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de r.n:ccnt d'une lan^ie. 1. 63. b- E-\.n>^îiriKle des ancien'; In*
tins à clirtingiier les Yyllnbes longue, & breves. 1. 65. a. 11.
^1.}. J. Tranrmmatioii ci’une fytlabc longue en breve cne^
les Grecs ix les Latins. X V . 7S1. b. Sur lu (luamite prolo-
diqiic dcsiyllabes, Qu.'i.N Tm, PROSODIE, 6" i.irticU
V o yelle. . , , ,
SvLi.AiiE, (/V/^c./nmç.) mots dont le nomOrc de ly l-
labcs cil douteux, & cauie Je l’embarras aux verfiileateurs
qui le piquent d'exaftiiude. X V . 718. b.
Sy l l a b e , {M ui'ùj.) X V . 719. .i.
S y lü b f, nom des notes donc on le ievt pour folfier. Suppl.
IV . b'sy. .:.
S Y L L A B IQ U E , {Gr.jmm.) imité fyllabiqiie.Tems en valeur
lyllubiqiie. X V . 719. <t.
SY L L A B U B , {Fharmuc.) efpececlc boilTon dont on fait
principalement uLige en écé. Diiléreiues maniérés de la préparer.
X V . 719. J.
SYLLEP SE, {Gr.imi/!.) trope au moyen duquel le méinc
mot cB piis en deux l'ens difterens dans la meme^ phrale ,
dans le pronre Sc dans le figuré. Etyin. du mot. Exemples
des fyllepfes. X V . 719. j . O'blérvations fur l’iifage de cette
Bgurê. — SylUpJi-, figure de coiiftruâKon. Jbid. b. l'oyc^ Sy n -^
THESE.
s y l l o g i s m e , (Xes;.;,) raifonnement énoncé fuivant
les regies de la logique. X V, 719- du (yllogifme.
RcglJs qui fervent à le conflriiire : les unes font générales
& eüiiccrnent tons les fyllogifmss, les autres partieulieres,
qui dérernuncnc les Pgu'res ik les modes. Foyci les figures
Cv. les modes où tes regies font explic|iiées : il ne s’agit ici
que des regies. Axiomes qu'on peut regarder comme U baie
fur laquelle font appuyées toutes ces regies. Ibjd. 720. e.
Regies déduites de ces axiomes, i". Dans tout lyllogiime il
y a trois termes, & il ne peut y en avoir tpie troiS. 2 '. Le
moyen terme doit être pris, au moins, une fois imiveifcl-
Icment. 3'^. Les ternies de la conclufion ne doivent pas y
avoir plu, d'étendue que dans les prémilTes. IbU. b. 4 '. On
ne relit lie.i conclure de deux propofitions négatives. 5'’. Ou
ne laiiroit déduire une conclufion négative de deux propo-
fiiions aiVuinaiives. 6''. La conclufion fuit toujours la plus
foible partie. 7". De deux propofitions particulières, il ne
s’enfuit rien. IbiJ. 721. a. Des diÿercnus cjpeccs de fyllogij'mes.
Syllogifmes fimpUs. On les difimgue en iiicomplexcs & en
complexes. Pour coniioitre la bonté ou le défaut des incomplexes
, il n'efi queftion que de les plier aux regies générales
rapporté ;s Li-deiïus. Er par rapport aux fyUogilnies comp
lex es, il faut les réduire aux incomplexes, pour en juger
par les mêmes regies. Ibid. i . Il y a beaucoup de fyilogif-
mes complexes, donc toutes les propofitions pai oifient négat
iv e s , éc qui néanmoins font très-bons, parce qu il y en a
une ipii n’cil négative qu'en apparence. Regie de l'auteur
de r.in de penfer, pour juger les fyllogilines complexes:
qu’ime d^s deux prénilfiés comicnne la conclufion , ii: que
l .nure prouve qu'elle y ell contenue, ibld. 72 2 .0. Syllogil-
incs coujonenjs. On les réduit à trois genres, les concÜtion-
neis, les disjonclifs & les cojnil.mU. Règles fur chacun de
CCS genres. Ibid. b. Quoiqu’un fyllogifaie parfait ne doive
pas avoir moins de trois propofitions. Cependant on n’a be-
foin que de deux propofitions , pour conclure cojiditionncl-
Icmem. Avantage des raifonnemens dont la conclufion n’efl
que conditionnelle. Ibid. 723. .1. E.xamcn de la qiiefiion, fi
les regies des fylloglfmes, qu’on explique avec tant d appareil
dans les écoles , font aufiî nécelï'aires (pi’on le dit ordinairement
pour découvrir la vérité. Ibid. b. Qticl efi 1 exercice
le plus propre à nous faire découvrir la vérité. Réflexions
fur Village des fyllogifmes dans le raifonnement, Montaigne
prétend que la logique ordinaire ne fort qua former des pe-
dans. Ihid. 725. a. Sans connoitre le fecret du fyllogifmc,
on peut démêler fort bien en quoi coiififie le vice des rai-
fonticmens captieux, par lefqiiels on voudroit nous enibar-
ralTcr 5c nous furprenclre. Ibid. b.
