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518 P R Ï
tiens de prier fur les tombeaux des martyrs. XIV.
i . Hérétiques qui fomenoient que ia ptiere luffît pour nous
fauver. V I. 136../ »Z-. Prière de Jciiis-Cliriil, ou rorailon dominicale.
XI. Ç4p. I>.
Pi{ irRE,( Crjri<].f.icr.) acceptions de ce mot dans l’écriture.
X lll. 361. a. Julie idée que nous devons nous faire delà
])riere. Rahncment des théologiens iur ce liijet comme fur tant
d’autres. Ibid. h.
PiUERES des Juifs, ( Criditj.facr.) celle.squ’ils ont dans leurs
litluirgies. Elles font crime très-grande antiquité. Jefus-Cluirt
n'en critiqua la forme qu’en fe contentant de donner à fes dif-
ciples un modele de priere plus parfait. Uftige que font les
Juifs de leur i'ormulaire. Défauts qu’on peut lui reprocher.
X llI . 361 .é.
Prières des Juifs. Lieux de prières des anciens Juifs. XUl.
496. b. Prières des Juifs dans les fynagogues.XV. 743. b.
pour les mous , {H iß. & Criaq. fier.) les Romains
' avoient des formules ufitées pour appaifer les mânes. 11 pa-
roit que les Egyptiens prioient aulli pour les morts. Les H é breux
emprunteront apparemment cette pratique des Egyptiens.
Efpcce de purgatoire admis par les Juifs. L’ufigc de
la prière pour les morts paiTa de l’églifc judaïque dans l’églife
chrétienne , par l’incertitude où les peres étoient fur l’état des
morts. Ibid. 361. j .
Piiere pour les mons.l. 481. b.
PRIERE , heures de Lz, ( Hiß. ecd. ) les heures de tierce ,
de lexte Sc de noue ont été anciennement deftinées à cct
ufagc,mals il n’y avoit pas de loi pour les obferver. Raifons
alléguées par quelques pcrcs pour jullifler le choi.x de ces
î'.euies. X llI . 3Ö2. .7. Conjeéhires fur l’origine de cet ulage.
Ibid. b.
Prière , heures de l.t. VITI. 194. a. D ’où vient l’iifage de
réciter des prières à diverfes heures. II. 413. a. De la coutume
de prier lu nuit. X. 197. a. Priere appclléc .ingelus.
7.460. b. Pneres de quarante heures. V III. 194. rf.Xlll, 639.
PRIERES , ( Hiß. ecd. ) prières propres à cctiains jours de
fêtes. 1 1 1 . 630. b. Prières coiuinuées pendant neuf jours ,
trente jours; voye^ Neuvaine , T ricenaire.
Priere. Comment les G recs modernes appellent le peuple à
la priere. X V . 200. a.
Pr iè r e s , { Hiß. une. Philofoph. ) prière que les Lacédémoniens
tailoieni aux dieux. V I . 207. a. IX. 167. b. Priere
philofophique de Cléanihc. V l l l . 396. b. Prières publiques
ëc particulières pratiquées chez les Romains en certaines
circonftances. X V . 673. i>, 6cc. Attitude des anciens C eltes en
pliant. Suppl. 1 1 , 2S3. a, b.
Prières, {M yt/w l.) ingénieufe fiélion d'Homere fur les
prières. XIII. 362. b.
Priere. Obfervatlons fur cette fiélion poétique. IX. 3S7.
^ .X îl.8 18 .
Priere, {Mahométifme') prières publiques chez les ma-
hométans. X . 321. «. Homme qui convoque le peuple à
la priere. 831. b. Prières que les mahométans font cinq fois
par jour. XI. i i . a. Priere du vendredi. X IV, 33 i.é . Celle
qu’ils doivent faire à minuit. X V Î , 3 2. b. Priere des pauvres
Arabes après le repas. X V II . 648. b.
PRIEUR , ( Jurifpr. ) origine des prieurés. Hifloire des
inonaAeres de ce nom. XIII. 362. b. Origine de la diAinc-
îion des prieurés conventuels, & des prieurés Amples. Dif-
pofitions du concile de Vienne , auquel préfidoit Clément
V , fur les prieurés. Des prieurés-cures. Leur établiffemenr.
