I 8 8 MÉMO I R E s u r l e m e q y â s
qualifioit le seul khalyfe; maintenant, à Constantinople, ce nom se donne à
de simples prêtres Musulmans remplissant à peu près les fonctions d’aumônier
ou de desservant dans les mosquées, ou même dans les petits oratoires, soit pu.
blics, soit particuliers.
L e commencement de la sixième ligne présente d’abord le titre de dignité
de ce prince :
Transcription.
Traduction.
PRINCE DES FIDÈLES.
Puis le commencement de la formule de bénédiction qui est jointe ordinairement
au nom des khalyfes :
Transcription.
(iy_Jj*lU! AjLI a J p 4Ûl
Traduction.
QUE LES BÉNÉDICTIONS DE DIEU SOIENT SUR LUI ET SUR SES ANCÊTRES PIEUX,
L e commencement de la septième ligne comprend d’abord la fin de cette
formule :
J
Transcription.
Traduction.
ET SUR SES FILS COUVERTS D’HONNEUR !
La fin de cette même ligne présente ensuite le mo tif de l’inscription :
Transcription.
Traduction.
PARCE QU’IL A DONNÉ ORDRE DE CONSTRUIRE CETTE MOSQUÉE BÉNIE.
La huitième ligne présente d ’abord au commencement ce mot
Ü
Transcription.
Traduction.
POUR SERVIR DE QIBLAH ( I ).
Ce mot n’est que.le complément de la phrase précédente.
La suite de cette même ligne contient ensuite le commencement de l’indication
du vizir (2) qui a fait ériger le monument par les ordres du khalyfe - il est
r s ; ’ ' “ f “ "!”«-
J la iï L J 2 ü I àiiul
Transcription.
f * ^ LJLlï— ' J È |É 9 cXl-J I
Traduction.
LE SEIGNEUR LE PLUS ILLUSTRE, PRINCE DE L’ARMÉE, ÉPÉE DE L’.SLAMISME.
Cette ligne est terminée par le mot
Il u
Transcription.
t
Ce mot ne forme de sens qu’avec le premier mot de la ligne suivante, à
“ °K 1 delà page “ " gmfica,Ion de ce raot> "-dessus; (2) OmU r , nom de dignité ; principal mi