les (Impies Chreftiens, quand ils penfont à Dieu & d’exemples comment très falutaires vertus le font
aux çent trois trois perfonnes hommes ou : ils trois y panfenc chofes diverfement comme fe ils figunom
fu- chafcun jour an du Pere Ôc du Fils , 8c du faint
rées ou coulourées, 8c jugent de Dieu non mye félon
l’elprit, mais félon leur ymaginacion. Si n’eft pas de
merveille fe ils errent ou en cuydent que fe le Pere
ha Fils, que femme y {bit, ou que ils foiegt trois
Dieux, & ainfi de teles frenefics ou fontaifies fotes
& beftiales. Si n’eft pas riens merveilleux & plus
méritoire à bons Chreftiens, que croire plainnemcnt,
& entièrement, fie de bonne foy, (ans curiofité pre-
fumptueufe, ce que noftre Mere Sainte Eglifc donne
à croire & à tenir, par l’inilruétion ôc révélation du faint
fEief penri tc,e ôecf tp laar vlair tpureéudfiec afetipoine ndcee Jd.e C c. en onfotrme .Sauveur:
Notez l’iftoire qui eft en PIftoire Ecclefiaftique,
d’un fimple homme qui convanquit ung grant Philo-
iophe. Notez d’un aveugle auquel onmonftroitlcfo-
leil au doit. Et n’eft-ce pas choie bien à reprendre fie
comme intolérable, de vouloir maintenant ramener
noftre Foy à difeuflîon , ou en argumens , comme
s’elle feuft toute nouvelle, quant nous avons eu tant
de tefmoings jufques icy , Patriarches, Prophètes,
Apoftres, Martirs, Confeflèurs ôc Vierges ôc tous les
plus grans Clercs fie Doéèeurs qui oneques furent, qui
ont témoigné celle vérité julques à la mort : c’eftoit
le gaige qu’ils y ont mys, ly doivent bkn eftre creus:
cQaur ei lsle unre evuo 11û ptarioefnfti tep ocuer mreiennfso nmgee n, tirq uoaun td éilcse vno’eirn.
rapportoient, voir quant au monde, forstourmens,
douleurs, fors povreté , fors moquerie , fors plaies
ÔC batures horribles, fors exils , fie à la fin mort vi-
lainne Ôc très crueufc. Gens ne foulent pas mentir
qui tellement delprifont or , richelfos , Ôc renommée,
fie leur propre vie en ce monde : mais aufly
tels Saints ÔC Sainéles ne pouoient eftre deçeus, pour
ce que ils en avoient revelacion certaine. Notez qu’ils
veoient en plus çlere lumière que n’eft la clarté de rai -
fteozn S, aeinn tl aD qeuneisll e on voit que tout eft, ou non eft. NoOiïavo
Capitulo, D e Divinis. Ôcc. Tels
en avoient les lettres de Dieu, c’eft adiré fadoélrine,
Ôc fes Evangiles, aufquelles lettres eftoient pendus les
propres feaulx Ôc le propre fignet de Dieu, qui eft le
fouverain Roy, qui ne puet mentir > n’eftre tefmoing
de foufletè. Et qui font ces feaulx Ôc ce fignet? Ce
font les miracles fans nombre qui ont efté fais en at-
teeffttraec fiooins dfoe cpealrle D viéerui tnéo, nl.e fquels miracles neporoient (
Or plcuft doneques à Dieu, comme fouhaite Mai-
ftre Richart de St. Viélor: or pleuft à Dieu que les
Sarrafins, fie Juifs, ÔC autres mefereans attendiflènt
bien fie confideraffent à quelle fourté les bons Chreftiens
diront à Dieu, au jour du Jugement : Sire, fo
nous avons efté deceus, ce a efté par toy. Pourquoy?
Car tels miracles, Ôc par teles gens de tele fie fi fainte vie,
licpouvoyent eftre fais fons toy. Car tout fefailbiten
Fl’iinlsv foice adcuio nS afiine to Eu fnporimt. de toy, ou nom du Pere fie du In nomine Patris, Ôcc.
