
 
        
         
		petite guerre.  Voyt{ P a r t i , G u e r r e ^   Petite  
 G uerre. 
 Un  parti fan  intelligent &  entendu dans la  guerre  
 , produit de grands avantages à l’armée ; il en éloigne  
 les partis  ennemis ;  il inftruit le général de  toutes  
 les démarches de ion adverfaire ; il fert à étendre  
 les  contributions  ;  à  gêner  &   à  harceler  l’ennemi  
 dans  tous  fes  mouvemens.  Il  faut  de  grands  talens  
 pour  bien  s’acquitter  de  cette  fonftion ,  &  lùr-tôut  
 favoir fuppléer par l’art &  la rufe à  la force ;  en un  
 mot.  comme le dit fur ce fui et un auteur du métier,  
 >y  il  faut beaucoup  de  pénétration &   d’intelligence  
 »  pour faifir le  noeud &  la difficulté d’une entrepri-  
 >>  le ; de la  prudence &  de la  juftefte  dans le  choix  
 »  des moyens  propres à  l’exécution ;  du  fecret  &   
 h  de la  circonfpe&ion dans la conduite ;  de  la gran-  
 »  deur  d’ame  &  de  l’intrépidité  à  la  vue  du  péril ;  
 »  enfin  une  préfence* d’efprit  en  toute  rencontre  ,  
 »  jufques dans le feu de l’a&ion même.  (Q) 
 Partisan ,  {Finances.')  on peut définir lês parti-  
 fa n s ,  des  hommes  qui bâtiffent  fi vite  leur  fortune  
 aux dépens  du public ,  qu’on  en  voit  le  faîte  auffi-  
 tôt que  les  fondemens.  iCe font  ces pâtres qui habitent  
 les  fables  voifins  du  Palmyre,  &  qui  devenus  
 riches  par des  traités  avec  l’état,  achètent  du  plus  
 pur  fang  des  peuples  ,-  des  maifons  royales  pour  
 les  embellir  encore  &   les  rendre  plus  fuperbes.  
 Ces  gen s -là ,  dit un  écrivain  célébré,  exigeroient  
 des  droits  de  tous  ceux  qui boivent  de  l’eau de  la  
 riviere  ou qui marchent fur  là terre ferme.  Ils trafi-  
 queroient des Arts &  des Sciences,- &  mettroient en  
 partis  jufqu’à  l’harmonie. 
 La  refl'ource utile pour  un tems très-court, mais  
 dangereufe  pour toujours  (j’entends celle de vendre  
 les revenus  de (’état  à des partifans qui avancent  de  
 l’argent) ,  efl une invention que Catherine de Médi-  
 cis apporta d’Italie,&  qui peut contribuer plus qu’aucune  
 autre  aux malheurs  de  ce  beau  royaume.  Les  
 gros  gains  que  font  les partifans  ,  en  achetant  du  
 prince les fubfides qu’il impofe, font nuifibles au monarque  
 &  au peuple ;  ces gens-là font également prêteurs  
 &  cautions ;  enforte qu’ils fournilfent toujours  
 la majeure partie des fonds,&  le profit de leurs avances  
 fert encore à  groflir la maffe de leurs biens :  l’argent  
 cherche l’argent, &  chacun conçoit que les partifans  
 poffédant  des  capitaux  immenfes gagnés  dans  
 le cours d’un petit nombre d’années ; ils font en état  
 d’acquérir les papiers les plus avantageux,  d’en faire  
 im monopole ;  enfin d’ajouter  chaque jour  quelque  
 nouveau  degré  à  leur  fortune  &   à  leurs  dépenfes.  
 (£>.ƒ.) 
