
 
        
         
		fur la coinete qui parut en  16 5 2. Il découvrit en 1671,  
 le  troifieme 6c le cinquième fatellite de Jupiter. V o yt\  
 Jupiter,  G  le mot Astr on om ie. 
 Maraldi  (Jacques Philippe),  vint  en  France  en  
 1687, &   fut reçu de  l’academie des Sciences.  Il a fait  
 un  catalogue  des  étoiles fixes,  plus  exadl, dit-on,  
 qde celui de Bayer; mais cet ouvrage n’efl encore que  
 manufcrit. Ses obfervations fur les abeilles ont été inférées  
 dans les  mémoires  de  l’académie  des  Scienc 
 e s ,  année  1712.  Il  mourut  en  17 x 9 ,  à  64  ans.  
 (Z > .7,>   I 
 P E R IN D È -V A L E R E ,  (Jurifprud.')  efl  le nom  
 que l’on  donne  à  un relcrit de  cour de Rome, dans  
 lequel efl cette claufe. L’effet de ce refcrit efl de valider  
 une provifion  qui auroit pu  être  attaquée pour  
 quelque défaut qui  s’y trouvoit renfermé.  Ces fortes  
 de  relents ne  s’obtiennent que  quand  les  provifions  
 ont été expédiées  par bulles ; car quand elles ont été  
 expédiées par fimple fignature, on les reéhfie par une  
 autre  fignature  appellee  cui priiis, à laquelle on met  
 la même date  qu’à la  première. Il n’en efl pas de même  
 des refcrits ou provifions,  avec la  claufe perindï-  
 vulcrc, elles  n’ont d’effet que du jour de leur date, de  
 forte que fi entre les premières provifions 6c les nouvelles  
 ,  quelqu’un  en avoit obtenu de régulières,  elles  
 prévaudroient.  Voyc\  Amidenius, de flylo datants  
 , c. ix.  (y7 ) 
 PERINÉE, f.  m. (Anat.yefl le nom que les Anato-  
 mifles donnent  à l’efpace qui  efl entre  le fondement  
 6c les parties génitales.  C’efl proprement la future li-  
 gamenteufe qui joint enfemble  ces deux parties.  Les  
 Latins  l’appellent interfoemineum. 
 Ce mot efl  formé des mots  grecs wtp/, autour,  6c  
 rcauv, habiter. 
 PERINEE,  maladie d u ,  (Médecine.) l’endroit  placé  
 entre  le  fondement 6c les  parties  génitales,  connu  
 fous le nom  de  perinee, qui dans les  hommes occupe  
 l’efpace qui fe  trouve  entre  le  gros  inteflin 6c l’ure-  
 thre;  mais  qui dans  les  femmes, efl entre le même  
 gros boyau 6c  le vagin, &  fe trouve fujet à quelques  
 maladies particulières. 
 Souvent dans les hommes,  la contufion du périnée  
 produit une fupprefîlon d’urine ; dans les  femmes , le  
 déchirement de cette partie, fuite d’un accouchement  
 trop  difficile ,  ou  du  peu  de  précaution d’une fage-  
 femme dans l’attouchement, venant à caufer une ef-  
 carre,  laiffe  après  fa  féparation,  une  incontinence  
 d’excrémens,  à  laquelle  on  ne  peut  remédier.  Les  
 abfcès  de  cette partie, les ulcérés, les bleffures, les  
 fiflules,  les hémorrhagies , fe guériflènt plus difficilement  
 qu’autre part.  Le calcul qui s’y  trouve attaché  
 doit être enlevé parla fe&ion.  Le fentiment du  froid  
 qu’éprouvent  les  femmes  enceintes,  fe  rapporte  
 aux lignes qui annoncent la mort  de  l’enfant  dans le  
 fein de fa mere.  Enfin  la  tumeur  qui  arrive  à  cette  
 partie dans les  hommes, efl fouvent fuivie de la fup-  
 preffion d’urine.  (D. /.) 
