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374 P A R
PjmioU- , (lirtinsiicc ilc l’apologue. 1.
PARAIK.)L1Q U K ,( Gcw;;. ) coiioi'<ie parabolique. Rapports
de cctic figure au cyltiulre ik. au cône. Courbe de genre
n.iraboliqu'-' = ufages qu'on en t'ait eu mathématique. XI.
SS4. L\ On peut t'.iire palïer une courbe parabolique par
tant de points qu’on voudra d'une courbe propolée. On
peut ainfi toujours (piaiTer par approximaiion ectte courbe
jMopolee. Pyramidoide parabolique ; manière d’en calculer
J,i lülidité. Efpace parabolique. Segment d'un elpace para-
bori([iiC- IbU. U.
P.ir.iboihiiu y miroir , 1. 627. u. X. ^70. u. branche , U.
3C K ,h it'e a u . XIII.
FAR.AüKAMA, {•b/iji.) [>reniicr des dieux de l’Inde. Scs
trois fils M iiao , Wilinc & Brama. OHIribiition qu’il leur
iit de rempile du monde. Comment les Indiens reprclentent
t'es divinités. X I. SSî. u.
P A R A llY S T E , (_Aiu'u].^rec,].) un des cinq tiibimaux civ
ils d'Athenes. Deux chajnbros de ce nom. Préruleus de
ce ii ibimal. Caufes qu'ils jiigcoient. XI. 8S5. b.
RARACiELSE , ( AuixU--PkU'ippc-Thioyhr.i(l Bombafi de
Hohenhiim) hinoire & philol'opliic de Paracelfe. X V I . 2^4.
^ Quelle eü la grande école ovi il a étudie.
I. 57. .J. Obl'ervations l'ur ce médecin & fur fes ouvrages. 111. 431. i l , b. X. 272. />. 273. U, b. 289. Caiifo de (a
graïule réputation en médecine. VIII. 181. i. .Seniiincnt de
ï ’aracelfe l'ur l’alcaheil, 1. 272. u , b. l'nr l'origine des animaux
Si des végétaux.//mA/■ . Sa doétrine f'ur les arcanes.
Suppl. 1. 333. , b. C e ([u'il eiitcndoit par l'aicbée. l. 610.
i l , b. Elixir de propriété de P.u acelf'c. \’. 310. b. Vertu
de rajeunir c[u'il aimbiioic à des végétaux. 707.
/•. Son lémmiciu fur la caulé de la fièvre. VIII. 710. b.
.S;i doéh'inc fur récoiiomic animale. XI. 363. b. Son fenti-
iiient fur les fpcéires. X V . 447. b. Des principes des para-
cclfncs. Mil- 3'’ 3-/>.
PAR.AC.EN FESE ou ponclion, (^Cliînir^.) opération que
l’on f.iit au has-ventre des liydiopiqucs. Etymologie du mot.
Inllnimem connu fous le nom de troe.ir dont le lervent
les modernes pour cette opération. Signes auxquels on re-
coniioit la néceliicé d'en venir à lu ponélion. Du choix de
l’endroit où l'on doit la pratiquer. XI. 883./>. Attitude que
l’on doit donner au malade. Maniéré d’opérer. Soins qui
doivent fuivre l’opération. La paracentefo ne remédie cju’ù
l’épanchcinein aéliiel, & ne dil'penfe pas de l’iifage des re-
mccles propres à détruire les cailles de la maladie. IbU.
886. J. Cependant 011 a vu des jrerfonnes guéries radicalement
après avoir été percées trois ou quatre fois , fans
faire uf.ige d’aucun antre remede. Significaiion plus étendue
du m o ipjr.icentcjc. Ibid. b.
Piiracemefe. Obferv.itions fur cette opération. Suppl. I.
Cy ï. ‘1. En (]uel cas d'hydrojiilie cette opération doit être
employée. V ld . 381./'. Hémorrhagie ajircj l ’opération ; cotn-
ment on )' a remédié. 1 24.
PAR AC ENTRIQ UE , (Giv//:.) monvetncnc paraceniri-
que , expreiriv'ii de l'alhonomie ancienne. Sollicitation pa-
raceiurique de gravité. XI. 886. b. llothrone paraceturique.
Obf'crvaiions fur le problème de nfochrone iiaracemrique.
JbU. 887. U. ^
P.AR.ACLF.T , ( T/uvlog. ) écyjnologic de ce mot. Ce nom
donné dans l’écriture au Saint-E'fprit. XI. 887. a.
