
 
        
         
		excepté  en certains cas déterminés par la  loi.  Voye{  
 B é n é f i c e . 
 Plufieurs auteurs prétendent avec raifon que la perpétuité  
 des bénéfices eft-établie par les anciens canons, 
 8c  que  les  prêtres  font  inféparablement  attachés à  
 leurs églifes  par un mariage  Ipirituel ; il eft  vrai que  
 la corruption s’étant  introduite  avec le -teins ,  6c  les  
 prêtres  féculiers étant  tombés  dans un  grand défor-  
 dre 8c même  dans  un grand mépris> les  évêques furent  
 obligés de fe  faire aider dans l’adminiflration de  
 leurs diocèfes par  des moines, à qui  ils confîoient  le  
 foin  des  âmes 8c le gouvernement  des  paroifl'es , fe  
 réfervant le droit de renvoyer ces moines  dans leurs  
 monafteres  quand  ils le jugeroient  à-propos  ,  8c  de  
 les révoquer ainfi  dès  qu’il leur en prenoit envie. 
 Mais cette adminiftration  vague  6c  incertaine n’a  
 duré crue .jufqu’au xij.  fiecle, après quoi les bénéfices  -  
 font  revenus à  leur première  8c  ancienne perpétuité. 
 PERPIGNAN  ,  ( Géog. mod.)  en  latin  du moyen  
 â g e , Perpiniacum ; ville de France, capitale  du Rouf-  
 fillon, bâtie dans l’endroit où étoit autrefois une ville  
 municipale  appellée Flaviurn Ebufum. 
 Elle  eft  très-forte, munie  d’une  citadelle  qui  eft  
 fur la hauteur, 8c commande la  ville. Elle a un évêché  
 ,  un  confeil  fouverain, un intendant,  un hôtel  
 des monnoies, 8c une  univerfité fondée en  1349 par  
 Pierre, roi d’Arragon. 
 Cette univerfite  eft compofée de quatre  facultés ; 
 ce qu’il y   a  de  fingulier, c’eft que  les  chaires  de  
 Théologie  font  partagées  en deux  fentimens. Dans  
 l’une on enfeigne la  do&rine de S. Thomas , 8c  dar.s  
 l’autre,  la doârine  de  Suarès.  Il eft permis  aux  étu-  
 dians de fuivre celle qui  leur  plaît ; mais  les profef-  
 feurs  de  ces  deux  chaires doivent être bien habiles :  
 ceux-ci,  pour  découvrir  la  doftrine de S. Thomas ,  
 noyée  en  18 volumes in-folio, ceux-là pour pénétrer  
 celle de Suarés, dont les oeuvres forment 23 volumes  
 in-folio. 
 L’évêché de Perpignan eft fuffragantde Narbonne;  
 on  en  évalue  les  revenus  à  15  mille livres,  &  l’on  
 compte dans fon diocèfe  180 paroifl’es. Quelques évêques  
 de cette ville ont pris le  titre d’inquifiteursjmais  
 rien  n’eft  plus  déplace dans un  royaume tel  que  la  
 France,  où  le feul  nom  àfinquifition  révolté  les  ef-  
 prits ,  8c  où l’évêque de Perpignan ne peut s’arroger  
 des prérogatives , &  avoir des "fondions  différentes  
 de celles  de fes  collègues. 
 La première églife de Perpignan  fut élevée  par les  
 habitans  fous  l’invocation de  S. Jean-Baptifte  , dans  
 le xi. fiecle. Beranger , évêque  d’Eluc, la confacra le  
 j  6  de  Mai  1025 ,  8c Gaufred, comte de Rouflillon,  
 foufcrivit l’acte-ou appofa fon fcel à l’a&e qu’on fit de  
 cette  confécration. 
 Le  corps-de-ville de Perpignan eft un  des  plus  il-  
 -iuftres qu’il  y  ait dans  le  royaume ;  il  eft  gouverné  
 par cinq confuls qui ont le privilège de créer tous les  
 ans deux  nobles, qui jouiffent de toutes les  prérogatives  
 des  gentilshommes, &  ont la  qualité de chevaliers. 
  La noblefîe de ces fortes de  citoyens  eft  reçue  
 à Malte-,  en  forme de  la  bulle magiftrale  du  grand-  
 maître , du  14 Juin  1631. 