Condition requife pour polTéder un prieuré Ample. Ouvrages
à confulter. Ibid. 363. a.
J^rifKr clauAral, 1 1 1 . 315. 7?. commendataire. 684.é'.Armes
deprieiir, vol. I l des planches, Blafon, planche 14.
Prieur , ( Jurifd. Conful.) XIII. 363. />.
P rieur eieSorbonne, {H iß.m od.) fonélions de cette place.
XIII. 363.^.
Prieur, grand, {H iß.m od.') chevalier de Mahhe diAin-
gué par la dignité de ce nom. Grand.s-pricurés de chaque langue.
Les grands-prieurs confèrent tous les cinq ans une com-
manderie qu'on appelle commanderie de grâce. Origine de ces
grands-prieurs. XIII. 363.
PRIEURÉ , ( Jurijp. ) différentes fortes de prieurés.Prieuré
cher d’ordre, daiiAral, XÜI. 363. b. colîatif, eu commande,
ccniirmatif,convcmuel,cure,élcéHf-col!atif,éLéIif-conArmatif,
g rand-prieuré, Ax grands - prieurés de l’ordi e de Mahhe en
France. Prieuré perpétuel, régulier. féculier , fcculavifé , femi-
conventuel, Ample à Ample tonûirc, focial, en'titre. Ibid.'^I)^^. h.
Prieuré. Différence entre abbaye & prieuré, 1 . 11. b.
entre prieuré & commanderie. 1 1 1 . 687. b. Cure-prieuré. IV.
272. b. Les prieurés n’étoient autrefois que des obédiences.
X I. 298. U.
P R Î\iA IN T E N Z ÎO N E , {Miißej.) un air cru morceau
di prima inienißone eA celui qiti b’eA formé tout d'un coup,
tout entier & avec toutes fes parties dans l’efprit d’un com-
pofueur. Réflexions fur ces produdions des arts qui font
le fruit de pareils efforts du génie, & dont tous les raifon-
nemens intimément réunis l’un à l’autre ii'oiu pu fe famé
P R I
fucceAivement. Les morceaux de mufiqtie di prima interrfiane
lont les leuls qui puiffent caufer ces extafes de l’ame qui ti anf-
porient les auditeurs hors d'eux-memes. .S'k/i;?/. IV'. 333. a.
PRIM.AT, {Jurifpr.) degré de cette dignité dans l’eglife.
Prérogatives dont le primat & l c patriarche jouiffoient autrefois.
Archevêques ])rimats en France. XUl. 364. b. Voyc:^ D io-
CESE 6’ Patriarche.
Primat de Pologne , ( Hifl. dugonvcni. de Pologne ) ) c’cA k
l’avchevéquc de Gnefne qu’appartient cette dignité. Exemples
des abus que les primats ont faits de leur pouvoir , lorfque
cette dignité étoit établie en phiAeurs pays de l’Europe. Pouvoirs
& privileges du primat de Pologne. X III. 363.-7.
P R IM A T IC E , {Erançois) peintre d c batailles. V . 329. b
XII. 266. Z..
PRIMATIE ou Pairiarchat, ( Hifl. cccl. ) V I . 137. b. XII. 17S.11,b.
PRIMAUTÉ du pape, ( Hifl. ccd. ) les protcAans fe font
extrêmement attachés à contcAcr an pape cette prérogative.
XIII. 363. a. En quoi conAAcut les droits de jurifdiéfion &
d’autorité attachés à la primauté du pape. Trois différens
fentiniens fur ce Aijet. Preuves de cette primauté tirées,
1°. de la doflrine des conciles, Ibid. b. 2'’. de celle des
peres, 3”. du conAant exercice que les papes ont fait de
cette primauté : énumération des principaux faits fur lefquels
cette troifieme preuve eA appuyée. Ibid. 366. a. Primauté
que le pape a exercée dans la Grande-Bretagne , réfutation
du ientinicnt contraire de Bingham ; Ibid. b. de la reconnoif-
f.ince formelle qu’en ont faite les empereurs, les rois & autres
fouverains. J..a primauté du pape fondée fur l’écriture Aiinic. Ibid. 367. .7.
