les affemblées champêtres, qui fe tiennent pour l'ordinaire
dans les maifons où il y a plufîeurs filles , &
ou l’on fe réunit pour perpétuer, dans des chanfons,
le fouvenir des anciennes hiftoires de la nation.
C e s chanfons 9’appellent Pifmé.
Leur chant héroïque e f t , d it-on , lugubre St monotone.
Ils chantent un peu du n e z , ce qui s'accorde
affez avec le fon de leur inllrument.
Outre la gu\la, les Morlaques ont encore la mu-
fette , flageolet, Sc un chalumeau de plufieurs ro-
feaux > mais la gu^la paroît exclufivement confacrée à
l’accompagnement des pifmé ou chanfons antiques,
( M. Framery. )
G YM N O P E D IE . f . f . A ir ou nome fur lequel
danfoient à nu les jeunes Lacédémoniennes.
( M. de Caftilhon. )
Fin du premier Volume.