gata *) Jemand wie seines Gleichen behandeln, so würde ein
Solcher seinen Kopf verlieren (s. Gogerley). Wenn nicht auf
Ohnmacht ergriffen, die den Offenbarungen vorherzugehen pflegte. Man hüllte
ihn in seinen Manfei, während des Schreckens der Eltern, die möglicherweise
eine Bestätigung des anf ihre Tochter geworfenen Verdachtes fürchtete. Als
aber der Prophet wieder zu sich kam (den Schweiss von der Stirne wischend),
tröstete er Aischa, das ihn ihre Unschuld von Oben enthüllt sei. Ueber die
Wasservertheilung des aufgefundenen Brunnens Zemzem (durch Abdelmottalib)
sollte die Cahina (Sibylle) der Kinder des Sad, Sohn des Hodhaym (aus der
Rasse Codhaa) befragt werden. Cette femme, regardée comme inspirée, habitait
avee ses parents, dans une des bourgades de Syrie, comprises sous la dénomination
de Mechârif-el-châm (Caussin de Perceval). Als Abdelmutallib, seiuem Schwur
gemäss, sich verpflichtet glaubte, seinen Sohn Abdallah vor den Idolen Içaf und
Naila opfern zu müssen, rieth ihm die befragte Wahrsagerin (Arrafa), die in
Khaybar Umgang mit einem Geiste führte, Kameele zu subituiren. Fridlevus
(bei Saxo) vernimmt Nachts ans der Luft „sonum trium olorum superne clangen-
tium ,“ die ihm weissagen und einen Gürtel mit Runen herabfallen lassen. Einige
der Wahrsager (in Fez) bedienen sich der Geomantie (Punctirkunst), andere
blicken in eine Schüssel mit Oel oder Wasser (die sie auch einem Kinde in die
Hand geben), andere reden durch in sie gefahrene Teufel, besonders die Sahakat
(Fricatrices) genannten Frauen (s. Leo Africanus). Die Miihazzimim (Beschwörer)
exoreisiren Besessene. Die Einwohner von Gualata (in Nigritien) verehren das
Feuer (Leo). Durch ein mit Stechapfel (der durch Zigeuner aus dem nördlichen
Hindostan nach Deutschland gebracht wurde) bereitetes Rauschmittel schien es
Kaempfer, als ob er mit seinem Pferde durch die Wolken flöge. Die (XV. Jahrhdt.)
verfolgten Hexen meinten nach Einreibung mit einer Salbe durch die Lnft die
Teufelsgelage zu besuchen. Solarieengift erzeuge das Gefühl des Fliegens (s.
Wuttke). Die Kischinsi-Zauberer sind Dabre; der Kranke, vor dem eiue Schaale
steht (in deren Wasser sich Beereu bewegen), antwortet : Eh.
*) No such thing, as an immaterial or immortal spirit is recognised by the
Buddhists. At the death of any one being, the Karma or influencing fate of
that being, is transferred to another, then produced, and in fact caused by that
Karma. And till nirvana or extinction is attained, there is this repeated transfer
of the merit and demerit accumulated during an unknown period by an almost
endless succession of similar beings, all distinct from each other, never contemporaneous,
but all bound by this singular law of production to every individual
in the preceding l iD k of the chain, so as to be liable to suffer for their crimes
and to be rewarded for their virtues (Hardy). Anitya, Dukha, Anatta, transience,
pain, unreality (so the devout Buddhist mutters as he tells his beads)
these are the characters of all existence and the only true good is exemption
from these in the attainment of nirvana (Vule). Ipse ego (nam memimi) Tro-
jan i tempore belli Panthoides Euphorbus eram, sagte Ovid von Pythagoras. Om-
Tsongkapa’s Schüler zurückgeführt, ist die Incarnation im Dalai-
Lama*) der geistige Sohn der in Rin-po-tchsse. Der Character
nia mutantur nihil interit, lehrte Pythagoras. I am Gotomo Buddho, the Saviour
of being men, sagte Sakya in dem Buddhavansour (Turno). Le roi Chi-lo-y-to
(Çilâditya), levant une nombreuse armée, châtia les rois de quatre parties de
l'Inde (sous le titre de roi de Mokietho on Magadha) et ayant appris par le religieux
bouddhiste Biquentbsang le chant guerrier (pour célébrer les conquêtes
de l’empereur de Thsin) il envoya une lettre à l’empereur, qui ordonna a Liang-
houi-king de se rendre auprès de lui et de l’inviter à- la soumission. . Çilâditya
fut rempli d’étonnement: depuis l’antiquité (demanda-t-il) est-il jamais,venu ici un
ambassadeur du Moho Mintan (Mahatchinasthârâ) „Jamais,“ répondirent ils tous
ensemble. Çilâditya vint lui-même à la tête de ses ministres et reçut le décret
impérial, le visage tourné vers l’orient. 11 offrit de nouveau de l’hotsi (mica
laminaire) du parfum yokin et l’arbre pou-ti-chou (bodhi droumas ou l’arbre de
l ’intelligence). Après la mort de Çilâditya, l’ambassadeur Ouang-hiauen-tse
(646 p. d.) combattit l’usurpateur Nafoti-a-la-na-chun avec les troupes des rois
de Toufan (Tibet) et du Ni-polo (Nepal). Les rois des 5, Indes présentaient leur
hommages (6G3 p. d.) des ambassadeurs arrivèrent (713—714) de l’Inde centrale
et de l’In d e du midi. Ils demandèrent des troupes pour châtier les Ta-chi (Tazi
au Arabes) et les Tou-fan (Tibétains). La Chine ayant perdu le pays de Ho-
long (668-—670 p. d.) les rois de l’Inde cessèrent de venir à la cour.
*) Le Buddha vivant de Hlassa est une incarnation divine son père est
appelé père de Buddha, sa mère mère de Buddha. Les Tibétains ne font en
bronze que les figures des Buddhas, qui ont quitté le monde, tandis que celles
des Buddhas, qui vivent encofey sont en tsanpalou pâte de farine.1 On côupe
un petit morceau de ce drogue, Tsul-mou (mère des enfants) et ou le place
dans un Ghadhak (mouchoir) et dans l’espace d’une heure i} grandit peu à peu
et forme une autre Tsu-mou. Pendant ce temps-là on pense au Dalai-Lama en
récitant intérieurement des prières mystérieuses-adressées à Buddha et on forme
son image en pâte de tsonpa. Elle devient ainsi sainte et miraculeux (Hyacinthe).
Dans la salle occidentale de monastère de Balâla on voit sur du beurre l ’empreinte
de pieds et de mains, qu’on dit provenir de Zzong Khaba fondateur des
lamas de la secte jaune. Depuis son temps ses empreintes ne se sont pas détruites.
On y conserve aussi des armes (épées et fusils) des grands arcs et de
longues flèches. Le tribus Ko-lo inhabité le pays des Kiang (Tubetains) entre
Nitheou et Linkheou. Les Lamas à bonnet rouge (Siamar djaba) se marient. Le
Dalai-Lama descend d’un rayon de lumière, qui c’est détaché du corps du grand
maître Konanguo et s’est incarné dans la personne de Srongbzzan gambo, qui
épousa une princesse de la maison de Thang. Im Toledoth Jeschu wird Christus,
der alles Holz beschworen hat, an einen Krautstengel aus Ju d a ’s Garten gehängt.
Ohne das günstige Omen der Eulenart Bakeker wird auf Celebes nichts vorgenommen.
1 Gunputty or Sree Ganesa vouchsafed to appear (in a vision at