9 °6 j a
T remperie. C’eft, dans une imprimerie, un
endroit deftiné à tremper le papier. Tom. III
pag. 617. . r r
T rempis. Liqueur acide dans laquelle on trempe
les ouvrages de cuivre pour les nétoyer. T. II
P3?-
T répan. Outil de fculpteur 1 il fert à forer
& percer les marbres & les pierres dures.T VII
pag- 291. ’
T repqsx ou treport. Longue pièce de bois
aliemblee. avec le bout fupérieur de l’étambord
K rorme la hauteur de la poupe. Tom. I
pag. 614. . r
T resaille. Pièce de bois qui eft affujettie finies
deux ridelles ou brancard du tombereau. T I
pag. 62p. I
T resillon. Morceau de bois qu'on met entre
des aïs nouvellement fciés, Tem. I; pag. 614.
„"Lresser les cheveux ( art du perruquier ).
N eu des attacher par un bout fur des fils ou foies
pour, les, mettre en. état de faire des ouvrages
en cheveux. Tom. V I , pag. 327.
T rétoire. Efpèce de tenaille de bois à I’ufaee
•es vanniers. Tom. VIII, J45.
T reuil. Cylindre qui fert aux machines pour
©lever des fardeaux. Tom. J, pag. 615.
T riage du cartonnier. Opération par laquelle
on fepare les rognures de papier fuivant
leur qualité. Tom. 1 3 pag. 494.
T riaoj.es. Terme de Cartier,ce fontlescartes
de la denuere qualité. Tom. I , pag. 481.‘
T ricosines, Tuiles fendues dans leur Ion-
gueur. Tom. Il > pag. 72.
T ribe. Ce mot fe dit d’un pas ou’d’un mou-
vement du cheval qui eft court & prompt T . I
; r mm
T ringle. Outil} du nattieri c’eft une pièce
' 1 "eri“®e de clous à crochet pour y attacher
les cordons qui doivent former la natte
I om. V j pag. 347.
T ripoli ( art * natilre & emploi du ). T. VIII
pag. 318. - *
T riquer les pois. C ’eft les féparer fuivant
leurs efpèces & leurs qualités;. T . IV , p. 469.
T r i Qu Et ; Petit chevalet que le couvreur atta-
B L E
che avec- des cordes aux chevrons de la cha-
pente du toit. Tom. IX , pag. 72.
T riquoises. Ce font des tenailles tranchantes
Tom. II j pag 478.
T riturer , fe dit des matières qu’on réduit
en poudre. Tom. II, pag. 249.
T rismégiste. Seizième des corps des caractères
d’imprimerie. Tom. I , pag. 437. :
T rochet. Ce terme fe dit de l’endroit de la
branche où i plulîeurs fruits fe groupent enfemble
& forment une efpèce de bouquet Tom III,
pag. 1O0. •
T rompe. Efpèce de voûte en faillie qui ferai-
ble Te foutenir en l’air. Tom. IV , pag. ,3764.
T rompe. Gros cartouche plein de pots à
feu qui jettent fucceffivement leurs garnitures*
Tom.Ij pag. 175.
T rompette. Infiniment à véht fait en cuivre
& compofé de trois tuyaux joints enfemble
par. des demi-cercles creux & fondés. T. .1 ,
pag- ^ 7 -
T ropiques (le s ). Ils font repréfenfés dans
la fphère par deux cercles parallèles à l’équateur
dont ils font éloignés de 23 degrés 30
L minutes. Tom. III, pag. 234.
T roquer--les aiguilles , ou enlever le petit
morceaux d’acier qui bouche le trou. Tom 1 ,
pag. 2.
T ro t . Allure prompte & naturelle du cheval.
Tom. I , pag. 659.
T rou de lumière. Ouverture par laquelle
le feu fe communique à un’jet d’artince. T. J,
pag. 175.
T rousse- barbe. Morceau de bois de deux
pieds & demi, courbé par un bout, dont on fe
fert pour faire joindre les uns aux autres les
coupons d’un train de bois à flotter. Tom. III, pag. 2.