Nous pourrions plus avant demener celle matière,
en monftrant comment ce nom du Pere, ôc du Fils,
pÔuc idfluà nScaei,n tf iEe fnpormit ad ee fmtée rvfieei leleftu fnoo fmep ideen cvei,g uceoumreumfeo
nmoeunst d ipfiaorn cse a quu ic oemft mdietn. cement, ôc il appart aucune- ■
Mais aufii ce nom eft de vertueufe begnivolence,
cvaarc ico’ne f~t: le nom par le quel nous pouons acquérir fal- Omnis quicumqte invocaverit nomen Domini,
falvus erit. dit l’Eforipture Rom.x. 12. quequicunquc
appellera le nom de Dieu, il fera lauvé. C’eft grande
bénignité fie fo entent, quant on appelle ce nom,
non mye feulement débouche, ou parparollcj mais
par obeiflànce 8c par operacion. Deus in nomine tuo
falvum me fac Pf. liii. 1 . pr opter nomen tuum Domine, ôcc. Ubera nos propter nomen tmm. Et nous avons tant
Efprit, contre temptacions vifibles Ôc invifibles, fie
c’eft une tour fie unearmeure.
Si dilbns, pour noftre inftruélion morale, que chafo
cunc ame Chreftienne doit porter oe nom en fon yma-
ge, en foy , 8c en fon cuer, telemcnt qu’elle foit forte,
ôc faigé, ,8c, bonne: forte par cfperancc, en foy
conformant à ,la puiflànce fie cxcellane.edu Pere. Saige
k par Foy fie par creance, en foy conformant à la vérité
ÔC feigefle du Fils. Bonne par charité fie benivolence,
en foy conformant à la bonté du faint Efprit. Chafcurt
Roy fie Prince doit en efpecial retenir en foy fie en fos
Officiers, qui font comme le membre de foy, ces trois
condicions. Qu’il aill puifiànce^quant à l’eftat de chevalperriime,
e rp. oQuru d’iel fafeifntd fraep fioenn cpee,*u pqlue avn nt oanu xm Juygee pso fuier Cl’oonp-
foilliers,pour foire Juftice. Qu’il aift begnivolence,quant
à l’eftat de fos officiers publiques, pour doucement trai-
ctieecry l !e peuple : mais helas plufieurs ne donnent gloire a Nomini tuo dagloriampiec dicunt gloriam,fed tollunt. Contre la première vertus Ôc condicion font forciers
Ôc forcieres, invocateurs d’ennemis, qui mettent leur
efperance en aultre chofe que en Dieu, ainlÿ que aul-
tre chofo * comme les ennemis fucent plus puiflàns
que Dieu. Contre ce font auffi tous ceulx & celles
qui abufont en orgueil de leur puiflànce , foit en ri-
cheflès, foit en..... -foit en force d’amis ou aultrement,
1 feonu ornpiprr efifef ifoonn sd nee cpeefufpitlée. par guerres injuftes foire ou
Contre la fécondé vertus de Foy font ceulx qui
croient erreurs ôc herefies contre la Fdy, ou qui s’en
mocquent, ou qui croient plus fermement chofes qui
ne font point fondées n’en raifon , n’en revelacion,
que ils ne font la Foy. Contre ce font auflÿ ceulx qui
abufont de leur fcience ou congnoiflàncc, en fraudes
ÔC decepcions -, fans rendre droit fie juftice à ung chafeun,
tant bien au povré comme au riche, fie qui achaitent les
Offices de Juftice, 8c puis la vendent. Contre ce font
ceulx qui enpefchent la promotion des foiges Clers, qui
avueruollieenntt àp rdeeffefreenrd firee a lav aFnocyie frie a fualitrree sle q Suie arvuircoen Dt icvoinnt,r afiie
fréesre czo pnoduicri lo’nosn.n eNuro dteuz S,e ilgens feaumr,i plioerusr d loeiuvre lnatb eeuftrr,e p poruér
rendre aus bénéfices foveur : mais les meilleurs fervi-
teurs, comme la fille, Ôc ceulx qui fervent au plus grant
Roy, à Dieu, font à preferer, 8cc.
