
. . M ' h ' i
« • Vn, ’ • > x p n ,fi
objet LYAyMhlv fondement de la coriaeiffan;
c4\^esf affinités, -& ‘de cel|è des lois qui l:,s
dirigent. {^èftg/nfiiqqei lyL.Kùwan a. .donné un
travail;, ürès-étei?dfi §ç rempli,de Faits importans
à conluker, fur leîdoles réciproques d’ acides &
de bàlècs.q,ui fe façujent.dans une fuite déjà.allez
confiéérable ,de fels neutres .j. c’eft ainli que [es
cipQ*yj?ns Fp.ure^o.y auqupljn^ dans >uu, allez
grand; nombre -de amémou^ ; fur diverf-.s ma-
tKÉr$$;.f4|inçs3î 'inférées (oit. daqs . les. trois ^er-
*ders 'Voiiivr.es' de l.'hiâjcdve^ue^l iéa.dçmïe, foit
dans lès 18 volumes des Annotes de chirr-J^ ,
commencées après l’ étab'liJT^ment de J a, npuvelle
somenciaturje, & poprfuiyupsjpfqu’à Lijfin de 1793^
ébc eu- fpin 4 e prelçnter les dofes reja.tives, des
roatiëje^çüfdèSr#nfpn^le' , i pé Ja . rencfe)qiî& ifte à , ÿ | r g Æ y p r î e | ]epqi-J binai/oiis^^don^ j la, ^auitéj^’^vojc .p.oiixt. .encore
étérçdmparéè- encor^ em-i^fil I4ëppqfie a
laquelle ûpiis noips tpU^cfiqqs- .«p ,qu^'( ,rfiifiqi.c^
d^; îèl> t4Ûp}esvqü a deux $üe^,*c£llé ’ des. 'âci-
difi^sjou .îfels cempofés javec^xçès,décides , a
fait -de grands progrèsl. A la vérité , îa marche
analytique &,■ raifonrèe ,de li.-.nouvelle iiomen-
•qkturê ]jdéfnjgjjg£ relay^es.^^fels cf}&pofé^?y©lén^fa^'4V':?-^j5e: fuj{d’:ai,iaèiuie 9 a . d û : n à£.a r.e Î terne^nt guider - le p .chi milles daps. de
piïr^ifbis - ïegherche-s >,
thfide /ac.ilft/d^;déiigperr tqii*sf -ljes^^ak^pombles
de combinaisons , & en leur rapp= liane;,.fins
côfieÆpar delknpje expofé ,dk t^leag. qui, xen-j
ferme des.. déQpmînatiqns»-apflî, ^^îieijen^nj^dl/*'
pofées q'Uéples^pliêg , ce
jqiii teÔPat A'fa^e^o&^qqu’jçn^ tqii^ ç incefr
fan^fiènt.d^ :fenr^ ^iyg^, -£*ijp)n,j x mens*. ii
- à iQuoiqu^ ].. S s cray aÿxjj àp ; c.q^énr^fie^fq^n-f
pas une fuite nëceflaire de Ta nouvelle d o^q e'j
&; n’exigent; pas . ppnlpquemrrjent peupla con-
noifiance des progrès, d^cell^p çjj,
iaiàiii circonftariedis ^gLÿÿÿji f£te$pus£ 4^ , Çjïjfm
-fess concerue *qu% qui pn:,été aopnei fup
J a plupart] des fujets trqitès|j^i.{|es titrq^^ye^
jcédeïis, çonime aygnt;,dês r^ppoft^ £%n pîpf in^
times avec h 'matcÜf{ ^ cpqfir^atipn 'de. ;betcê
,d o è lr jn e .il ,efi? cependant utile .de^-faïrq voir
que les progrès même de,- Ja tnéorie‘pneumatique
ont uaq lialfoa avec ceux de. la- cqmpofi-
-tioJi i& défiLi vpat;ure;dps sÿl
•ii't fi-jpis ‘^es
;di s O uver^e S fri rpfo furf'cbaqjuê, letpeeq,. ilf qfi .au
tir.oips utile dé gjeter un,;cpLip.: d’qsil rapide:. [iir
'i'eofemble djç•Jçe?»4éc*ouviçttèsf,^âfrilTquejfüf. l’influence
qu'elles ont pu Wair* Hans la' prpgrejipn
