
qmlle£.v,ta vue de ce fable me fifpenfer à
fuiyre la Côte jusqu’au point où les Digues
: ceffent, & où.fuccède le fol, continental ,Ce
point n’eft pas Jq|n-de Stavefefi, t d’où! ja Côte
tourne au; S,;._ E<_- pqpr embfailêr. e»'¡cet--¡en-;
droit le! Zuyder-Zée;f I s lr ia v j
r; je partis donc de, $tdveren$ & en Fuivant la
D ig u e ,je layi§yà:ùn quart ffe liôuçfte dlftanT
c e , s’appuyer contre des Falaifes que la Mer
borde encore.. Au pied de ces Falaifes la Plage
eft du fable de la Mer , ayeefes coquillages;
niais elles-mêmes fonc k Geefoi & leur fable,
fort différent vde; celui, de la Mer * renferme
toutes fes pierres ordinaires : j ’y trouvai des
corps marins, à ans les fragmens de pierre - à-
feu , màis.iil n’y en: ayoit point dans le fable
même. ; ■ enu'b > ■■iodllf* . a u ; : fil
Arrivé -ainii 'au fol continental, j ’en, fuivii
quelque tems les Falailes. J’y - trofevai'peü
après i une coupure , ; à laquelle-;, fupplée
une Digue. Cette- première 'Falaife pou-
vo it avoir 2 à 300 pas de long, & 25 à 30
pieds de haütv ( Cela e[l bien haut [ .difoitmon
Voiturier , Frifpn), . , Lqs; Falaifes Recommencent
enfuite, & bordent la Côte au loin. On
eft alofs entièrement fur la Geèjl,, 8t tdufcJufli
bien que dans le Pays de Paderborn.. .La culture
même n’y diffère ,,qua parce, que les Fri-
LETTRf C X X X ^ p z x a . J E R R E . 282
ifais.fom.pjus^rjçhes!.g;ue; Jes,l^i^ffaliensj
ffiiupa gn^ ^ tqipçnæQjt m pour éiitr'er
t o s fetfxr<*s '4?
enfin fo ,Bruyère fM -'deffÙS
des a tie r r^ ç^ i|§^ ^ s ?.j^gpels je. m’ayan-
Lu. nïyep^des^rÇanaux '-y. & converti. enfPraib
ries, à
PttffilÉft i-U. a |p| * a GoAf -iviAlat*f +j if. rkrtt4iti. xi- ii. » b U -fcw a a -.*-/* vi. t lUv#-v
; ■ Ç’e ftjg lepPays.que je jne.propofoiSj d’exay
Ruiner , ;à l’occ^on, de. cette.anciennep-orê.t;,
jà laqnêlle.^a. fpcçècîé, jp grand Etang qu’on
pomme.fjfo e^ e n rjn e e r. - Ce.Pays eft tout par?
jiemdff’Ètaugs^.xiu, jdç„ p ç t f f t s , : <quX dot-*
¡vent, leur orjgmp. à qe qu’on, y .a coupé Ja
\tmrbef 2 l|s communiquent les, uns . .ap^ ,aur
■très par qe^Çanaux,. & l’on y. navige,Msqu a
mLemmer» pqtit Port, vers le fond jOriental du
feuydçr- Zee',. ^ ioten eft une, petite Ville |§ f|.
itijiée>. au travers de laquefle pafle un des Ça-
piaux qui fervent de, communication,.,entr£
lies Etangs. ■ ,
■ ‘ .-, LîTàtf,j t*o !u,ir‘jbven >é Ota’.tni t■, •u:..■n ei fois -enlevée *j &53 VJe5 f-ay(-
■blé.découvert ^.l’qau qups’y.jette, lecreuje ppu
i ^ peu; pat % ; rY4guçs.. : Lesfable fmp.mrte.-yers
ije s bprds^, ^ s ’^pme mêmé par les, Canans,
1 quanti