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224 E T
feile cl’ancicns médecins, qui eut pour chef
Tlièmifoii ; origiue Se but de cette lei^c. Les méthodirtcs for-
moiciu ia feSle ia plus ancienne des médecins organiques qui
a fait le plus de progrès : leur dcélrinc. En quoi elle difteroit
O» fe rapprochoit de celles des autres feftes, ioid. 461. a.
En quoi elle a été utile ou préjudiciable au progrès de la médecine.
Après Tliémifon , parut avec éclat Tlicfîlilus de Tralie
en Lydie , fous le règne de Néron. Obl'ervarions fur ce médecin.
Ihid. l>. Antre méthodiflc nommé Soramis. Obfervations
fur Ccelius & fur fa méthode. Suite de riiirtoire des metho-
diftes ; deux Houvelles feéles qui en fortirent ; lavoir , les
êpifynthétiquts & les kUHiques. Obfervations fur Léonide
d’Alexandrie, chef des premiers. Sur les cclcfiiqucs, .voyez ce
mot. La doflri.ae des méthocUAes renouvelléc par Profper A lpin.
Ouvrages à confulter. ll/U. 462. .1.
Méthodiques. Principes dcThémifon, fondateur delafeéle.
X. 268. b. 269. J. Défenfeurs de l'on fyftèine : deux branches
de méthodiques. 269. b. Leur doArine fur la faignée. X IV.
502. J. Ulage qu’ils ont fait des temedes véficatoires. XVII .
192. b.
jMÉTHONE, ( Géogr. anc. ) cinq villes de ce nom. Méthone
de Thrace afliégée & prife par Philippe , qui perdit un cc.l au
fiege de cette ville. X. 462. b.
M E TH O N IQ U E , cycle , {ChronoL) cy cle lunaire ou de
19 ans , inventé par Méthon , athénien. L’ufage du cercle
méifonique «abll au tems du concile de Nicée. Défauts de
ce cycle. Correftion que Calippus a prétendu faire à ce cycle.
X ./ 6 2 . é.
Mèthonique , voye^ fur cet article de chronologie. II. ^60. h.
ÎV .s S d .A . XII. 361. i.
M E TH YD R E , {Géogr. anc.) ville du Péloponnefe en
Arcadie : origine de ce nom. Son fondateur. Chofes remar-
?uables auprès de Méthydre. Etat de cette ville du tems de
aufanias. X. 462. b.
M ETH YM N E , ( Gécgr. anc. ) ville de Lesbos. Sa pofi-
tion. Confitlérations qui la rendoient célébré. Exaflitiide
des deferiptions que Strabon a faites des villes de Lesbos.
Origine du nom dt M ethymne. Moniimens de cette ville. X.
463. a.
M E T IC A L , ( Hifl. mod. Comml) monnole fiéHve ufitée dans
le royaume de Maroc. Maniéré de compter des marchands de
ce pays. X. 463. a.
M E T IO S ED UM , ( Gio^r. anc.) lieu de la Gaule celtique,
voifin de Paris. Divers fentimens lur fa pofition. X. 463. a.
MÉT IER , ( Gramm. ) éloge des métiers & de ceux qui les
e.xcrcent. X. 463. a. On donne le nom de métier à la machine
dont l’artifan fe fert pour la fabrication de fon ouvrage.
Ibid, b.
Métier. Réflexions fur les maîtrifes Sc les communautés de
métiers. IX. 425.-2, b. Gardes des arts & métiers. V I I . 493. b.
Communauté, Profession, Ma Itrise.
Metier, ( Srütfeur) machine qui fert pour tenir l’ouvrage
en état d’être travaillé. Sa defeription. X. 463. b. Voye^ vol. IL
des planch.
Métier. D u fabriquant en draperie. V o l. III. des p lanches,
Draperie, pl.4.
Métier, (£pinglier) defeription & ufage de cet inftrument.
X . 46-^. b. Voyei vol. IV. des planch.