PRI.ME, {Thcolog.) la premiere des heures qui font partie
de l’ülHce canonique. En quoi confiAe le fervice de cette
heure canoniale. Son iiiAitmion. Noms que CaAîen donne à
ce fervice. Raifon myAique de la récitation de prime. XIII.
367. i.
Prime , ( Minéral.) pierres auxquelles a été donné le nom
générique de prime. XIII. 367. b.
Prime d'émeraude , {H ifl. nat.) M. Hill croit que c’cA
la pierre que les anciens ont nommée prafius ; trois efpeces
qu’on en dillingne. XIII. 367. b. Sorte de pierre appellee
chry/ocraje par M. Lehmann. Pourquoi ces efpeces de pierre
ont été l^on\mces primes d’émeraude. Ibid. 368.«.
P rime d’.i/7üf.77ice , { Comm. de mer) XIII. 368. <7.
Prime , terme de commerce, terme de monnoie. XIII.
368.7;.
Prime , garele de, efocade de , {Efcrime ) XIII. 368. a.
Pr im e , { Sucre) XIII- 368. .7.
Prime , au jeu de l'ambigu. XIII. 36S. a.
PRIMEVÈRE , ( Boi.ui.) caraéleres de ce genre de plante.
Ses efpeces. Defeription de la commune. X i l l . 368. b.
PRIMEVERE, {M.U. médic.) propriétés’& ufages des Aeurs
de cette plante. X I ll. 369. a.
Primeurs, pois Sc fraifesde primeurs »moyen
de fe les procurer par des ados. Suppl. I. 174. b.
PRIMICIER Notaire, {Jurijp.) XI. 243. a.
PR IM IT IF , {Gnimm.) différence entre premier 8c primitif.
Langue primitive. Mot primitif. XIII, 369. b. Foye^ Etymologie,
Formation , Dérivé, Racine, Langue.
Primitit, {Jurifpr.) curé primitif d’une éelife. Titre Dii-
niirif. X l i i . 369. b.
PRIM O G EN ITU RE, Dro'itde { Droit nat. ) c’eArefprit de
vanité qui a introduit l’injuAe droit d’aineffe , A défavorable
à la propagation. L ’exemple qu’on allégué des peuples de l’antiquité
qui ont admis ce droit, ne peut le juAiAer parmi nous.
Ouvrage à confulter. XII!, 370.72. JAiycç A înesse.
PRINC E, {PoUnq.) Agnification commune de ce mot.
X l l l . 370. a.
Prince dans les anciens aélcs ne Agnifioit que feigneur. XIII.
370. <7.
Prince, eA auffi le nom de ceux qui font de la famille
royale. XIII. 370. a. Des princes d’Angleterre. Des princes
de France. Du prince de Galles. Ibid. b.
Prince , ( Pol'itiq. Morale ) titres des différens princes de
l’Europe. XVI, 339. a , b. College des princes de l’empire;
leur ordre dans les affeniblécs de h dicte- III. 63 3. <7, b. IV.
67. b. 973. a, b. Réflexions fur i’éducation des princes. VIL
797. a, b , &c. IX. 360. a. Utilité qu’ils peuvent tirer de
l’étude de l’hiAoire. V l l l . 223. b. D e hi libéralité qui leur
convient. IX. 461. b. Les princes ne fe gouvernent pas ordinairement
par des fcrupules. 859. b. D e la muniAcence des
princes. X. 863. n. Leçons atix princes fur le danger de la
flatterie. V I . 846. b. Cafque de prince, vol. II des planch.
Blr.ïon, pl. 14.
Pri^nces du J'ang (\zns le royaume de France; leur confeil.
IV. 14. b. Grands jours des princes du fang dans leurs appanages
& pairies. VIII. 893, b.
Prince, {Théolog.) acceptions de ce mot dans récriture
& parmi les Juifs modernes. Prince des prêtres. XIII. 370. b.
Prince de la ville. Prince de la fynagogue. Prince de ce
P R I
monde. Princes de ht captivité: h fucceffion qu'on donne
de ces princes, reconnue pour fufpeéle. Ibid. 371. a.
