
veau de la Mer change, mais plutôt que ce*
terres s’afFaiflent.
: Nous voyons encore par ces trois Perce-
mens , ce que celui à’ Jmflerdam nous avoic
déjà montré , & qui eft commun à toutes
ces Contrées; c’efl: que tbus ces Atterrijfemens
repofent fur un fol très diûinét ; favoir le fé k
continental, relié dans fa fituation primitive,
autravers duquel les fàurces s’écoulent
vers la Mer Car c’eft toujours à ce fol qu’il
faut arriver, pour avoir des eaux de four'ce.
Je vais faire encore un petit trajet dans ces
Pays inftruétifs ; après quoi j ’espère de pouvoir
conclure fur l’objet qui me les a fait étudier
avec tant de foin.
L e t t r e CXXXIII. d e d a T E R R E .
l e t t r e C X X X I I I .
R o t t e r d a m à U t r e c h t •—?
| ' Tourbe fluide de cette Contrée — Conclu*
Jion fur les Côtes de la Mer.:
U t r e c h t , le s e . 1 7 7 $ .
m a d a m e .
IISE voici de nouveaù en Terre.Ferme,
ai remonté les Eclufes du petit
Rhin ¡ je fuis hors, des Pays expofés au retour
delà Mer dans fon ancien dominé, & je
vais rentrer dans les terres continentales. Je
m’arrête un moment fur ces confins, pour
réfumer les phénomènes appartenans' à cette
petite bordure qu’a reçu notre Continent;
X S «près