Métiers , ( BraJJhie ) liqueur qu’on tire après qu’on a fait
tremper ou bouillir avec la farine ou houblon. X . 463. b.
Métier à perruquier. DsCcnpûon Si de cette machine.
X. 464. a. Voyei les planch, vol. VU I.
Métier de rubanier. Defeription d’un métier k travailler les
galons Si tiffus d’or &: d’argent , & les rubans façonnés de
plufieurs couleurs. X. 464. a , é Travail de l’ouvrier fur ce métier.
Ibid. 465. a.
Métier du rubanier , repréfenté dans le vol. X I des planch.
Rubannicr. Sa defeription. X . 464. a. Métier du rubanier
battant. XII. 128. b. Métier du ruban figuré. XII. 129. a. XI.
Vol. des planch. Paflementier, pl. 12. Allonge despotençaux.
I. 288.4. Bricoteaux. II. 416.^. Chaflis. III. 233. é. Chevalet.
3 1 1 . 4. Contrepoids.IV. 13 9 .4.Cremaillere. 452.^. Enfuple.
V . 715 . 4. Fufeaux. V II . 385. b. Gardes. 5 1 1 . b. Guipoir.
1010. a y b. Liffes. IX. 576. 4 , b. Peignes. XII. 242. a , b.
243.4 , i . Peigne nommé cajfe. II. 745. i . Retours. X IV . 207.
b. 208. a.
Métier en fo ie , repréfenté dans le vol. X I des planches ,
article 6'oierie. Ais du corps. I. 239. b. Arcade. 601. b. Afple.
762. b. Bâtons de femple & de rame. II. 145. 4. Cantre placée
au derrière du métier. 624. a. Carette. 683. b. Carreaux.
701. ECaflin. 747. a. Chevilles. III. 320. a. Chevilloir. Ibid.
4 , é. Le chien. 333. a. Cordes employées dans le métier. IV.
211. b. Crémaillère. 452. b. Crochets. 500. a. Enfuple. V .7 14 .
b. Efcalette. 929. a. LUTes. IX. 577. a. Marches. X. 87. a. Peignes.
XII. 243. é. 244. a , b.
Métier de ii(ferand.Siàe(cnpûon.X. 4$q. b. Voye^ v’ol. XI.
des planches.
Métier à faire du marïi , repréfenté vol. XI des planches ,
Marli.
M E T
Métier du gabier y repréfenté vol. X I des planch. Gazier.
M E T IU S , inventeur des lunettes d’approche.IX. 743. b.
M E T L , {B o ia n .) plante de la nouvelle-Efpagne , très-
commune au Mexique : fa defeription. Quelques auteurs
croient que cette plante ert la même que celle que quelques
voyageurs ont décrite fous le nom de maghey. Üfage du til
qu’on en tire. Liqueur qu’on en recueille. Comment les Indiens
lui donnent de la force. Défenfe que les Efpagnols ii-
renc aux Indiens en 1692, de boire du pnlque ; t ’vll le nom de
cette liqueur. X. 465. b.
METOCHES & Deaùculcsy {^Archit.) leur largeur. IV-
847. b.
M E T O IC IE N , i^Litt.grecq.) étranger établi à Athènes.
Tribut que les étrangers payoient à l’état. Patron qu’ils dévoient
prendre. MagiÜrat qui lesjugeoit. Confeils de Xenophon
fur les moyens d’accroitre les revenus de la république ,
en faifant des loix favorables aux étrangers qui viendroicnc
s’y établir. La naturalifation dans Athènes plus facile à obtenir
dans les comnicncemens de h république que dans la fuite.
liid . b.
M E TO N OM AS IE , ( Liu. mod. ) changemens de nom. O bfervations
fur la mode de changer de nom , établie parmi les
favans dans ces derniers üeclcs. X. 466. b.
M E T O N YM IE , {Rhetor.) étymologie du mot. Définition
de cette figure. Les maîtres de l’art la reftreignent aux ufages
fuivans. I. La caufe pour teffet. Ainfi les païens donnoient an
blé le nom de Gé ré s , & au vin celui de Bacchus : exemples.
