
la nobleiïe ; & il y a des Emplois qui n’appar.l
tiennent qu’à cette Noblefle-là.
Nous allons partir pour Winjtn, où comJ
mencera au clafle d’obfervations très intéresj
fante; celle qui regarde les changemens ar.l
rivés aux bords de notre Continent, tant par la|
M e r , que par les embouchûres des Rivières],;
Je me propofe de les fuivre jusqu’en Hollanl
d e , en côtoyant la Mer autant qu’il en ferai
befoin.
L E T TR E
l e t t r e c x v i i l
mRoute de L u n e s o u r g à W in s £ n — Description
¿es atterriflemens faits par les Rivières,
dans le fond d’un ancien Golfe où fe déchar-
geoit l’Elbe — Remarques économiques au fu-
je t de ces atterriflemens.
W in s en , le 7hn x.778^-
I M A D A M E.
[ “jT"Ë reçois les premiers rayons du jour dans
I I un Appartement que V . M. honora de
I fa préfence, quand E l l e quitta fa Patrie,
I pour aller répandre le bonheur autour d’ E l-
I l e en Angleterre. C’efl dans les lieux qu’E t -
I i e traveria alors pour quitter le Continent,
I que je viens, examiner fes bords. L é fouve*
I nir de V . M. eit empreint dans le coeur de
I tous leurs habitans ; & l’honneur de Lui ap-
I partenir me tiendroit lieu de tout auprès
I d’e u x , quand je ne viendrois pas d’ailleurs
fous les plus favorables auspices. Mr. Marcart
! jn’y rend tout aifé ; & Mr. le Baron de
D % Brt*