PahaCLET, (Gi'bgr.) abb.tye de I-'iance en Champagne,
qui doit à -Abélard ion établifl'ement, &.dom Héloïlc fut l,i
premiere abbelVe. HUloire de l'origine de cette abbaye , des
perfécutions qu’Abélard elîu ya , 6c de l'événement par lequel
Hcloife devint abbdfe du Paraclet. XI. 887. a. Rentes
de cette abbaye. Rang dilVmgiié des abbcn'es qui fiiccccle-
reiit à Héloiiè. Eriiclitlon de cette femme célèbre. MelFe
en langue grecque qu’elle fiifoit chanter ehat[ue année , à la
Pentecôte. Scs cendres & celles de fon mari réunies au
Parader dans un même tombeau . luirade racotné à cette
oecafioii. Autre miracle arrivé à l’enterrement d’nnc femme
demeurée vierge durant Ion nuriage. Réflexion fur,ces prodiges.
Ibid. b.
PAR AD E , ( Gumm. ) lit de parade ; jiarade dans les
tournois ; parade , revue d'imc iroiipe. XI. 888. u.
P jrade, .ippancmcni de. l'dye^ les pl. d'ardiiceébirc. vol. I.
Parade, llw eU , { A n m iiii.) X l.S S S . a.
Parade , f.ihe L,, ( ) XI. 888.
Parade, {Mnêch. ) XI. 888.
Parade, ( Efoime') cinq parades différentes. X I .888.
P.irude. Iniliiidions fur les parades. V . <946. b. Prendre
l'ennemi dans le defaut de la jiaracle ; parade du cercle.
IV. 733. e. Façon de parer l,i tlanconade. V I. S43. .i. —
l'üye:^ les planches d'eferime, vol. IV , planche 4. — 7. &
l’article Pa k lR.
I’aRade, (Spe^iide) ce fpeélaclc tient egalement des
comédies cpi’on appclloic pLi.iriu: , & de celles qui furent
nommées rjber/i.nix. Caraélercs des perlomiagcs employés
dans les parades. Origine de la parade en fr.mce. XI. 888.
ii. Elle fnbfiffoit encore fur le théâtre françois , dn tems
P A R
de la minorité de Louis XIV. EIlo n’a pas même été anéan"
tic par l’ctabliffcment de la bonne comédie. Des perfoiines
d'elprit s’annifcnt encore quelquefois à compolérdc petites
pièces dans ce même goût. On ponrroit reproclier aux Italiens
& aux Anglois d’avoir confervé dans leurs meilleures
comédies trop de fcencs de parade. Eloge de la i'arce de
Pathelin , attribuée ii Guillaume de Loris , inventeur du
roman de la Rofe. Supériorité de ce pacte fur Jean de
Menu que quelques-uns ont cru auteur de Pathelin. Ibid. b.
Mauvais goût des ficclcs d’ignonmee, qui regne encore
quelquefois fur notre tiiéatre. Réflexions fur la pièce intitulée
les tioiirciiux philofoplies , fur quelques anecdotes auxquelles
elle a donné lien, & liir une fécondé parade fatyri-
que du même auteur. 7é;,A88y.
Piirade. Déclaration de M. le comte de Trc ffan, auteur
de l'article jirécéciciu. IV. 320. A.
PAR ADIGM E , [Gnimm.) étymologie dn mo t; modèle
de déclinaifon ik de con)Ugailon. Cos modelés devroient
ètic préfentés aux jeunes gens fous' une forme agréable,
propre à intéreffer leur imagination. Obfcrvations de l’au-
teur fur cesparadigmes. I. J)idiruiijons. C'cil nial-à propos qtie dans les anciens
riidimcns, les nombres 6c les cas écoiem dcfignés en latin,
& qu’on joignoit au ])aradigmc d'un nom, celui de l’article
du mémo g enre, hxc muj.i, liujiis wufx , 6ec. La contiimc
de traduire diacpio cas latin , en le fervant de rartlclc /e ,
Lt, les , & c. peut aiiff'i (pielquefois iminire en erreur. XI. 88y. h.