 PARTITIF , ve , adj.  ce terme eft ufité en Grammaire  
 pour  carariérifer  les  adjeôifs ,  qui  défignent  
 une partie  des  individus  compris  dans  l’étendue  de  
 la  lignification  des  noms  auxquels  ils  font  joints  ;  
 comme quelque, plufeurs, & c.  Les Grammairiens latins  
 regardent encore  comme partitifs,   les adjeftifs  
 comparatifs  &   fuperlatifs,  les adje&ifs  numéraux,  
 foit  cardinaux,  comme  un  ,  deux,   trois,  &c.  foit  
 cardinaux  ,  comme  premier, fécond,  troifieme,   &c.  
 parce  qu’en  effet tous ces mots défignent  des  objets  
 extraits  de  la totalité,  au moyen  de la qualification  
 comparative, fuperlative, ou  numérique,  défignée  
 par ces adje&ifs.  Plufeurs de  nos anciens auteurs ,  il  
 ne s’agit pas ici de  tous ‘nos  anciens  auteurs  ,  mais  
 d’une partie  indéterminée  qui eft  défignée par  l’ad-  
 jeciifplufeurs, qui par cette raifon eft partitif.  Deux  
 de mes amis ; il s’agit i c i ,  non  de  la  totalité de mes  
 amis,  mais d’une partie précife déterminée numériquement  
 par l’adjeâif cardinal ou collectif deux, qui  
 eft partitif. 
 Il me femble,  que ce  qui  a  déterminé les Grammairiens  
 à  introduire le  nom &   l’idée  des  adje&ifs 
 partitifs  ,  c’eft  le  befoin  d’exprimer  d’une  maniéré  
 précife une réglé que l’on jûgeoit néceffaire à la com-  
 pofition des thèmes.  Ger. Voffius  dans fa fyntaxe Latine  
 à  lufages  des  écoles  de Hollande & de Wefl-Frife ,  
 s’explique ainfi, pag.  igq.  edit. Lugd. Bal.  /64J. Ad-  
 jectiva par-titiva  & ômnia partitivè pofta regunt 
 genitivum pluralem , vel colleclivi nominis fngularem :  
 u t ,  quis  nojirûm. . .  fapientum oclavus. . .   ô major ju-  
 venum ■ .... optirnus populi romani.. .  .fequimur te fancte  
 Deorum.  Mais  cette réglé-là même eft faillie,  puisqu'il  
 eft  certain  que  le  génitif n’eft  jamais  que  le  
 complément d’un  nom appellatif,  exprimé ou fous-  
 entendu :  voye^ Génitif.  Et il y  a bien plus  de vérité  
 dans  le  principe  de  San&ius :  ( Miner.  I I .  3 . )   
 ubi partitio fgnificatur ,  genitivus  ab alio  nomine fub  
 intelleclo pendet.  Il indique  ailleurs  ce qu’il y  a communément  
 de fous-entendu après  ces adjeâifs partitifs  
 ;  c’eft ex ou de numéro  { Ib.  IV .  3. ) :  on pour-  
 roit dire encore  in numéro.  Ainfi  les exemples allégués  
 par Voffius  s’expliqueront  en  cette maniéré:  
 quis  de  numéro  nofrûm ;  in numéro fapientum  oclavus  
 ; ô major in numéro juvenum ; optirnus ex numéro  
 hominum populi romani ; fequimur te fancte in  numéro  
 Deorum,  &  peut-être encore m ieux, fancte lu-  
 pra cæteram turbam Deorum.  V Superlatif. 
 Des  modernes  ont  introduit  le  mot  de  partitif  
 dans  la Grammaire  françoife ,  &  y  ont imaginé  un  
 article partitif  LaTouche,  le P.  Buffier, M. Reftaut  
 ont adopté cette opinion ; & il eft vrai qu’il y  a partition  
 dans  les  phrafes  où ils  prétendent voir l’article  
 partitif,  comme du pain,  de l'eau ,  de l'honneur ,  
 de  bon pain ,  de  bonne  eau.,  & c .  Mais ces  locutions  
 ont déjà été  appréciées &   analyfées  ailleurs ,  voyeç  
 Article ; &   ce qu’elles ont  de réellement partitifs  
 c’eft la prépofition de qui eft extrariive.  Pour ce qui  
 eft du prétendu article de fes phrales,  ces Grammairiens  
 font  encore  dans  l’erreur ,  &   je  crois  l’avoir  
 démontré.  Voyei Indéfinl  {B. E . R. M.  ) 
 PARTITION ,  f. f.  (  Gram.  Bell. Leit. ) partitio 4  
 partage,  divifion, ou  diftributiôn de quelque chofe.  
