
8.3'<> . 3 ü O T A B ' L E
ou cellier .humide ôü Ton en couche , pour germer. Tommet. le grain mouillé 1, pàg. 289.' P
& Gdéet igfe r(ç ubroeiss.) .T Coemlu.iI ,q puai ge. ft6 rempli de fentes q 6 .
Gibier. Cë terme s’entend, d'çs,animaux, qualdar
ucphèadffees ,,& odue lvao ltaatbillee,s. Tqqumi .F IoIn,t plaegs . p9la^ifirs de
géCesi bdlaenss , leC efo uterr,m dee f em adniti èrdee s qburei qluae s cha rarlea nu;
ppuagil.i e3 3f3è. diftn’buër dans l'intérieur. Tom. I,
v. rier chargé/ ^dee )p*é Ctr’ierf tla ’dpaântes . iTa obmou. lIa,n gpeargi.e, 2l8’o0u..
1 Girande. C’eft' le faîfcèau de fufées volantes
qui Fe fuccèdôïït tou■ fe-multiplient rapidëmeiit
dans l’air.
horGiziornatnald. oTleo.m A. r1ti,f ipce. q1u7i4 .f e 1meut dans un plan
boGucilreas -ndD ooreliellSe- s (drf du joaillier’); .Efpèce de sieurs pendeloquesÀ. Tooùi iIUo nI Ip, epuatg . f'u1f8p0e.n dr-e pluÎJ
CGpèicrea dned ogle robuç 'gqiuri a.sn'édlèev ■1e (- aartv edcu . fvoinolteainncieè r &). .
iImIIi tje p laag n. 4ei2g.é ’par, la blancheur de fon eau. Tom.
d’uGni rbalasnocl Jea it(eIuex)o Ju a Pveiecr ruen deu tefoinîeteil . dPei ébrrleeu f ir&ie
.dTe jaune réfléchfflàüt- iës rayons de' la lumière. 04n.II, pag. aSoj 1 i
‘dé Glai rcaousloeui.r .dVee rlare p tiré^rsr-êf unfoirbrjïem éê.f emi-opaqui & G z f a f o f . T à l pag. 427.
pârG uinr obnounté eq^u'e ( tpuairl els’-a)u. trEel.l eTs font .plus é7tr1o. ite*s
-.jClacè’. C£ft un’fluide devenu SMHSMBwBt
Ipiadge. par un grand Fëfï’oidiflëîïient. Toni. III; 2.2.6, \ \ ••ƒ
Glace- artificielle* Tom. III, ç s f e i 223.
J Des glacières, ih id .
Moyens de former de la glace, pag. n p »
. Vocabulaire , pag^^è.,-.
1 PLANCHE gVayéë , toTh. I I , d é s " g r y v û r è k îu ’
’r’é dGulita cene g(eeléne *terme de duifîne). C’eft du jus
d#’ oEenu f.p, âTt ioj fme r ieI I3 , cp’eafgt. d9u6 . fucre uni à du blanc*
Clàce. Fêlure oii autres défauts qui fe rencontrent
dans les diamants. Tom. II3 pag.:!i8o.
• Glace ;( peinture fur ). Ç’eft une -peinture
faite,.fur,-;une-Éeuille d’étain 3 que l’on applique
enfuite derrière la glace.. Tom. VI,-.pagp.ijé.
Glacer. C’eft mettre une couleur qui a .peu
de corps 3 & qui làifle appercevoir le fond fur
lequel elle eft couchée. Tom. Il 3 pag. 1 6 .
quGelsl aocne fra.i t Spe ardoiîtt rdee lse frfuucitrse ccoannfdiit s&, fturar nflpeaf-- rent. Tom. I, pag. 764.
rémGelnatc. eTro lme .fIu,i fp;a Cg.’ e5f1t tl.e faire chauffer modéI
Glacerie ( art de la). Tom. III, pag. 142,
Glaces coulées, ih id . '
pagA. lk1a4li4 .propre à la fabrication des glaces ,
. Recuifïbn des glaces, pag. 191,
Apprêts des glaces, page 194
Glaces foufflees, pag. 202.
Vocabulaire , pag, '216 ,
'■ 4& k t 'A i i c i î h $ gfâvéësÿibm. II: des gravures.
Glaces. Ce font des liquides des fucs de
fruitsdès •mafm'ekdes & crèmes 'que l’on'Tait
igeler pour les rendre .plus4 rafraîchiffans & plus
agréables au : goup. Tom. I, pag. 764. -
^Glacés ( gafrts). .Ceux dont le coté de la
chair a éréj pafle dans un- mélange d’huile d’o-
Ai.vt$.& deiiaupes d’oêufs;., arrofés d’efp.m-dô-vin
& d’eau. Tom,-Vf, pag. y 6* . ’
. ;rGLA.qpERE. Lie.u .deviné-, à. ferrer, de la , glace
poaug .d e l,a neige,, pour s’en feryir en été- Tom. ïljr, i i 6 .
t„r 'lmGflpaafcèYisit. é Cfu’er-f t ül’heëff:!e‘âtu qttu:èe t qpuroid1 uit une couleur ■T-O'm-IIÿpags-'ïoÂ-' fitodob ■*.>: eft déjà sèche. :aiu-i
qu.Gefloaisi r, uadl .ï Piéliainrdtee -mchaartélfcfaieg euàf',e ^co eumvprilro yleése tqduietsl.
Tom. Il fpag“ 71.’