Mais ce qui pont toit être de que!([ue utilité, ce feroit de
mettre fur deux colonnes parallèles, les cas dn fmgulier ik.
dn pluriel. M. Lancelot avoir imaginé de faire imprimer
en Iciircs rouges les terminail'ons qui caraélérilent cliaque
cas; mais cette bigarrme n’a d'antre effet que de choquer
les yeux. Exemples de cette difpofitiün des paradigmes en
deux colonnes parallclcs, propolée par l'antciir, pour l’iii-
telligcncc des ilédinailons des noms , des pronoms & des
adjodifs. IbU. 8yo. Obfcrvations fur les paradigmes des
cinq dédinaifons des fiibffamifs. Manière de prél'cnter les
dédinailôns dos trois pronoms ego, ru tk fui. Remarques
fur les dédinaifons des adjodifs, que l’aiitcur diffingne en
tiüis fortes , ceux dont le génitif fmgulier fe termine en /,
niafc. X , fem. 6c i , neiit. JbU. b. Ceux dont le génitif lln-
giilicr fe termine en iiis ou en jus pour les trois genres ;
tk. ceux dont le mime cas fc termine en is pour les trois
genres./éfiA 8 y i. u. 11 peut cire utile de donner enfuite
la liffe des adjedifs indéclinables. Quels loin ces adjedifs.
II. Corijuguifons. Nos anciens nidimens avoient dans les
conjngaifons tics abfurdités fcmblablcs à celles des dédinaifons.
Àt. Laiiedot a réformé ces famés; mais les paradigmes
n’om pas encore toute la |>crf-eélion delirable ; i". il
met en par.illclc les quatre conjngaifons, ce qui ne peut
que fiirdiargcr l'attention des commençans; 2'’. il confond
les tcnis de l'indicatif & du fubjonélif , & met de fuite
ceux (jui ont le meme nom d.ins les deux modes; 3“ . il
traduit en françois les tems latins, tk U tombe à ce liijct
clans bien des meprifes. Ibid. b. Forme i'ous laquelle les con-
jugaifons des verbes doivent être préfeinées, pour aff'edcr
l'imagination d’une maniéré mile. Oblervation fur les paradigmes
des verbes de la troiliemc conjugaifon. Comme
quelques-uns de ces verbes fe terminent au préfent de l’indicatif
en io & en ior , l'auteur penfe qu’il convienclroit de
joindre des paradigmes pour cette cQecc particulière. Ibid.
Sy2. a. Oi clre qu’on devroit obferver en préfentanc les paradigmes
des verbes irréguliers. Ibid. b. Obfcrvations générales.
1". Aii-dcffüiis de ciiaque paradigme, il eff bon de
donner une liffe de pUificiirs mots fournis à la même analogie.
2". La règle particulière dn paradigme fera placée
plus convenablement après le paradigme qii’avant ; & les
réglés commîmes à toutes les décliniiilons ou conjugaifons
doivent être renvoyées à la fin. Ibid. 893. a.
PA R AD IN , ( Guillaume) fa patrie 6c fes oiivragcs..9K/’/;/.
II. 664.
PAR.ADIS, {Théolog.) ce terme employé dans l’écri-
nirc. RoclKichcs fur la fuuuiioa du paradis célefte oii nous
tievems aller. XI. 893. a. (.ic n’eff pas le lieu tpii fait le
pararlis, mais le bonheur dont on jouit ]>ar la vue de J )ieu ,
qui étant par-tom , peut aiilfi fe montrer tk faire par-tout
tics bienhcuieiix. Les qualités que l’écrirtire donne aux corps
glorieux, montrent qu’ils ne feront pas refferres dans un
endroit |iarticulicr. Le jiaraclis n’eft pas un lien , mais im
changcnicm d’état. Les cieux , l’imivers tk tous les ouvrages
de Dieu font le paradis. Seiuimens des Juifs 6c des
Mahométans fui’ le paradis. Ibid. b. Béatitude, C ie l ,
Empirée.
Paradis icneflrc. Etymologie de ce mot. Signification
du mot Edcn. Divers fciitimciis des doélcnrs fur la fitnation
du paradis tcrrellre. XI. 893. é. /uyrj-l’article Eden.
P.traJis rerrejhe. Cane <le M. de rifle oii fe trouvent les
différentes fiuiations données à ce lieu, ô'/r/’p/. 1 .3 60. b.bes ff cuves,
Suppl. IV . 336.4/.
P A R
P a r a d i s , (Criilij. faa-.) ce mot d.ms fou origine fignific
un verger tk non un jardi/i. Citation de trois endroits du texte
hébreu oîi ce mot eff employé. XI. 894. b.