 Hoye{ D ivision , D istribution. 
 Partitions  oratoires,  eft  le  nom qu’on donne  aux  
 dialogues de Cicéron fur l’éloquence,  entre  cet orateur  
 Ec fon fils, parce que le difcours y  eft pour ainfi  
 dire, partagé ou  divife entr’eux. 
 Pa rtit io n  du  baromètre ,•  {Pkyfîq-)  on  appelle  
 ainfi la divifion  que l’on a  faite en fèpt parties ,   
 des  deux  pouces  de  différence  qu’il  peut  y   avoir  
 entre le plus haut  &  le plus  bas du mercure  ,  il ne  
 monte jamais  plus  haut  que  vingt-neuf pouCes ,  &   
 ne defcend jamais plus bas que vingt-fept.  Ces deux  
 pouces de  différences  font divifés  en vingt-quatre  
 lignes,;  mais  en outre  on  les partage  encore  en fepf  
 partitions,  dont  chacune  dénote  le  tems  qu’il  doit  
 faire ,  lorfque le mercure y  eft monté  ou defcendu.  
 La partition du  milieu  eft infcrite  du nom  de  variable  
 , parce qu’ordinairement le tems eft changeant &   
 variable,  lorfque le mercure s’arrête en cet endroit.  
 Cette  partition  du milieu  en a  trois  au-deffous ; les  
 trois  fupérieures  en montant font infcrites du beau  
 tems,  du beau  fixe &   du très-fec ;  &  les trois inférieures  
 en defcendant font infcrites de pluie ou vent,  
 de beaucoup de pluie &  de  tempête.  Traité du Baro-  
 métré.  I S I 
 Pa rt it io n , en Mufique,  eft la colleftion de toutes  
 les parties d’une piece, par laquelle on voit l’harmonie  
 qu’elles  forment  entr’elles.  On  écrit  toutes  
 ces  parties  l’une  au-deffous de  l’autre,  chacune  fur  
 fa portée avec la clé qui lui convient,  commençant  
 par  les  parties  les  plus  aiguës,  &  mettant la baffe  
 au - deffous  du tout ;  &   on  les  arrange  de maniéré  
 que  chaque mefure d’une  partie foit placée perpendiculairement  
 au-deffus &   au-deffous  de la mefure 
 corfefpondante dans les autres parties,  &  enfermée  
 entre les mêmes barres prolongées, afin qu’on puiffe  
 voir  d’un  coup d’oeil le rapport de  tout  ce qui  doit  
 s’entendre à  la fois.  Comme  dans cette  difpofition,  
 uee feule ligne de mufique comprend autant de portées  
 qu’il y  a  de parties,  on  embraffe toute cette ligne  
 par un  trait de  plume qu’on  appelle  accollade ,  
 &  qui  fe  tire  à  la marge  au  commencement  de  la  
 ligne ; ainfi,  quand on veut fuivre une feule partie,  
 après avoir parcouru la  ligne  jufqu’au  bout,  on  ne  
 paffe pas à celle qui  eft immédiatement au-deffous ,  
 mais on  regarde quel rang  cette partie occupe  dans  
 fon  accollade :  on va dans l’accollade  qui fuit  chercher  
 la portée  correfpondante,  &  l’on  y  trouve  la  
 fuite de la même partie. 