Le nom de Pallas employé pour le mot huile. X. 466. b. On
rapporte à cette figure les façons de parler où le nom des
dieux fe prend pour la chofe à laquelle ils préfidoient. C e ft
encore prendre la caufe pour l’eftec , que de dire d’un général
, ce q u i, à la lettre , ne doit être entendu que de fon armée
, Si de donner le nom de l’auteur à fes ouvrages. On
donne fouvent le nom de l’ouvrier au produit de fon travail.
On trouve dans l’écriture des noms de patriarches pour ceux
des peuples qui en font defeendus. A u lieu du nom de l’e ffet,
on fe fert aulfi du nom de la caufe inArumentale qui fert ù
le produire. Style fignifie auffi par figure la maniéré d'expii-
mer les penfées. Ibid. 467. a. Divers exemples de l’écriture
où la caufe eft prife pour l’effet. II. £ e fe i pour la cauje. 111. Le contenant pour U contenu. IV . Le nom du lieu oh une
chofe fe fait , pris pour la chofe même. Meprife de Menage Sc
des auteurs du diflionnaire de Trévoux fur l’origine du nom
lïolinde, donné à une forte de lame d'épée. Ibid. 468. a.
V . Le fgne pour la chofe ftgnifiée. Ibid. b. Les divers fymboles
dont les anciens fe font fervis , font fouvent employés pour
marquer la chofe dont ils font le fymbolc. Détails fur l’ufage
des fymboles. Ibid. 469. a. VI. Le nom abjlrait pour le concret.
VII. Les parties du corps qui font regardées comme le fiege
des pallions & des fentimens intérieurs , fe prennent pour
les fentimens même. Ibid. b. VII I. Le nom du maître de la
maifon fe prend quelquefois pour la maifon qu’il occupe. O n
donne aufli aux pieces de monnoie le nom du fouverain,
dont elles portent l’empreinte. IX. Quelques-uns ajoutent
la métonymie, par laquelle on nomme ce qui précédé par ce
qui fuit, ou ce qui fuit par ce qui précède. Ibid. 470. a, Voyer^
M étalepse.
Métonymie. Différence entre cette figure 8c la fynecdoque.
X V . 754. 4. Il eft parlé de la métonymie dans l’article Trope,
X V I . 4 9 . b.
M E T O P E , {ArchiieÜ.) intervalle ou quarté qu’on Jaiffa
entre les triglyplies de la frife de l'ordre dorique. Etymo»ogi»
du mot. Comment les anciens ornoient les métopes. Pourquoi
plufieurs architeftes ne fe fervent de l’ordre dorique que pouf
les temples. Demi-métope. X. 470. a.
METOPOSCOPIE. Définition. Etym. du mot. La méto-
pofeopie n’eft qu’une partie de la phyfionomie. Vanité de
cette icience. Lignes du front, prcfidéespar chaque planete ,
felon CiroSpontoni. X. 470. a.
M E T R E , {Poéfie) différence entre le metre 8c le rhythme.
X IV . 267. 4.
M E T R E T E , {H if l.e c c l.) le mot meireca employé par
l’auteur de la vulgate dans deux endroits de l’ancien teilamenr.
Sa fignification. Metrete des Grecs. Bathe des Hébreux. X.
470. b.
M É TR IQ U E , ( Mttfiq. des anc. ) différence entre la
mufique métrique & la mufique rhythmique. Suppl. III.
917. b.
METRODOPs,E. DiAinâlon de plufieurs pei fonnes de ce
nom , dont l’hiAoire ancienne fait mention. XIV. 756. a , b.
Métrodore , peintre , Src. Philofophc envoyé d’Achenes k
Paul-Emile. XII. 260. a. 272. a.
ME^TROMETRE, inftrumentpropre à mefurer le tems,
voye^ C hro nom étré.
