
 
        
         
		naire  , il faudra  fubftituer  au  lieu d e y  ,y  +  d y , &   
 les  puiflances fans rien négliger, &  de même au lieu  
 d e * , x  +  d x ,  & le s   puiflances  fans  rien  négliger;  
 6c fl  le  point eft double ,  on  aura  une  équation  du 
 fécond degré dont  fera le premier terme ; (en négligeant  
 les  plus  hautes  pmffances  de ~   ,  comme  
 ? 11  le point eft triple,  l’équation  fera  du  troi-  
 fieme  degré,  6c  fera  fon  premier  terme,  lgs 
 puiflances plus baffes fe détruifant,  6c ainfl de fuite. 
 Veut-on  favoir  à  préfent  fi  une  courbe  a  des  
 points multiples,  il  n’y   a qu’à  fubftituer  dans  fon  
 équation y  -f- dy 6c fes puiflances  à y , x  -{- d x  6c fës  
 puiflances à  x ;  6c  voir  s’il y  a  des  valeurs  correfr  
 pondantes de x  &  d e y qui donnent le coefficient de  
 d x   6c  celui  de d y , chacun =  o. Si cela  eft ,  il y   a  
 au moins un  point d’oubli ; fi le  coefficient de d y 1 ,  
 celui  de d x 1  6c  celui  de  d x  dy font  aufli =  03  le  
 point eft au moins  triple, &  ainli du  refte ; mais encore  
 une fois,  il feroit trop long d’entrer dans le détail  
 de  cette  théorie,  nous  renvoyons à  l’ouvrage  
 cité  qui  contient  là-deffus  tout  ce qu’on  peut défi-  
 rer.  (O) 
 POINT ,  en  terme de Navigation  &   de Géographie ,  
 P o in t s   de  Vhorifon  ou du compas,  ce font certains  
 points formés  par  les  interférions de l’horifon avec  
 les cercles verticaux,  Foye{ Ho r is o n . 
 Le nombre  de ces points  eft  réellement  le même  
 que celui des points que  l’on conçoit dans l’horifon,  
 c’eft-à-dire qu’il eft infini,  quoique dans la pratique  
 on n’en  diftingue  que  trente-deux.  Voyeç C om p a s 
 DE  MER. 
 Ces points  font  marqués  ou  vus  par  des  lignes  
 droites  ,  tirées  d’un  point  pris  dans  un  plan  hori-  
 fontal. 
 Un point  du compas  de mer  eft  pris  vulgairement  
 pour la trente-deuxieme partie  de  tout  le  compas  ,  
 ou pour un arc de 11 degrés i 5 minutes, dont la moitié, 
   c’eft-à-dire  5  degres  37 minutes 6c  f   s’appelle  
 un demi-point,  6c la moitié  de  ce  dernier  ou  2  degrés  
 48 minutes  &   {   eft  appellé  un  quart-de-point.  
 Foye{ C o m p a s   d e   m e r . 
 Ces  points  du  compas fe  divifent en points  cardinaux  
 6c points  collatéraux. 
 Les points cardinaux font les interférions de  l’horifon  
 &  du méridien ,  appellés points  du nord  &  de  
 fu d  , 6c les  interfeftions de l’horifon avec le premier  
 vertical que l’on appelle  l’ejl & l'oueji. Foye^ N o rd ,   
 Su d  , &c. 
 Ce font ces points que les latins  appellent cardines  
 mundi, ils font éloignes les uns des autres d’un quart-  
 de-cercle ou de 90 degrés. 
 Les points collatéraux ou  intermédiaires font ceux  
 qui font entre les points cardinaux, les premiers points  
 collatéraux ou de la première efpece, font également  
 • diftans de deux points cardinaux, tels font le nord-eft  
 &  le fud-oueft  ;  lés points  fecondaires  ou  de  la  fécondé  
 efpece font ou du premier ordre, comme ceux  
 .qui  font  à égalé  diftance d’un point cardinal 6c d’un  
 point de  la  première divifion,  tel que le nord-nord-  
 eft, ou du fécond ordre, c’eft-à-dire à égale diftance  
 d’un point cardinal ou d’un point del a première division  
 , 6c d’un fecondaire du premier ordre,  tel que le  
 nord-eft quart-de-nord. 