 PERIN-KARÀ, f. m. (Botan.exot.)  grand  olivier  
 fauvage  qui  croît dans  le  Malabar.  Son  fruit  efl de  
 couleur  bleue-purpurine  lorfqu’il  efl  mur, &   d’un  
 goût  douçâtre,  mêlé  de  quelque  acidité ;  mais  fa  
 couleur efl jaunâtre quand il efl vert, &  alors fon goût  
 efl très-auflere. 
 PERIN-NINOURI, (Botan. exot.') nom qu’on don-  I  
 ne  dans  YHortusMa/abaricus, à un arbriffeau du Malabar  
 qui porte des baies, dont le noyau contient fix  
 amandes ;  cet  arbriffeau  méritoit  d’être  caraétérifé  
 plus au long.  (D . /.) 
 PERIN-PANEL,  (Botan. exot.)  arbriffeau de Malabar  
 portant des fleurs en grappes ,&  des baies oblon-  
 gues,  qui renferment quatre femences.  Il donne  des  
 fleurs  6c  du  fruit  toute  l’année.  On compofe  de les  
 fleurs 6c de  fon fruit, avec un peu  de poivre long 6c  
 de graine de cumin, une boifion vantée dans le pays, 
 pour  là  toux, l’aflhme, 6c autres  maladies des poumons. 
  On fe fert.de fes feuilles 6c de fon écorce, cui-  
 !  tes dans  une  infufion de  riz , pour  les appliquer  en  
 forme de cataplafme furies tumeurs qu’on veut amener  
 à fuppuration. 
 PÉR1NTHE ,   (jGéog. anc.')  Perinthus,  Perinthos;  
 ville  nommée  autrement Héraclée de  T/trace,  fituée  
 fur  la  Propontide  félon  Ptolomée,  lib. JII.  c. xj.  à  
 54d.  6c  507. de long.  6ç à 4Zd. zoL de lat. 
 Ce fut cette ville qui réfifla la première aux Perfes,  
 &  dont la prife facilita à Mécabife, lieutenant de Darius, 
  la conquête du refie de laThrace. Hérodote rapporte  
 qu’il ne put s’en emparer que par le fèeours des  
 Péoniens qui  l’attaquerent à l’improvifte.  On  fait  le  
 plaifant défi que les Périnthiens firent  alors aux Péoniens  
 ; ils les appelèrent en trois fortes de duels, l’un  
 d’hommes,  l’autre  de  chevaux,  6c  le  troifieme de  
 chiens  :  6c  comme  ils  fe  réjouiffoient  en  chantant  
 l’hymne de la victoire, qu’ils avoient déjà remportée  
 dans le premier 6c le fécond défi, les Péoniens profitant  
 du moment  favorable  oii les Périnthiens étoient  
 plongés dans l’ivreffe  6c la  lécurité,  les taillèrent  en  
 pièces,  6c fe  rendirent maîtres de leur capitale. 
 Philippe  ayant  formé  le  projet  de  fubjuguer  la  
 Grece ,  ravagea  les  terres des Périnthiens, 6c tâcha  
 de s’emparer de leur capitale ; mais les Athéniens  fé-  
 coururent vivement Pèrinthe,  6c Philippe  fut  obligé  
 d’abandonner cette entreprife. C’efl à ce fujet que les  
 Périnthiens firent  en faveur des Athéniens leurs bienfaiteurs  
 , un  decret  des  plus  honorables, dont  Dé-  
 moflhene a donné le détail dans faharangue pour Cté-  
 fiphon. 
 Ce fi.it un Héraclius, prince de Conflantinople, qui  
 changea  le  nom  de  cette ville  en celui d’Héraclee.  
 Elle eil fameufe  par  fon  exarque, dont l’évêque de  
 Conflantinople relevoit encore fous l’empereur Con-  
 flantin.  Cette  prééminence  dura  jufqu’aii  premier  
 concile  de  Conflantinople,  qui  en  dépouilla  Héraclée  
 , pour  attacher tous les honneurs du patriarchat  
 au fiege de la nouvelle Rome. 