M É T R O PO L E , {^i-fifpf-) origine de la diftinélion des
métropoles d’avec les autres églifes. Comment le concile de
Turin décida entre l’évêque d’Arles 8c celui de Vienne , qui
fe prétendoient rsfpeélivement métropolitains de la province
de Vienne. Villes métropoles des Gaules, Egalité des é v ê ques
■ M E T
eues eiiir’eux. Métropole ecdéfiaftique dans les provinces
«l’Afrique. En A fie , il y avoir des métropoles de nom feulement.
L’établiffenient des métropoles cil de droit pofitif, 8c
dcpcnci iiulircélcment des fouverains. X. 4 7t. a.
M ÉTRO PO LIT A IN , {Junfpr. ) prélcnicmeiu les archevêques
font les feuls (|ui aient le titre 8c le droit de métropolitain.
Quels font ces droits. Ceux que les métropolitains
ont perdus. X. 471. é.
Mccropolit.iins. Comment ils tombèrent fous la jurifdiélion
des évêques des giamlcs ville s, dans le diocelé dcfqucls ils
fe iroiivoienr. 1. 095. b. Eu quel tems a commencé la difiin-
éliou d’évéques métiopolitains 8c fuffragaus. VI. 137. 4 , b.
Le métropolitain ne peut rien entreprendre dans le diocefe
de fesllifiVagans. IV. 1013. a. Querelles eu Allemagne cmre
les évêques 8c leurs métropoles. VIII. 590. b. L’autorité des
métropolitains affoiblie autrefois par celle des légats. IX. 342.
b. Jurifdiélion métropolitaine. 80. a. Ville métropolitaine.
X V I I . 280. É — royq A rchevêque.
METS , ( Art culin. ) de l’accommodage des mets. I. 74. b.
Mets les plus délicats des premiers- Romains. XIII. 565. a.
Vers la fin de la république, les Romains confervoient encore
à cet égard des refies de leurpremiere frugalité. 759. a. Voyei^
.Aliment, Cuisine.
MET Z , ( Gf'agr.) ville de France. Son nom latin. Comment
clic a changé de nom en différens tems. Diverfes obfervations
par lefquelles il paroît que Metz étoit illuflre fous l’empire
romain. Révolutions qu’elle éprouva enfuitc. X. 472.4.
D e l’évêché de cette ville. Tolérance accordée à Metz aux
familles juives. Avantages qu’on en a retirés. Claufe infamante
qu’on a jointe à cette tolérance. Appointemens du
gouverneur. Revenus 8c dépenfe de la ville. Obfcrvation
Ihr 1.1 coutume de Metz. Situation de cette ville. Obfer-
vafions fur ceux des citoyens de Metz qui fe font le plus
difiingiiés dans lesfciences, Ibid. L fa v o i r , Anclllon, pere
8c fils ; Jacob le D u ch a t , Paul Ferri 8c Anutius Foés. Ibid.
473- '*•
Mcr:^. Obfervations fur quelques hommes célébrés nés
dans cette ville , dont les noms doivent être ajoutés à ceux
dont il efi parlé dans l’Encyclopédie : Sébafiien Leclerc ,
dofilnnieiir; Abr.nh.am Fabert, maréchal de F ranc e; Jean-
François de Maucomble , homme de lettres. Académie des
fciences dans cette ville. Synagogue des Juifs. Hifioire de
Metz par les béncciiélins de Saint-Vannes. Suppl. III. 718. a.
Met[. Coutume pour les trois é vêchés. Mets , Toul 8c
Verdun. V . 129. b. 151. 4. Hifioire du parlement de
Metz. XIT. 58. 4 , b. Doyen du parlement. V . 97. 4. Chambre
royale de Metz. III. 56. b. Chancellerie. 1 17. 4. Droits
du roi dans les trois évêchés. VIII. 693. A Evéchés
{les trois) falle de fpeélacle de M e tz , vol. X des planch.
article Théâtres.
MET TEU R -EN -(EU VR E , {Orfev.) obfervations fur la
communauté des metceiirs-en-oeuvre. Etats de l’Europe oit
l'art du metteur-en-oeuvre efi fur-tout connu. Parallèle des
Allemands 8c des François qui exercent cet art. Différence entre
les mettcurs-en-ccuvrc 8c les bijoutiers. X. 473. a.