 Les premiers points collatéraux font donc à 45 degrés  
 des points  cardinaux ;  les points fecondaires  du  
 premier ordre font à 22 degrés 30 minutes  d’un cardinal  
 6c d’un premier  collatéral  qui fuit immédiatement  
 ;  6c les points fecondaires du fécond ordre font  
 à  11  degrés  15 minutes  d’un  cardinal  ou  d’un premier  
 collatéral,  &  d’un fécond collatéral. 
 P o in t  d ’ u n  p i l o t e  ,  ( Marine. ) c’eft  le lieu marqué  
 fur la carte de l’endroit  où le  pilote croit  être à  
 la mer. 
 P oints du bas de la voile.  C’eft le coin ou l’angle du  
 bas de 4a voiie ; les points du grand &  petit pacfî portent  
 des  écoutes  ,  des  couets  &  des  cargues-/>o//z«.  
 Point du haut de la voile. 
 P o i n t s   d e   s t a t i o n ,   dans VAflronomie,  fo n t  les  
 d e g r e s  du z o d ia q u e ,  dans le fq u e ls  u n e  p lan e te  p a ro ît   
 ê t r e   a b fo lum en t   fta t io n n a ire   6c n e   fe m o u v o i r  p o in t   
 d u   to u t .   Foye[ STA T ION . Chambers, 
 P o i n t   d ’ é t é   ,  ( Cofmogr. ) point de l’écliptique,  
 dans lequel le l'oleil s’approche  le  plus  du  zénith  au  
 midi  :  ce qui  arrive  dans la  partie feptentrionale dç  
 la terre  ,  lorfque  le  foleil  entre dans l’écreviflé ;  6c  
 .dans la partie méridionale,  quand il  eft  dans le Capricorne. 
 P o i n t   d ’ h i v e r  ,  (Cofmogr.) point de l’écliptique  
 auquel le foleil eft le plus éloigné du zénith, ou dans  
 lequel la hauteur méridienne du foleil eft la moindre :  
 cela  arrive  quand  le  foleil  eft  dans  le  capricorne  
 pour les  peuples  de  la  partie  feptentrionalé  de  la  
 terre, 6c quand il eft dans l’écreviffe pour les autres. 
 P o in t s   c a r d i n a u x   ,  (Cofmogr.)  les Cofmogra-  
 phes entendent par points cardinaux quatre points de  
 l’horifon,  qui  le  divifent  en  quatre  parties  égales.  
 Un  de ces points eft celui oii  le foleil fe  leve  au vrai  
 orient.  Le  fécond  eft au  vrai  occident  où  le  foleil  
 fe couche.  Les  deux  autres points  font  éloignés  de  
 ceux-ci  de 90 lieues,  &  fe  trouvent au vrai midi 6c  
 au  vrai nord. 
 P o i n t s   h o r i z o n t a u x  , ( Cofmogr. )   ce font des  
 points également  éloignés du centre  de la terre ; par  
 exemple  ,  lorfqu’on  doit  continuer une  liane horir  
 fontale fur  le bord  d’une  riviere ,  6c que cette ligne  
 . s’y  trouve interrompue par plufieurs inégalités, alors  
 les points horifontaux font les points de la ligne hori-  
 fontale,  où il faut la rompre 6c la divifer en plufieurs  
 autres. 
 P o in t s  s o l s t i t i a u x  ,   (  Cofmogr. ) points de  l’écliptique  
 les plus éloignés de l’équateur ; ce font  les  
 points d’été 6c les points d’hiver ; voye? ces deux mots. 
 ( d . j .  ) 
 P o i n t  , dans la Perfpeclive, eft un mot dont on fait  
 ufage pour marquer les différentes  parties ou les  dif-  
 férens  endroits qui ont rapport  au  plan, du  tableau.  
 Foye[ P l a n  du tableau. 
