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Lisojr de DERRIERE. Pièce de bois ipaifle ,
dont la face de deffous eft crenfée peur y faire
entrer l’eifieu des grandes roues; à .la face
en-dehors font attachés lés crics qui portent les
iufpentes 3 ïb id .
L isse , terme du cartier. C’eft la pierre dure
& polie avec laquelle on frotte les cartons des
cartes à jouer. T. Ip . 474* '
Lissé ( grand ),.C’eft, parmi les confifeurs, du
flicre cuit au point de former un filet auez tore.
T.I.p-7éf>
L issé (petit) C’eft loifque le fucre ne peut
former qu’un filet très-fin , tb id .
L is se r . C’eft frotter jes cartons avec.la Lifte * pour rehdre les cartes douces & luifantes, ïb id ,
L îsseR 'l a BOudlE. C’eft la rendre unie dans
toute fa longueur en la faifant palier fous le vou l
o i r . T. I j p. 700.
L is ser l a bougiÊ.ïil-ée. C’eft la paffer dans
line ferviétte mouillée, ïb id . ..
L is se r les gr,a in s_de poudre. Cette opération
fe fait dans un cylindre creux, mis en mouvement.
T. I, p. üo. t
Lis s o ir . Outil de fer qui fert à polir le cuivre.
T . II, p. 15;-
Lit ( art du cirier LJMatelas couvert de djrap
Ce d’une couverture / entre Iefque'ls. on met les
cierges jettes refroidir ou étuver.1 T. Iy 7 y b 6 i
' L it de l à Pierre (faire le). C’eft Punir à
coups de marteau..JT. VIII ,' p.’ 60., '
Lit de des sus. C’eft le côté de la pierre
qui ne porte point ' dans la carrière ^ ïb id .
L it s d’a ir ou de v en t . T. VI, p. 731,
Litharge. .C’eft une chaux dé plomb e a , petites
écailles talqueufes. T. VI, p. 414.
L it r o n , Mefure -pour, les grains. * lesGpou-
dres * &ci TvT; p. i z f ,
, L iv r e . Monnoie de: compte’.dont on fe lè r t
en France dans les calculs. T . V , p . 110c ir. .g'.- |
LiuRes. Pièces de bois au-deffous defqïièHes
font attachées les. planches du. fond .du bàttêàu. J. I*p. 608. 1 ’ ™ ; ‘ |
L iv r e s anciens ( art de les dérouler ). T, VJ*
»8- 73*s" ...
Î L E •
L i v r e t . P e t i t liv r e o ù les batteurs d ’or renfermen
t les feu i lles d'or ou d'argent qui font
p r é p a r é e s .T . I ' , p. a n .
L o c h e r * en terme .de raffinerie de fucre, c’eft
détacher le pain de fa formé * en le fecouant fans
l’en tirer. T. VII * p. 710.
Loi. Ce terme* dar.'s les monnoies, eft employé
pôuf'défîgner le titre des efpèces d or 2c
d’argent. T. V * p . 2.20; -
: L ongues' (lettrés'). Ce font les lettres qui occupent les deux tiers du corps par en haut ou par en bas. T ; I * p. 4 J4 -
L o n g u e s s e . Partie de la carrière d’ardoife
qu’un ouvrier travaillé, T. 1* p. 67.
L o q u e t ( Couteau à ). Couteau qu on ne peut
fermer qu’en retirant le reflbrt avec le pouce.
T. II, P*. )"4* '
• L o r m e r i e . Nom que l’on donne à de petits
ouvrages de fer travaillés par les cloutiers*
felliers ou éperonniers, qui prennent aulfi la qualité'
dè larmiers. T. I, p. 73J>-
L o s a n g e e n t r e l a c é ! pièces potées à ). Pièces
de bois entrelacés diagonalement* & formant
des lofanges. T.l, p. 607-
L o u p e s * fe d i t , en terme d e J ou a i llie r *
des p ierres p ré cieu fe s im parfaites. T . I I , p . l o i .
L o u p e s , On appelle ainfi une lentille a deux
faces: convexesg 'dont les rayons font fort petits,
f. IV* p.^j/fV';
, Loupe A, EAU-Inftrumens de phyfique. T. VI,
p-“7^ ; T , 77 :
L o u v e . D a n sd ’ a rt d e b â t ir c ’ eft n nm o r te a i i
de fe r comme une ma in a v e c un o e il, qu on ferre
dans'-un trou fa i t .exprès à une piètre' p rê te à
pofe r a v e c d eu x lo u v e te a u x q u i fo n t d eu x c oins
d e fer * enfu ite on a tta ch e le ,c a b le d’ une g ru e a l ’oe i l de la lo u v e * & on e n lè v e la p ie rr e , T. IV, p. 3 J é . '
.L u c a r n e . Ouverture en forme.de fenêtre pra-i
liquéê dans lés comblé. T. I , p. 546.