Aiettcur-en-ccuvre. Deux opérations de cet artifie , celles
de mettre en cire 8c de mettre en terre. X. 474. a. Opération
de monter fur cire. 685. b. Noir dont cet artifie
fait ufage. XI. 188. b. Opération de découvrir la pierre au-
dedans de Ion feuillcti. IV . 707. a. Feuille k mettre fous les
pierres. V I . 656. b. Onze planches de l'art du metteur-en-
ceuvre dans le vol. VIII.
M E T TR E , Po/cr , Placer, {Synon.) X I I .676 .4.
Mettre , appointement à , ( .furifpr.) dans ces appointemens
l'infiruélioD efi fort fommaire. X. 475. 4.
Mettre , ( Marine ) divers ufages particuliers de ce mot.
X 473"
Mettre , ( Comm. ) fes différentes fignifications dans le
commerce. X. 473. b.
MnTTRE/'4mf, ( Pof/Têhtr) X. 473. b.
Mettre en tenon , ( BoiJJéücr) X. 473. b.
M e t t r e z foie,{Bouton. ) X .4 7 3 .L
Mettre , { Charpent. ) Mettre en chantier : mettre les
bois en leur raifon : mettre une piece de bois fur fon roide
ou fur fon fort. X. 473. L
Mettre en train, ( Imprim. ) X. 473. h.
Mettre , ( Manege) divers ufages de cc mot. X. 474. 4.
Mettre en fu t , {Mer.uif) X.474. 4.
Mettre m cire, {Mett. en-ceuvre) en quoi confifie cette
operation. X. 474. a.
Mettre en terre. Opération do metteur-en-oeuvre qui fuit
celle de la niife en cire. Sa defeription. X. 474. a.
Mettre au bleu, ( Plumajf. ) X. 474. b.
M ettre les ficelles à la colle, { Relieur ) X. 474. b.
Mettre en main, {Manuf.enfoie) defeription d» cette
opération. X. 474 6
M tTU S y tu n o r , {Langue lat.) diilérente fignification de
ces mots. XVI. 334. *
Tome II,
M E U 22$,
METZU , ( Gabriel) jseintre. V . 324.4.
M E V AN IA , ( Géogr. anc. ) ville d’Italie. En quoi elle étoit
renommée. X, 474. b.
MEU BLES, ( Gramm. & Jtirifpr. ) définition. Diverfes
chofes réputées meubles. X. 474. b. Chofes réputées meubles
par fiéllon , quoiqu’elle.s ne le foient pas encore en effet.
Immeubles réputés meubles dans certains cas ou dans certains
lieux. Meubles réputés im.-neublcs. Les aélions font
meubles ou immeubles félon leur objet. Obfcrvation fur
les rentes conftituées. Les meubles luivent la perfonne 8c
le domicile. Héritier des meubles. Age auquel on obtient
i’adminifiration de fes meubles. Sens de cette maxime ,
mobiiium vilis efl pojfeßo. Suivant le droit romain, les meubles
font fufceptibles d’bypothequc. Ibid. 475, 4. Dans les
coutumes, les meubles n out point de fuite par hypotheque.
Meubles non-faififfables. Ouvrages k confulter./iïu', b.
Meubles. Divetfcs obfervations fur les effets mobiliers ,
comme confiiniant une partie des richeffes d’un état, V I.
813. 4. Meubles exploitables 8c non exploitables. 311. 4.
Droits incorporels qui fe rapportent à la clafiè des meubles.
IL 244. b. Difcuffion des meubles avant les immeules.
IV . 1036. a. Les meubles 8c droits mobiliers fuivent le
domicile. V . 31. b. Formalités au moyen defqiiellcs un héritage
étoit réputé meuble. V IL 422. a , b. Garde-meuble.