^Truelle. Outil de fer ou de cuivre de forme
triangulaire emmanché dans une poignée de bois
fèrvant au maçon pour prendre le mortier ou
le plâtre frais & pour en faire l ’emploi. T. IV,
PaS* 3^ * ^
T ruffières. Art de les reconnaître. T. V I .
pag*, 74 1 * . . . ;
T rusquin. Outil pour tracer des lignes parallèles
ou une cannelure droite. Tom. f e ƒ g.
A L P H A B
T ube. Tuyau de verre dont les émailleurs fe
fervent pour aviver le feu de leur lampe. T . I I ,
pag. 419.'
T ue-vent. C’eft l’abri que les ouvriers fe
procurent par le moyen de paillaflons ou de planches.
Tom. I , pag. 69.
T uerie ( la.). Terme de boucher} c’eft l’ atelier,
-où l ’on tue les animaux dont on veut enfuite débiter
les viandes.: Tom. I , pag. 238;
T uile* Sorte dë pierre brune artificielle faite ,
de terre cuite. Tom. I , pag. 323 & 336.
TyiLE-.CREUSE.OU A CANAL.
T uile plate. De la forme d’un carré long.
T uile a .-crochet , pour la retenir à la
tête.'
T uile faîtière, de toit , ou courbe, d’une
forme circulaire.
T uile cornière. Dont les deux côtés font
en lignes1 droites, & les deux -extrémités en arcs
circulaires l’ un concave l’autre convexe.
> T uile lucArnière plate par un des bouts"&
triangulaire par l’autre.
T uile astragale , en demi cercle , à fes
extrémités avec un carré de chaque côté.
T uile traversiere , dont on a rompu l’un '
des angles.
T uile courbe ou en S.
T uile vernissée , ayec un vernis paflfé au
feu.
T uile gironnée , plus étroite parùin bout
que par l’autre.
T uile vérollé , dont la furface eft marquée
de petits trous.
T uile a jo u r , ayant une ouverture carrée
dans le haut. Ibid.
T uilerie. Atelier où l’on fabrique la tuile.
Tom. I , pag. 3 36*
É T I Q U E . 907
T iIilier . Artifan qui façonne Sc cuit les tuiles.,
Tom. 1 pag, 32;.
V o c a bula ire , pag. 3)4.
4 Planches gravées, Tom I des gravures.
T urnefs. Efpèce de navet. T. V I , p. 72.
'T urquie ou maïs. ( art de. cultivér de
récolter & de préparer le bled de ). ' T. VIII,
pag. 320.
T urquoise. Pétrification d’offements ou de
'dents d’une belle couleur bleue. Tom. II ,
pag. i8y.
T uthie. C’eft la fublimation du cuivre jaune
& duïinc qui s’attache à l’intérieur des fourneaux.
Tom. I I , pag. 13/.
T uthie ( art de préparer la). Tom. V IH .
PaS- 334-
T u y au x ( art de conftruire les ). Tom. VIII,
PaS- 335-
T u y au x de condu it e. Ce font ceux qu’on
pofe en terre pour conduire les eaux d’un endroit
à l’autre. Tom. III j pag. 43.
T u yaux d é tu v e . Ce font des tuyaux en
fil de fer ou en ofier qui fervent à enfermer’
le grain dans les étuves. Tom. III, pag. 247.
T u yau de cheminée. C’eft. le conduit par
où pafle la fumée, depuis le deifus du manteau
d'une cheminée jufquè hors du comble. Tom. IV,'
pag. J77.
T uyère. Longue virole qui va toujours en
diminuant, par laquelle le vent du foufftet s’échappe.
Tom. I , pag. 219.
T ymballeS. Inftrument de mufique compofé
de deux baffins de cuivre rouge ou d'airain ronds
par le fond & couverts par deflïis d’une peau
de bouc. Tom'. I , pag. 631.