 Cette ville efl  encore affez peuplée pour le pays,  
 mais on n’y  trouve plus que quelques vefliges de fon  
 amphithéâtre fi vanté par les  anciens ;  cependant M.  
 Buanoroti, dans fes obfervations ,fupra aLcuni Meda-  
 glioni Antichi, a raffemblé tout ce que  l’hifloire 6c la  
 fable  difent de Pèrinthe ;  l’ouvrage  efl digne du nom  
 de l’auteur :  dans la race de Michel-Ange  il n’efl pas  
 permis d’être un homme médiocre."  (7?. /.) 
 PER IOCHA ,  mot  purement  latin  6c dérivé  du  
 grec 7Jipionn  , argument  ou fommaire qui  indique  ce  
 qu’un difeours  contient. Poyt^ A rgument. 
 PERIODE ,  f.  f. en terme d'Agronomie, efl le tems  
 qu’une planete met à faire fa révolution ; ou la durée  
 de fon cours ,  depuis qu’elle part  d’un  certain point  
 des ci eux jufqu’à ce qu’elle retourne à ce même point. 
 La période  du foleil, ou  plutôt de  la terre ,  efl de  
 365  jours,  5 heures,  49. minutes.  Celle de  la  lune  
 efl de 27 jours,7 heures, 43  minutes. ^bye^SoLEiL,  
 L une ,  &c.  Les périodes  des cometes font encore inconnues  
 pour la plûpart. Il y   en  a  néanmoins  quelques 
 unes dont  on  croit  çonnoître les périodes : une  
 par exemple dont on  fait que la période efl de 75  à 76  
 ans, &  qu’on  a  revûe  en  1759; une  autre  dont on  
 croit que la période efl de  129 ans, 6c qu’on attend en  
 1789 ou  179.0 ;  une autre enfin dont on croit  que la  
 période efl  de  575  ans,  c’efl  la  fameufe  çomete  de  
 1680. Voye{ Comete. 
 Il y  aune admirable harmonie  entre  les  diflances  
 des planet.es au foleil, 6c leurs périodes autour de cet  
 aflre ; la loi de cette harmonie efl que les quarrés des  
 tems périodiques font  toujours comme  les cubes des  
 moyennes diflances au foleil. Voye^ PLANETE. Voici  
 ces périodes 6c ces moyennes diflances. 
 Jours. 
 P E R 
 Jours, Heures. a Moyen, dijl. 
 Saturne  . 10579 6 36 26 953800 
 Jupiter  . 43 31 12 *20 35 520110 
 Mars  .  . 1  é86 23 27 30 152.369 
 La Terre. 365 6 9 30 100000 
 V énus.  . 224 16 49 24 7 23 3 3 Mercure. 87 23 m 53 38710 
 PÉRIODE,  en  terme  de  Chronologie  ,  .fignifie  une  
 époque  ou  un^  intervalle  de  tems.  par  lequel  on  
 compte  les années , ou une fuite d’années au moyen  
 de laquelle le  tems  efl mefuré de différentes maniérés  
 ,  clans  differentes occafions  ,  6c  par  des nations  
 différentes. Voye{ T ems. 
 Telles font les périodes callippique 6c méthonique,  
 qui  étoient  deux  différentes  correélions  du  calendrier  
 grec ; la période julienne  inventée par Jof. Sca-  
 liger ;  la période viélorienne,  &c. 
 Période  callippique, ainfinommée de Callippus  
 fon inventeur,  efl une fuite de 76  ans quireviennent  
 continuellement,  6c qui  étant écoulés redonnent les  
 pleines  6c  les nouvelles  lunes au même jour de  l’année  
 folaire. 
 La  période  callippique a été inventée  pour  perfecr  
 donner la période méthonique  de  19  ans;  cette derr  
 nierepériode ne fe trouvant  pas affez exaéte,  Callippus, 
  athénien,  la  multiplia  par 4 , &   forma ainfi la  
 période callippique. Voye^ Callippique. 