 La  ville  de  Perpignan  eft fituée  fur la rive  droite  
 d u T e t , partie dans une plaine 8c partie fur une  colline  
 ,  dans un  terroir fertile en bon v in , à une  lieue  
 de la  mer , à  12 lieues au fud-oueft de Narbonne  ,  à  
 .30 au fud-oueft de Montpellier, à 40 fud-eft de Tou-  
 loufe ,  8c à  175  au  midi de Paris.  Longitude, fuivant  
 •Caflini,  Lieutaud 8c Defplaces, 2.0. 24.  lat.  42. 4/. 
 C ’eft à Perpignan que mourut d’une  fievre chaude  
 Philippe III. roi  de France,  à  foii  retour d’Aragon,  
 en  1285,  âgé de 40 ans 8c quelques mois.  On  le  fur-  
 nomma  le Hardi,  8c l’on ne fait pas  trop pourquoi,  
 car il ne fit jamais  rien qui  pût  lui mériter  ce titre ,  
 mielle que foit l’idée qu’on y  attache. Le corps de ce 
 prince fut porté à Narbonne, où l’on célébra fes ob-  
 lèques.  (Le Chevalier  d e   Ja u c o u r t .) 
 PERPLEX,  PERPLEXITÉ,  ( Gramm.)  état  de  
 l’efprit incertain fur un événement, fur une queftion,  
 fur  un ordre,  &c.  La doôrine  fur  la  prédeftination  
 jette  l’ame  dans de grandes  perplexités.  Si  nous  n’abandonnions  
 pas beaucoup de chofes au hafard, notre  
 vie ne feroit qu’un long tifl'u de perplexités. La perplexité  
 naît toujours ou de la pufillanimité, ou  de  la bêtifie  
 ,  ou de  l’ ignorance. 
 PERQU1SITEUR ,  f.  m.  (  Jurifpr. )  expédition  
 qu’on leve  en la  chancellerie  romaine  , afin de certifier  
 qu’il y  a eu telle demande formée, tel aéle, telles  
 lettres expédiées.  On  produit  fouvent dans les  procès  
 pour bénéfices, des perquifiteurs. 
 PERQUISITION, f. f.  ( Gramm. ) recherches ordonnées  
 par  un  fupérieur,  8c  occafionnées  par un  
 délit  lùr  lequel  on  n’a  pas  les  connoiffances  nécef-  
 faires. La publication de  ce livre donna  lieu aux per-  
 quijîtions les  plus rigoureufes. Avec toutes cesperqui- '  
 fit ions, on ne découvrit rien. 
 PERRANTHES, (Géog. anc. )  nom que l’on  don-  
 noit  ,  félon Tite-Live  ,  l.  X X X V I I I .  c. jv .  à  une  
 colline  efcarpée  qui  commandoit  la  ville  Ambracia  
 dans l’Epire.  (D .J .   ) 
 PERRAU, f.  m.  ( Cirerie. )  forte  de  grand  chau-  
 deron  étamé  ,  étroit,  rond  8c  profond,  dont  les  
 marchands  Epiciers  -   Ciriers  fe  fervent  pour  faire  
 chauffer  l’eau  dans  laquelle  ils  font amollir  la  cire  
 qu’ils  employent  dans  la  fabrique  des cierges  à  la  
 main.  ( D.  J. )   ^ 
 PERRE,  ( Géog. anc. )  ville d’Afie , aux environs  
 du  mont.Taurus.  L’itinéraire d’Antonin la place fur  
 la route  de Mélitène à Samofate ; &  la notice de Léon  
 lefage en fait une ville épifcopale dansl’Euphratenfe,  
 fous la métropole d’Hiérapolis.  (D .J .') 
 PERRÉE, f.  f. (Mefure de continence.  ) mefure  de  
 grains en Bretagne , dont les dix  font  le tonneau. 
 PERRELLE , f. f.  ( Droguerie.) terre feche en petites  
 écailles grifes  qu’on vend chez les  Droguiftes  ,  
 8c qu’on nous  apporte de S.  Flour  en Auvergne.  On  
 la prend fur des rochers ,  où elle a été formée d’une  
 poudre terreufe que les vents y  ont portée. Là, après,  
 avoir  été humeôée par la pluie , deffechée, ou comme  
 calcinée par la chaleur du fo le il,  elle fe  leve  en  
 petites  écailles  comme  nous  la  voyons.  Laperrelle  
 entre dans  la compofition dutournefolen pâte,qu’on  
 appelle autrement orfeille.  Trévoux. 
