
cées aiï loin ; comme oh èh voit lancer âüx VeU
‘cccns à&uels.- Mais la caufè étOit' aloià kcoinpa*
rabfementplus puiiïànte ; & c’eft yraifemblàble-
ihèrit à de pareilles exploitons, que foht dûs ces dé*
Lrîs' dé pierres primordiales que noua trouvons jus*
qtiëëfiïr lés MOntàgnës à tm b é ï 'Càkttatt quel»,
quefbis en maffes de plufieurs ioifes cubes toujours
aûifi ifoléea que - fi elles venoiëût à y'-être
placées aujourd’hui. La Mer enfuitéen prome-
nànt 'fur Îbn Fônd lés matières défunies’, recou*
vroit lés ouvertures” de: ces Mines, qui ne laisi
foient aucune trace permanente,parce qufe cesGij-
lertesiétoieni vuidëé de Laves, & qu’àirifi 51- he s’c-
levoit poiiit de Cône volcanique au-dehors. (a).
Qüând la Met fut fénfibîement moins profonde
& probablement moins étendue par là même, el-
.-4V« -i'¡4- .¿i./-* v • O >.• * «¡1 fe
*«i3 •¡'“■‘î.U; * ■i“V\ i l /•••*'<ri•■-.Ti*105 £
(<rÿ C ’eft 1* dctùiète foisrqfief parle d’pse ttiatïière anpâifui.
,viç /des .effets qu’ont produit les ‘Feu» fouterreimb.ia Surfaçe de
notre Globe;, & -c ’eft à U H a ji & pift à mettre cette Fetpefous
prèîfe, qu8 j’afpu me prbcureY enfin ,1a îcéture de: l’important Ouvragé
dé Mr. F aUj a s de S f . F on t» qtii aJSour Tiiie~, tôcM-
thés fur tes Volcans iteinti du Vivarah & du Velay &e>, dotlt j’ài
déjà fait mention une fois, d'après Jes. Journaux ( Tome ih p;: 4{9
Note. ) J’ai donc fuspendu l’Iipprellion de ma Feuille & fai\cette
leiiure. Une telle' poQtion ne me permet qu'une.Note, fort, court
e , mais elle dira beaucoup -*-— *• Î1 ne pouvoit rien arriver de
plus heureux à tous égards pour mou Ouvrage, qüé lYjjublicàtion
de celui de Mr. d e St. F o n d : & le feul regret qui me refte , eft
qu’aptès avoir dit cela, il ne tnefoii plus permis d’exprimer ce quej*
penfe de ces Rechercha,
le éprouva de moindres bàlancemens par les Mà-î
rées. Son Fond auifi ï de plus en plus entrecoupé
d’élévations fécondaires ; prodüifit de grands chani-
..gemens dans la direction des Courants, De là cet-
vte grande variété, tant “dans la hauteur de fes aé-
[cutmlriionïï què dans leurs pofitidns, & dans la
nature de leurs matières, foit en des lieuX très
voifins, foit dans les mêmes Collines oui Montagnes
formées de fes dépôts.
Entre ces fucceflïons d’effeti diiféïens fous lei
.eaux de là même M e r, fe ttoüve. un Phénomène
bien remarquable, Il eft certain que la Mer * après
¡avoir fais de grandes accumulations de matières
■ficaires dans une première Période, a cpifé d’en
faire presque partout , & leur a fubfticué des manières
vitrescibles, iongtems avant que dé ië re-
; 3rforpV i
i J’ai peu! de dispofition à tenter d’appliquer leJ
¿éfultatjs de .notre chymiè f aux. opératio ns de la Nature
: cependant je ne fais s’il n’y a pas au moins
une lueur d’explication dans l ’hypothêfe dont j ’ai
ptajt mention cï-devântq ) i favoir, que tant d’Ëx-
jhalaifons répandues pâr }qs-Volcans dans les eaux
[delà M e r\ purent»de quelque manière cbymiquej
jdifloudre' ce qui rendait calcaire^ les ,madères.enco.-
Ife.molles, qui paifaient par parcelles dans.çe no.u?
feau nienjlrue à mefure que l’agitation deTenfi
.. , . , ...... les
(<*) Page 37:?:.dc «e V ol uj î è . .
j , ••■/-'.v'' ' >' •;;ïïl3h/