 PÉRIODE CONSTANTINOPOLITAINE,  efl la période  
 dont fe fervent les Grecs : elle efl la même qu e la période  
 julienne. Voye{ Période julienne. 
 Période  dyonisienne,  ainfi appellée de Denis  
 le Petit,  fon inventeur, efl la même chofe que  la période  
 viêtorienne. Voye^ PÉRIODE  victorienne. 
 Période d’Hypparque , efl une  fuite de 304 années  
 fblaires qui reviennent continuellement, 6c qui,  
 félon Hypparque, redonnent en revenant les pleines  
 6c les nouvelles  lunes  au  même jour de  l’année folaire. 
 Cette période n’efl autre que  la période callippique  
 multipliée par 4. Hypparque faifoit l’année folaire de  
 36^5-jours, 5 heures ,  55  '  12  6c  de-làil conciuoit  
 qu’en  304  ans  la période  callippique  devroit  errer  
 d’un jour entier. C’efl  ce  qui  l’engagea à multiplier  
 cette période  par 4 ,   6c  à  ôter du  produit  un  jour.  
 Mais cette correûion  ne fait  pas  revenir les pleines  
 6c les nouvelles lunes au même jour de la période ; car  
 il y  en  a  qui anticipent  d’un  jou r, 8  heures.,  23 ‘ ,  
 29 " ,   20  . 
 P ériode julienne , efl une fuite  de  7980  ans  ,  
 qui vient de  la multiplication des cycles du foleil, de  
 la lune, 6c des indiélions l’un par l’autre, c’efl-à dire,  
 des  nombres  28 ,  1 9 ,  15.  Elle  commence  au premier  
 Janvier dansl’année julienne. 
 _ Chaque année de la période julienne a fon cycle folaire  
 ,  fon  cycle  lunaire ,   6c fon  cycle  d’indiélions  
 particulier, de forte  qu’il n’y  a point dans  toute l’étendue  
 de cette période deux années qui aient à-la-fois  
 le même  cycle  folaire ,  le même cycle lunaire, &   le  
 meme  cycle  d’indiélions :  d’oii il s’enfuit que  toutes  
 les années de la période  julienne  font  diflinguées  les  
 unes des autres.  . 
 Cette période  frit  inventée  par  ScaUger,  comme  
 renfermant toutes  l,es époques ,   pour faciliter  la réduction  
 des  années  d’une  époque  donnée  à  celles  
 d’une  autre epoque .pareillement donnée.  Elle  s’accorde  
 avec l’epoque ou période conflantinopplitaine,  
 qui étoit en ufage parmi-les  Grecs ;  avgecette  diffé-  
 rence  ,  que  les  cycles  folaires 6c lunaires, 6c  celui  
 des mdi&ions  , s ’y  comptent différemment,  6c  que  
 la première annee de la période julienne différé de celle  
 de la période conflantinopolitaine. 
 Période ou Ç ycle«methoni<2ue j.appelle auffi  
 Tome  X I I . 
 P E R   361 
 cycle lunaire, efl une  fuite  de  19  ans, au  bout  def-  
 quels les pleines 6c les nouvelles lunes font fuppofées  
 revenir au même jour de l’année folaire. On a appellé  
 cette période  méthonique,  du  nom de  fon  inventeur  
 Methon. Voye{ M é t h o n i q u e . rcrye^ auffi C y c l e . 
 P é r i o d e   v i c t o r i e n n e ,   efl un intervalle de 5 3 2  
 années juliennes,  au bout defquelles les nouvelles 6c  
 les pleines lunes reviennent au même  jour de l’année  
 julienne , félon le fentiment de Viélorinus, ou Viéio-  
 rius , qui vivoit fous le pape Hilaire. 
 Quelques auteurs  attribuent  cette période à Denis  
 le Petit,  &  l’appellent pour cette raifon  période  dio-  
 nyjjcnne  :d  autres l’appellent grand cycle pafcal, parce  
 qu’elle a été inventée pour trouver le tems  de  la Pâque, 
   6c  que  dans  l’ancien calendrier,  la fête de Pâque  
 au bout dey 3 2 ans tombe au même jour. 
