
 
        
         
		d e  flu id e  q u i lu i  fe r  o i t  é g a le  &  fem b la b le  en g r o ffeu r  &   
 e n  v o lum e .  Ainfi dans c e  c a s  i l  n e  fe ro it   au cu n   e ffo r t   
 p o u r  d e fc e n d r e ;   d o n c  lo r fq u ’ i l   e ft  p lu s   p efan t   qu ’ un  
 p a r e il  v o lum e   d e  f lu id e ,   l’ e ffo r t   qu ’il   fa i t   p o u r   d e fc 
 e n d r e   e ft   é g a l  à   l’e x c è s  d e   fo n   po ids   fu r   c e lu i   d’u n   
 é g a l  v o lum e   d e  f lu id e . V oye[  F l u i d e . 
 *" Par conféquent  un  corps  perd  plus  de fon  poids  
 dans un fluide  plus pefant que dans un fluide qui l’eft  
 moins,  &   pefe  par conféquent  plus  dans  un fluide  
 plus léger que dans un plus pefant.  Voye^ P e s a n t e u r   
 S p é c i f i q u e ,   G r a v i t é   ,   Fl u id e   ,  H y d r o s t a t i q 
 u e ,   &c.  De plus, toutes  chofes  d’ailleurs  égales,  
 plus un corps a de volume, plus il perd de  fon  poids  
 dans un fluide oii on le plonge. De là il s’enfuit qu’une  
 livre de plomb &   une  livre de  liege qui font  également  
 pefantes  lorfqu’ elles font pofées dans l’air , ne  
 ' le  feront plus  dans  le vuide :  la  livre  de  liege  fera  
 alors  plus  pefante  que  la  livre  d’o r ,  parce  que la  
 maffe de liege qui pel’oit une livre dans l’air, perdoit  
 plus de  fon poids que la maffe  d’or  qui  avoit  moins  
 de volume.  Si  le  corps  eft moins pefant qu’un  égal  
 volume  de  fluide,  alors  il  ne s’enfonce  pas  tout-à-  
 fait dans le fluide ; il fumage ,  &  il s’enfonce dans le  
 fluide jufqu’à ce que fa partie enfoncée occupe la place  
 d’un volume de fluide qui  feroit  d’une  pefanteur  
 égale à  celle  du  corps entier. 
 Trouver le poids d'une quantité donnée de fluide,  par  
 exemple ,  du  vin  contenu dans  un muid.  Trouvez  
 d’abord la  quantité de liqueur  par  les réglés de  jaugeage; 
  fufpendez enfiiite dans cette.liqueur un pouce  
 cube de plomb par  le moyen d’un crin, &  voyez  à  
 l’aide de  la balance hÿdroftatique  ce  que  ce  pouce  
 cube de plomb perd de  fon poids, &  vous  aurez par  
 ce moyen  le poids  d’un pouce cube  du fluide donné.  
 Cela  fait,  le fluide étant fuppofé homogène,  &   par  
 conféquent proportionnel au  volume, vous aurez le  
 poids.total par la réglé de trois. S i,  par  exemple ,  la  
 capacité du muid eft de 86 piés cubes, &  que le  pié  
 cube de vin pefe 68  livres, U poids de tout le vin fera  
 de  5984 livres. 
 Le poids du pié cube d’eau a été déterminé par plu-  
 jfieurs perfonnes ;  mais  comme  dans  les différentes  
 fontaines, &c. les poids  de l’eau  eft different, &  que  
 le poids de  la même eau ne refte pas  conftamment le  
 même dans tous les tems, les differens auteurs qui en  
 ont parlé, ne fe font pas accordés. On fixe ordinai-  
 .rement le poids du pié cube d’eau commune ou douce  
 à 70 livres. Le pié  cube d’eau de mer pefe environ z  
 livres de plus. 