Paradis des mufulmans. ( 'M.ihom. ) 1. 230. b. VIII. 3 27. a.
Paradis perdu, {Hijl. de U Litcer.) vayrç l’article MlL-
TON.
Paradis, {H if - ecd.) cour quarréc devant les catlicdra-
Ic.s. XI. S94. b.
Paradis , , {M.irhic) partie d'nn ]>ort. XI. 894. i.
Paradis , oifeau du (O/v/iM. ) caraéicres diffinilifs de ce
genre d’oUcau. XL 804. b. veycç O iseau.
Paradis , o//c’./« t/« (^Ajlron.) coiiffellation, Suppl. I, 498. b.
PARADOXE, {P/iiloJop/i.) propofition abfurdc en a[>pa-
rcnce, & vraie dans !c fitiid. Etym. dit mot. XI. 894. b. Le
fyffèine <lc Copernic eff iin paradoxe au fentiment du peuple :
c’en eff lin j)our bien des gens ((ue la diagonale d’un ]taral-
lélogramme foit incommcnrurable avec fon coté. Ibid. 895. a.
I'aradoxe mi P.tr.Uoxûlogue, {Hi/I. une.) ef)icccs de
P A R 375
s qn on 1 r donnoit. XI.
mimes ou de bateleurs. Autii
893. a.
P A RÆ T AQ U E S , (CJogr.
géographes marquent prefijue
XI. 893..;. Les Paroetaques fé])andns dans les montagnes du
la Perte, étoient des S.iques ou des Scythes, de la même
nation que les Parxtaques du Sacallan , dans la Marginne &
dans le Paropamifus. Selon le témoignage de Strabon , les
Saques avoient fair des inferiptions dans les pays les pins éloignes
. ) peu])les dont les anciens
s dirtércnimcnt la pofition.
de leur premiere demeure, qui étoit vers les bords du
Jaxartes. Ibid. b.
PAR AG E , (Jiüifpr.) fignification de ce mot. Tenure en
parage. Après le parage fini, les portions des jtiiînés cciTent
de relever dircélemetu du lUgneur tlominanc, l’aîné devenant
dès-lors le feigneur dominant des jtarageurs ou puînés.
XI. 893./'. Origine des trorages & des parages. Explication
de ces ulages de l’ancien droit féodal. T e l étoit l’ancien droit
de prcfquc toute la France; les aînés ne taifoiein hommage
que pour leur part , & le reeevoient tic leurs puînés comme
leurs vaffaiix. Ordonnance ((iii intervint cnfiiite en 1209,
d e là part de quelques feigneurs, qui régla qu’à l'avenir les
piiinés rclevoroicnt du feigneur dominam , & non de leur
aillé. Ibid. 896. J. Cependant l’ancien ttfage prévalut encore
en beaucoup irendroits. Ce fut par la voie du parage que
les arriéré-fiefs fe multi()liereiu beaucoup. Coutumes de
France qui ont confervé le parage. On ciivife le parage en
légal tk conventionnel : explication de l’un tk de l’amre. Rapports
6c différence qu’il y a entr’enx. Ibid. b. Dans toutes
les coiuumcs qui n’adnicitcnt point cxpreffémeiu le partag
e , on ne peut l'y introduire. Exception à cotte regie. Comment
fe forme le parage conventionnel, fiiivaiu là comunio
de Poitou. Deux fortes de jiarages conventionnels , t'uivanc
les coutumes de Poitou, Angoumois 6c S. Jean d’Atigely.
/éii/. 897.41.Quelles font les perfonnes entre lefqiiclles ie parage
légal peut avoir lieu. En quels cas le pavage a lieu. JbU. h.
Durée couuimicrc du parage. Ses principaux effets. Le parage
ne divlfo pas la jufficc. Ibid. 89S. DifFerenies ma-
jiicrcs dont il finit. Moyens que donne la coimtme de
Normandie, pour faire rentrer en parage la portion privée
([ui a été aliénée à un étranger. L'acquéreur à l’égard duquel
le (lavage cil fini, doit faire la foi à l'ainé, 6c lui (>aycr
les droits. Giandcs maifons d’AUcmagiie qui ont emprunté
des François l'ufage de parage. IbU. b. Comment ce droit
s’exerce parmi ces leigiicurs ; ouvrage .à confiiltcr. Ibid.
899. .1.