Svllû^ijme. La plus parfaite des formes de railormement
cft le fyllogifme. Suppofe la vérité des prcmilfcs , la con-
féquencc eü uéeefTairement vraie. XIII. 777. a. Des modes
âc des figures du fyliügifnie. V L 772. a , b. X. 591. u , b.
^C)i. a , b. Regie pour juger de fa bonté. VI. 772, b. Les règles
du fyllogifme appliquées aux démonflrations. IV. 822. b. De
la rédu^Ion des fyiloglfines. X lll. 879. b. 880. a. Syllogifme
imparfait, nommé eiuliyméme. V. 722. b. Efpece de fylio-
gifms a))pellé épidiércme. 779. .1, b.
S Y L T o u 5y/üt, {Géogr.) petite ifie du__royaume de
Danemarck. Oblervations fur fes habiians. X V. 723. i.
S Y L V A , ( / . BjpiiJîe) phyfiologifie & médecin. Suppl.
IV . 337. û. Son ouvrage fur la faignée. X IV. 503. a.
.SY LV A IN S , (Myt/io/,) voye^ Faunes (S’ Sy l v a in s .
S 'YLVE, ( 7eux: WW. ) jeux publics qui confiftoient dans
une cfpcco, de cbafTe. Defeription de ces jeux. Quelques
auteur, les ont confondus avec le pancarpe 3 d'autres les en
difUnguent. La plus fameufe fy lv e hit donnée par Vempcrcur
g ordien. X V . 725. b .~ Foye{ CHASSE am ph it u é a t r a le ,
S Y M
S v h e ] cc qui la dlftinguolt du pancarpe. XL 811.
SY L V E S T R E , anatomifte. Suppl. I. 403. b.
SYLV ESTRIUS. ( Fru/jfvh ) Übfetvauons fur cc phüofo-
phe. X!I. 372. b.
S Y L V IU S , (£ / ;« ) voyr^ P ie II.
Sy l v iu s , {Juctpius) médecin. Scs ouvrages. Suppl. I:
394. b, Suppl. IV . 348. b. Ses erreurs fur la caufe des fièvres.
\ 1. 317. <1. Son f'yfléme fur les fermens. 320. u. 521. b.
522. ayb. 323. b. Efprits volatil.s, aromatiques, lunlcux de
S y lv iu s , VHI. 333. fel digclîif de Sylvius. X IV . 923. a.
Aqueduc de Sylvius, {Auai.') Suppl. 111.944,^1
Sy lv iu s de le Boe, {frunçuis) anatomifie , I. 39fi.
b. 5c phyfiologifle, Suppl. IV . 349. h. Sa patrie. 363. b.
SYM A RE , {Il.tbii des dames romain.) mante à longue
queue trainamc. Defeription de cette partie de l’habillcmeiu.
La mode s'en intrioduiflt fur la fcenc. X V . 726. a.
Svm.v-e , manteau des dames romaines. VIII. 14. a.
SYMBOLE. l^Gramm.) Eiymol. du mot. Les fymboles
étoient en gr.imie eflime parmi les anciens H ébreux, 5i parmi
les Egyptiens. Différentes fortes de fymboles. X V . 726. a.
V o y e z Types , Enigmes , Paraboles , Tables, Allégories, Emblèmes
, Hyêroglypbcs.
S y m b o l e , {théolog.) fignifie quelquefois la maticre des
facremens; X V . 726 a. mais le plus fouvent, une formule
de profeifion de foi. Quatre fymboles adoptés par l'Eglife. 1®.
Le fymbole des apôtres. On croit qu’il fut rédigé par les
apôtres, avant qu'ils fe fcparafi'ent pour prêclier l’évangile.