Prince de la jeuneJJ'c. {H iß. rom.) XIII. 371. a.
Prince, {Art milu. des Rom.) uom d'une des quatre fortes
de foldats qui compofoicm les légions. XIII. 371. a.
Princes, foldats romains. Suppl. IV. 673, a. Leur place
dans l’ordre de bataille. 174. Z>. 670.77. Leurs armes. 670. a.
Fovei Légionnaire.
Prince du fénat ,{H ifl, rom.) fa nomination dépendoit du
choix du cenfeur. Rcfpeét que l’on avoit pour ce titre. Origine
de cette dütinélion. Q . Fabius Maximus nommé prince
du fénat. Quel cA le premier prince du fenat nommé dans
l’hlAoire. Nous manquons de monumeus pour former une
fuite tiüu interrompue de ceux qui ont en cette dignité. XIII.
371. b. Quelle peut être la caufè des vuidesqui i'e trouvciit
dans cette liAc. Dans quel fens doit être entendu le titre
de princes du Jénat donné en divers endrtnts à CraAus & à
Pompée. Ibid. 372. Différens pouvoirs que Icjeimc Céfar
s’attribua comme une conféquLiicc du titre de prince du
fénat qui lui fut conféré. Ib:d. b. Foye^ .SÉNAT.
Prince de Machiavel, {P oliiiq.) obfcrvations fur l’ouvrage
qui porte ce titre. IX. 793. b.
Prince tie Beaumont, ( Madame le ) Suppl. IV . 683. b.
PR IN C EP S, Rex , { Lang. Lu, ) Agnilicaiions de ces mots
dans les auteurs latins. X IV . 240. .2, b.
PRIN C IPAL , {Gramm.) propoAtion principale, piopoA-
tlon incidente. XIU. 372. b.
Principale, propofition. IV. 83. b.
Principal, {Géomét.) axe principal d’une e llipfe, d’une
hyperbole. XIU. 372. b.
Principal, ( Anthm. & Comm. ) fomnie prêtée.XIII. 372, b.
Principal, principal maglArat d’une v ille , princi[)aiix oflà
ciers d’un régiment. Le principal diflingué de l’accelfoire.
X l l f . 372. b.
Principal , ( Jurifpr. ) le principal diAmgué de l’acceffuire.
Principal d’une caufe. Principal héritier. Principal manoir.
Principal obligé. XIII. 373. a.
Pri/icipald'nnc rente ou d’une fomme. XIII. 373. a.
Principal:;\à'\nr\ principale. I. 123.72. ConcluAon principale.
III. 821. Défendeur au principal. IV . 734. b. Demande
principale. 804. b. Faux princijial. VI. 449. a , b. Héritier
principal. V l l l . 164. b. Obligation principale. XI. 305. b.
Prin.cip.1l d’un college. Devo.rs & ionélions des principaux
de college. XIII. 373. 77. On ne peut élire à une place de
principal un eccléfiaAique pourvu d’un bénéAcc à charge
d’ames, ou qui requiert réftdence. Ibid. b.
Principal d’un college : fon privilege en matière bénéA-
ciale fur les gradués nommés. VII. 810. a.
PRINC IPES, premiers {Mét.iphyJ. Logiq.) les premiers
principes envifagés du côté des vérités internes, (ont peu
propres à éclairer notre efprit. ConAdérés du côté des vérités
externes, ils nous condulfcnt à la connoilTance de plu-
Aeurs objets. XUL 373. b. Ma.-ques car.-iéiériAique.s aux-
quèlles on peut reconnoitre les premiers principes. D ’où iis
tirent leur foiirce. TJu premier principe des connoijfauces phi-
lofophiques. Examen de la queAlon s’il y a un tel principe
auquel nous piiiffions ramener toutes nos comioiff.mces. Ibid.
374, 72. Quel eA ce premier principe ; divers fencimens des
philofophcs à cet égard. Conditions exigées pour le premier
principe de la philofophie. Ces conditions ne fe trouvent
exaflement que dans cette propoAtion, on peut ajfurer d'une
chofe, tout ce que l’ej'prit découvre dans l ’idée claire qui la repréfente.