de. la doctrine pneum^tfru7*rP^rmi c,e^ derniëj^
aucune' n’â des .rapports plus intimes, gyéc-j cette
-dcîélrine, & n’a. plus 'jçqntribué 4 •}$j dofitiec, pn
•nouvel(.éclat que..celle jju. muriaté. [uro.xigen^ de
.'PQrajfe^, ifrite-par le citoyen Çerthpllet. En recevant
le gaz acida muriatique oxigéhë «lans'dè
Hèàu cbargée de carbonate de potaffe , il s’ap-
për.çut dvabdr'd que cët acide , qui ne s’uniffoit
pas' direélémënt'&: iii.rnediatement avec les alcalis
, fe fixoit mieux dans la liqueur que dans
l’eau i bientôt une effervefeence continuelle,
due au dégagement de gaz acide carbonique en
petites bulles , lui apprit que l’acide muriatique
oxigëdé lbj|éombinoit avec la poiaffe. La liqueur
futures lui fournit des - criftaux très - briîlans,
prifinàtiqpps j- comprimésfort différefis par h
formé dés cubes- du miiriate de potaiTe , &
joui liant de la propriété d’allumer les- corps
cômbuftiblês à l’aide d’un peu de chakur , comme
le fait le filtre, mais avec bien plus d’aétivité que
celui-ci. Comme la leflîvë d’où ce Ici étoit pre*
çibité conte noie a ufli du muriate de potaflè or-
dinàiiè U . il en çoneVud que l’aciHe ;rriuriati-
que nè pillant, dafis lâ.diflrllation àvèfc l’oxide de
'manganëfe qu'à l’etiitJ d’âcïde' muriatique: oxi-
géné •/ celui-ci fe Bxdir!dar.s l’a!cali! 3 y ^ entraî-
noitfe y condenfoit avec lui plus d’oxigène encore
qpe dans..fêtât décide muriatique oxigéné
d.flous, dans l’eau. Aufli ' nomma-Hl_ le fel nou^.
yeaù. muriate fui exige né d e potaj[t^3 2X\ litii de 1 apminatiofi
fut çQn'^fm..é6 paè.toutès lél propriétés
4e ce fql.’Expofe ;3ii feu dans ùné cbrniie âvèé
.ï’^pat^ii.pneumatô- èhimîque le noüveau fel
donna de l’air vital très-pur, & plus abondamment
que nè devolt en contenir la proportion
d’acHe muriatique, oxigéné.qu’il contenoit. Ce
g 4 ,ç x ig e & f ,: Wus.puÇ ^ué' Cdui W »
-PU fic ' n31trf èn. 3« ^ ue
forpe5pi\ -qouvteau .ipe^àélè p.oiTr sfy i mmiltes j
ÛUbrûldjt, comme .f^j/él lui-même , lès* corps
cpmbulb'bles . avec -p‘ 11sr cf’én^ei;.^ié | & furrttbut
avec une flamme /plus, brillante , en forte que
l'on porta d’abor4ifoiite fpp attention fur futilité
dopt .iLpajr^ffqiç ^evplr^^tr^e pour la faby-
xatiop d’une poudre,i canon, beaucoup-prus forte
que,-fieils qVon,av.pït, .'préparee^jüfliuë-l^.. ‘Dans
lc§ypr^nvier5(elfais qmon fie fur^ytté poujirp^ôii
s’apperçiit; qu’elle prenoit feu àyêç b.eauço'up de
}frpilite. Le terr:ble accident arrivé à Eflofte le
47 octobre j 1788 3 qui coûta la -vie ..à^dêfix l§fï~
fonnes , & 'dont Lavoifier. .8c Eé'rtholiet faillirent
être les, y intimes f i ) ÿ j tallentit -pouq quelque
