualifica-
“ r"e ftrTe",“ ‘'■ 1 d'«r"ip=re./rs îu iVo r.en t ce
dtre Err les medatlles. C e meme titre donné aitlTi à celui
f,on’„ n ^ f “ !’' " ’P i « . y i » l t deftiné. Ditlinc-
Iton que font quelques antiquaires entre natitijrun, pris adiecpris
firbllani.ventent. XL i f . lu . ÊJy,[
‘ ^ ^ R“' R»'
%rb°es. xT"T6'^ r nouveaux & les
les Romains <|.|,„mmcs
nouveaux, nobles 6c ignobles. VIII. 270. c/.Droir
*^"oV ra itfe ”n pouvoiem étaler
• 1^ 4 7 2 1 ’‘ ° ’ P'“ ‘ ‘R 'toient nobles.
De” °b!e” ’ i „ H ê ? é '7 '= ‘' ° " " “ “ “ vperfonnes on aux biens,
noi/r. A„c ic „„eti®^,‘'“ P’‘.™S<="°“ e. Etymologie du mot
Quelles fout f i p e r f o n n e S a hgnifica.ton.
N O B 2 9 3
1V M „ d,xï,aa,on , uoyii G e n t il h om m e , Nobles
irefo.s nouiines auihcnttques. L 895. Service du ban & de
FTanT7’f ’‘" "'’“a °"'’'“fia n c e . I. 709. a , i. II. , p , j ,, |‘ “ "•ofol„s„ „oobieliJgpé,s c ,
ctennemeni les nobles. VIII. t . , t. OriginT dtl d.-Th on L
arrogereni long.tcins de parler au nom de la nation. XIV.
■ 43. t. Le peup e opprune par les nobles fous rancien -ou-
vernemen, féodal, ee dernier mot. Pourquoi iT'do -
vent avotr entree dans l'alTemblée des états. XIV, 14, .
Gngtne de leur exemption de taille. X V . 84t. i. Pour'iuoi
es nobles en France ont perdu de la conlldération dont ils
1 b S " ? , ' R"' exemptions des
nobles. 8 ,7 . a. 87S.4, 8 79 .2 , t. Devoirs des nobles. Suppl.
IV 53 i . Juges des nobles. IX. 14. a. Nobles Efnianols-
nobles Portugais. VIIL aot. i. NobUts VéuWens. X v Fl .4'.
^ Gui-de-noble, VII.
407. b. 489. b. Succeffion noble. X V eoa b
eiEIJf peinture. VIII. 767 S. A ,r noble dans un homme. V lI l. 54,,. 3. Kecompenfe noble. X IV . 137. i.
N o b l e , cheval, {M.-iréch.) XI. 163. h
N oble ÙJa n f , , ( Moun. d'AugU,. j X L i 6 , . t .
NOBLE./Aerr, (A/aa„. d ’Au sIa .) XL .65. \ . H y a eu
N O B L E S s f '^ r ’ 7 lettres. X V I. 6 ,9 . f.
f.dSré.T'^'^^^' T R" "O'ilv'l'u Pvill être coniidvret
ou tomme partie d un état , ou comme fiiifaiu une
condition de particulier, i-. Toute monarchie où il n’y a
point de noblcflè cA »ne pure tyrannie. Effets du principe
de 1 honneur fur la «obleffe. Ses j.rerogatives ne doivem
point Paffer au peuple. £he ne cloir pa.s mre trop nombreufe.
D t la nobleffc clans 1 anflocraric. XL i(56. 3. Les démocraties
n ont pas befom de noblsfl'e, & „ ’en font que plus tranquilles.
2 . D t la nobleffc dans les particuliers. Refpea juAemem dû
U une famille ancienne 6c noble Les premiers élevés à la
noblcllc ont ordinairement plus de génie , mais moins d’innocence
que leurs delcendaivs. Ibid, b
Noblesse , { Junfp. ) titre d’bomieur. La noblelTc rfeft
r b f f é l C'ellprlndpalemen. à la
fageffe & a la vaillance que l'on a d'abord attaché la noblelTe
i n T ’ " f ' Z ' P " ' ” ' '"'v i™ ' Hébreux. C etts
dilluiaion adimie chez les Athéniens. Naires de la côte de
N n î 1 • T ,,’ 7 ' Ohfervations lur la noblefl'e Ruffe.
Noblelle héréditaire parmi les anciens Romains. Diflinétions
J FVro.gativcs dont jouirent les patriciens. Outre la iiobleffe
de digmte, ,1 y avotr encore à Rome une autre cfpccc de
f/’ P / f f ‘‘ »'■ diflingiroit trois
degrés. Jl.d. P Les plébéteus ayant été admis à la nragitlra-
tiu e , partie,perçut a la nobleffc attachée .à ce, entpioi. Grands
offices auxquels etoit attachée la premiere noblcffe. La valeur
mmtatre ne donnoit qu'une „obleffe imparfaire. Oucls
ero.enUes vrais nobles. Ces mlbles avolem droit d'.mav« La
noblelle romaine ne faifoit p as, comme parmi nous, „„“ ordre
apart Etat de La noblelle fous les empereurs. IHd. i68. u. La
MbleffechezlesRomamsnepouvoitappartenir qu'aux citoyens,
& lm fan u c la falfott perdre. Hiftoirede la nohlcffe francoife.
v ° ” '™‘:nveinent de la monar'chie.
L,' x R P “ " '“ ' ' ° ' “ ‘‘i» « “ ' “ pur lefquelles s'acquérolt la
ilobleffe Comment elle s'acqiitert à préfent. A qui appartient
le droit d annobhr La noblelTe accordée par des princes étran-
gers a leurs fnjets & officiers, n’eft point reconnue en France
a 1 e..et de jouir des privileges dont les nobles Fraocois jotlif-
fent. Comment fe prouve la noblefl'e d'exTraSion. Commenr
le perd la nobieffe. Ibid. 169. a. Obfervation fur ce qui 3 éré
à ^’occafiondc l’expreffion , iaiffer dormir fa
twblejjc. L exercice du commerce ne fait point déroger en
Bretagne. Déclaration néceffaire en cette pro vince, iWque
le noble qui faifoit commerce le quitte &i veut rentrer dans
fe.s privileges. Anciens privileges des nobles, & obligations
qui leur croient particulières. Jèra'. b. Privileges aéluek des nobles.
Jé/</ lyo.b. Comment la nobieffe fe perd. Moyens de
réhabilitation. Ibid. i j i . a. ^
Nobieffe. Elle ne réfidoit chez les Romains aue dans l’ordre
des [enateurs : celui des chevaliers ne jôuiffoit point
d une nobieffe parfaite. \ I . 26. 3. Du corps de la nobieffe
chez les Romains. XII. 734. b. Deux faéHoiis dans l’ancienne
nobieffe romaine. XIII, 87, b. Les ancicans ne connoifl'oiem
point de gouvernement fondé fur un corpS' de nobieffe.
AlV. 130. b. Premiers nobles en France. V . 386 b 387
3. Titres conAlcucifs du droit de nobieffe. 387. é. En quoi
£ É e e