510. b. Gardien des meubles. 512. b. Héritier des meubles
8c acquêts. VIII. 164. a. Succeffion des meubles 8c acquêts.
X V . 599. b.
Meubles, {B lafon ) tout ce qui peut fe trouver dans
les armoiries. Suppl. 111. 718. a. Pofitions des meubles.
Ibid. b.
Meubles. Suppl. 1. 91 1. a.
M EU CU D ü , {Boian.) efpcce de plante. Suppl. I. 78g.
M EU D ON , {Moulin à vent de) fa defeription. VIII. 364.4.
vol. des planch. Hydraulique.
^ M É V É L É V IT E S , {Hifl. mod.) efpece de religieux turcs
ainfi nommés , de Mévcleva , leur fondateur. Détails fur
leurs moeurs 8c ufages. X. 475. b.
M EU LE , {Gramm. & A n méchan.) diversufages des meules.
X. 476. b. Maniéré de tailler les meules à broyer , 8c
de les détacher du banc de la carrière. Des meules k aigui-
fer : qualité de la pierre qu’il faut employer. D e la grandeur
de ces meules , 8c de leur conftruélion. Ibid. 476. a.
Meules, repréfentées vol. V II I des planch. Sculpteur en
marbre , planch 3 , vol. I l l des planches. Coutelier , plati-
che I , vol. X des planches , To u rn eu r, planche ta.
Meule de moulin, {A n tiq .) Meules antiques découvertes
dans CCS derniers tems. Moyeti que les anciens em-
ployoient pour tourner leurs meules. En quelles occafions
le mot de meule eft employé dans l’écriture. X. 476. a.
Meules de moulin : leur invention. Suppl. III. 919. a. De
quelques défauts dans les meules. 922. a , b. Totu-nsr la
meule , peine ancienne des efdaA’es. 965,4.
Meule , ( Charron ) X. 476. a.
Meule, {Cloutierd’épingle) X.4 y6 .a,
Meule , ( Epingl.) X. 476. b.
Meule , ( Fond, de cloches ) X. 476. b.
Meule de foin , {Jardin, ) X. 476. b.
Meule , ( Mirait. Limet.) X, 476. b.
Meules , ( Verrerie ) X. 476. b.
Meules , ( Vénerie ) X. 476. b.
MEULIERE , ( Minéral. ) Pierre de rneuliere. Qualité de la
pierre qu’on don employer pour les meules de moulin.
Celle dont on fe fert aux environs de Paris. Comment oû
la tire de la carrière 8c on la travaille. Efpece de pierre
rneuliere très-bonne pour bâtir. X. 476. b.
M EUM , {Botan.) defeription de cette plante. Le meum
autrefois rare en Italie. Lieux où II croit. Defeription delà
racine, qui eft la feule parue de la plante dont on fe fert
en médecine. Cette racine connue des anciens Grecs. Maniéré
de multiplier la plante. X. 477. a.
Me um , ( Mat. medic. ) defeription de la racine appellee
meum athamantique. Origine de î’épitlieie donnée à cette racine.
Propriétés 8c ufages du meum. Eau difiillée qu’au en
retire. X. 477. b.
MEU N, {Jean de) autrement dit Clopinel. X. 306. b
XI. 888. b. XII. 914. 4.
MEUNIER, Têtard, Vilain , Clevefne , Chouan , ( Hifl.
nat. ) defeription de ce poiffon. Lieux qu'il fréquente. Q ualité
de fn chair. X. 4 77 .L
Meunier ou {Jardin.) maladie commune à quelques
plantes. X. 477. b.
Meunier, {Pêche) defeription de ce poiffon. Ses différens
noms. Maniéré de le pêcher. Autre efpece de même
nom. Defeription de fa pêche. X. 477. b.
Meunier, {Econ, rufiiq.) ancienneté de l'arc de moudre
le blé. Premieres opérations grolfieres par lefquelles il a commencé.
Ses progrès. Suppl. III. 918. b. Dans quel pays U
en a fait le plus. Ibid. 919. 4. DiuiiiéUon de différentes mou*
L U