
. i L ’expreijiop i §tff§3§. de rfâ p ç ifa ,,, fait un p Ë ljf
iièmev L i e r p a rticu lie r^ diftipéi du .précédent
çntFe Je fait & le :^ é c it dff iM, oy(se; voiçi les cit.
confiances q u i. s’y rapportent, .tirées du Çhap.
Vlllí?. de la G.k.ne s k., (>.y. ,3. ) Au,: bout
,, de ¡cent ; cinquante jours les Eaux fe retirèrent-
„ .ians interruption de.deiTus ; la terre & dimjmh
il -,rçnt?\ , o>’ ; çnfuite p.rjt terre-;, & les -drcon
dan ce s continuait d’être -très taraftèriftiquesi
(■ v. 4. ) Le dix-leptièmc jour du feptième Mpùy
,, l’Arche s'arrétai fur. les,Montagp.es. d’Ararat."
11 eft a remarquer qu’il n’eft .point dit ¡ que -j.ces
Montagnes le découvrirent ; & elles no fe-t-dé*
couvrirent pas en effet: au .moins leurs $¡:ommet$r
qui épiepe, des ylfles dans- Y ancienne M e r , 'r\\:
voient pas été couverts; Au. moment où Y 4 r ç h
s’arrêta fur leur pente:, . la,- Mer, étqit déjà; ^ien
abaiffée, puisqu’elle s’étoit portée. fiirt les aneien\
Çm^inetts.' o Mais X-Anghe ;.._n.’étpit plus dans, ces
Régions v les-, Vents l’en avqjent chaffée; --&;4 ès
que la Puo v id ençe intervint, il eft * aifé -de
4 e. concevoir qu’E- l l e y dirigeables, Caufeslu[e?
cpndes ; mais, ce .n’eft pas, ici que je me propofe
de parlpr -, de, lar Providence. ; j ’y , vjen<|m
enfuite. > . ,. ¿„v* >
l'A rch e fut,.,.donc arrêtée fur les Montagnes
d?Ararat,. & voici cequi arriva enfuite. „ (v. 5.)
,, Au premier jour du dixième Mois, Içs Som-
„ mets Ae^yPqptagnes fe • fmntfèf'pnt” , 3 Çes.
IVJpntagnes fonç celles, qui fe tfâGQfflrfcent par. lja-i
. ■ - - | bais-
■ifeiflèmept graduel du niveau .de la Mprí „ (v . ip ¿ )
l „ A u bout de quarante fept jours/N o a’ , lâcha
l , pour .la feçpnde' fois le Pige on il-revint
avec une,feuille „(où;rameau) d’>Qliv,ien (vr. .u < )
mi
W>
,N o e’ reconnut .¡par . A; que .lçs: gaqx.^toiept
diminuées „ de deffus la terre -.„(y) x 3 ')
(quelque teins, après) ôtant la.couyerture de
■ l’Arche, il regarda ■>
& voi.ci la fùrlaçe de la
1 5, terre te ftch e it : (a. 14.) y;- cinquante fepu
■„ jours après ... elle fu t fèche. (v- 1 6,); Alors
-D ie.d djca^pé de'fortir.-d© PArelje.’’ , .Mais
■ce que ]NT o e’ pe, pouvpit fayojr Rond
».de,, la nouvelle fM e r t continuait;; à-, sjafaiJêr.; ,-Çe>t
■a"ffaiifemei>b:fefii'P^-fe^ÙP^ure fuc^effiye'de no.tç-
■velles Cavernes, procédant des mêmes Çaufesyk
■Merfe réduifit par degré :daps fon nouveau A lt, &
■-fon entière Retraite 3 mit fjnAla >R e’v o if-u.T.iqN.:
■ car dès lors ce L i t ,n'a. plus, changé- , L e Récit:
I de M o y sE ,-p a r ce peu de détaU,S;,nous fait voir
■dans la partie de; la R E ’voL.ü7,iO;N,,/qu?il em~
■ braffe, toute la lepteur néceilàire à l ’e^plicar
■ tion, des Phénomènes-, ; ci';:rrmq Uttoll .c
■ Je pailè.. a une quatrième - Çifûwtfdnçet de ce
■ genre ; mais comme elle porte un-caractère parr
■ ticulier , je dois la faire précéder de quelque^
■ réflexions. ^ \ . èy rmom iï.m
, Si .Moys.E eùtJnventévUe -qu’il raeontoit, , 4
auroit été attentif à biqn arranger lès, Fiction^
Ainfi , mett-anc-du deffein>, dans- ces Mots
.» je les d é t f u i r n iw X h TflRRS: AVEC eux,,;;),
. il