Parage, cf(iccc de dépié de fief. IV. 861. .i Ce qu’un
entend par tenir en parage; deux fortes de [laiagc , le lér^al
6c le conventionnel. VI. 698. a. Différence entre parige'6c
frérage. VIL 289. b. Fie f parager. V I. 713. a. flentilhommo
de parage. VU . 604. ./. Droit qui appartient à l'ainé dans les
coutumes de parage. 111. 274.E 273. a.
Pa r a g e , (A/.o;>;e) vaiffeaii en parage. Changer de parage.
Vaiircati nionillc en paiage. XI. 899. a.
PAR AG O G E., (^Gr.wim.) étyni. de ce mo t; figure de
grammaire. XI. 8yy.
P A R A G U A Y , herbe du {Botan. ) feuille d’une |)lame du
Paraguay, en iiftige au Pérou, comme le itié de la Chine en
iuuü[)C. Montagnes fur lefqiielles on recueilloit autrefois cette
forte de thé. Dangers que coiiroicm ceux qui alloicnt à cette
récolte. Xi. 8yy. b. Pour remédier à ces ineonvéniens, on
lit venir des jeunes arbres, (|iie l’on planta aux environs des
peuplades. Commerce que les Iiullcas du Paraguay font de
cette feuille avec les F.fpagnols d’Amérique, ijefeription de
ceitc feuille. Trois cf|>eccs qu’on en diffingne; le caacuys,
locaamini,6c le eaagua/.u. Manière de conferver ces feuilles.
Man'iere de prendre le caaenys en tlié. Lieu de la pi amie fa-
biK|uc de cccic herbe. Prix auquel on l’achete. Propriétés
qii on lui attribue. IbU. 900. a.
Pa r a g u a y , le {Gêogr.) pay.s de l’Amérique méridionale.
Qu,m e gouvernemens de la jirovince du Paraguay. Bornes
dn Paraguay propre. Sa capitale. Découverte de ce pays.
Scs produflicms. Doéirincs on niiffions des Jéfiiitcs dans ces
contrées. Auteur à confultcr. XI. <900. b.
Paraguay, deicription de fes liabitans. VUE 347. b,
B^raguay , ( Gtlogr. ) rivière de l’Amérique méridionale.
XI. yoo. b.
Pa r a g u a y , Miffionsdu {Gêogr. H ill,) ctahlifTcmcns formes
par les Jéfiiitcs dans ce pays. Conmicnccincnt de ces
mimons. Combien cllesont profpéré dans la fuite. Pays qu’occupent
ces (leupics civilifés. Qualité 6i produélions des terres
qu ils cnliiveiu. Caraélerc des haliitans. Comment ils font
gouvernés. Principes & niojurs que les Ji liuites leur infpi-
rent. XI. 901. a. Gouvernement militaire de ces Indiens. Ordre
étabh pour le conjincrce. Obfervailons fur les ouvrages
publiés fur les miflions du Paraguay. Ibid. 'b. Réflexion Vur
1 habileté 6c la politique de ceux qui ont formé ces établif-
femens. Ibid.ijoz. a.
PA R A I , prieuré dans rAmunois. Suppl. 1. 7 1 1. a.
_ PARAIBA , ( Gêogr.) ville du BréflL Prochiélions du pays
où elle eff bâtie. Couleuvres d’une groffeur monllrucufc c(n 'on
y trouve. XI. 902. a.
PAR ALE , {Ami(j.) galcrc facréc d’Atlicnes. X L 30.4/.
PARAL IPOMEN ES, { Hijl. facr.) étym. 6f fignification
de ce mot. Livres canoniques appelles tie ce nom. Recherches
fur leur auteur. Importance de ces livres. XL 902. a.
P AR AL 1P,SE, {B/iérIt.) ; cxenijjle de cette figure
de rliétoriqiic. XL 902. b.
P A R A L L A T lQ U h ,, ( ./4y?ro;;.) macliinc ou lunette paial-
latiquc tÜfpoféc de maniéré à fuivre le mouvement tliiivnc
des affres. Quelques affronomes ont écrit paralLadique. Suppl.
IV. 234. a. Quel cli le plus andui iiiffrumcnt de certe cf-
[lece. Defeription de celui qui eff reprélénté dans les plaii-
ches^ d’affronomie du Supplément. Ibid. b. Son iif'age. Vérifications
de cet inffnimciir. IbuL 233. a.