.Glaise. Terre . argileufe 3c compa&e , qui
;pferr-d éorps avec i ’ëau: %om-, il ; oag. 39©-.; ,,
■GlanDv .( oütil-^du tahletier) ^: Geft une ef-
A L P H A B
pplèactee sd &e pcianrcreé edse. bTooims,. VdoInItI , lepsa gm. 4âc0h.oires font
Glaye. C’eft l’ouverture du fourneau, difpo-
pféaeg ,c 2o1m9m. e il convient pour la chauffe. Tom. III,
d’aGrtlifoicbee fpdheé rfiqeuue. . OTonm a.p pIe, lplea ga.i n1f4i8 .toute forte
truGétlioonb eds ecsé)l. eTftoeisp .& ItIeIr,r epfatrge. s 2(1 a7r.t de la conf-
V o c a b u l a i r e , pag. 234.
2 planchës gravées , Tom. II, des gravures.
Gloire. Nom donné à un foleil fixe , d’une
grandeur extraordinaire. Tom. I, pag. 174.
Glu (art de compofer la). Tom. III, p. 23J.
t Vocabulaire, ib id .
Goberge. G’eft une perché dont l’ébénifte fë
(ërt pour maintenir fon ouvrage fur l’établi.
Tom. II, pag. 526.
rédGuoitb eenr glaettse. sC dee t e3r mpeie fdes d&it dde’muni bdoei sl done gfueenutre ,^
fur 6 pouces de largeur, & 3 à 4 lignes d’épaif?
feur. Tom. IV, pag. 234.
Gobëter (maçonnerie). G’eft jetter du plâtre
avec la truelle , & le faire entrer avec la main
dans les joints des murs. Tom. IV, pag. 353.
Godronnoir. tCifelet creufe à fon extrémité
de façon qu’en le franpant fbr le métal , il.foriiie
lin relief en demi-rond. T. I, pag. 709.
Gomme ëlaftique. Moyen de la diffoudre.
Tom. VI, pag. y i j . - :c
Gonfles ( art du doreur >. Ce font, fur le
fil d’argent, des cavités qui renferment de l’air
& qui empêchent de fouder l’or. Tom. II,
pag. 274*
Gorge. C’eft l’orifice d’une, fufée dont le
cartouche eft étranglé fans être fermé. Tom. I,
pag, 274.
Gorger. C’eft remplir de compofition le tronc j
& comme on dit l’âme d’un cartouche, ih id . \
Gosier. .C’eft dans le cheval la partie ante- i
rieure du cou. Il doit être Taillant & un peu
convexe. Tom.I, pag. 643.
.Gosiller. Ç’eft faire une eau-de-vie mêlée
de vin v-loïfqu’on a diftillé à un trop grand feu.
Tom. II, pag. 247I ■
• Go'THi.QUiE ( écriture ). Caraélère d’écriture,
.qui a; beaucpup d’angles & de ,tortuofités. T. II,
Pag- 35>7 * - .... . I
É T T Q U E . 837
Goudron. C’eft le produit de la partie des
pins la plus chargée du fuc réfineux , & qu’on
obtient du bois même que . I on fait brûler.
Tom. VI, pag. 358.
Gouge. Outil creux & tranchant par le bout
pour couper en rond. Tom. II, pag. 54.
Goujons. Ce font des pointes de fil d’archal,
ou de ^ clous , pour arrêter les joints des planches.
Tom. IV , pag. 234.
Goulette (art du fontainièr ). Petit canal,
taillé fur des tablettes de; pierre, pofées en
pente , interrompu d’efpace en efpace par de
petits baflins en.coquilles , d’où fortent des bouillToonms
d. ’IeIaIu, , poaug .p a4r2 .des chûteis , dans les càfcades.
Goupille. Efpèce de clous fans tête ni ri-
pvaùgf;e y, 4.qu’on pâlie dans un trou. Tom. II,
Gourmette.‘C’eft une chaîne compofée de
mailles , de maillons, d’un S & d’un crochet.-
Tom. II, pag. 440.
Goussant. Ce terme défigne un cheval court
des reins, dont fencolure eft bien fournie, &
ldao fnotr clees. mToemmb. rIe,s p&ag .l a6 5c5o.nformation annoncent
Goutte. Nom que les horlogers donnent à-
urie petite plaque ronde, convexe d’un côté 3c. plate ou concave de l’autre. Dans une ‘montre
la goutte de la grande roue fert à la maintenir
toujours contre la bafe de la fufée. Tom. III,
pag. 453. .
quiG so’éultèvtee leent ftileest s (oaur te dnu gfoountttaeins,i èért)a.n Jte tta md’iefaéue
àp aurn n ocmoubvrëer dclee pleentittisc turloauirse q.1 uTi .f oIInIt ^à p l.’ a4jo2u.toir ou
Gradine , inftrument à l’ufagedes fculpteurs.
C’eft une efpèce de .cifeaux à plufieurs dents.
Tom.Vil, j?ag.r 285)*'
. Grage. C’eft une râpe de cuivre rouge,
courbée en demi cylindre, fervaiit à râper la
racine de manioc. Tom. III, pag. 653.
Grain. Petit poids, qui eft un ^ du karat.
Tom. I, pag, j8y.
Grainoir à poudre. Crible dans lequel on
graine la .poudre. Tom. VI, pag. 638.
Grains ( art de la confervation des); Tom*
III, pag. 256.
Précauugns contre.les animaux* pag. 241,