 Poids de l'air.  On a trouvé par plufieurs expériences  
 non-feulement que l’air pefe, mais  aufli la quantité  
 précife du  poids d’une certaine portion d ’air déterminée. 
 Trouver le poids d'un pouce cube d'air. Pefez lin vaif-  
 feau rond rempli d’air commun avec toute l’exa&itu-  
 depoflible:  tirezenfuite  l’air,  &   pefez  le  vaiffeau  
 dont l’air aura été tiré : fouftrayez le dernier poids du  
 premier, &  le refte fera le poids de l ’air ôté. De plus,  
 trouvez l ’efpace que  contient  le vaiffeau par les lois  
 de la ftéréométrie ( Voye{ S p h e r e . ) &  la proportion  
 qui eft entre l’air aftuel du vaiffeau &  l’air naturel tel  
 qu’ilétoit d’abord,par les moyens enfeignés à l’article  
 de la machine pneumatique ; cela fait, vous aurez le  
 volume de l’air reftant par la réglé de  trois, &  fouf-  
 trayant  ce volume de la capacité  du vaiffeau ,  vous  
 aurez le volume de l’air qui a été ôté. Si on a une  excellente  
 machine pneumatique avec laquelle on puiffe  
 pouffer fi loin l’exhauftion  que l’air qu’on laiffe dans  
 le ballon puiffe être négligé, on prendra pour le volume  
 d’air ôté la capacité même  du vaiffeau. 
 Ayant donc par ce moyen le poids &  le volume de  
 l ’air ôté qu’on a t iré , on  aura  par la réglé de trois le  
 poids d’un pouce  cube  d’air. 
 Otto Guericke eft le premier qui ait employé cette 
 méthode. BurcherdeVolder s’en eftfervi enfuite,&   
 a donné les  circonftances fuivantes de fon expérien*  
 ce. Le poids du vaiffeau fphérique plein d’air commun  
 étoit  de 7   livres  1  once z drachmes 48  grains ;  lorf-4  
 qu’il  étoit  vuide,  de 7 livres  1  once  1  drachme  31  
 grains ;  l’ayant rempli d’eau, il étoit  de  16 livres  1 z  
 onces 7  drachmes  14  grains. Le  poids  de  l’air  étoit  
 donc de  1  drachme  i z  grains ou 77 grains. 'Le poids  
 de l’eau de 9 livres  11  onces  5  drachmes 43  grains ,   
 ou de 74743  grains ;  conféquemment  la proportion  
 entre la  gravité fpécifique de l’eau &  de l’air étoit de  
 74743  à 77 ou  de  970^7 à 1. De plus  le  poids  d’un  
 pié  cube d’eau étant connu ,  on dira :  comme  970 à  
 1  ,  ainfi le poids  d’un pié cube d’eau à un  quatrième  
 terme, &   on  aura  parla réglé  de trois,  le poids  du  
 pié cube d’air. Voyeç A i r  &  A t m o s p h è r e . 
 Poids de  l'eau de mer. Le poids  de  l’eau de mer varie  
 fuivant les  climats. M. Boyle  ayant recommandé  
 à un habile phyficienquialloit en Amérique, de pefer  
 de tems en tems l’ eau de mer pendant le cours de  fon  
 voyage avec une balance hÿdroftatique qu’il lui fournit  
 ,  apprit  ppr ce phyficien  qu’il avoit  trouvé l’eau  
 de mer plus pefante, à mefure  qu’il approchoit de la  
 ligne  jufqu’à  ce qu’il -fut arrivé à  la  latitude  d’environ  
 30 degrés,  après quoi elle refta conftamment du  
 même  poids jufqu’à  ce  qu’il  arrivât  aux  Barbades.  