(l) Evénement afrhL a lié(fabriqué 'dès. pou 1res-, d'Rffone , le
27. pplobre i;7 z#;/Èxtr>aiç du journal de .Paris-du vendredi
• 31. oâo$re 17.88,, ; ’
, Les régilfeurs.des poudres ayant-appris que M, Bertbollet
,avoit- découvert qpe matière très■ - propre à fabriquer de (a
poudre béaucoyp plus forte que la pc-iidre royale niê'me , qm
‘ eft la meilleure connue , , onc cru qu’il étoirde leiri; devoir
'défaire' u'né épreuve'de cettë fabrication y quoiqiiç^e lo»c
uü problème aflèz difficile àf réfoudre, de .favoir ïi. les de-
çpuvertes, de ce geiife foqt plus avamagéufcs ■ que quUibl.es a
^l'fh;u,nïanitc. : ... • * . . ' . m ; ... r : , ,
' iL* prirent , Vans le :cpurànt :dç fepteîiibfe aernier, 1«
tôms les’ tentatives ; celles qu’on a ^faite^^dé-
puis ont prouvé qu’il eft prefque impfiffible d’ef-
pérer des avantages de cette, compofitfon puifr
quelle menace fans cefle de faire des explofiôns
dangereufes, foit lorfqu’on broyé le fél , doit
lorfqu’on frotte, même légèrement, la poudré.
Lavoifier remarqua que i broyé Ait un porj hyr-ei,
le muriate fiiroxigéné de.mercure rép^ndoit: avéc
une décrépitation remarquable des- étincelles qui
imitent celles de rélèélricité; Fourcr.oyi. &
qoelin trouvèrent , qnelqüè-'vtems ..après y *que
l'acidé fulfurique concentré verfé-fur ce fel ,: y
produit un dégagement dé Vapeur rougeyépaifle
& très fétidè , avec une efpèce de ;décrépita--
tion j &; qu’èn approchatit - une lumière du vafe
où'cette effervefcéneë avec déGrépitatibn :?du-
roit. encore , même plufleurs heures apres le
moment Ofilon-y a volt verfé; 'de l’acidé,. °il fe
frifôit une èxplofion1 ivive , accompagnée d ’une
flamme inftantanéeV Tous les eflais marqués par
des explofîons , des lujminations pliis ou moins
oidr.es du miniftte des j finances pour .faire cette expérience.
Ils firentj en feprembreSc oftobre , fabriquer le nouveau fel
dans, leu,:s atteliecs m.êrne , fous les yeux & la. conduite d;
M Beirlioliec, qùi à fait à ' f adminitlratibn rhômnragï de
Ton fecret, & s’en procurèrent une quantité fuffifanre pour-un
efTài en grand;
Deux répffcüri , MM. Lavoifiér & Letors & M.' Bërtfi-ol-
let., fe tendirent à là fabrique d’Ëffbfiè , le 26 de cer iriors ,
& M. Glouet devoir les y joindre le 28 Dès le a s M. Le -
•it'Op àvoit -fait prép'arer en p|ei;n air & ;daïiî£,un end^rok- tres-
écarré- un,petit moujjn.à-. w a s ‘,à ;un’ feûï grlon avec ùné levée
paffimV à!tfà.')ërs;uà affembtiagë de planches'%>lrdèm%nt
aâuré, 1 dér rièfe lequel1 les oftyFiers ■ deftinés;à taire mouvoir
la mânivelle, & les rég-.ffeurs dévoient êcr.e placés afi,n
de les ga antir de tout accident.