Quelques-uns prétemlenc que chaque apôtre a fait fon article
, 5c défignent en paniculicr l'article que chacun .a coni-
pol'é. R.iifons qui prouvent, que quoique le fymbole fuit
des apôtres pour le fonds 6c pour la doifirine, il n’eff pas
d'eux pour rexpreffion. Pourquoi on a donné le nom (kjym-
boh à cet abrégé des articles de notre foi. Ibid. b. Ufage
que route l’antiquité en a fait. Il étoir au commencement
plus court que celui que nous récitons, mais il fut aug-
inciué à mefure qu’il s’élevoit de nouvelles liéréfios. Obfer-
vations fill- le fymbole qui étoit en ufage dans l’églile de
Jérufalem , fur le fymbole de l’églife de Céfarée de Palef-
tlne , fur celui de l’églifc d’Alexandrie, celui d’Antioche 5c celui d’Aiquitéc. 2". Symbole de Nicée. 3“. Symbole attribué
à S. Athimafe. Ibid. 727. a. 4". Symbole du concile
de Confiantinople. Ufage que l’églife latine a fait de ce fym-
bole. Ibid. b.
Symbole. Myftcres dont il cft parlé dans les fymboles des
chrétiens. X. 921. b.
Symbo le àéAthanafe. {H ijl. ccd.) Les favans conviennent
généralement aujourd'hui, que ce fymbole n’eft jtoint
d'Athanafe. Divers feniimens fur fon auteur. M. Pithou
avoir foiipçonné qu’il étoit d’un théologien françiais; 5c Jo-
feph Anihelmi a publié en 16 93, une dill'eriation dans laquelle
il appuie la conjeéhire de M. Pithou, 6c prétend que
l'auteur de cet ouvrage cft Vincent de Lérins. Analyfe de
cette dilTeriation. L’opinion d’Anthelmi ne paroit pas plus
folide que celles qu’il combat, & tout prouve qu’on ne con-
noit point l’auteur de ce fymbole. X V . 727. h.
Sym b o l e . {Littérac. ) Signification de ce mot. Ufage qu'en
ont fait les chrétiens. Suppl. III. 132. b. Origine des figures
fyniboliques. Suppl. IV . lo o i. b. Exemples tirés de l’Ecritu
re , du grand ufage que les hommes fiiifolent de divers
fymholes pour exprimer leurs idées dans la converfation.
IX. 242. b. Détails fur l’nfage des fymboles chez tes îm-
ciens. X. 469. U. Los anciens fages aflcéloient de cacher la
fuence fous des fymboles. 924. i?. Symboles par IcTqucls les
premiers peuples a'cpréfcr.terent la divinité. XI. 372. b. Symboles
dont les enfeignes de divers peuples anciens 6c modernes
ont été chargées. V . 709. a. £ — 712. h. Voyc^ H iér
o g l y p h e & Emblème.
Sym bole . (>4 «/zKwi/w.jf.) Les fymholes fc trouvent également
fur l’une on l’autre face des médailles. Voye^ au mot
T ête , les obfervatlons fur les fymboles qui fe trouvent fur
cette partie de la médaille : il ne s’agit ici que des fymboles
gravés fur les revers. Explication de ces difi’érentes figures
fymboliques. X V . 728. a , b. Symboles des divinités. Ibid.
730. a , b. Symboles des divinités allégoriques. Ibid. 731.
a , b. Symboles des pays , des provinces, yéfi/- 73^- , b.
8i des villes. Ibia'. 733. u. Explication de pluficurs figures
fymboliques. Ibid. b.
Symbole. Aigle fymbolique, L 197. <r. caducée, II. 327-
a. chevaux, l i l . 307. ir. globes. VII. 713. u. Symboles où
la main cft repréfentée. Ia . 874. h. 873. n , Des fymboles
fur les têtes des médailles. X V I. 200. b. — 202. b. Symboles
tirés des étoiles. I l 897. é. Symboles que les lndiens
forment avec l’arek. Suppl. \. 347. b. Symboles tirés
de l’cfcarhoc. Suprpl. il. 869. b. Paye- l e u r s articles particuliers
l’explication des différentes figures fymboliques cm-
plovécs dans les armoiries.
S YM B O L IQ U E , colonne. (Archit.) X V . 714. b.
\ Sym b o l iq u e , ( Littérature ) Ecritmc fymbolique des
[ Egyptiens^ V . 258. u , £ — 301. u, VU L 2,03. u , b. 5cc.
