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I N C 1 I N A I S O N .
LONGITUDE.
LATITUDE
auftrale.
L a F l ê u r - d e - L y s . D I F F É R .
a u Nord. au Sud.
D. M. D. M . D. M. D. M. D. M.
8 6 . 3 7 7 3 5 3 ° : 3 ° 3 .2 0 2 . 30
8 6 . 1 0 8 1 3 ° 4 5 3 3 0 2. IJ
8j . 4 8 52 33 0 3 4 m 5*
83. 4 6 1 0 7 3 4 4 5 3 6 45 3T, O
•82. . 2 M 42 39 0 39 37 ° . 37
; 80. 20 r 3 19 4 r 15 4 3 ° r. 4J
7 8 . 52 *4 43 4 4 • 32 r. 37
7 7 - 41 *5 0 4 4 3 0 4 5 4 5 r. 15
■ 7 6 . 18 1.3
'-i,
OO
4 6 3 ° 47 4 5 V . .iv 15
7 4 . 4 4 17 1 5 4 9 0 5° 0 !• O
■ 7 2 . 52 r 8 20 4 9 3 0 5 1 4 5 2. i y
■ 7 0 . 18 I9 14 3° 0 53 0 3* - °
6 7 . 2 7 2 8 5 1 0 . 53 7 a. 7
6 1 . 21 '9 4 3 52 3° 5 4 4 0 2 a 1 O
J ’ai l’honneur d’être avec le plus inviolable attachementMoniteur,
votre très-humble, &c. Signé I-E G e n t i l ,
A Paris ce 2 Février 1 7 7 2 .
A D D I T I O N .
Sur les Réfraâions Agronomiques, obferve'es a ÎlJle-de-Frmct
en 1 7 6 4 .
J E me contenterai de rapporter quelques-unes de ces ohiêrvafions
parmi un très-grand nombre que j’ai faites,, depuis zéro1 degré
jufqu’à <5 à 10 degré? au-deiîùs de l’horizon. Je les avois toutes
calculées à l’IiIe-de-France avec la! dernière exactitude, ce qui m’a
dilpenfé de calculer une Table des réfraâions ; car comme j’en ai
donné une pour Pôndichéry, & l’Ifle-de-France étant encore dans
la Zone torride, on fera toujours à portée de comparer les réfraâions
de cette lile à celles de Pôndichéry pour les dix premiers
degrés au-delïus de l’horizon; car au-deifus de ces dix premiers
degrés, les réfraâions ne peuvent guère différer entre elles dans
la Zone torride. J ’ai fuppofé dans la réduâion des hauteurs obfer-
vées, le demi-diamètre du Soleil d’après mes propres obièrvations, de
1 j minutes 4 6 fécondés. L ’erreur du quart-de-cercle de r minute
1 o fécondés, & la parallaxe du Soleil' de 8 fécondés. J ’ai calculé
avec la dernière rigueur les mêmes hauteurs d’après la longitude
du Soleil, tirée des Tables de M . l’abbé de la Caille.
A l’égard des hauteurs' correipondàntès 'du Soleil, dont j ’ai tiré
le mouvement de ma pendule, je ne les rapporte pas en détail,
parce qu’elles font en très-grand nombre, & que ce volume n’eft
déjà que trop gros : je me contenterai de dire qu’elles ne s’écartent
pas de plus de trois quarts de fécondé Ou d’une fécondé, & qu’elle»
ont donné les midis fuivans.
Pour le 1 3 Juillet i i h. . 2 9 ".\ 3 3 ■"*
le 1 5 . . . 1 1 . . . 3 6 ., . 1 8 . . . 6.
le 1 8 . • . . . I l e . . 3 5 . . . 20. . . I 0*-
le *20. . * . . 1 1 . . . 34. . . 5 6 . . . i a .
le 2 3 . . . . . 1 1 . . . 3 4 . . . 2 0 . . . 35*
le 2 6 . . . . . I l . r . 33. . .
Obm I d.
le 3 1 . . . . . I I . . . 3 2 . . . 5 . . . .54-
le i*er Août I I . . . 3 1 . . . 4 8 . . . 5*
le 2 H . é . 3 1 . . . 2 9 . . . 1 ,
verra par la eomparaifôn de ces midis- enfr’eux
Pendule (a) a marché très-uniformément pendant tout ce temps.
( * ) Cette pendule eft une ancienne pendule de Th ure t, qui- a appartenue à-feu*
M. Bouguer; ellé avoit déjà fait le voyage du Pérou avec cet Académicien ; elle cit
encore en trèt-fon état & très-bonne.