Defeartes n’a point regardé cet enthymême je penfe,
donc je fu is, comme le premier principe philofophique ; mais
feulement comme la premiere vérité qui fe préfente à l’ef-
prit, & le pénétré de fon évidence. Le premier principe
de connoiffance philofophique ne nous rend pas précifémenc
certains de la vérité des premiers principes , mais il nous
rend raifon pourquoi nous en fommes certains. Ibid. b.
Principes, diAinélion entre les premiers principes & les
axiomes. 1 . 907. a. Ce qu’on entend par avoir des principes.
909. a. Premier principe de vérité. X V . 37. b. Vérités de
principe. X V II . 69. rf,Z'. Trois Ibrtes de principes dans les
ouvrages de philofophie , d’où réfultent trois fortes de fyAè-
mes. X V . 777. a , b. Plus on diminue le nombre des principes
d’une fcience , plus on leur donne d’étendue. I. vj. ix.
DiJ'c. prélim. Direflions fur la manière de s’élever des faits
aux principes. V IL 617. b. Foye^ A nalyse. {Logiq.) On
ne doit point toujours attribuer à un phihifophc toutes les
conféquences qui paroiffent découler de fes principes. VIII.
390. b. Les principes dans tout ouvrage de railbnncment doivent
être rigoureiifement prouvés. X. 443. b. Nos erreurs
viennent plus de nos principes que des conféquences que
nous en tirons. XIII. 777. 72. Tout le leeret de penfer juAe
conAAe donc à bien examiner fes principes: différentes chu-
fes qui peuvent nuire à leur juftelTe. Ibid. b. Voya^ Elémens.
Principe, {Pbyfiq.) comment on parvient à l’idée d'un
principe naturel. XUL 373. a.
Principes des chofes matérielles felon les anciens philofo-
P R I 5 1 9
phes. XIÎI. 839. 72. Thaïes regardoit l’eau comme principe
de toutes choies. V . 186. b. Reflexions fur cette hyporliele.
188. b. 189.72. Principe imiverfel des chofes félon les biids-
doïtes. I. 734. 0, b. Les principes conAiiuans des corps ne
font jamais fcnfibles, tant (pi’ils font afltiellcment combiiics.
V. 189.72. Dureté des principes de la matière : différais degrés
de fluidité 6c de folidité produits par leurs alA-mblages-Vî.
663. a. Sentiment des plnlofophes fages Air la dofliine des
principes ou clénicns. V . 498, a. Principes aft A qui, A-lon
Newton ,entrctie*nneni le niouvement de Tunivers. I. 118. .2
Foyci fur les principes des corps rarticle Corpuscule.
Pr in c ip e s , {Chymic) divifion des principes des mixtes
en principes immédiats, 6c en principes éloignés, Inexaaitmie
dans cette maniéré d’envifager les principes. En quoi conlifie
l'cxaélitiidc dans une analj'fe. X i l l . 373. .2. Dilcuff.ons qui
ont diyifé le.s cliymiAes (ur la doélrine des principes. Ces
dilciilhons font toutes nées de la maniéré vicieufede concevoir
5 c d’opérer qui lui cA oppoféc. Oblèrvations fur les
principes des P.iracclAtcs ; le fei, le foufre 6c le mercure,
auxquels Willis en ajouta deux autres, favoir le plilegme ou
e au , 6c la terre. Ibid. b. L’analyfc parvient quelquefois juf-
qu’à des principes inaliérabics, ou du moins qui l’ont été juf-
qu'id à tout l’art humain. La queflinn cA de favoir s'il y a
phiAeurs corps qui foient vraiment c^cmentaires, ou s’il n’y
;i qu’une feule forte d’clcmens pour toute cfpece de corps.
L’üiffervation bien refiimco, démontre qu’une pareille matière
eA un pur concept, un être abArait, que non feulement on
admet gratuitement, niaLs dont In Aippolition a jette dans des
erreurs immifeAcs les philofophcs qui l’ont défendue. Ibid.
