H. M .. S. T. D. M. . H. M .- T . H. M. ,S. T.
6 . 37. 14.. 0 7* O 4 * 57- 37 3.° i p 47.25.
6 . 41. 42. 30 8 O 4 - 5 3* 7 3° 1 1 .4 7 .2 5 . 0.
6 . 4Î. I 5.‘'30 9 O , 4 .4 8 .3 45 1 1 . 47. .26. 7.
6 . 50. 41- 30 1.0 O 4.44; 3° 1 1 .4 7 .2 4 . 0,
6 . 55. 17. 15 11 O 4- 39- 3 •5 m. 47.25. 15.
Donc midi par un milieu à . 1 1 .4 7 .2 5 .13 .,.
La corre&ion étant additive & de. . . . 0. 0. 4.' 12.
II fut midi lorfque la Pendule marquoit -i- 11 .47.' 29.25.
Du 12 au 15, la Pendule auroit avancé de 10" en vingt-
quatre heures, & du 15 au 1 7 de 1 6"
Cette inégalité, .dans la marche de la Pendule du i x
au 15, & du 15 au 1 7 , efl de peu de conféquence ic i,
& ne peut tout' au plus influer que de 3 fécondes fur le
moment de d’heure vraie de l’immerfion du premier fatellite
de Jupiter obfervée le 14.
Depuis le moment de l’obfervation de cette immerfîon,
les arcs de la Pendule allèrent toujours en diminuant, ce
qui me fit penfer que le mouvement de cette Pendule étoit
g é r é , & j’en attribuai la caufè à l’huile de cocos dont je
me fervis allez imprudemment pour-cette Pendule : ‘ cette
huile qui, comme je l’ai remarqué depuis, fe sèche, ôtoit
par cette raiibn aux roues, & fur-toüt aux pivots" du
balancier ou du pendule, peu-à-peu leur libre mouvement;
& à la fin, la Pendule fe ièroit arrêtée d’elle-même, fi
je ne Pavois pas moi - même arrêtée après les hauteurs
correfpondantes.
Pour
Pour revenir au mouvement de cette Pendule , par les
hauteurs du n , comparées à celles du 1 5 , elle auroit
retardé de - t - 13' 16" 4 5 " ', au moment de i’immerfion
du premier fatellite de Jupiter, 8c de H— 13 ' ip 45 >
par l’obfervation du 12 , comparée à celle du 17, avec une
différence de 4" .feulement; mais il m’a paru plus naturel
de mefervir du mouvement du 12 au 15.
Donc i’immerfion fera arrivée à 4h 4 ' 5 1" 45"' du matin.
Le 20 Novembre.
Je démontai 8c je nettoyai la Pendule des fàtellites, 8c
»près y avoir mis un peu de très-excellente huile d olive,
je remis cette Pendule en mouvement. Reprife du mauvais
temps jufqu’au 30.
La veille, M. de Langara 8c M. Marquais vinrent paffer
la nuit avec moi dans la maifon de i’Oidor Galban, pour
être plus à portée d’aflifter à temps à l’immerfion du premier
fatellite de Jupiter , laquelle devoit arriver vers les deux
heures du matin ; mais nous ne fîmes, à caufe des nuages ,
qu’une obfervation douteufe.
Par plufieurs hauteurs correfpondantes prifes le 30 de
Novembre, le 3 , le 5 8c 6 Décembre , je vis que la
marche de ma Pendule avoit été très-uniforme : ainfi, j’étois
fuffifamment préparé pour obferyei;. l’immerfion qui devoit
arriver le 7 au matin.
M. de Langara 8c M. M a lille . s’étoient rendus le foir
avec riioi, 8c M. le Fifcal de Manille, curieux d affilier à
cette même obfervation, vint à trois heures 8c demie du
matin nous joindre à i’Obfervatoire. àSfe
Jufqu’à minuit, le temps nous donna quelque efpérance ;
Tome II. O o