laquelle il est joint par sa signification. J’ajouterai donc ici c e lu i-c i, avant d'en
donner la traduction, dans laquelle j’exprimerai en caractères italiques le mot
qui fait partie de la huitième ligne.
J J I
Transcription.
r W I ._
Traduction.
V IC TO R IEU X POUR LE KHALYFE.
L a suite de la neuvième ligne contient la continuation des mêmes qualifications
honorifiques :■
Jh<£ Jià t c f f é ÀJi J 3 B
Transcription.
(i) i>L¿23 J s f c
Traduction.
L INSPECTEUR DES MAGISTRATS DES MUSULMANS , ET LE DIRECTEUR DES PRIÈRES DES
CROYANS.
L e nom du prince revêtu de qualités aussi trillantes et de ces titres honorable!
se trouve enfin a I extrémité de cette ligne et au commencement de la suivante,
Le mot qui termine la neuvième est
(É
Transcription.
Ce mot doit se lier pour le sens avec celui qui forme le commencement de la
ligne suivante, et je l’indiquerai en italique dans la traduction.
(i) »'Us pluriel de ^ I s . Le mot qâdy & Is signifie [juge d’armée]; il étoit envoyé directement de Corn»
proprement juge. Les qâdy, chez les Orientaux, sontles tinople, et nommé par le Grand-Seigneur. Le chefs*-
juges des causes civiles et criminelles; quelquefois ils se ' périeur de la justice est quelquefois désigné par le liai
nielent aussi des affaires qui concernent la religion, de qSdy cl-qodât s U i l l c*U [ juge des juges]; cent
Chaque province de l'Egypte avoit son qâdy particulier, qualification fut accordée, pour la première fois, parle
du Kaire Porto,t Ie titre deS"% a 's h r ju ci«là" khalyfe el-Mâmoun, au docteur /fiatt-JW
m
Transcription.
g '
Traduction.
ABOU-NEGM [ PERE DE NEGM],
Un nouveau titre d’honneur vient ensuite :
Transcription.
Traduction.
PLEINE LUNE DES VICTORIEUX.
La fin de cette même ligne, la suivante toute entière et le premier mot de
celle qui vient immédiatement après, renferment des bénédictions et des souhaits
qui lui sont adressés :
Transcription.
Traduction.
QUE DIEU FORTIFIE PAR LUI LA RELIGION!
J J e t é J1^ I a U 2 iio_}JJ4«Î<î tîl J 2 2 j
Transcription.
tAs Ajlij
Traduction.
Qu i l f a s s e j o u i r d e l a l o n g u e u r d e l a v i e l e p r in c e d é s f i d è l e s !
q u ’i l a f f e r m i s e s o n p o u v o i r ! . . .