S Y M
Les hiéroglyphes fymboliques deviennent übfctirs par Irips
de tems. 5. a. Comment les Egyptiens ont pu perdre la
iieiiification de leurs fymboles. IV. 1071. b. Pliyfu(ue fyin-
bolicjue. X il. 339. .1. Tradition lyinbolique en )iiiilpruden-
cc. XVI. 3 10. a.
S YM B O LO N , Q\\ Symbolorum portiis, (Gt'egr. anc.) port
fur les côtes mcriclioiiaies de la Ciierfonnefe caurique. Sa filiation.
-T- -^-sr
S ÏM B O L U M , ( Ct'pgr. anc.) lieu de la Thrace. X V .
734. b.
SYME , (Gwgr. une, ) Ifled’A fie , dans la mer Cnrpachien-
ne. Origine de fon nom. Hiftoirc de cette iflc. Elle fut au-
ircfois très-cultivée 5c très-fertile en grains. Son nom ino-
deine eft Sitnio. X V . 734. b. cet article.
S YM M A Q U E , diacre de l’églife de Rome. XIV. 630.
Syrnmaijue, écrivain du fécond fiecle, auteur d’une ver-
ficni grecque de l’ancien teftaincnt. XVII, 166. a , b.
Symmaijiie, médecin. X, 291. u.
S i'M M E T R lA . {Archie, lom.) Le mot latin analogue à
cc mot grec 3 celui dont Vitruve ic fo r t , cft commenjus. C icéron
s’étüic f'ervi dans le même l e i i ', du verbe commetià.
Nous n'entendons à préfeiu par /ymmétrie, autre chofe ([UC
ce que les anciens cnrcndoiciu par fymmciria. X V . 733, a.
SYM.MÉTRiE , {A rd u t.) définition qu'en clonue Viiru-
ve. Symniétrie uniforme. Symméiiie refpcéfivc. La f'ym-
méüie qui cft le fondement de ia beauté en architcffuic ,
en eft la ruine dans la plupart des autres arts. X V . 733. <n
Symmétiic. Difî'ércnoe encre la fymméirie Sc la proportion.
XIII. 468. b. Des plaifirs de la fymmétrie. V i l . 764. a.
Sym mltiu e des plantations. ( Agriciilt. Décorai. ) Réll(.xions
contre cette fymméirie , contre le parallélifme de toutes nos
allées, 5<. leur dircélioii toujours en ligne droite. XV, 733. a.
S YM PA TH IE , {Phyfiq.) aptitude'’ qu’ont certains corps à
s’nnir ou s’incorporer, en conféquence d’une certaine ref-
lemblancc ou convenance dans leurs figures. Efpcce d’antipathie
dans certains fluide,s, provenant de la différence de
leur pefameur i'pécifique. X V . 733. b.
Sympathie. Encre de fympathie. II. 263. é, V.634. 4 , é. XI.
663. b. Poudre de fympathie. XVII . 366. a.
S y .v ipa t iiie : ( A/ow/f) fa caufe. I. 373. a. Exemples fin-
gullers de fympathie Si d’antipathie. XV. 43. a.
Sy m p a t h ie . {Phyfiolog.) Il s’agit ici de cette communication
qu’ont les parties dn corps les unes avec les autres
, qui les tient dans une dépendance mutuelle. Si qui
tranfponc à l’une les douleurs 5e les maladies qui affligent
l’autre, en vertu do la inerveilkufe diftribution des nerfs.
Faillie hypothefe de la fympathie. X V . 736. a. Explication
de la fympathie de dift'ércnies parties du corps entr'elles.
Sympathie de la tête avec d’autres p.artics. Sympatiiie des
yeux. Sympathie des narines. Ibid. b. Sympathie des oreilles.
Sympathie des dents. Ibid. 737. a, Sympacifie des poumons.
/é/ii. é. Sympathie cUi ventricule./ém'. 738. a. Syiupa-
thie des intefUns. Sympathie du foie. Sympatlùe Je la rate.
Ibid. b. Sympathie des reins. Sympathie de la veffîe. Ibid.
739. a. Sympathie de ’'diterus. Ibid. b. Phénomènes lympathi-
ques qui accompagnent la groffefl'e. Synq'athie entre les
vifccrcs du bas-ventre 5c le coeur. Communication entre
les nerfs dans leur origine, qui donne lieu à un commerce
réciproque de divers mouvemens. Ibid. 740, a.
Sympathie dans réconoinie animale , IV . 32. b. caiifée par
la communication des nerfs ciur'eux. Suppl. IV. 29. .; , h.