 Le point de vûe  eft  un point  F  ou plan H I ,   tab.  
 perfpecl. fig.  12,  eft coupé par une  ligne droite O F9  
 tirée de  l’oeil perpendiculairement au plan. 
 Ce point eft dans l’interfe&ion du  plan  horifontal  
 avec  le plan  vertical.  Foye{  P l a n . 
 Quelques auteurs appellent ce point le point principal  
 ,  &  ils  donnent  le  nom  de point de  vue  ou de  
 vijîon au point où l’oeil eft actuellement placé, 6c où  
 tous les rayons  fe terminent  tel  que O. 
 P o i n t  a c c i d e n t e l ,   (Opt.) voye^ A c c i d e n t e l . 
 P o i n t   , dans la  Catoptrique  &  la  Dioptrique,  le  
 point de concours eft celui où les rayons éonvergens  
 fe rencontrënt,  appellé  plus  ordinairement le foyer.  
 Foye[ F o y e r . 
 P o i n t   d ’i n c i d e n c e ,   ( Opt.')  eft  u n poin$fur  la   
 furface d’un miroir ou d’uh  autre corps où tombe un  
 rayon. Foyei I n c id e n c e . 
 Point de difperjion  eft  celui d’où  les  rayons  commencent  
 à  être divergens , on l’appelle ordinairement  
 le foyer virtuel.  Foye{ F  O YER v i r t u e l . . 
 Point de diflance ,  c’eft un point comme  P  Q , fig. 
 2. perfpecl.  dans  la  lign e -h o rifo n ta le  P  F , q u i e ft   é lo ig 
 n é   du  point F  au tan t  q u e   l’oe i l   O  e ft   é lo ig n é   de   ce  
 m êm  çboint. 
 Point objectif, 'c’eft un point fur  le plan géométral  
 dont on demande la repréfentation fur le plan du ta-,  
 bleau. 
 Point 
 Point rayonnant ou radieux eft  le point qui  envoie  
 ou duquel  partent  des  rayons. 
 Point  de  réfraction  ,  eft  le  point  o ù   un  ra y on   fe  
 rompt fur  la  furface  d’un v e r r e ,  ou fur toute autre  
 furface  reftringente.  Foye^ R é f r a c t io n . 
 Point de réflexion,  eft  le point  d’où un  rayon  eft  
 réfléchi fur  la  furface  d’un  miroir  ou de  tout  autre  
 corps. 
 P o in t   l a c r y m a l  ,  en  terme dé Anatomie,  fignifie  
 un  petit  trou  qui  eft  dans  chaque paupière  ,  6c qui  
 s’ouvre dans un fac appellé fac lacrymal.  F?ye£ L a c 
 r y m a l . 
 Po in t  , ou Po in c t ,  f. m.  (  Mufique. ) Le point fignifie  
 plufieurs  chofes  différentes. 
 Dans nos mufiques  anciennes il  y  a point de perfection  
 ,  point  d’imperfection  ,  point  de  divifion,  
 point  d’altération ,  point de  tranflation,  &c. Il  faut  
 donner une  idée de  ces différens points. 
 1.  Dans  la  mefure  appellée  tems  parfait, voye^  
 T ems ,  une  breve  ou  quarrée,  fuivie  d’une  autre  
 note égale  ou de  plus grande valeur, vaut ordinairement  
 trois femi-breves  ou  une mefure entière ; mais  
 fuivie  de quelque  note de  moindre  valeur, elle  ne  
 vaut  plus  que deux tems ; de  forte que pour  qu’elle  
 vaille alors la mefure entière,  il  faut  lui  ajouter un  
 point qu’on  appelle  par cette  raifon point de perfection. 
 2. Le point d’imperfeftion  eft celui  qui placé  à la  
 gauche de la longue, diminue fa valeur  quelquefois  
 d’une  ronde, quelquefois  de deux.  Dans le premier  
 cas, on met  une  ronde entre  la  longue  6c le point ;  
 dans  le  fécond,  on met deux rondes  à  la  droite de  
 la longue. 