 PERRHEBES,  l e s ,   (  Géog  anc,  )  Perrhoebi.  i°.  
 Peuples de la Theffalie, le long  du fleuve Pénée vers,  
 la mer.  Ce  fu t ,  félon  Strabon,  liv.  IX . pag.  43g.  
 leur  première  demeure.  Chaffés enfuite  par  divers  
 peuples,  ils  fe  reculèrent dans les terres toujours le  
 long du Pénée  ;  8c  enfin ils furent tellement difper-  
 fés  ,  qu’une  partie  fe  retira  vers le mont  Olympe  ,  
 d’autres vers le Pinde  ,  8c d’autres fe mêlèrent avec  
 les  Lapithes  8c  avec  les  Pélafgiotes.  Plutarque, in  
 Flaminio,  dit  que  les  Perrhebes  furent  un  des  peuples  
 que  Flaminius  déclara  libres  ,  après qu’il  eut  
 vaincu le roi Philippe.  La Theflalie  prefoue  entière  
 féparoit les Perrhebes  orientaux, ou Theflaliens,  des  
 Perrhebes  occidentaux ,  ou  Epirotes.  Cette  nation  
 comprenoit  aufli  les  Selles  8c  les  Hellopes,  dont  
 quelques auteurs font autant de peuples  différens. Le  
 fcholiafte  d’Homere  obferve que, félon les  anciens,  
 les Centaures du mont Pélion étoient de la même nation  
 que  1 zs Perrhebes.  (D . J . ) 
 PERRICHE,  voye{ P e r r u c h e . 
 PERRIER ,  f. m.  (  Fonderie.) les Fondeurs appellent  
 ainfi une barre  de  fer  fufpendue  à une  chaîne,  
 avec  laquelle on pouffe le  tampon  du fourneau pour  
 faire  couler le métal dans l’écheno.  Voye{  E c h e n o   
 & F o n d e r i e  , & la Plane. /, de la Fonderie  des figures  
 équefires. 
 PERRIERE,  f.  £  (  Archit.)  carrière  d’oiiM’on  
 tire des pierres.  Il fe dit principalement en Anjou des.  
 ardoifieres.  Voyti CARRIERE. 
 PERRIERE  f. f- dans  té Artillerie & la Fonderie,  eft  
 un morceau de fer qui a une mafle  pointue  à  fon extrémité  
 avec laquelle le maître fondeur enfonce 8c  
 débouche  le  trou  du  fourneau  par où fort lé métal  
 tout  liquide  8c  tout bouillonnant pour fe précipiter  
 dans les moules. C ’eft le même outil quele/wrie/^Q)  
 PERRIQUE,  voyei  P e r r u c h e . 
 PERRON,  f.  m.  (Archit.  )  lieu  élevé  devant  
 une maifon,  où il  faut monter plufieurs marches de  
 pierre.  Quelques auteurs écriventparon, parce qu’ils  
 prétendent que le mot perron vient  de pas rond, tous  
 les perrons étant autrefois faits de marches arrondies. 
 Perron à pans.  Perron dont  les  encoigneures  font,  
 coupées  ,  comme  au  portail de  l’églife  du  college  
 Mazarin, à Paris.  • 
 Perron  ceintrè. Perron qui  aies marches  rondes ou  
 ovales. Il y  a de ces perrons dont une  partie des marches  
 eft en-dehors, &  l’autre en-dedans  ; ce qui  forme  
 un palier rond dans le milieu,  comme  celui,  par  
 exemple,  du  bout du jardin de Belveder,  à  Rome  ;  
 ou un palier o vale, comme au Luxembourg, à Paris, 
 8c au château de Caprarole. 
 Perron double. Perron qui a deux rampes égales qui  
 tendent  à un même palier, comme le perron du fond  
 du Capitole; ou deux raîhpes oppofées  pour arriver  
 à deux paliers,  comme  celui  de  la cour des fontaines  
 de Fontainebleau.  Il y  a  des perrons  doubles  qui  
 ont ces deux difpofitions de rampes ; enforte que par  
 un perron  quarré on monte fur un palier,  d’où commencent  
 deux rampes oppofées pour arriver chacune  
 à un palier re&angulaire ; de ce palier  on monte par  
 deux autres  rampes à un  palier  commun :  tel  eft  le  
 perron du  château  neuf de  Saint-Germain-en-Laye  ,  
 du deflein de Guillaume Marchand,architeûe d’Henri  
 IV. 8c les perrons des Tuileries qui font du deflein de  
 M.  le Nautre. Ces fortes de perrons font fort anciens.  
 On voit  encore les veftiges  d’un parmi les ruines de  
 Teheilminar ,  près  Schiras en Perfe ,  dont M. Def-  
 landes rapporte la figure dans  fon livre  des beautés de  
 la Perfe. 