Faîtière *. celle d ont le faîte eft couvert d’une
tuile faîtière.
F lam a n d e , qui fe termine en Fronton.
| A la capucine, celle qui eft couverte en croupi
.de com blé, . -,
Demoifelle, celle qui porte fur les ehevioiMl
des combles * Ibid,
A L P H A B
, Lumiep.e. C’eft Couverture qu’on fait dans
î’épaiffeur du métal proche la culaffe du canon ,
pourmettre le feu à la poudre. T. I, p.342 & 349*
Lumières. Nom que les ébéniftes donnent à
des mortaifes faites dans le bois. T. II, p. 327.
• Lune ( pierre de ); Efpèce d’agathe nébuleufe qui réfléchit la lumière comme fait la lune. T. II3 pag. 181.
Lunette. Infiniment compofé d’un ou de plu-
fieurs verres, qui a la propriété diftinélement ce qu’on n’appercevrdoei tf aqiruee vfooii-r
blement ou point du tout à la vue fimple. T. IV,
pag. 263.
Lunette 3 faifant partie du tour eft un trou
é t i q u e . « 51'
cda’értraéi nd aqnus’ olneq aupepl eflloen t deux pièces de cuivre ou collets. T. VIII3 p. 202. *
L u n e t t ie r -Op t ic ien (art du ). T, IV, p. 237.
Ouvrages du Iunettier , p., 241.
V ocabulaire , p. 1 6 1 . Quatre planches gravées. T. III des gravures.
L u s t r ie r ( art du ). Le luftrier eft 1 artifte
conftruéleur des luftres ou chandeliers à plufleurs
branches qu’on fufpend aux planchers des appartenons
& aux voûtes des falies » des fpeétaclesj,
des églifes. T. IV 3 p. 2{?j.
V ocabulaire , ib id
L u t . C’eft un enduit de matières graffes & , on&ueufes. T. .1I , p. 300.
M.
M . Caradère alphabétique. Tom. II, pag. 3 9 7. .
M a c a r o n i . Pâte de vermicelle façonnée en
petits cylindres creux. Tom. VIII3 pag. 411.
M a c é r e r . Ce terme fe dit d’une fubftance
qu’on lai (Te ramollir d'elle-même , en ajoutant un
peu de liqueur. Tom. II3 pag. 248.
M a c h e - c o u l i s . Efpèce de muraille portée
en faillie fur des corbeaux de pierre au haut du
pourtour des vieux châteaux. Tom,. IV, pag. 356. n
M a c h i n e s r ela tive s aux arts. Tom. I, p a g . 10.
Préfacé.
M a c h i n e p y r i q u e . C’eft l’affemblage de différentes
pièces d’artifice rangées fur des tringles
de bois cm de fer, pour former un fpe&acle.
Tom. I, pag. 174.
M a c h in e s en bois de charpente. Tom. I,
pag. 581.
M a ç o n n e r i e . (Art de la ). Tom. IV, p. 1 6 6 .
A r t d u maçon P i s e u r . pag. 321. ïb id .
V o c a b u l a i r e . P a g . 335’ .
10 p l a n c h e s g r a v é e s . T. TU, des gravures.
M a c q u e r i e . Veine de matières étrangères inclinée
au nordj dans un banc d’ardoife. Tom. I,
pag. 67.
Maculer. Terme d’imprimerie , qui fe dit
des feuilles dont les lignes paroiffent fe doublet
les unes dans les autres. Tom. III, pag. 607.
Madriers. Pièces de bois épaiflës. Tom. I,
pag. 608.
acqMuiaegrtm uane. cCoen fitfetramncee éfep adififte- .d T’uonme . liIqIu3 epu-r 2q4u8i.
Magnésie blanche. Tom. VI, pag. 755.
Majeur^ C’eft le grand corps d’écriture.
Mineur. C’eft le petit corps d ecriture.Tom. IT,
pag. 598^
Maigre d e l à pierre. (Prendre le). C’eft
tracer tout autour les raies qui doivent diriger
le tailleur de pierres. Tom. VIII, pag. 60.
Mail ou maillet. Marteau de bois fervant aux
charpentiers & autres. Tom. I, pag. 60S.
Maille. Eft une ouverture en forme de lo-
: fange, qui étant plufieurs fois répétée, forme
des treillis de fil de fer ou de laiton. Tom.
:Pag- 475;
Maille ou Maillon. C’eft chaque petite
portion du tiflu qui forme , une chaîne flexible
fur toute fa longueur. Tom. I, pag. 500.
Maillons. (Art déTêjréfonier). Ce font des chaînons;repliés en S, qui font partie de la gourmette.
Tom. II3 pag* 449.
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