d’une société européenne, je dois avouer qu’en secret je me suis félicité d’avoir vu la Méditerranée
japonaise dans cet élat primitif, 'où Ton va encore à la découverte, avec des
cartes approximatives, en demandant à des pilotes du pays les noms des île s, des montagnes,
des villages, et en jetant l’aficre pour la nuit dans une anse quelconque appelée
« beau port » par les indigènes.