 L’ufagc  des partitions  eft indifpenfable pour com-  
 pofer.  Il faut auffi que  celui qui conduit un concert  
 ait  la partition fous les yeux pour voir fi chacun fuit  
 régulièrement  fa partie,  &  remettre  ceux qui peuvent  
 manquer.  Elle eft même utile à l’accompagnateur  
 pour  bien  fuivre  l’harmonie ;  mais  quant  aux  
 Muficiens  concertans  ,  on  donne  ordinairement  à  
 chacun  fa  partie féparée,  étant  inutile pour  lui  de  
 voir celle qu’il n’exécute pas. 
 partition eft  encore parmi les facteurs  d’orgue  &   
 de  claveffin, une  réglé pour accorder l’inftrument,  
 en commençant par une  corde ou un tuyau de  chaque  
 fon dans l’étendue d’une oétave ou un peu plus ,  
 prife versTe milieu  du Clavier,  &  qui  ferve de terme  
 de  comparaifon à l’accord  de tout le refte. 
 Voici  comment  on s’y  prend pour former fa partition. 
 On prend d’abord fur l’inftrument dont je parlerai  
 au mot T  on , un fon pour fervir de bafe ou de terme  
 à   tous  les autres ;  &  à l’uniffon  ou à  l’o&ave de ce  
 fo n ,  on  accorde  le  c  fo l ut  qui appartient à  la clé  
 du même  nom,  &  qui fe trouve à-peu-près dans  le  
 milieu  du clavier ;  on  accorde  enfuite le fo l quinte  
 de cet u t, puis  le re. quinte de  ce fo l ;  enfuite on re-  
 defeend à l’oftave ré ,   à  côté  du premier ut ; on remonte  
 à la  quinte  la , puis  encore à  la  quinte  mi;  
 on  redefeend  à l’oétave  de mi,  &   l’on continue  de  
 même, montant de quinte  en quinte &  redefeendant  
 ^ 1  o ftave,  auffi-tôt qu’on s’éloigne trop ;  on  s’arrête  
 quand on eft parvenu au fol dièfe. 
 Alors, on reprend le premier u t,  &  l’on accorde  
 . fon  oftavé  aiguë ;  puis la quinte fa   de  cette odave  
 en  defcendant ;  l’o&ave aiguë de ce fa ;  le f i  bémol  
 quinte de Cette oftave ;  enfin à la quinte de  ce f i  le  
 mi  bémol  dont  l’odave  aiguë doit  faire  la  qui’nte  
 avec le la bémol ou fo l dièfe accordé précédemment.  
 Quand  cela  arrive ,  la partition  eft  jufte  ;  elle  eft  
 fauffe  quand ces  deux fohs.ne  fe  trouvent pas  d’accord  
 ,  à peu de chofe près,  ce qui arrive infailliblement  
 y  quand on'ne  foit pas les réglés dont je donne  
 le principe ,  &  que j’explique au mot T e m p é r a m 
 e n t . 
 La  faitey  le relie  eft très-aile à  acï 
 f ÿ ® I  D h I I I I h  plnsigueftion que  dès o 3 aves  
 &  des unïÇoi*; de td.ut ce qui y  eft. contenu  (S)  
 Partit ion ,  (Orgue. )  c’eft le fondement de l’ac-  
 g « “  a ete ainfi nommée, parce qu’elle partage  
 1 octave en tons &  en demi-tons :  la partition Ae l’or-  
 gtie  fe  fait fur le 'preftant,  elle comprend  l’étendue  
 dune douzième  depuis  la  clé d y « r / . ;  ; „ f e ,’à  Vue  
 «aye dej«î»i de la ci é d ^ Æ u .   Toute la par-'  
 tuipn fe   fiut au moyen des pÿtavés,que l’on  accorde  
 jiilte  &   des quintes  que  l’on  accorde jufte  &  que  
 1 on diminue  enfuite ;  enforte que  le battement foit  
 en-deffous. 