Contre la tierce vertus Ôc condicion de bonté, font
ceulx Ôc celles qui blfilphement le digne nom de Dieu,
comme il fo conplaint : Totadie nomen meum blafphe-
matur. Ifoiæ. Lii. f. Qui le renyent, ficlemaugrient,
8c delpitent j qui eft horreur , non pas feulement à
l’oyr , mais à le panfer. Bien font villains fie ingras
plus que chiens qui ainfi renyent leur Maiftre, leur
Seigneur, leur Roy, leur Bienfaiteur , leur propre
Pere. Contre ce font auffi les Officiers qui par exactions
8c extorcions grievent le povre peuple, jufques à les
efcorchier , fie rungier, ÔC coufroiffier, à lexemple
des lyons , ou d’ours , ou de loups raviffables , fons
y riens elpargnicr : par quoy eulx ôc leurs povrèsenf-
fons font fouvent livrez a doleurs , tourmens, Ôc à
^ mort angpiflèufe, Ôc les Seignicurs en ont le moins.
S E R M O N
Pour le jour de la Pelle de la Nativité
DE S. JEAN BAPTISTE.
M n ln in nativitate ejusgaudebunt. Luc. 1.14.
ON lèult dire Saint Gabriel bonnes nouvelles:
pareillement on peut dire Saint Jehan bonne
nouvelle. Cecy nous veons maintenant acom-
pü
folaciondes bons, comme pour ofter l’exeufotiondes
mauvais: que les parens Saint Jehan furent nobles Ôc
dignes felond le monde, ôc dédiez ÔC focreçàDicude
la lignie Sacerdotail. Et cecy. vault aux enfons, pour
en bien ufor, Ôc car ils en font mieulx cndoélrinez ÔC
ont honte s’ils n’enfuyent. Icy ôc en efpecial Saint
Jehan pouoit de tant mieulx prefehier la ceflàcion du
Pçerevfotirra ggreâ, cefe dloonidt alevuori ri nlt’eclrpprriett aqcuieo nf,o iqt uZea icl hdaeruiet cfoonu--
venant de Dieu , fie la voulente Elizabeth, que foit
rqeume plie Ôc fooullée de Dieu. Dit oultre Saint Luc. 1.6. Tous deux eftoient juftes devant D ieu , & aloient&
accompliffoient tous les Commendemens & injiitutions de ÔC fobre. Mais helas ! trop vray eft ce que dit lePro- ^ Dieu, fans plaintes. Notez quel bel couple, quant eC- phete: Non eftgaudere impiis Ôcc. I f a ï æ . X L v i 1 1 . 2 2 . Les mauvais ne fo peuvent dignement esjoir, pour la
trille prefehee de leurs inquites Ôc les apres remors de
confcience. Que ferons nous doneques ? convertit
fons nous à Dieu, ÔC demandons pardon, fie delaif-
fons toute iniquité par vraye repentence Ôc contri-
cion : fie nous avons bonne ayde à cecy faire j nous
anvoouns sa SvoaninstS Jaeinhta Jne hnaonft lr’eE Pvaantrgoenli,f t8ec, fdous qjuufetle slap aNreantisj
vité eft aujourdhuy, voir la Nativité en gloire: car
aujourdhuy trefpaflà fons doleur de mort, de celle
mGaifberriee,l ôecn tpoaursd uaruatbrlees f:é liccaitré v; irgNinoiutés aqvuoi nfsu l’eAnn gceesl
daveounxs, Vfiaeirtg ee fMtree rec oduefi nDs ieauu xÔ c Atenmgepllse. \i àNcréo udsu vfaoiunst ® frrauliétléif:i enr.’ eft ne puiffe Faüum eft cum Sucer dot 10 Ôcc. Luc. 1.8.