 Perron  quarré.  Perron  qui eft  d’equerre ,  comme  
 font la plupart des perrons,  8c particulièrement  celui  
 de la Sorbonne  6c  du Val-de-Gracc.  Le  plus  grand  
 perron qu’il y  ait eft celui du jardin de Marly. (D .J .) 
 P e r r o n   ,  f.  m.  ( Hydr. )  font  les  elcaliers  découverts  
 d’un  bâtiment  ,  d’une  cafcade,  ou  d’un  
 làllon  placé dans un jardin ; ils peuvent etre Amples  
 ou  doubles,  ronds  ,  ovales ou quarrés ,  compofes  
 de marches ;  6c  de paliers ou repos,  (/f) 
 PERROQUET, f.  m. ( Hifi.  nat.  Ornythol.)  pfittacus  
 ,  nom  générique que l’on a donné à un grand  
 nombre d’efpece d’oifeaux qui different entr’eux principalement  
 par la grandeur 6c par les couleurs, mais  
 qui  fe  reffemblent  tous à-peu-près  par  la  forme  du  
 bec 6c du corps  ,  6c par le nombre 6c la pofitiondes.  
 doigts.  Voye%_  O i s e a u .  Les  perroquets  en  général  
 ont la  tête groffe,  le bec  6c  les ongles crochus  ,  lé  
 crâne  dur  6c  épais ,  la langue large ,  les ouvertur.es  
 des narines  rondes  6c placées  à  la baie  de  la pièce  
 fupérieure du bec près des  premières plumes du devant  
 de  la  têtè. ;  enfin  ils  ont. tous  quatre  doigts  a   
 chaque pié ,  dont  deux  font  dirigés  en  avant,  6c  
 deux  en  arriéré.  La plupart  fe  fervent  de  leur pie  
 pour porter leur  nourriture  à  leur  bec.  On  diyife  
 tous les perroquets en  trois claffes ;  la première comprend  
 les  plus grands,  ils ont .la  grofîeur  d’un  chapon; 
  ceux de  la fécondé claffe font d’une médiocre  
 grofleur,  qui  égale à-peu-près  celle  du  pigeon  do-,  
 meftique ;  enfin  on  a  mis  dans  la  troifieme  claffe  
 les petits perroquets.  On  a donné lé nom de perruche  
 ©u perricjie  à  ceux de  la fécondé 6c  de  la  troifieme 
 elafle qui ont la queue longue. La plupart des perroquets  
 apprenent aifiément a parler. Will. Ornic.voyei ■  
 O iseau. .  Perroquet d'Angola, cet oifeau grand qu’une tourterelle.  Il a le bec def’tu unn b pruenu  vpleurs' 
   d6câ trcee l;l eles s dpelsu mépeasu dlees  laf otêntte d ,’ udnû  bdeoasu,  jdaeu nlae  pcooiutrlienuer   cdo’ourle, umr êdleés  dp’uentiet etes inpltue mroeus gde ecso auîlleesu re df’té vcaerrltaete,  e; xla  
 lceesp gtér alneds eds epuluxm eexst rdéems aitîéless  qouni tf coenttt ed ’munê mbeea cuo bulleeuu r;   jbaluenuâet :r el a;  qleuse upieé se ffto lnotn dg’uuen  ,r ofuoguer cmhuêelé ,  d6ec  gdr’iusn.  verd  Hifi.  