 Foye^ Tranf. phij'. n°‘  18. Wolf & Chambers. ( O ) 
 Poids fedit aufli en général pour marquer un corps  
 pefant ;  ainfi  on dit cet homme porte  fur fes épaules  
 un poids  très-confidérable ; on donne aufli le nom de  
 poids  à  un corps  d’une  certaine  pefanteur  connue ,   
 dont on fe fert pour pefer les autres, comme la livre,  
 l ’once, le marc,  &c.  Poids  fe dit aufli dans  un  fens  
 figuré, des  chofes pénibles &   difficiles :  ce  prince ,   
 dit-on, foutient avec beaucoup de  capacité  le  poids  
 des affaires  : cet homme  eft  accablé du poids de  fes  
 malheurs, &c. 
 Poids en méchanique  fe dit de tout ce qui doit être  
 élevé, foutenu ou mu par une machine, ou de ce qui  
 réfifte,  de quelque maniéré que  ce foit,  au mouvement  
 qu’on  veut imprimer.  Foye^  M o u v e m e n t   
 M a c h i n e ,   & c. 
 Dans  toutes  les machines  il y  a  une  proportion,'  
 néceffaire entre le poids &   la  puiffance  motrice.  Si  
 on veut augmenter le poids ,  il faut  aufli  augmenter,  
 la  puiffance,  c’eft-à-dire, que  les  roues  ou  autres  
 agens doivent  être multipliés, ou, ce qui  revient ail  
 même, que le tems doit être augmenté  ou  la  viteffe  
 diminuée.  Voye{  P u i s s a n c e . 
 Le centre de  gravité F  ( Planche de  la Méchanique  
 fig. 55 ) d’un corps I  H , avec le poids de ce corps étant  
 donnés ,  trouver le point M par lequel  il doit porter  
 fur un plan horifontal, afin qu’un poids donné fufpen-  
 du en L ne  puiffe pas faire ecarter le corps  / H  de la  
 fituation horifontal. 
 Imaginez  qu’il y  ait au  centre  de  gravité F ,  un  
 poids êgai  à  celui  au  corps H ,  &   trouvez le centre  
 commun de gravité M de  ce poids &   du poids G ,  le  
 point M fera le point qu’on  demande. 
 Suppofons,  par exemple, que F  foit  le centre  de  
 gravite d’un bâton  éloigné de  18  pouces de  fon ex-,  
 trémité,  le poids  du fceau  d’eau  G  de Z4 livres,  le  
 poids du bâton de  z livres,  on  aura L M — L F.  F  z  
 (G  +  F') =   18.  z :  z6 =   18:  13  ;  c’eft-à-dire, environ  
 un pouce &  demi; il n’eft donc  pas  étonnant  
 que  le fceau pende après le bâton qui  eft couché fur  
 la table fans le faire  tomber.  Si  on met  un poids fur  
 l’extrémité d’une table, il ne tombera point, tant que  
 le centre de gravité de ce corps fera appuyé fur la table'; 
   car le centre de gravité eft le point oîi fe réunit  
 tout l’effort de la pefanteur. Ainfi un fort long bâton  
 peut fe  foutenir liir  une table, pourvu que la partie  
 de ce bâton qui eft hors de la table, foit un peu moins  
 longue que  celle qui porte fur la table ;  carie centre 
 ïm 
 de gravité du bâton eft à fon point de milieu, &  par  
 conféquent  dans  la  fituation dont  nous  parlons,  le  
 centre de gravité du bâton fe trouvera appuyé fur la  
 table.  Le  centre  de gravité  C ( fig. 5G.  )  d’un corps  
 A B ,   avec  fon poids G étant donnés  déterminer les  
 points L &  M ,  oii des  appuis  étant  placés, les parties  
 du poids  total  portées par chacun  de ces appuis  
 foient en  raifon  donnée. 
