
fieurs espèces ; & en e ffe t, toiit le terreau
n’y eft compofé que de débris de pierre à
chaux, qui renferment quantité de ces foffi.
les ; entr’autres la même espèce de corne d'am-
mon que l’on trouve dans le Heinberg près de
Çifittingue.
L E T T R E
l e t t r e c x vii.
Route ¿’H a n o v r e à L u n e b o u r g «— —;
Examen du fol de: Bruyères le: plu: âéferte:
-- Origine de: fragment de pierre à feu
que renferme le fable de toute: ce: Bruyères.
L u n e b o U r g * le “¡¡Ire. E7 7&»
» M A D A M E
*
EN partant de Pyrmont j ’avois encore une
obfervation à faire, pourépuiferles vérifications
fur la conjeaure que quelque.ancien
Volcan pourroit être la caufe de fes eaux
minérales. Je favois qu’on employoit dans
le mortier des ouvrages du F o r t G e o r g e
un Irajf ou Terraff qui fe tiroit des environs.
Or le long du Rhin & du Mein, le Trajf eft
toujours une matière volcanique, quoique différente
fuivant les lieux , comme j ’ai eu
l’honneur de l’expliquer à V , M. J’attendois
donc de trouver quelque trace de Volcan à
peu de diüance. Mr. le Conf. d e H i n u