pli en celle glorieufc, digne, fie joyeufeNativité, car
elle nous amena Ôc amainne joye* felond ladenuncia-
croiolen pdreo pl’oAféneg e:l Gabriel, qui dit à Zacharie par la paMaintes
gens s'esjoiront en fa nativité. Si eft celte Nativité plaine de grant jocondité, comme
nous veons par tout, fie comme à la naiflànce de l’e-
ftoile jornale , à l’aube du jour toute riens s’elgaye
&c fo renouvelle, la rofée chiet, les tenebres fo partent
, couleur revient par tout, les oyfillons jargon-
gnent: pareillement doit eftre en la Nativité de Saint
Jehan, qui fu l'eftoile jornale precedent le vray fo-
leil de Juftice noftre Seigneur JefusChrift. Esjoifl'ons
nous doneques maintenant, voir de joye efpirituelle
pous ôc cfpoufc font tous deux bons, ôc que c’eft devant
Dieu , fons ypoerifie, faintife, ôc que c’eft és
Commendemens, fons nul trepaflèr, ôc que c’eft fons
plainte, ouefeandej voir quant en eulx eft dit oultre,
que ils n’avoient nul enfant, car tous deux avoient pafle
leuraage, fie Elizabeth eftoitbrehaigne. Notez contre
ceulx qui murmurent contre eulx, quant aucun mal
leurvient. T'ana eft fpes tua. H ob. 11. 22. que la concepltuios
nn SaatuinretJ . ehSai nfu f tur èms ebriveeni ldleout,f of ipe oneu rf ud opuobinlet lcuabugfeot, auôcs
elloiies, ne melencolieux, ne lait, que gens mariés ne
doivent point delper d’enflànt, qu’ils ne fe tournent à
prier Dieu, ôc c’eft la Foy grande de ces deux..
ralité : n’eft fi vieil ôc brehain en pechié qui 1
Elprit. Nous vous avons comme coufire de ceft enfant
Saint Jehan, comme celle qui fûtes ifoNativité,
felond la plus commune opinion, comme celle parla
folutation de la quelle Saint Jehan fu rempli du faint
Elprit dedens le ventre de fo Mere. Et veons ycy, ô
dévot peuple Creftien , veons de quelle vertus eft la
felutacion de noftre Dame: car tantoft que la vois de
fo felutacion parvint aux oreilles de la Mere Saint Jehan,
ceft enfont s’esjoït 8c fu rempli du feint Efprit. Et
or eft ainfi , que celle Dame eft fi benigne ôc tant
courtoifo, que fe nous la feluons, elle nous refoluera:
fi la foluerons pour grâce, Ôc vertus, fie joye enpe-
rtorenrs,: afin qu’elle nous daigne rendre falut *, ôc luy di^
4ve Ma r ia , ÔCC.
L T I in nativitate cjus gaudebunt, Luc. 1. 14.
Je ne puis fe mefemble plus..........prachierde
celle Solennité tant à la............ Saint Jehan, comme
à noftre inftruélion, que par ufor de l’iftoirc Evange- G
lique qui profluit au long tout le miftere de celle Nativité.