Tout étant ainfi préparé avec la plus grande attention par
les'foins du- commifiarrè -.de la,fabriqué , füjet ttès-intelli-
genti,, on procéda -.à l’éppeu^e le,.27 à 6 heures du matin .: 16 livres de madères furent, p'éfées fcriip’uîeulemeht àù do-
fagè cb'nv^nit, &Me'’ cn'àrbo'h fut rwojii'Hë‘':par' •précaû.HopJj
on commença à bàttrè heûres-' pt écifes'; fombe taid tipa-s
à s’appeteevoir que la madère-, quoique médiocrement hu-
nieclée /Te peloton dans le mbitier & qu’elle,fe rerour,noit
mal fous.le pilon,; M. X^pr?‘.e-ïîîiya de la faire.,retomber
avec un bâton ; mais.cet e’x.pédiént n’âyant pas reulïï com-
plèttfement, on refoliic de poftér Ifi dompofition à 20 livjes,
au lieu de 16 , & le nouveau charbon fut encore njouilfé
avant d’être employé.
Comme , rnalgré'Taddîêîbn de' matière , ellèv’ne"'fe? re-
•toitrn’o'it..pas beàuco.up^imie.ux&iilylv Lçiiors,,. eitjporiépai f rp
zèle . iCQntjnua là la faire,cetonibc,t;: à chpquprçoiip ^ü.'i? il op- :
avec fon efpt■ ce de fpatufe de bois , perrtîade quiîl là'.pm:d,e .
* étant pas encore fort avancée, il ti’ y ^débit'aùcûn ch ri- t
fier ; il étoit alors entouré de M. & de 1;na dame: Lavoifier, '
de M. B. rthollet ; de M. -de-Chervratid;, I jÇo)nnîïffaite S de!
M. ; Mallec ; •élève, ôc idij1. lieur,Aldin , n>aâtr.e! fiPQudr jgr, | & P,lai fanto.it tavep féçuritç; .fur les effets, jque pire âuiioic . une j
expiofidn en plein air. '
A ? heure!S. un quart 01n fufpeiÏm le battage' pour.Taire j
un rechange complet ,■ 6c: on rjroi;iH la; ippqdçe,Jp lift te[van- ;
Cee qu’on ne s’y attende it. Alois M. Lavoilier in fir ti.fp ui •
effrayantes ,é 1 ofgçèr-^nt:jdes, , tcni;a.tifviÇ)S on
s’apperço^t tp i e i ^ $ e L es ,4evoiënt dépendant
êtrè çurie,ux ae‘ cqnnçîtçe les effetf ",
ik ils fe ^contentèrent pendant afinéès j
même e;n ,-Franc^ »■ pr.eniiér loyer d.e toutes ^.ce^s
daegy vertes, ,' frèni^crei;4eidëir^.fit', ‘%'rtmOfjSp
furoxigf-Dë. de potaife .aî .l’exrra^.ijqû, du ^g z’ fixÇ-
,gène le; pliis pur : que,,, l’on;.ajt;-p(i_;4 !r,pioye,r j
cpmme » . ^ v / 2 £ é ’Ç-
pèqe. 4®. ga$<03q|$t)q ,q.ùq -fla-fis. le laboratiore
du citoyen Fourcroy ia ..récpmpofîtion
de Feau , ;qn. prai, ,179e., dont on ,a. rendu, cojfiptë.