30. a. Cette fympathie reconnue par Hippocrate. XI. 363. b.
Sympathie entre la tê te , l'eftomac 5c le coeur. V. 1006. b.
Efpcce de fympatine qui fe fait par certaines metaffafes. X.
442. a. Sympathie de l’organe qui corrcfpond à un organe
aff'eélé. XV II . 194. b. Ouvrages qui ont pour ob je t, des
correfpondances de differentes p.arties du corps humain. VI.
139. t. Prétendue fympailiie entre les envies qu'on voitfur
le corps des enfans 5c les fruits qu’elles repréfement. VIII.
563. h.
Sy m p a t h ie , ( Médec. ) efpcce de fympathie qui s’établit,
felon les Allemaiuls , eniro un malade 5c le fujct en qui l’on
a tranfplanté fa maladie. VIH. 600. a. X V I . 339. b. Poudre
de l'yinpathie. X lll. 1S9, b. Réflexions fur les remedes de
fympathie. Suppl. III. S89. b. l'oyc^ Sy m p a t h iq u e .
Sy m p a t h ie , ( Peint.) celle de eortuines couleurs entr'elles.
X V . 740. .n
Sy m p a t h ie . {Alchym. AQrol.) Prétendue fympathie des
pianotes avec certains métaux. XVfi 866. b.
S YM P A TH IQ U E , -cmede. {Médec.) Eau & poudre de
fympatliic dn ciievaller Digbv. Le fyftéme ridicule des fyin-
pathics renouvcUé dans le ilernier fiecle. X V . 740. b. —
poyc\ Sy m p a t h ie . {Médec.)
S y m p a t h iq u e , {Médec.) V I. 7.10. a.
Sy m p a t h iq u e , nerf, {Ar.ar.) I n te r c o s ta l .
SY’MPHüNiE. {hL /iq.) Etvm. du mot. Les Grecs ne
coiuioiflbient pas l’harmonie d;ns le fens que nous tloiinons
aujourd'hui à ce mot. En quoi confiftoient leurs fyinpho-
JÙes. Signification de cc moi dans notre ufiigc. Ün diftingue
S Y N 727
là nuifiqiic vocale en imifiqiie fans fymphonic, Sc mtiü [ne
avec lymjtluuiic. Pi-ee en l’ ran !- lymplionie. Signiiicanons
])rincip.iles que les anciens airaenoicn: au mot Icrphoni-:.
XV . 740. é. La vérité de nmittiuon d'unc I. 1 )ififte
dans U rtlRmM;i;K.e h Iyiii;iii(in:e . ar ec le Pruic
qu’elle prétend imiter, telles pierc-s ne nous
f.iffent entendre aiiain f.,;n artieulé, el'.-.s laiiiuir pas de
pouvoir jouer des rôles dans des pieces ( s
font propres à iciniier le comr 3 cC vtjili pourquoi la miili-
qiie inflrumemale a été alL-z généialeiiieiu einp oyce üans le
culte religieux , 5c à la gu .n e. 741. a. Oôfervation
fur nos inftuimeiis de niuiKj.ic m litaire, 5c iiir l'ufrge que
nous en faifons. Ibid. b. ('ove^ Co x c ruT .
S y m p h o n ie . ( ) De(ci i!)ra)ii uun infirum em T ofcan
appelle J y m p lto m c , qui ne [,'a-oii autre chofe que rinfiru-
m eni que nous avons nonime hticne. banni. IV . 8^7. b.
S i 'M P H r r U M , ( B o t. ) caractères de ce genr.; da plante.
Ses efpeces. Del' tcipalc ,
confonde. Etymologie m: mm lympliyium.
ia;i:e^ fort dlfgrande
ont donn.ile nom cîe Jympnyium .1 qi
lercntes. X V . 741, b.
SY’iVlPLEGÀlDES , { Myth. Géoc. anc. ) deux écueils fitués
au détroit de Cunlb.iniinople, dont les poètes on: fait deux
inonftres marins. Les ilois de l,i mer qui viennent s'y brifer
tom élever une cfpsce de fumée (pil obfcurcit l’.iir. On
cro y o it , en les voyant do loin , qu’ils fe rejoignoient pour
engloutir les vaiffeaux. Etymologie du mot Jy/nple^adcs. XV'.
742. a. /6r,'t7 C y a n ÉES.
SYMPLO CE , {Rhétorique) figure de rhcforique. X V .
742. a.
