
•ir-.Revenant - vers la- DIguejëariëFongepis cfu’j
revoir la M e r; & ce fut paribàiiaîrii’ qué II®
trait dâ-gs -le Bdurg dçrrit ' jë^Vierii» dé‘îpktler
dont enfuké jè ^ ^ k 3F^u*aw3^p^iffî?:J ri
crus dormir ,'&qùe dán¿ nnfdñ'gé fë tb is tfáíis¡-
porté en Cirbaifie. t é s yetíx áBéoú'ttírríéi i
Ja pëfahte propreté des Firifonné|^ je. ne:pbiî,J
vois concevoir comment totit àdcbup je me
trbùvois parmi dës:fëmméà àùiïi; élégantes
la figuré que par’ rhábilíémént s rlüS dVj¿»Ü
toit de mouÎTelirié roide pour c'Ôéife, "pjtfs de
taillés; ëitropiéès par çotW^, p fû i'dé hâilches
appefanties par despfàriieràf pîiis dérids
défigurés par des màricîriâi * épáiífes téririinées
âu boude. CJetoit fhabiliéihëtit’ 'Levantin le
plus propre àfaireValloif dë*t>é:ffes"lts£lîlesV!°|
à laiflèr au corps tous fes moüvemëps nam-
rels ; & l'ornement dé tête n’étoit qu’uii
mouchoir de foye rayée , qui ' eritouroît, au
goût de la pôrteufef un bonnet de cart'çn élev
é ^ & en faifoit une forte de turban! ;
";,y C ’e il un r ê v e !” me' dxibïSéj’étôujdtiïSii
moi-même. Il ffiufen profiter. ’* ' J-alIoís
d on c lé'long dë toutes dés rires] , j ’entrois dans
-toutes les maifons apparentes ; hipn air de fri-
■prife & d’emprèifement fâifdit rire toutes ces
Femtnés , 1 qui' n’etf étoîent- pas riïoms pim*
-bles ; - & il fallut enfin que mon Poilillon iri
■ - . 1 . t 4 ' v î n t
vînt tîriir pàr-là'màndliéV <af:§è rie Tënteri-
dols pas.’ ILe Rêve finit aii-ForiiriddBburgJ
& je n’ai rien Vu de pareiîdâns tous le reite
de la Frife , que quélquéà‘nrieé!dë césFeirimeà
mêmes àjùe je rencontraf'<Snsriri autrë Boiirg;
Màis j ’áppriá éiifuité qu’il y ’eri* avpit deux áu¿
très, femblables'dâns' le voifinage , , dorit‘ 1 üri
entr’aütres, nommé Molkwerén ,' ‘e i l . en lüi-
même une curiofité’, pàr là iîngulière màdie
qu ont fés Kàbitàns ,ê de'niainténir unrirràrige-
ment ariçieri’dp leurs Màïfôhs,' qui éri fait ùrf
vrai Làbyrinthe : nulle rue , nulle*' place ,
nulle disppfiçiop naturelle dés portes ’> i f ferii*
blé que . des Màifons'foy.ent tombées là par Lazard
, comme les Àrbrès dans les Jardins à
I l’Angloife. ’ ï ) ’où peût venir cette iinguliè-
[ re Colonie ! Pèrfdnne n’a fu m’en rendre
[ raîfon.
I ■ Ce n’eil pas moins là;un fait cosmologique,
I qu’une cjrçonilance agréable de mon voyage,
Hindelopen, qui eil le nom du premier Boiirg,
[ yeut dire Courfe de Daim. Il y a donc quelque
I apparence, que dans l’anciên ‘ternis, où la Plage
primitive étoit encore bordée de Fôrêts, ; c-e
I lieu, qui eil fur le fable, lui appartenoit déjà
avant que les atterriflemens limoneux euifent
pu recevoir des habitans. . .Ce pouvoit çtre
un lieu de Chaile de quelque Conquérant, qui
avoit