P AR AL LA XE , {Aflronom.) arc dn ciel intercepté entro
le vrai lieu d’un affre, & fon lieu apparent. Parallaxe de
hauteur, de déclinaifon, d'afccnfion dioire 6c de longitude.
La parallaxe a un effet contraire a celui de la réflexion. La
p|us grande parallaxe eff à l’horizon. XL 902. i . La parallaxe
dune [ilaiiete , eff moindre que celle d’une planète j)liis proche.
Regies de projoortion Air la mefure des (nirnllaxes. Utilité
de ia doéirine des parallaxes dans l’aflronimiic. Manière
d obferver celle de la lune. Manière de l’obl'crvcr clans une;
éclipfe./éû/. <902. il. Trouver [>ar la parallaxe de la lime fa
diffancc à la terre. Quelle eff la plus grande 6c la plus petite
parallaxe horizontale de la liinc, felon M. de la Hire.
Sa parallaxe moyenne, felon MM. le Monnicr 6c d’A lembert,
Méthode pour obferver la parallaxe de mars. Qiicllu
eff la plus grande parallaxe de cette (ilanete. Ibid. b. Mé-
tiiodes pour trouver celle du Ibleil. Ouvrages à confulter pour
trouver la parallaxe des affres. Ibid. 904. a. Précis d’un ouvrage
de M. de Manpenuis fur ia paralla.xe de ia lune. Oli-
fervatioiis fur ce ([u'oiu écrit MM. Newton ÔC Manf'redi fur
les parallaxes do la Imic, fur la manière de les déterminer,
6c fur J'ufagc qu’on en peut faire pour découvrir la vraie
figure de la terre. Ibid. b. Ouvrage de .M. d’Alembert à con-
fuiter fur cette matière. Ibid. 903. a.
Par.il/axi, différentes méthodes employées pour trouver
la parallaxe de la lune, des planètes tk du fbleil. Dét.iils fur
celle qm fuppofe deux obfervateurs très-cloignés l’un de l’au-
■ iv , oblervant tout à ia fois la hauteur d'vm affre dans le
méridien. Suppl. IV. 233. b. Do la parallaxe de la lune.
Equations de cette parallaxe, felon Mayer. De celle du fo-
Icil. Différences que l’applatilVemcnt de la terro met dans la
[>arallaxc d’nn affre enclifférens pays. Ibid. 236..r. Méthode employée
pour calculer La quantité de cette difference, Paral-
l.ixc d’a/.imut. Gomment cloit être mefiiréc la parallaxe d’a-
zinuic employée dans le calcul des édipfes. Ibid. b. Du calcul
do ia ])arallaxe delà h.tiiteiir. Ibid. 237. a.
P.i’ allaxe, anglo de ixirallaxe. L 463. a. Suppl. L 427. é.
nbailTenicnt des ()lanetes par la parallaxe. Suppl. I. 7. b. Parallaxe
d'afcenflon droite. Suppl. IIL 434. h. Parallaxe de dc-
clinaifon. IV. 696. a. Ufage de la parallaxe pour connoiire
la diflance des pLancrcs. Suppl. IL 730. a , b. Tables de la
p.arallaxc annuelle pour les planètes. Suppl. IV. 922. é. 923.
4i. Parallaxe dn foleil, Suppl. IV. S03. a. Utilité qu’on pour-
roit tirer du palfagc d’une comète prés de la terre, (tour
avoir avec jirécilioii la parallaxe dn folcll. HL 676. a. De la
méthode de déterminer la figure de la terre , jrar la parallaxe
de la lime. V L 761. a. Ouvrage à confultcr Air la (la-
rallaxc de la lune, IX. 687. a. Inffrumenc utile pour l ’oblcr-
vation de la parallaxe de mars. Suppl. III. 322. a. D e la
p:ir.i!Iaxc aniuiellc des étoiles fixes. Suppl. IL 89t. a , b. Des
tables de cette parallaxe établie par Aippofition. Suppl. IV,
920. a, b. 92t. a , b.
De U parallaxe des étoiles, par rapport ù l 'orbite annuel
de la terre. Oiifcrvaiions faites par M. Flaiiiffcad [)Our dé-coii-
vrir cette parallaxe. La dift'crcnce trouvée par cet aArono-
nio dans la ))oAtion des étoiles en hiver 6c en é té , n’eff
point, félon MM. Picard 6c Bradley , l’effet de leur parait
i