 Prenez dans la ligne horifontale A  B  qui  paffe par  
 le centre de gravite C ,  les droites M C &   C L ,  qui  
 foient dans  la  raifon  donnée, &   les  points M Si.  L  
 feront ceux qu’on demande ; il  fuit de  là  que fi  aux  
 points M S i L on place, au lieu d’appuis, les épaules  
 ou les  bras de  deux porte-faix,  ils  fupporteront le  
 poids  donné,  files parts  qu’ils doivent enfupporter  
 ne font pas plus grandes que  leurs forces.  Par  exemple, 
   fi  l’un des porte-faix peut porter  150 livres,  &   
 l ’autre  zo o ,  &  que le poids pefe 350 livres, on prendra  
 C L  à  C M comme 4 à 3 , &  le plus fort des porte 
 faix étant placé en M , &  l’autre en L , ils porteront  
 le  poids  donné.  Ainfi  nous  avons  une maniéré  de  
 partager une  charge fus ant une proportion donnée. 
 P o id s   ,  (Hydrï) tes   liq u e u r s   n e   p e fe n t  q u e   fé lo n   
 le u r  h a u teu r   &■   la   b a fe   q u i   le s   fo u t ie n t   ;   a in fi  dans  
 lin e   p om p e   o n   é v a lu e   la   r é fi fta n c e   d e   l’ e a u  &  fo n   
 p o id s ,   en  m u lt ip lia n t  la   fu p e r fic ie  d e  la  b a fe  d u  co rp s   
 d e   p om p e  o i i e ft   le  p ifto n   ,  p a r  la  h a u teu r   p e rp e n d ic 
 u la ir e   a u   tu y a u  m o n tan t . 
 Le poids ou la  pefanteur des eaux  jailliffanfes  de  
 même fortie &  conduite avec différentes hauteurs de  
 réfervoirs, font équilibre avec des poids qui font l’un  
 à l’autre en  la  raifon  des hauteurs des mêmes réfervoirs. 
  Deux jets de fix  lignés de diamètre ayant une  
 même conduite  de trois pouces dont l’eau  vient d’un  
 réfervoir  élevé de dix piés  , &  l’autre de trente ,   feront  
 équilibre avec un poids de cent cinq livres pour  
 le jet venant  de trente pies , &  de trente-cinq livres  
 pour celui de dix piés.  On  peut dire que trente contient  
 trois fois le nombre d ix , comme cent cinq comprend  
 trois fois trente-cinq. 
 Les jets d’eau de même hauteur &  de  différèntes  
 forties foutiennent des poids  par leur choc  qui  font  
 l ’un à  l’autre  en  raifon  doublée  des  diamètres  des  
 ajutages. Un jet de  fix lignes de.diamètre, &  l’autre  
 de  douze  venant tous deux d’un même réfervoir de  
 trente piés de haut, feront équilibre avec un poids de  
 trente-fix livres pour le jet de fix lignes, &  pour celui  
 de douze lignes avec un poids de cent quarante-quatre  
 livres ; &  on dira  le pow&  correfpondant  à. l’ajutage  
 de fix lignes fera au poids  correfpondant  à  l’ajutage 
 de douze lignes,  comme 36 eft à  14 4 , ou  comme r  
 eft  à  4. 
 Quand on Veut mefurer la  folidité du cylindre  ou  
 de la colonne  d’eau  renfermée  dans un  tuyau  ,  en  
 meme tems que Ion poids, pour y  proportionner dans  
 une pompe la force du moteur, on doit favoir qu’une  
 pinte  d’eau  pefe deux  livres moins  7 gros,  qu’une  
 ouverture circulaire d’un pouce qui par minute donne  
 environ 14 pintes pefe z8 livres, qu’un pié cube contient  
 36 pintes,huitième de 288 valeur du muid d’eau,'  
 &qu e ces 36 pintes à z livres moins 7 gros chacune ,   
 pefent  70  livres. Cependant le  pié cylindrique qui  
 eft un folide , ayant une fuperficie de  144 pouces  circulaires  
 , eft toujours  plus petit que le quarré  de  fon  
 diamètre n’ayant  que  113  pouces  z lignes  quarrées  
 provenans de la proportion du pié quarré au pié  circulaire  
 qui eft de  14 à  11. Ainfi les 70 livres que pefe  
 le pié cube étant calculées  fuivant le  même  rapport  
 de  I4à  11 qui eft celui du cercle au quarré,  il  vient  
 au quotient  55  livres pour  le poids  d’un  pié  cylindrique. 