SYiMPOSlA.RQUE, ( yintiq. grccq. ) direéleur d’an repas.
Par qiii cet emploi étoit rempli. Autres noms qu'on lui don-
noit.Tous les conviés étoient oM'gés de ftiivre les ordres,
qui devoient toujours tendre à la bo.niie union 5c a l.a gaieté.
SYM PTO.MATiQ UE . {Médec.) Obfervation fur le traitement
des Hevre-. lymptomaiiques. Fièvre maligne diftin-
guée en cifeiuidle 8c fympcomaciqtie. Dylienterie cifêntioüe
éi. lymptomatique. Cette diicinétioii a lien dans le^ maladies
aiguës & dironiques. X V . 742. b.
Symptomatique. Douleurs i'ymptomaiiqiies. V . 86. a. Fièvre
fyniptomatique. VI, 740. a , b. Méthode fymptomuti-
que clans le traitement des maladies. IX. 932. a , b, 934.
b. 5cc.
S YM P T OM A TO LO G IE , ( .V/A/cc. 1 vqvr^ No so lo g ie ,
S YM P T OM E , {Medec.) voyc^ SiONE. Principaux fyin-
promes des maladies aiguës 5c malignes. Ün diftingue les
fymptonies, en fymptomes de la cauie , 5: l'ymptomcs de
lyniptonies. On peut les njiporter à trois chefs ; fivoir ,
à des défauts dans les fonétions, dans les excrétions 5c les
rétentions. X V . 742. b. Svmproiiies critiques. Du rr.iircmenr
des lymptonies. Symptômes ['roréifonnes : quelle don erre
la conduite du métleein à leur égaid. Ibid. 745. a.
Symptôme : ce qu’on entend par ce mot. IX. 921. b. S^yinp-
tomc^ légitimes ou b:'uards. 36". >1. C.oiicourb de fym[nomes
aiipellé iyndrôme. X V . 730. b. Etat des iyiv.ptomês des maladies
aiguës dans leurs divers péiiocie''. X's']. 120. h. L*imi-
luition des fympmmes dans le déclin. 1 \ . 693. b. AiVoCtions
morbifiques qui fuivicnncuc durs une' m.ihidie , outre les
fymptomes qui lui font propre,. V. 8oy. é, ExaéH.ude avec
laquelle Hippocrate a décrit les fymptomes des maladies. V lli .
Vo Sic; NE.
SYN A G O G U E des Juifs. { Critiq.ficr.) Tl eft très-vralfem-
blabic que les Juif-; n'axoient |)oiiit de fynagogue avant la
captivité. Quantité de palfages de i’éoiturc nous marquent
combien le livre de la lot éioft rare dans toute la Judée
avant la captivité ; 5c il eft bien certain que par-tout où
manquoic ce livre il u’y avoir point de fynagogue. XV. 748.
a. 1 “. Du lieu où l'ou érigeoit dos fynagogiics. Par-toiic où
il y avoit dix perlonncs d'un âge iniir 5c libres, on devoir
y établir une fynagogue. D'abord 11 i f y eut que fort peu de
ces lieux d’aft'embléei, mais clans la fuite ils fe mulriplierent
exuémemeiu. 2"’. Du fevvice de la fynagogue. 11 confiftoic
dans la prière , la Léfure de l'écriture , 5c ta prédication.
Ibid. b. 3". Du tems des affemblécs. 4“. Du minil'ere de la
fynagogue. Cc miniftere n’étoit pas borne à l’ordre faccrdotal.
Il y avoit dans chaque (ynagoguc un certain nombre de
miiiiftres fixes. Les premiers étoienr les anciens de la fyna-
gogiie, qui y gouveiiioicm toutes les ailaires. Ibid. 744. j .
11 y avoit enfuite le minillre de la fynagogue , appelle l’ange
ou le meffager de l’églife. Après cela venoient les diacres,
ou les minilires inférieurs. Autrefois il n'y avoit point de
perfonnes fixes établies [)our lire la loi dans ta fynagogue,
les principaii.x appelloieiit celui de l'alTembléc qui leur plail'oit 5c t[u’ils cil counoiftbiciu capable. Ün prenoit quelquefois
j)Oiir ect office |iifqu’à fepe perfonnes différentes. De-ia v ient
(|u'aiitrefois ciiaquc feéliüii de loi étoit partagée en fept parties
, comme on le voit encore dans quelques bibles hébraïques.
Ihid. b. Minilires ù qui appartcnoit l’oifice d’interpréter.