 Lé  fondement de  la partition  eft le ton rendu par  
 un tuyau d’un me, à l’uîdfton duquiMn acq01 de l’ut  
 de  la  clé:ou  du milieu  du  clavier ;;.ce;.tpn.eft  à  la  
 double  oftave  du (ton  fixe  des muficiens  qui eft  le  
 fon rendu par uq'.tiiyau dèqitatrê p i& à & à t . Après  
 ayojr aç,coj.de le  ton m d,e.la.cLéiiiiÿÀ«Ai. on  ac-  
 corde  tous  les  tons  compris dans  la partition,  en  
 cette  manière  &   comme  ils  font  marqués'dans  la  
 jtg. m .  r i .  dOrgue.  Les notes rondes de cette figure  
 maïquent^lqs  tops,ftir lefquels  on S o l d e   &   les  
 n o ioe e u x   fon  aoçOTde1;  de 
 la cle de cM   j n  accojae  aü,tfeps;£, 
 1 aquèileylijit, etre jufte ;  on repi end enfuite Vut de la  
 d e  fur  lequel  on accorde lé &  d e là  clé de  g lé f i l .   '  
 Cet  accord  eft  une  quinte que  l’on  doit  baiffer un  
 peu  apres  l’avoir  accordé  jufte :  toutes  les  quint«  
 que  1 on accorde  en-deffus,  c’eft-à-dire ,  lorfque la  
 note que l’on accorde en quinte  eft au-deffvts de celle  
 fur  îaquelîelon  accorde ,Wîinine dans  cet exem-  
 ple ;  on doit baiffef la n o } e ^ zW |® d - d e i f éM I ; ’  
 la  vraie quinte,  ce  qui produit un  battement  affez  
 lenfible-daps  les  dejfus Sc peu marqué  dans les  bafm 
 .   Lorfque  les  quintes  'que l’on  ac’c<î?|e*4ont  en  
 defcendant' pu.(fqtft  en-déficte ,  d f t f à t t  leur battez  
 ™ent  i  comme  par  exemglé  la  quinte fa 
 u t,  on doit  hauffér la n o jB '^ B i   eft celle diteTon  
 accordé .un peu au-deffus difffin piVellé^fiit la quitii  
 te  jufte avec  Vut,  &   cela  afin  clantles  deur cas de  
 diminuer  l’intefvalïe'd’Uiie flbïê-ïi’aùtrë,  cé’'qui eft  
 un tempérament que 1«  quintes exigent dans  le fy {-  
 teme  diatonique  .tëmperefeloii lequel on  accordé  
 ^ ’orgues ,&  tes  claveflîns.  Après’ qüe  1 e 'Jol  de  la  
 cle -ap,^ té-fol eft<àccïj*|e'&  tempéré ,   cdhifSe  il  
 qonyient,  fur 
 ce g izyb ii accoide  g 'Æ îiite ’fe  en  deflùts,  le battement  
 de cette  quinte doit  être  en-deffous  fur le  réj  
 on .accoide  la  quinte  ‘la.  îônt le  battement  doit  dé  
 même être en-deffous, 
 ? 
 - U + L 
 . •  1  a  punîtes  lont  bien  temDérées 
 tierce  majeure/a  Mgiii Mla  qui "eft»  efit™re  “e f Bï e S 
 ■ ^   fff°"?CC0rde> &  « c e ! 
 le  elle doit etre  jufte fur le fa   ; on accorde  en-def-  
 lous  la  quinte  \>f y  cette, quinte  a  pour preuve  la  
 tierce majeure  lf f i  re  qui 'doit être ju^ejtur le f   »  
 on  accorde  fon  oâà ve  au-deffus  qui  doit être jufte  
 fur le f i  j; fupérieur ;  on  accorde en-deffqus  la quin-  
 te  dont le battement doit  être en-deflùs • 
 cette quinte a pour preuve la tierce majeure ^ mifoL 
 Ô~i)  '