 Le poids  d’une  colonne  d’eau  &  fa  réfiftance  fe 1  
 trouvent en multipliant  la  fuperficie de  la  bafe  dit  
 tuyau par fa hauteur perpendiculaire. Suppofons  que  
 la bafe  du tuyau ait fix pouces de diamètre &  30 piés  
 de  haut, on réduira d’abord les  30 piés en pouces en  
 les multipliant par  1 z ,  ce qui  donnera 360 pouces ; 
 6  l’on dira fix fois 6 font  36 pour la fuperficie de  la  
 bafe du tuyau, qui, multipliée par 360 pouces valeur  
 des 30 pies de  haut,  vous  donnera  iz96oque  l’on,  
 divifera par 17Z8 pouces que contient le  pie  cylindrique  
 ,  &  le quotient fera 7  piés 7  cilindriques  que  
 l’onmultiplterapar 5 5 livres, pefanteur du pié cylindrique  
 , &  l’on aura pour le poids de la colonne d’eait  
 41 z livres &  7 pefant ; ainfi  un tuyau de 6 pouces de  
 diamètre , montant ou defeendant  d’un  relervoir de  
 30 piés de  haut,  contiendra une  colonne  d’eau  de 
 7   piés  7 cylindriques pefant 41 z  livres 7. ( A  ) 
 P o i d s   ET   M e s u r e s   des  Grecs  &  des  Romains i 
 (’Littérat. grecq. &  rom.') Je ne puis rien faire de mieux,  
 en confervant les mots  grecs &  latins,  que de tranf-,  
 porter  iéi  les  tables  de M. Arbuthnot, qui indiqueront  
 d’un  coup-d’oeil  les  poids  &   les  mefures  ordinaires  
 des Grecs &  des Romains,  avec leur rédu-  
 £lion  aux  poids  &   mefures  angloifes.  Ces  tables  
 donneront encore  la  connoiffance  des anciens poids  
 des  Arabes , réduits  à  ceux  de la livre de  troys  014  
 de douze  onces. 
 Les plus anciens poids grecs réduits aux poids troyens  ou de dou\e onces à la livre. 
 Livres. Onces. 
 A p a ^ M .................... ............................... .................  00  00 
 100 Mm 
 6000 60  J 
 Lentes,   r 
 4 Siliq 
 1 z 3 
 Z4 6 
 71 18 
 96 24 
 144 36 
 19Z 48 
 576 144 
 69IZ 
 Es 
 100 
 01  01  00 
 Réduction des poids grecs & romains moins anciens aux mêmes poids. 
 O b o lu s ,.....................................................................•.......................................   o 
 Scriptulum.............................................................       o 
 D ra chm a,.....................................................................................    o 
 Sextula......................................................    o 
 Sicilicus,  .  ..................       o 
 Duella ...............................................................   o 
 Uncia,  .....................................................  o 
 96 48 1 z  |  Libra,  .  ...................................  .  ô 
 4  4?  
 05  5T 
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 3  rs  
 9  èt  
 18 
 o  7.  
 *3  7 
 ‘ 4 
 5  1 I 3  I 
 L’once romaine qui répond  à l’once  anglôife avoir du poids, fe partageoit  en  fept deniers  ou  huit  drag-J  
 mes. Chacun de ces deniers équivaloit à la dragme attiquç : de forte que la dragme attique plus j ,  confidéreç  
 comme poids,  étoit  égale à la dragme romaine» 
 Tome  $ 1 1 )   '  ..  PP.pp p  ij