376. a. Quatre premiers principe.s admis par tes cliymiAe.s
modernes, le feu , l’a ir , l’eau 6c la terre, 11 y a lieu de cioire
que les différentes efpeces de terre peuvent fe réduire à
un principe terreux unique 6c commun, quoique l’art n’ait
pu jiifqu’à préfeiu parvenir à cette rédiiaion. Obfervailon
iur le lyAcme de Thaïes qui acimettoic l’eau pour principe
premier 6c commun. Ibid. b. Foye^ Él.ÉMENS.
Principes, divers fentimens des ciiymilles fur les principes
des corps. X IV . 923- Principes aélifs & principes p.if-
Iifs. I n 8 . b. Premiers principes, 6 c principes fécondaircs
ou principiés. HI.^418. b. Le.s affeélions des principes de la
compofition des corps font cffeiKidlemciu diverfes de celles
des corps aggrégés ou des maffes. HT. 410. b. Principes fiira-
bondans. X V . 683. b. Union des principes. X V I I . 386. a.
Principes de Becker. III. 433. a. Ouvrage de Boyle intitulé de producibiUtaïc principiorum chym'icorum. Ib 'id. b.
Pr in c ip e s , doflrinc des deux {Hifl. de la philofoph.) voyer
M an iché isme . Origine de cette doélrine. VII. 980. 72. X.
2 1 . 7 2 , b. XII. 423. a. Ce que peiifoicnt fur Lame les pbilo-
fophes qui admettoient les deux ])rincipes. I. 329. a. Ce
dogme reçu chez les Guebres. V IL 980. a. Symbole par
lequel les Egyptiens exprimoient l’oppolition des deux principes.
X L 410. b. Doflrinc de l’héréfiarquc Sévère fur les
deux principes. Supp/. IV. 787.72. Cette doélrine admife par
les Eskimaux. XVII . 371, b. Fbye^ D ém o n , G énie, Pr o v
id en c e .
PRING LE, (/c’.2/2) doflcur angtois: fes expériences fur
la fermentation alimentaire. VI. 325. b. Ses ouvraecs eu
phyïtologic. Suppl. W , 338. b.
P r in g l e s , {Je.m de) avocat de Dijon. Suppl. IV . 7 1 . b.
PR IN T EM S , {Cofmographie) lieu du foleil au commencement
du prlnieins : divers phénomènes qui en réfuirent
pour les différens habitans de la terre. X ill. 377.72.
Printems, defeription de cette faifon. XVII. 734. a , b.
Fleurs qu'elle produit. IV . 704. a. VI. 837. b. XVII. 733. a.
Suppl. IL 23. b. 24. 7 2 ,i,C a u fc s du froid du printems. VIL
316. b. Qualité de la pluie du printems. XII. 793. a. Suppl.
IV . 419. 72. Effets de cette faifon fur tousles êtres orgnnifés,
6c particuliérement fur les plnmcs 6c les blés. III. 219.
b. Chant des oifeaux dans cette faifon. XVII . 733. a , b.
Il ne peut y avoir eu fur la terre de printems perpétuel. Suvpl.
IV . 78«, b. fb y q Sa iso n .
Printems s a c r é , voeu du {Liitérat.) celui par lequel on
avoit confacré aux dieux tout ce qui naîiroit depuis le pre-
inicr de mars jiifqu’au premier de mai. Quelques anciens
peuples d’Italie coinprcnoient atifli dans leur voeu , lorfqu’ils
étoicm dans nn grand danger,les enfans qui naiffoiem dans cet
intervalle. Sort de ces enfans, XIII. siT-n.Foyc:^ Ve r s a c r u m .
Pr in t em s , malad'ies du {Médecine) moyen de les prévenir.
X l l l . 377. a.
P rintems , ( Mèdcc. ) régime à obferver au printems. XI VL
13. a. Danger de fe coudier 6c de s’endormir fur llicrbe
lorfque les premieres imprefflons du foleil fe font fentir au
printems. X. 770, a. Influence du printems fur la famé. X L >
2 iy . é. Fièvres interinitiemcs dans cette faifon. VI. 733. d. Foyc![^ Sa ison.
Pr in tem s , {Litiér.) comment le premier mois du prin-
teins s’appclloit à Delplies. V l l l . 73. b. Comment les
anciens reptefemoient cette laifon. X IV . 330. 73. Le printems
étoic confacré aux graces. X V II . 797. Z>.