Pep-àfpè,u vcepenifrn^. les .çhimijiqs frmilfrr.ijes
avec qe f /îpuyeaU] •ƒ%£ Je
traiter par la diftiliatioii .pour ^eh . .obtenir_^de
l’aiF vifal, ep .le, réduisant,a;E^frt gé., h\uriàçp
de pota^fft-i. • j& jà.le; c-oifigarer ,â^ ^i.tcq<pay ;fes dê-
tonations avec le charbon Ls: métaux ,, eurent
pççaïion de faire & de çonfer.ver des inélan'ges
de muriate furpjfigénA’de potafle & de diverfes
matières cpmbuftibles.. Çe_ fut. alors qu(on put
:que fon.»e:oiïrcère'.ceflfât;dé/la-,remuer avec un cbâtprt déliant
; le bagage.,-&- demanda, que. tenu le..mond^ fe retirât
.dejTjèje, Iseftaeade, t-ar.dis que jà’feaciîine qoùeroit, fitof u
‘ 1 ëvenff "reùîuer Ibfï^ue 1 ptrdn rerb:ir-!ai tête %c'; qb|1 fût
coi) vén!u ; après f 'quoi: ob defcetidrt pour pceddre. quelque
repbs Sc dcieûner 0.en J aj; Ifan t ^ l’jcliç ve; ; Si;-le] jnâîiïe ; poudiifr
V'ippur ^continuer, lç travail; avec Ips. .précautions .indiquées ,
dont la .première étoit de ne" içriir en avant d'd ' l’abri en
planches 'que dans' : l'el qibmdtU /dé~l’îtÇrerruftièn.1 ’ Péô -
tiibt ic'çhciiiih’ du lieù^d-; r^rêüvelàiù !îü^enSèm du cosfl-
f:mrflfaire.,1 tMTLértîrs tëbferÿai j ^vjec- çèue d '^ ç ia ^ c
- qni ; je -.caïâftérjïpit, , q^i*i^!s .éjoi§ qâcl^é
fui .e de l’o^ ération le maître* poudrier qui, etbit marie &
avoir des er.fans, que cette place convenolr vrhffux -*às un
garç.on, §: qu’ .l s’emprefleroit d’y retourner. M. Lavoi-
-lier ^)«1'"|é-do'rvdic qufexet:.ouvfiér iméreflfsnc ne-'iîbu.ron au-
.cun -danger s’il fe tenoir derrière il^s ülanç^es^end^ntj^e
•battage , comme, on,le, JL'i»3.voi.c. recÿo"nriande. Au bofte
■ 'd’un quart d’hèure on sVçhemina pc,ûr TètBp^ncf. d* l Üp-
"parèO iirtôrr,; roujon/s : Idi-luftreS.dfî
-'qùèTquë'I- iùftaAs-\£ & fur- Ivr^femblableojéaKffaû'i td» 3pr^s
dpaïlfune des'd«ppifMlefc 4e Çlièvr^u^r^ijétfo'y
des:-.op’éçaujgis é^s arty^qn’.elle.^enceridôy très-bien. ( .
■ ' ' M'. Berthèlléc, q&î \i’avort jàifiâis' vu 'def moulin' à'p'oudrè,
entra avec m'qdarnè'&‘ M. Lavoifier ,& .le.îepmhiifTaire dans
Une, iSa-terie en activité?; il n’ y refta quet;p£û d’inllans, &
on fe. remit eti . cHe,min pour Te rendre à l’épreuve , i l . étoit
alors S, heures 4 s ‘ minutes ; à peine avoit'-1 on fait quelques
pas équ’une'fo'rté ^ p o fio h fe fir enténdrè1, èc-qù?une épàiffe
fumée'V-elêvà dii’liéù de l’épreuveé Ort jy xrbüruc, & on trouva
routé Ja.machine e a pièces-; Je. tdo5^ r en- édats , les-nioifes
bvifées , le pilon lancé au loin, le malheureux M. Letors oc
mn^nioifeUe de^Ghevrawd îetés- lun ée J’aùrre à 30 pieds de
àdiahce frataffé's c6ni:re'uri’muirdé meulièrëj: le premier
"avlôit nih'ë jariibè bmportée ^ de-poignet dro'it <cafle , une * chiffe iBrifée f un: ee.il; crevé, laf peau du crâne enlevée ; il
n’a furvéçu qu.e, peu d’in(lans-à tant, de b^efluies mptteljes.
Madenijoifclie ,de,; Çhev.raud mutilée aullî etoit. çxpiïée
i ayant lui., L’affidrablaae 'des plân'ckês derrière; JèqùeP êtoiént
t!îeS,'oiivnèrli,, ' ^ w irfiifé'A :Hs;avdierit’^cp>bu^S utiè vive
commotion , mais Tins aucurtU bUffare.rt.ièlètè!^ le mà-îtjte
poudrier , qui avoient été. relevés de leur porte par M. Le-
. fors-,, i’étôienf retirés; qn.iuilaaç .avant pour aller prendre
quel que. nourriture, ; ,, , 1. *