Nachdem dem Kaiser Tscheu Tchao wang (1027 a. d.) durch
eine Lichtmasse im Südwest*) die Geburt eines grossen Mannes
dort verkündet worden, sandte, nachdem der Lehrer**) in’s
*) Le grand maître San thsang fa szu (de Tchhin lieou) entreprit nn
voyage (628 p. c.) dans les pays les pins éloignés de l’occident, ponr contempler
les vestiges, du Saint, il arriva (dans ses voyages) dans la ville de Mokiatho
(Magada). Pendant 12 ans il admira la beauté dn trône du Saint Prince
(Bouddha) et les forêts de la montagne du grand aigle (Garudha). 11 parvint
encore .au tombeau de Kia-ye-ku-tsy (Kasyapa) et à l’arbre de la perfection de
la doctrine des mille saints. Le roi lui donnait le titre de maître de la doctrine.
Les Tonquinois appellent les Chinois (par nié pris) Ngo et leur royaume Nso-
ek-ngo. Les Tubetains donnent à la Chine le nom de Joulban, et à ses habitants
celui de Djanag. ou Ghianog idjà ou Shia blancs) en opposition avec les
il ja gar ou Ghia, gar ( I)j a ou Shia noirs), qui sont les Hindous. Depuis la
dynastie de Han, les Chinois portent le nom de Han jin (hommes de Han).
Les Japonais le prononcent kan. . Sous la dynastie des Thang le nom Thang
jin (hommes de Thang)' fut en usage et il l’est encore au Japon, ou on le traduit
par Kara, qui (comme Thang en chinois) signifie glorieux et s’écrit avec
le même charactère. Sous la dynastie des Mandschoux (Tha thung) les Chinois
s’appellent Thsing jin . Quand Thsin shi hoang ti sou mit la partie méridionale
de la Chine avec le Tonquin, les Chinois portaient le nom de Thsin. Pour
découvrir l’auteur . du vo l, les. Chingulays se servent de Magie, prononçant
quelques mots sur une noix de Coco et l’enfilant dans un bâton, qu’ils mettent
à la porte ou au trou, par lequel le voleur est Sorti. Quelqu’un tient le bâton
au bout duquel est la noix, qui poursuit les traces du larron et ils suivent ce
bâton [Tische der Schamanen], prononçant toujours les mots et à la fin il les
mène au lieu, ou le voleur s’est retiré et même tombe jusque sur ses pieds
(Knox). Les griots croient que dieu les a créés pour les plaisirs terrestres, et
qu’après s’être amusés dans ce monde et avoir contribué à la reproduction d’autres
hommes, ils doivent, après leur mort, reposer d’abord en paix jusqu’au jugement
dernier, puis quand les bons et les méchants auront reçu la rétribution de leurs
oeuvres, revenir, eux, sur la terre, pour s’y amuser et danser pendant toute
l ’éternité (Boilat). Mr. Turttle in Ohio erhielt Mittheilungen über die Geschichte
und die Gesetze des Schöpfungsvorganges von dem Unsichtbaren, über dem der
grosse „Unbekannte“ thront.
**) Shakya (in Sanscrit) means (rendered in Chinese) efficient virtue. Ka-
pi-lo-su-to is (in Chinese) the city of preeminent virtue. According to Sangchan
of the Tsin, what is called Ju-loi, is only that, which is the basis of the universe
(dharma datn or what the heart is capable of knowing). The sanscrit
Maha^Maya (mother of Buddha) is equivalent to the Chinese Tai-Shuh (great
illusion), all connected with the miraculous births being mere fiction. The Fan-
flower (Tan-to-li or Pandarika) is the white Lotus. At the time when the royal
Nirwana eingegangen ,(948 a. d.), Kaiser Mingti (1013 Jahre
später), der im Traum einen goldfarbenen Mann gesehen, den
Minister Wangtsun nach Süden und erhielt aus dem Königreiche
Jueschi*) durch den Arhant Matangiund den Pandita Gobkarana
prince Kumararaja) was born, with one hand pointing to the heaven and one to
the earth, he uttered the voice of a lion saying (according to the Yankwo
Sutra): .„Above and below heaven. I only am the honourable One“ (Arya).
Buddha was in his own nature self-content (Ishwara and Swabava). Das westliche
Tschu ist Tanggad, welches auch Tübet genannt wird (nach den Chinesen).
Zur Zeit der Dynastie Thang, auch unter der Dynastie Sang wurde das Land
Tupan (Tufan) genannt, zur Zeit der Dynastien Juan und Ming aber Uitsang.
Die Religion der Bewohner ist die Lehre Buddha’s in zwei Abtheilungen (die
rotheu und gelben), die sich durch die Kopfbedeckungen unterscheiden. By the
actors in Malabar (1795) the oppressors of the country (represented by devils)
were subdued by a Brahmin in deep meditation and ’(having assaulted him in
vain) prostrated themselves (s. Dalrymple).. At the procession (when Ptolemy
Philadelphus was associated with his father in the imperial dignity), vases of
gold, with d'vfiiaaxrjçia (medicine of the soul) were carried before Bacchus,
followed by a gigantic ph a llu s (Athenaeus). The two Hang-ha warriors (Chin-ke
and Chin-lung) guard the entrance in the buddhist temple. The palace of the
four great celestial kings (Sze-tae-teen wong-teen) contains 32 pillars. The three
precious Bouddhas (Sam pow fat) of the past, present and future are surrounded
by the 14 disciples (Shap Pat lo han), placed before Ome to F a t (Amida
Buddha). Opposite the receiving room is an image with many arms, called
Tsat sow pat be (seven hands, eight arms). The btfokroom (king fong) adjoins
the printing office. An idol of the Taou sect, as the King of Hades (Te tsong
wong by name) was (before arriving at his dignity) called Lo-pok. Various
idols are carried in the pagoda (sha le tap). The goddess Koon-yam is considered
Buddha (by the Chinese), as in Bengal Buddha is sometimes male and sometimes
female; according to the statues or images. The Banyans in India buy
and sell by signs, assenting with a nodding, dissenting with a shake of thé head.
*) Auf den Münzen des indoskytischeu Königs Kanerki erscheint Mithras
wie die Sonne im Strahlenglanz. Les Vindes et les Obotrites se réprésentaient
sous la forme d ’un lion rugissant le redoutable Czernobog (Maury). In der
Çatapatha-Brahmana heisst der Löwe Iça, der “Herr (Weber). Plusieurs des inscriptions,
où figure Apollon Grannus, associent son nom à celui de Sancta
Sirona (une divinité des eanx minérales). Le culte de Grannus se liait en
Gaule àf celui des fontaines. Sulis fut anoué par les Romains, dans la Grand-
Bretagne, à Minerve (Maury). On reconnaît dans cette épithète de Grannus le
mot irlandais et gaelique grian, qui signifie soleil. In der Bhagavata-Purana ermuntert
der schon armlose Vritra den durch seine Wunde an der Kinnlade ent-
muthigten Indra, au fs Neue die Waffen zu ergreifen, da der in der Beschauung