 3.  Le point de  divifion  a à-peu près un fens  fem-  
 blable ;  à la gauche d’une  ronde  fuivie  d’une  breve  
 ou  quarrée  dans  le  tems parfait,  il ôte  un  tems  à  
 cette b reve,  6c fait qu’elle  ne  vaut plus  que  deux  
 rondes. 
 4.  Un point  entre deux  rondes  fituées  elles-mêmes  
 entre deux brèves  ou quarrées,  ôte un tems à  
 chacune  de ces deux  brèves ;  de  forte  que  chaque  
 breve  n’en vaut  plus  que deux.  C’eft  le  point  d’altération. 
 Ce même  point  devant  une  ronde,  laquelle eft  
 fuivie de  deux  autres rondes  enfermées  entre  deux  
 brèves ou quarrées, double la valeur de  la derniere  
 de ces rondes. 
 5.  Si une ronde  entre  deux points fe trouve  fuivie  
 de  deux  ou  plufieurs  brèves  ,  le fécond  point  
 transféré fa lignification à la  derniere de ces  brèves,  
 6c la fait  valoir trois  tems :  c’eft le point de  tranflation. 
 Comme tout  cela  n’a  lieu  que dans  le  tems  parfait  
 , qui  forme des divifions triples, 6c que ces divi-  
 fions  ne font plus d’ufage dans la Mufique moderne ;  
 toutes ces lignifications du point, q u i,  à dire le v ra i,  
 font fort embrouillées ,  fe font  abolies  depuis long-  
 tems. 
 Aujourd’hui le point pris  comme valeur de note ,  
 vaut toujours la moitié de  celle qui le précédé ; ainli  
 après la ronde,  le point vaut une  blanche ;  après la  
 blanche,  une noire ;  après la noire, une croche, &c.  
 Mais cette  maniéré de fixer la valeur du point,  n’eft  
 certainement  pas  la  meilleure  qu’on  eût pu imaginer, 
  &  caufe fouvent bien des embarras inutiles. 
 Point d’orgue, ou point de  repos  ,  eft  une  autre  
 efpece  de point dont j’ai  parlé  au mot C o u r o n n e .  
 C’eft  relativement à ce point,  qu’on  appelle  généralement  
 point d'orgue, ces fortes de chants & de fuc-  
 ceflions harmoniques qu’on fait paffer fur  une  feule  
 note de baffe, toujours prolongée. 
 Enfin, il y  a encore une autre efpece de point qui  
 fe  place immédiatement au-deffus ou  au-deffous  du  
 corps des  notes  ;  on çn  met  toujours  plufieurs  de  
 Tome NU* 
 IM Ig  ?  & ^ c é la  m o n tr e   q u e   le s   no te s   a in fl p o n & u é e s ,   
 d o iv e n t   ê tre  m a rq u é e s  p a r  d e s   co u p s   d e   lan g u e   o u   
 d’a r c h e t  é g a u x ,  fe c s  6c d é ta ch é s .  (S) 
 P o i n t  d ’h o n n e u r  , (Morale du monde. ) c’eft pro*  
 prementle caractère de chaque profefîion ; mais il eft  
 plus marqué chez les gens de guerre, 6c c’eft le point  
 d'honneur par excellence. Il feroit  difficile’ de le peindre  
 ,  car les réglés 6c les maximes qui  le conftituent  
 font  variables.  Autrefois  la  nobleü'e  fuivoit  en  ce  
 y  genre  d’autres  lois qu’aujourd’hui, 6c ces lois étaient  
 1  fi  féveres  qu’on  ne  pouvoit  fans  une  peine  plus  
 cruelle  que la mort,  je  ne  dis  pas  les  enfreindre ,   
 mais en  éluder la plus  petite  difpofition.  Lettres per-  
 fana. (D .  J .)   ^  r 
 P o i n t ,   (  Blafon.  )   Il fe   d it  de   la  d iv i f io n  d e   l’ é c u   
 e n  p lu fie u r s 'q u a r r é s   ,  t a n tô t  au  n om b re  d e   n e u f ,  tan t 
 ô t  d e  q u in z e   ,   d o n t   le s   u n s   fo n t   d’u n   ém a i l,   6c  le s   
 a u t r e s   d e  l ’a u t r e ,   q u ’ o n  a p p e lle  au flï points èquipollés.  