 nat.  des oifeaux par Derhani, tomé III.pag.  S.Hoye£ 
 O iseau. e- fpPeecersr doeq pueerrto qauertrs as ; on a donné ce nom à deux  6c en   que l’on diftingue en arras bleu  arras rouge. Ils font les plus grands de tous les  
 p• erroquets, ils égalent en grofleur un chapon. Uarras  jaune,  pfittacus  maximus  cyanocroceus.,  
 Aldrovandi.  Il a le bec noir 6c un peu alongé ; il y a.  fur la peau qui entoure les yeux des plumes noires ;  luen efo fmormtee td ed ec loal ltiêetre f oerfmt aép pdlea tpi l6ucm vese rndo ;i rleas  g; otroguet ea   ldae f afacfer ainnf é, ri6ecu rle’i ndfeé crieetu ori fae uaun ee fbte dll’eu nc ojauulneue rc boluelueeu.r:   leaû qmueesu feo an te tnrèvsir-coonu dritxes-h ;u ilte pso juacmesb edse 6 lco lnegs upeiuérs  ; olenst   une couleur brune , 6c les ongles font noirs. Uarras  rouge , pfittacus maximus alter Aldrovandi^ ■  cpeiet coei ffeuapué rai eluer eb eecft  pblluasn cchoeu,r t 6qcu le’ inl’faérrriaesu rroeu ngoei r;.e l a;   lceosr ptesm enp eesn 6tice rle,  lt’oourirg idnees  dyeesu axî lefos,n 6t cb tloanucteh âlatr eqsu e: ulee   gornatn udnees  bpelullme ecso udleesu ra îrloesu gaei  c; eltat ep amrtêiem ien tcéoriuelueruer  d; elas*   fpoanrtti ed ’euxnt étrrièesu-bree aôuc lbelse pul u; mlae sc douu ldeeufrf oduess  dpel ulamqeuse ldliei   fbéocrodnsd q urai nlgo ndt er ol’uagîlees  ;e fet ljlaeus noen t,  càh alc’euxncee pàt ilo’enx tdrées  
 lmesit éc uuifnfee st faocnhte  cboluerutee sq 6uci  lreesf loènmgblelse  oàn ut nu npee tciot uoeleiul r:   brune. Rai,Jynop. pieth.  avium.  Voye{  O iseau, 
 Perroquet  des  Barbades  , pfittacus viridis &  
 lpuiigeeuosn  b adrobmadeefntifqisu; ec ;e tf eosi fyeaeuu exf tf oden tl ae gnrtoaunrdéesu, rd d’u’unne   poenat ul ’direi sc do’uulne ujaru cneen cdoréuele ,u 6r cd deé fgaafrrannie  ; dele p lduemvaens t;  diles   llae utêr tjea uenfte ,d ’quuni  sb’réutenn pdâ fluer,  leesn tcoôutréés  dd’eu nlae t êbteel l6ec cfoouus  
 llae  gvoenrgtree ;  floen fto dm’umne bt edaeu l vae trêdt e; ,l eles  dpolusm, leas  pdoeist rciunief f6ecs   t6rco idse sp réepmauièleres s opnltu munees  cdouu plereumr vieerr trea njagu dneâst rpe e;t itleess   pdluu mféecso ndde sr aanîlge s ofnotn tu nde’u nc obuealeuu br leruo u; gteo ;u teensf icne llleess   gerfat ncdoems pfoofnéte  dd’uen d boluezue  fombre 6c pourpré : la queue  couleur verte ; les jampbleusm feosn  t,  g6ac rnelilees  ad eu npel ûbmeleles   jufqu’aux piés y qui ont une couleur ^rune cendrée.  I l  fi. nat. des-  oifeaux  par Derham, tom. I II. pag. G.  
 ;  Voye{ Oiseau. 
 Perroquet  de  Be n g a l e ;  cet oifeau  eft de  
 \  jmauonyee n6nc el ’ignrfaénrdieeuurre.  dIel  ac olua lepuierc neo ifruâptéreri e; uler ed edrur ibèerce   i•   dpeo ularp trêete ;  elefst.  dp’luunm reosu dgee l ap gâoler;g em fêolnét  ndo’uirnees  t6eci nlete c odue   i  ac ouunl epu.re tqiut.ec-oel'eliïeler s fdoerm laé  gpoarrg ed e;s  lpeslu pmluems edse  dlea  lma pêomie-   ;!   .tprâilnee 6,c d jua uvneânttrree  ;8 cc edleless c duuif ideoss o 6nct udnees  caoîluesle fuorn vt edr’tuen,   très-beau. verd.  Hifi. natur.  des oifeaux par Derham ,  
 \  tonh  H D   ffoyei  Oiseau., 
 Perroquet blanc h u p pfittacus albus crfiatus