Sy diray que celle Nativité eft joyeufe felond
.......... diverfes confideracions principales. Joyeufe
, quant on confidere les parens Saint Jehan felond
leur condition naturelle , moralle , accidentel-
Il’ea d•n u• n•c i•a ti..o..n.. ..d..e. ..l.’.A...n.gJoely efeulfoen,d qfouna nat popna rciocniofnid, erreecommendation
, fon operacion................ad fecundum
Evangelium. Joyeufe quant on confidere Saint
Jehan avant fa Nativité felond fo juftificacion , fon
exultation, fo prophetizacion, ad tertiumEvangelium. Joyeufe, quant 1a Nativité ôc Circoncifion, felond l’ex-
fuelltoancdio nl’dabeist avcoioifnin èss, dleaf egrsa ri.f.o..n.. .d. e Zacharie, ôc puis ad cfuartum Evan>
qDuiee Pur,e fftier efse ldoonidv ebnotn fnoerv cior,u f8tuc mene lôecu or uo rtedmrep, leô,c dlee pveaunt
ple doit attendre hors Ôc orer. L ’Angel bon appart à
tels, il print corps de l’air cler ôc luifent. Il troubla
premier, mais apres il confola. Notez la condition des
ôbco Snsa,i ntl aJephriaenr efu. Zcoancchcauri dee e llluoyit, pnoounr mlei be iceonm commem J.u Cn.,
de femme feule, & : fu fils non fille par confiance. E t
vocabis ôcc. ÿ. i. 15. Notez, il ha nom que Dieu
nomma, ôc ou quel eft grâce : ôc ceulx qui ont ce nom
en doivent mieulx vivre, ôc qui ont à Patron S. Jehan :
plufieurs s’esjoiflènt, ôcc. Notez de diverfes joyes, des
dances, des malades, des mauvais enffans qui font doleur.
Magnus coram Deo non mondoj qui, cjuod altum Luc. xvi. iy. V'inum & ficeram Luc. 1. ir. N a tu re -
nôcu sy f vorberfilèè d.e. .s. . e. .n. .fyomnsi.tari populis, contre lagloutonnie
S E R M O
Imperfcétus, in Gallico, fub eo Themate :
Obfecro vostanquam advenas & peregrinos. 1. Pet. & X
Pèlerins elles en celle vie,
Et comme tels devons prier :
CDoem cme ev opuèsl eprriines vous maintenez
Vous retenez,
C’cE’esftT lal ’leuxphpolirctaacciioonn , ôqc uoeb fdeic-jrea cli’eoxnh qourtea tnioonus,
geuum. ouvrons lesyeulxde noitre panfée & les net-fait St. Pierre noftre Pere U d u jo u rd u ’y. H poUoitbien commander,ôc Pafteur tant en l’Epitre de par
vtorayyoen Fsdoeyt,o&u nteo uosr dtruoruev; er&on rse cgealrldeo Nnast ievni tléa toluumtei èprlea idnee luy, comme de par Dieu : mais il ayme mieulx à
cdhe ijéo,y eq. uMellaei sm fee rnvoesilylee ufel xnfoouns td eenmpoefucrhoinesz e pna trrliofteedfleêp,e- nous deprier & chierement fupplier, amnquefenous
8c avons franc 8c noble cuer nous y obbeiflions plus pat
difons aveucThobie: Qmlegandmm, 8cc. Tob.v. i
amour que par contrainte. Obfecro, inquit, vos tan-
T - , ; o ‘ T 3 . V - - - - - . . . . . . cjoim ‘a“ d. .v. e. .n' a“ Js & gpeetr ceognrninuoss., u8cccc. . j Je e vvo ou us s ppr ri i, , adi it t I iI l, ,
U ii oaint Luc, que ou temps Herode Roy de maintenant: 8c car la condicion du pelerin eft vou- Jud□éCeC TfuU uunn ge PPrrpeffttrrpe nnonmmmmpé Zacharie, qui fucc_e - i __• « « .* .
doit à Abia Ôc avoit une femme nommée Elizabeth
qdeuse fMilleefsf idaes Aeallrooint . à nNaoiftttreez que le temps elloit venus fecundùm PropHecias Jacobs
j que bons peuent eftre ou temps des mauvais
Roys, tant pour leur reprdfion, comme pour la conglernatcieer,
s Soeyer. ppealrelreirn, vôocicre. s fmomaims epsa nrloeur sn, eh voarsu lmt ifso dnes
noftre cité, de noftre pais, de noftre heritaige , de
neon ftlrae v afilnéea bdlee pfélloicuirt,é eonu ldae rfeegrti odne dcee pporevfreentét m. onde, Non
habemus hic civitatem manentem , fed futuram Hebr.