 O n  n om m e  pareillemen t/ 'o/ /z ;sles  d iv ifio n s  d e  la  com -  
 p o n u r e . I l y  a  au fli u n e   a u t r e  d iv i f io n  d e  l ’é c u   en  p lu fieu 
 r s  points, où  f e   t ro u v e n t  l e  point d’h o n n e u r ,  le  
 n om b r i l ,   &c. 
 Le point' d’honneur fe  dit  de la place qui  eft dans  
 un écu ,  répondant au milieu du  chef &  au deffous. 
 On appelle  le nombril de l’éeu, un point qui eft au'  
 milieu  du  deffous  de  la  t à c e ,   6c qui la  fépare de la  
 pointe. Ainfl on dit  N. porte  d’or  à  un  écuffon  de  
 gueules mis au nombril.  (D .  J .) 
 P o i n t  d ’ a p p u i ,,  (  Arckitecl. )  voye1 O r g u e i l . 
 Point déafpccl. C ’eft l’endroit où l’on  s’arrête à une  
 diftance fixée,  pour jouir de  l’afpeél  le  plus  avanta-  
 geux d’un bâtiment. Ce point fe prend ordinairement  
 à  une  diftance  pareille à  la  hauteur  du  bâtiment.  
 Exemple. On veut juger de l’enfemble de l’églife  des  
 Invalides.  Comme fa hauteur  eft de trente-cinq  toi-  
 fes, on doit d’abord s’en éloigner  de  cette diftance.  
 On vient  enfuite  à l’ordonnance de fa façade,  6c à la  
 régularité de fes ordres, 6c on s’en éloigne autant que  
 le portail a de hauteur , qui  eft de feize  toifes  ou environ. 
  Enfin, pour examiner les correélions des  profils  
 6c  le  goût  de  la  fculpture ,  on  ne  doit  en  être  
 éloigné que félon l’élévation  de  l’ordre  dorique, laquelle  
 eft de  fept toifes 6c demie, parce que fi on en  
 étoit plus près  , les  parties  racourciesne paroîtroient  
 plus de proportion. 
 Le point d'afpect  eft  oppofé au point vague ,  d’où  
 regardant un bâtiment d’une  diftance indéterminée T  
 on ne peut que fe former une  idée  de  la  grandeur de  
 fa malle, par rapport aux  autres édifices  qui lui font  
 contigus. 
 Point de vûe. C’eft un point,  dans la ligne horifon-  
 tale d’un bâtiment,  où fe termine le principal rayon  
 vifuel,  &  auquel tous les  autres  qui  lui font parallèles  
 vont aboutir. 
 Points perdus.  Ce font  trois points qui  n’étant pas  
 donnés fur  une  même ligne ,  peuvent  être  compris  
 dans une portion de cercle,  dont le centre fe trouve  
 par une  opération géométrique : ce qui  fort  pour les  
 cherches râlongées. 
 On appelle aufli points perdus des  centres  de  cercle  
 q ui, étant  recroifés,  forment  des lofanges  curvilignes  
 ,  qu’on  rend  différens  par  les couleurs  des  
 marbres  6c par  la variété des ornemens. Le pavé qui  
 eft fous la coupole, 6c dans  les chapelles  du Val-de-  
 Grace, 6c celui de  l’Affomption,  rue faint Honoré ,  
 à Paris, font faits de cette maniéré. Daviler. (D . J .) 
 P o i n t  d e  p a r t a g e ,   (Hydr.) eftlebaflînoùl’eau  
 s’étant  rendue , fe  diftribue  par  plufieurs  conduites  
 en différens endroits, tels que font les châteaux-d’eau  
 oubaflins  de diftribution. ( K  ) 
 P o i n t   d e   s u j é t i o n  ,   ( Hydr.  )  eft le  point  déterminé  
 d’où part un nivellement,  6c celui  où  il doit  
 finir dans un nivellement en pente douce. Dans un autre  
 nivellement,  le  point  de  fujêtion eft la  hauteur  
 S S sss