 La période victorienne  fe  trouve en multipliant  le  
 cycle lunaire  19 par le cycle  folaire 28 ;  le produit  
 de ces  deux nombres efl 532. 
 Mais  il  s’en faut  quelquefois d’un jou r ,  16  heu-  
 res » 5 8  1 ,  59 (l, 4°   1 qtie les pleines &  les nouvélles  
 lunes ne retombent au même jour dans  cette  période,  
 Chambers. ( O ) 
 P é r io d e   c h a l d a î q u e   ,  voye^  S a r o s . 
 PÉRIODE,  en termes de Grammaire &  de Rhétorique ,  
 èft  une petite  étendue de  difeours  qui renferme un  
 fens complet, dont on diflingue la  fin  par  un  point  
 1(1. ) ,  6c les  parties ou divifions  par  la  virgule ( ,  )  ,  
 ou par le point avec la virgule ( ; ) , ou  par  les  deux  
 -points ( : ). Voye^ P e n s é e   &  P o i n t . 
 Le  pere  de  Colonia  définit  la période une penfée  
 courte, mais parfaite, compofée d’un certain nombre  
 de membres ,  6c de parties dépendantes  les  unes  des  
 autres &  jointes enfemble par un lien commun. 
 La période, fuivant la fameufe définition d’Ariflote,  
 efl un difeours qui a un  commencement, un  milieu  
 &une fin, qu’on peut voir tout-à-la-fois. Il définit auffi  
 hpériode compofée de membres, une élocution achevée  
 ,  parfaite pour le  fens -,  qui  a des parties diflinguées  
 ,  6c qui efl facile à prononcer  tout  d’une  haleine. 
 Uii  auteur moderne  définit  la  période d’une maniéré  
 beaucoup plus courte 6c plus claire : une p’nrafe  
 compofée de plufieurs membres, liés entre  eux  par  
 le fens &  par l’harmonie. 
 On diflingue en général de deux fortes de périodes,  
 la période fimple 6c  la période compofée.  La  période  
 fimple  efl  celle  qui  n’a qu’un  membre,  comme  Ici  
 venu feule ejl la  vraie nobleffie : c’efl  ce  qu’on appelle  
 autrement propofition, les Grecs  la  nommoient poro-  
 koXcc. La période  compofée  efl  celle  qui  a  plufieurs  
 membres,  6c l’on en  diflingue  de  trois  fortes : fa-  
 voir,  la période  à deux  membres,  appellée  par  les  
 Grecs S'mtXoç, 6c  par  les Latins bimembns ; la période  
 à trois membres,  tptxoXoç, trimembris • 6c celle à quatre  
 membres, reTpcatoXoç,ou  quadrimembris. 
 Une vraie période oratoire  ne  doit avoir ni rfioins  
 de deux membres, ni plus de quatre : ce n’efl pas que  
 les périodes fimples ne  puiffent avoir lieu dans le difeours  
 , mais leur brièveté le rendroit trop découfii &   
 en banniroit l’harmonie,  pour  peu qu’elles y  fuffent  
 multipliées. 
 Dès  qu’une  période  paffe  quatre  membres,  elle  
 perd le nom de période 6c prend celui de difeours périodique. 
 Voici un  exemple d’une période à deux membres  
 tiré de Cjcéron : ergb & mThi mea  vitre prijiinæ confue-  
 tudincm , - C.  Ccefar ,-  in terclufam  aperuijii(  premier  
 membre ) ,&  his omnibus ad  benè de  republicâ fperan-  
 dum, quafijignum aliquodfufiulifli ( fécond membre). 
 Exemple  de  la période à trois  membres : nam  cum.  
 anteà per oetatem  hujus loci autdritatern confingere non  
 auderem (premier membre '),ftatueremque, nihil hücniji  
 perfection ingenio elaboratunique  indufiriâ  affèrri ■. opor- 
 Z   z