
bouillon Joible, réliaiiffé parrun peu defe
Les Collines- d’oà elle Tortn, -font encore,
perte à chaux couverte de fable.
' D é là nous entrâmes dans ces Montagj
que j ’ai déjà décrites à V . M. & dontnoüsi
fortîmes qu’à Coblentz. Je les ôbfervai attd
vement -, à caufe des eaux minérales dé,&y
iach , & je n’y vis rien de mlcmque ; J
les Volcans ne font pas bien éloignés , (1
vant ce que m’a déjà"* appris Mr. le Cl
TroJJon , ce Compagnon auiïi aimable qu'J
dé quelques unes de mes courfes dans i
Pays-là. Il doit en faire de nouvelles à|
prière, & il me communiquera fes obferj
tions ( a ) .
Mr. le Chanc. De la Rocbe rria. îm\
d’une nouvelle découverte, faite depuis m
paffage, par lescreufement que l’on contai
près du Rhin pour les fondemens du nouvel
Palais Eleftoral. Etant parvenu au fable 4
ge, on y a trouve une très grande dent m
phant. Voilà donc les bords du Rhin, &
le même cas que ceux-de la Lippe, du 1
& de la Meuje ■; ce qui embrafle tous (
Pays. Lorsque, par quelque circonitancep
(a") On le* trouver* à la fuite ie cette Lettre.
■ u l i è r e , ou de Rivières qui creufent leur
■ ou de travaux des hommes , op perçe
Ijusques dans le terrein vierge, on y trouve fou-
■nt des relies des Animaux qui habitoient
^Lljles ou des Continens anciens avant que la
■er fefût retirée des nôtres qui lui fervoient
fond. C’eil la Mer en un mot qui a enfé-
ii ces ojftinens dans le fable, & non dès cau-
poitérieures à fa retraite : on reconnoît
lement ces deux genres de fol.
"otre route de Cohlentz à Juliers a été la
îme que celle de l’année dernière , & je n’y
* ien obfervé dé noüveaii. Je fuis cepen_
it bien aifë d’avoir repaiTé ma leçon dans
¡tes ces Contrées, pour juger fi j ’avois fait
des erreurs.
MPe Juliers no.us fournies venus à d ix - la -
1.1pelle, avec l’intention de prendre notre
te vers Spa. Ce fera autravers de Colli-
s nouvelles pour moi ; ainfi ,je ne doute
¡|s qu’elles ne me donnent lieu à quelques
Bfcrvations.
L E T T R E